lundi 31 octobre 2011

Décès du footballeur hongrois Florian Albert, Ballon d'or 1967

"Florian Albert, ancien buteur hongrois dans les années 1960 et Ballon d'or en 1967, est décédé lundi à l'âge de 70 ans à la suite d'un pontage coronarien. Il est le seul footballeur hongrois à avoir remporté le ballon d'or, trophée qui récompensait à l'époque le meilleur footballeur européen de l'année. En 1967, il avait largement devancé l'Anglais Bobby Charlton, tenant du trophée, l'Ecossais Jimmy Johnstone ou encore le Portugais Eusebio.

Il aura marqué 31 buts au cours de sa carrière internationale, de 1959 à 1974. En club, il a toujours évolué dans son pays au sein du Ferencváros Budapest, trouvant le chemin des filets à 255 reprises, pour un total de 351 rencontres disputées dans le championnat national. Il a remporté avec l'équipe nationale de Hongrie la médaille de bronze aux Jeux olympiques de 1960 à Rome et a terminé à la troisième place du Championnat d'Europe en 1964 en Espagne." La suite sur lemonde.fr

samedi 29 octobre 2011

Le sexe de l'homme - Un livre de Ronald Virag


C’est LE livre de référence sur « tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe… », qui répond aux questions que les hommes n’ont jamais osé poser.
Dans cet ouvrage exhaustif, l’auteur passe en revue tous les facettes de la vie sexuelle de l’homme. Il commence par les données physiologiques de base, et aborde les questions comportementales et psychologiques de la sexualité masculine. Il traite dans les détails la question du fiasco, de l’impuissance et présente les solutions apportées par la médecine. Il faut savoir que, selon les statistiques, au moins 20 % des hommes ont des problèmes d’impuissance, même passagère, dont la plupart pourraient être résolus, si les intéressés étaient simplement informés de leur fonctionnement physiologique.
Parce que « savoir c’est pouvoir », et qu’il est frappé par l’ignorance dans laquelle sont les hommes de leur propre fonctionnement, le Dr Virag leur offre, ainsi qu’à leurs compagnes, une véritable somme qui doit leur permettre de vivre au mieux leur sexualité. Le style est agréable, vivant, décontracté, et intelligent. Un livre intéressant pour les hommes de tous les âges et pour les femmes qui sont toujours désireuses de comprendre leurs compagnons.

Lire aussi coloplast.fr

Le Dr Virag dédie son livre à la mémoire de son père, footballeur professionnel hongrois émigré en France dans les années 30. Nous supposons qu'il s'agit de Edmond Virag, dit Eddy Weiskopf, international de football (Kijpest, Wekerletelep, banlieue de Budapest, 22 octobre 1911 Neuilly-sur-Seine, 10 mai 1996). Source : cairn.info

Portrait : István Csurka

"Après sa défaite politique aux élections législatives de 2002 comme candidat du MIÉP (parti hongrois d’extrême droite), István Csurka est de retour sur scène mais cette fois en tant qu’administrateur du Nouveau Théatre (Új Szinház) de Budapest, en duo avec György Dörner. Autant dire que cette décision est largement contestée.

A 77 ans, l'écrivain et dramaturge Istvan Csurka est en effet la figure historique de la droite ultranationaliste hongroise. Du temps du socialisme, les pièces de ce militant de la cause des minorités magyares, séparées de la mère patrie par le traité de Trianon, ont connu un succès indéniable." La suite sur le Journal francophone de Budapest

Destination "Quartier rouge"

"Prostituées hongroises en Suisse

Ces derniers mois, un nombre significatif de prostituées hongroises a afflué vers Zurich. Selon des recherches récentes, elles sont en règle général envoyées vers cette destination par leur famille pour gagner de l'argent.

Sur les 56 demandes déposées entre juillet et août auprès de l’office cantonal de l’économie et du travail pour pratiquer «le plus vieux métier du monde», 55 provenaient de femmes hongroises. Pour Zurich, il s’agit d’un afflux sans précédent. Dans ce canton, cette activité est légale ; seul un permis de la part des autorités est nécessaire." La suite sur le Journal francophone de Budapest

vendredi 28 octobre 2011

Mes flâneries hongroises

"Le côté rétro de Pest

C'est du côté du Pest prestigieux des dorures et des palais que je vous emmène. Je dois avouer que c'est un des multiples visages de Budapest que je préfère et peu importe la saison. Il y a toujours une merveille à découvrir, le quartier en regorge même si elles sont parfois bien cachées." La suite sur le Journal francophone de Budapest

La dernière fée de Balzac

"Livre
Rencontre avec André Lorant
André Lorant, universitaire et auteur de plusieurs ouvrages dédiés à Balzac, est venu à Budapest pour parler des premiers romans de Balzac et offrir généreusement sa collection de livres rares du grand romancier à la Bibliothèque universitaire d’ELTE. André Lorant est connu également pour son récit Le perroquet de Budapest. Une enfance revisitée." La suite sur le Journal francophone de Budapest

Coup de force de la droite

"6 voix contre 2, c’est le résultat final du vote du comité de pilotage du Nouveau Théâtre (Uj Szinház) de Budapest en faveur du renouvellement du mandat du directeur sortant, István Márta, à la tête de l’établissement depuis 13 ans.

Néanmoins, ce n’est pas son nom qui figurera à la tête de la direction à partir du mois de février 2012. Car Istvàn Tarlos, maire de la ville de Budapest, proche du premier ministre Viktor Orbán, et membre du Fidesz, s’est servi de son droit de veto pour imposer, le jeudi 6 octobre, le tandem composé de l'acteur György Dörner et de l'écrivain Istvan Csurka, personnalités proches de l’extrême droite, et ce contre l'avis de la commission compétente. Un coup de force de la droite, qui laisse incrédules tant les milieux nationaux qu’internationaux." La suite sur le Journal francophone de Budapest

Le génie de Vasarely en deux expositions

"Coup double avec deux expositions sur Vasarely (1906-1997), qui permettent de redécouvrir la fraîcheur et l’esprit avant-gardiste et ludique des recherches de cet artiste hongrois.

La galerie Lansberg a choisi de montrer « le meilleur de l'artiste » et de créer la surprise avec des oeuvres de qualité, toutes inconnues du marché, hormis Altaï III, de 1955-1958, son record du monde en vente (642 900 EUR, Sotheby's Londres, 2010).Il y a notamment la série historique des noirs et blancs cinétiques et des pièces colorées, aux titres à la poésie insolite : Sulphar- B, Pleionne P, Ondokto-Jaune Gris...

De son côté, la galerie Lahumière organise une rétrospective afin de « combler un vide » sur cet artiste original, exposé dès la première heure chez Denise René, à l'ouverture de sa galerie en 1944, et précurseur de l'Optical Art. Les prix vont de 20 000 EUR à 500 000 EUR." La suite sur connaissancedesarts.com

Béla Tarr : rétrospective intégrale

"Du 3 décembre au 2 janvier, le Centre Pompidou proposera une rétrospective intégrale du réalisateur hongrois Béla Tarr , en sa présence. Cette rétrospective inédite du réalisateur hongrois, lauréat de l’Ours d’argent au festival de Berlin 2011 pour son dernier film Le Cheval de Turin, présentera l’intégralité d’une oeuvre radicale et visionnaire." La suite sur lartino.fr

Chaire tournante : Rencontre avec Ignác Romsics Mardi 08 novembre 2011 à 19h00 Institut hongrois

Afin d’ouvrir leur formation en langue, littérature et civilisation hongroises à des expériences et pratiques variées, l'Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO), l’Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3, l’Université Sorbonne-Paris 4 et l’Institut hongrois ont pris l’initiative de créer une Chaire tournante. Conçue comme un outil de formation au bénéfice de tous les étudiants et doctorants parisiens ‘hungarisants’ mais aussi comme un espace de débat destiné à enrichir et à décloisonner les divers enseignements universitaires, la Chaire accueille des personnalités francophones, connues pour la qualité de leurs travaux et l'originalité de leurs activités. Enseignants, chercheurs, écrivains, traducteurs, artistes, acteurs du monde politique, économique, social et culturel se succèdent chaque mois à cette Chaire pour une conférence-débat ouverte au grand public. Les titulaires de la Chaire livrent leurs réflexions sur la Hongrie, et apportent un éclairage nouveau sur les aspects les plus divers d’une civilisation marquée par son profond ancrage centre-européen.

Ignác Romsics
Historien et professeur d’université, lauréat du prix Széchenyi et membre de l'Académie hongroise des sciences, Ignác Romsics est spécialiste de l’histoire politique hongroise du 20e siècle.

Thème de la rencontre
Née dans la deuxième moitié du 19e siècle, l’historiographie hongroise évolue conformément aux tendances européennes jusqu’en 1945. Au 19e siècle, elle subit l’influence de l’historicisme allemand ainsi que du positivisme français et anglais. Entre les deux guerres, l’impact de l’historicisme allemand est prédominant mais l’influence française reste toujours perceptible. Après 1945, l’histoire est soviétisée et son rôle réduit à la propagande. Dans les années 1960, on assiste de nouveau à la professionnalisation de la discipline, encouragée par la reprise de contact avec des cercles d’historiens français. Les deux décennies écoulées depuis le changement de régime ont été marquées par le pluralisme idéologique, méthodologique et institutionnel de l’histoire.

Soirée animée par Balázs Ablonczy, directeur de l’Institut hongrois

Entrée libre

Institut hongrois, 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro: Saint-Sulpice ou Mabillon
Bus: 58, 84, 89
info@instituthongrois.fr
http://www.instituthongrois.fr/

Tradition et modernité - marché de Noël à l'Institut hongrois

Du mardi 13 décembre 2011 au samedi 17 décembre 2011
Made in Hongrie.

L’Institut hongrois s'est donné pour mission d'établir des passerelles entre les cultures hongroise et française. C'est pour cette raison qu'il présente une programmation riche et variée.
Les fêtes de Noël sont une nouvelle occasion de ne pas faire défaut à cette mission et l'Institut vous convie à son marché de Noël ! Tradition et modernité s'y rencontrent et des artistes et créateurs vous exposent robes, bijoux, sacs, œuvres d'art, savons, objets de décoration et bien d'autres choses. Le moyen parfait pour dénicher des idées de cadeaux originales !

Métro Rennes, Saint-Sulpice
Entrée libre

Du mardi 13 au samedi 17 décembre 2011 :
- Du mardi au samedi de 13:30 à 19:00

Plus d’information sur l’adresse de l’évènement :
Institut culturel hongrois

Source : viafrance.com

La note hongroise pourrait être reléguée en catégorie spéculative

"Le ministre hongrois de l'Economie Gyorgy Matolcsy a mis en garde contre une possible dégradation de la note souveraine du pays, qui le placerait dans la catégorie des investissements spéculatifs, dans un entretien de presse diffusé jeudi.
"Le danger (d'abaisser la note de la Hongrie) est bien réel chez l'une des agences de notation", a déclaré le ministre à l'hebdomadaire conservateur Heti Valasz, sans identifier l'agence.
La dette souveraine de la Hongrie est actuellement notée juste un cran au-dessus de la catégorie spéculative par les trois agences Fitch, Moody's et Standard and Poor's." La suite sur lesechos.fr

Hongrie: le parti de Viktor Orban dégringole dans les sondages

"Le parti hongrois Lienau pouvoir Fidesz a perdu la moitié de sa base électorale depuis novembre 2010, selon un sondage publié jeudi, au moment où la population reproche au gouvernement sa politique d'austérité.
En cas d'élections générales, seulement 23% des personnes interrogées choisiraient Viktor Orban comme Premier ministre, alors qu'elles étaient 46% à l'automne 2010, selon l'institut de sondage Tarki qui se fonde sur un échantillon représentatif de 1.000 personnes." La suite sur levif.be

jeudi 27 octobre 2011

Le dernier rapport sur Anna de Márta Mészáros 28 octobre à 20h Institut hongrois


Az utolsó jelentés Annáról/ 2009, 103 minutes, V.O. hongroise sous-titrée en anglais

C'est l'histoire d’Anna Kéthly, social-démocrate qui a lutté contre la dictature fasciste puis communiste avant de s’exiler après l’échec de la révolution hongroise de 1956. Dans les années 1970, un jeune agent secret hongrois tente de la faire rentrer au pays, cherchant peut-être à la piéger.

Récompensée par le Grand prix au Festival de Cannes pour Journal à mes enfants (Napló gyermekeimnek) en 1984 et par l’Ours d'or du Meilleur film pour Örökbefogadás en 1975, Márta Mészáros est l’une des figures emblématiques du cinéma hongrois.

Informations : accueil@instituthongrois.fr | +33 1 43 26 06 44

Entrée : 5/3€

Institut hongrois, 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro: Saint-Sulpice ou Mabillon
Bus: 58, 84, 89
info@instituthongrois.fr
http://www.instituthongrois.fr/

Projet gouvernemental sévère : celui qui désobéira à son médecin paiera plus.

"L'an prochain, les malades indisciplinés au regard des normes sanitaires du gouvernement seront pénalisés financièrement : ce sont leurs médecins qui les contrôleront, à savoir s'ils se sont déshabitués du tabac, s'ils ont maigri ou si, par une activité physique adéquate, ils ont réduit leur tension artérielle à une valeur acceptable.

S'ils ne considèrent pas leur collaboration satisfaisante, alors l'assureur maladie diminuera la participation financière de la communauté aux dépenses de médicaments, et de cette façon leur facture de pharmacie pourrait jusqu'à doubler – selon un document gouvernemental entré en possession de Népszabadság et qui sera rendu public ces jours-ci après arbitrage du cabinet.

Le paquet de propositions visant les restrictions l'an prochain sur le marché du médicament contient une douzaine de modifications des règles juridiques et pourrait faire entrer en vigueur un régime d'assistance d'une sévérité sans pareille, pour que, conformément au projet Kálmán Széll, le budget de remboursement des frais de médicaments soit réduit du tiers à la fin du cycle, soit de 120 milliards de forint. 83 milliards sont prévus en 2012.

Le "programme de coopération malade" serait testé d'abord sur les personnes souffrant de problèmes de circulation sanguine et de maladie chronique des poumons. Celui qui ne souhaiterait pas payer davantage en pharmacie que jusqu'alors, devrait s'engager à améliorer ses paramètres de santé en bougeant, modifiant son régime alimentaire et prise régulière de médicaments. Celui-là maigrit et jette sa cigarette. Si quelqu'un ne prend pas part au programme de sevrage du tabac, ou s'il y a pris part mais n'a pas réussi à interrompre sa nocive addiction, ses actuels frais mensuels de médicaments pourraient grimper de 1 500-3 000 forints à 4 000-6 000 forints.

János Mucsi, pneumologue, a fait remarquer à notre journal : ces dispositions pénaliseraient durement des personnes malades, sachant que le tabagisme est une maladie. Dans le cercle des malades des poumons, un nombre non-négligeable est incapable d'arrêter sa passion nuisible. Eux, en cas de maladie, ce n'est toujours pas à la pharmacie qu'ils laissent leur argent.

Ils continueraient à réduire le nombre des médicaments accessibles dans le cadre de la santé publique, les indigents n'accéderaient à partir de janvier qu'aux produits thérapeutiques les moins chers, et à la place des prescriptions de trois mois, les médecins ne pourraient plus prescrire que des doses pour un mois. Selon les projets, ils introduiraient progressivement que sur les ordonnances les médecins inscrivent les noms des principes actifs (médicaments génériques) à la place des noms de marques concrètes. Cette prescription médicamenteuse à base de principe actif commencerait en avril avec les anti-cholestérol.

L'an prochain, dans le cas des traitements très coûteux (comme dans le cas de l'oncologie), si la préparation n'a pas d'effet, l'assureur ne payera pas sa contribution. En principe cela ne devrait pas pénaliser le malade, il recevra son traitement, l'assureur et le laboratoire règlent leur compte a posteriori : les sommes versées par les assureurs devraient être remboursées par les laboratoires. L'assureur mesurerait, en établissant un registre des maladies, comment varient les paramètres physiologiques du malade.

Dans le groupe des maladies très chères et rares les premiers soins devraient être financés par les laboratoires et l'assureur ne reprendrait la main que si le malade guérit. Si le laboratoire affirme pour le produit agissant contre l'ostéoporose qu'il diminue les fractures et par conséquent le nombre des soins hospitaliers, la Caisse nationale d'assurance maladie en effectuerait un contrôle au bout d'un certain temps. Si le nombre des fractures sont supérieures au tolérable, alors le laboratoire devrait payer le surplus de dépense.

Les hôpitaux devraient aussi informer l'assureur, des médicaments pris par le malade et en quoi ont changé certains paramètres des résultats d'analyse biologique."


Traduction d'un article paru dans le quotidien Népszabadság du 26 octobre 2011

mercredi 26 octobre 2011

Abattre Budapest exposition de Gyula PAUER du 4 novembre au 17 décembre 2011 Institut hongrois

Gyula PAUER : Siège de la Radio nationale

Balázs ABLONCZY
Directeur de l’Institut hongrois

vous prie de lui faire l’honneur d’assister au
vernissage de l’exposition

ABATTRE BUDAPEST

le vendredi 4 novembre 2011 à 19h
à l’Institut hongrois.

Le discours inaugural sera prononcé par

Jenő SUJÁNSZKY
Président d’honneur du Comité du souvenir franco-hongrois
de la révolution hongroise de 1956

Pendant la révolution de 1956, Zoltán Gazsi (1928-1978), père de mon ami Zoltán Gazsi junior, a couru les rues de Budapest et a photographié la ville. Il a visité les mêmes lieux que l’enfant de quinze ans que j’étais alors. Il a utilisé son Leica d’une manière ingénieuse : sa femme a camouflé les prises de vue avec son corps. Après la mort de son mari, elle a gardé les clichés dans une boîte Forte au fond de l’armoire à linge. Ces photos interdites à tout regard pendant cinquante ans m’ont fait un drôle d’effet : elles représentaient exactement ce que j’avais vécu. La série est constituée d’une centaine de clichés. J’ai choisi ceux qui avaient été pris aux endroits où j’étais allé moi-même. Ils servent de base à cette série d’œuvres d’art.

J’aurais voulu présenter Abattre Budapest en format monumental sur une place publique de la capitale hongroise, évoquant les stations d’un calvaire. Finalement, j’ai préféré agrandir les petites photos en tableaux de 70x100 cm. Rappelant des stèles de marbre, ils ont été réalisés avec de l’huile sur toile.

L’exposition actuelle est une version réduite de celle qui a été présentée à la Galerie nationale. Des tubes de l’époque, une sélection de Mihály Víg, servent d’accompagnement musical. Ils ont été réunis et interprétés en vue de l’exposition par mon ami compositeur, Ferenc Darvas.

Gyula PAUER

Entrée libre

Institut hongrois, 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro: Saint-Sulpice ou Mabillon
Bus: 58, 84, 89
info@instituthongrois.fr
http://www.instituthongrois.fr/

Exposition Pseudo-Photo exposition de Gyula PAUER du 4 novembre au 17 décembre 2011 Institut hongrois


Balázs ABLONCZY

Directeur de l’Institut hongrois

Sylvie PRAS
Responsable des Cinémas au Centre Pompidou

Denis BRETIN
Secrétaire général du Festival d’Automne à Paris

vous prient de leur faire l’honneur d’assister au
vernissage de l’exposition

PSEUDO-PHOTOS

le vendredi 4 novembre 2011 à 19h
à l’Institut hongrois.

János RAUSCHENBERGER
Commissaire de l’exposition

Né en 1941, Gyula Pauer est l’une des figures les plus importantes de la néo-avant-garde hongroise. Sculpteur, peintre, performer, artiste conceptualiste, inventeur du pseudo-art, il est l’auteur de nombreuses statues publiques de Budapest : Statue du Saint Suaire de Turin, Monument de la guerre d’indépendance de1848, Monument de l’Holocauste.

Artiste banni pendant le régime communiste, plusieurs de ses œuvres ont été démolies par les autorités. La plus importante d’entre elles, La forêt de pancartes de manifestation a été reconstituée et présentée à New York, Berlin et Stuttgart. L’exposition de l’Institut hongrois propose de découvrir ses pseudo-œuvres photographiques ou inspirées par la photo telles que ses inventions particulières, les Pathos formels, Marx-Lénine, Statue du Saint Suaire de Turin ou encore la série de pseudo-stèles Abattre Budapest réalisée pour le cinquantième anniversaire de la révolution de 1956.

Pauer est également l’un des décorateurs et costumiers les plus importants de Hongrie. Il a travaillé avec des réalisateurs comme Béla Tarr (Prix Fipresci, Ours d’argent) ou Géza Bereményi (Prix du meilleur film européen). Il est l’auteur des décors et des costumes d’une cinquantaine de productions théâtrales en Hongrie.

Entrée libre

Institut hongrois, 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro: Saint-Sulpice ou Mabillon
Bus: 58, 84, 89
info@instituthongrois.fr
http://www.instituthongrois.fr/

Anna Stein expose du 24 au 29 octobre à l'atelier Setau


Avant la livraison de l’une de nos réalisations architecturales, nous vous invitons à notre exposition :

Du 24 au 29 octobre 2011

26 Avenue de l’Opéra 75002

Sur présentation de ce carton d’invitation :

Du lundi au vendredi de 16h à 20h
Le samedi de 11h à 18h

Accès : 2ème étage
Code : 589A


UNESCO - Une Hongroise élue Présidente de la Conférence générale

"Sur proposition du Conseil exécutif de l'UNESCO, Katalin Bogyay a été élue Présidente de la 36e session de la Conférence générale de la plus grande organisation spécialisée de l'ONU.
L'Ambassadeur Katalin Bogyay, Déléguée permanente de la Hongrie à l'UNESCO, a été l'un des vice-présidents de la 35e session de la Conférence générale. Avant son affectation à l'UNESCO, Mme Bogyay était Secrétaire d'Etat aux affaires internationales au ministère hongrois de l'Education et de la Culture." La suite sur lepetitjournal.com

La Russie (mais aussi la Hongrie) parmi les dix premiers pays à disparaître (Onu)

"Les chercheurs de l'Onu ont rédigé un calendrier de la disparition de l'humanité, selon lequel la Russie fera partie des dix premiers pays à disparaître si le taux de fécondité actuel n'augmente pas.

Les chercheurs affirment que la dernière habitante de Russie quittera ce monde en 2888, soit dans près de 800 ans, alors que l'Ukraine ne connaîtra le même sort que 400 ans plus tard. Quant aux Etats-Unis, leur disparition est très lointaine, et n'arrivera que dans les années 100.000.

Selon le classement, les dix premiers pays à disparaître sont Macao, Hong Kong, la Bosnie-Herzégovine, la Russie, Malte, la Slovaquie, Singapour, la Roumanie, la Hongrie et la Macédoine." La suite sur ria.ru

mardi 25 octobre 2011

Les métros d’Alstom en circulation à Budapest d’ici la fin de 2012

"Le week-end dernier, le maire de Budapest, Istvan Tarlos, s'est félicité du compromis enfin trouvé entre la compagnie française et l'autorité des transports hongroise (NKH) concernant le problème du système de freinage des rames de métro Alstom. En vérité, la signature d'un nouveau contrat en juillet dernier avait déja réglé bien des choses." La suite sur hu-lala.org

Cinéma - Play Liszt de Judit Kele

"La première du film de Judit Kele Play Liszt avait été organisée au cinéma Uránia en la présence de René Roudaut, Ambassadeur de France en Hongrie, de Géza Szőcs, Secrétaire d'Etat à la Culture et du compositeur Péter Eötvös.
A l’occasion du bicentenaire de la naissance de Franz Liszt, de nombreuses festivités musicales sont organisées de par l’Europe tout entière. Budapest se devait aussi de fêter le compositeur. En marge des nombreux concerts en son hommage, Play Liszt, un film docu - fiction co-produit par Arte et Duna TV (Apocaliszt en hongrois) a été présenté simultanément en France et en Hongrie. "Il ne s’agit pas d’écrire ma vie, mais de l’imaginer !", avait-il prévenu en personne : porter à l’écran la vie et l’œuvre d’un compositeur comme Ferenc Liszt était déjà une gageure en soi. Pari difficile mais néanmoins réussi à laquelle la réalisatrice Judit Kele, d'origine hongroise et qui vit à Paris, s’est attelée en présentant le compositeur virtuose, sa vie, ses amours, sa carrière, ses aspirations et son héritage musical sans tomber dans les lieux communs." La suite sur lepetitjournal.com

Gyurcsány quitte enfin le MSzP et lance la DK (Coalition Démocratique)

"C’est la fin du feuilleton qui gâte le MSzP depuis de longs mois, et le début du « Gyurcsánisme » assumé. Samedi à Budapest, Ferenc Gyurcsány a annoncé qu’il quittait définitivement le parti socialiste (MSzP) et par conséquent, qu'il créait un nouveau parti situé au « centre gauche » de l’échiquier politique hongrois : la coalition démocratique (Demokratikus Koalíció - DK).

A l’instar du défunt SzDSz, l'ancien Premier ministre lance une formation politique « à l’occidentale, le parti de la liberté et de la solidarité contre le système Orbán, pour une nouvelle république » a-t-il déclaré samedi devant ses sympathisants lors de son premier meeting. Avec 10 députés qui quitteraient le MSzP pour le rejoindre, il espère pouvoir faire naître dès cette semaine un groupe parlementaire de sa coalition." La suite sur hu-lala.org

lundi 24 octobre 2011

Liszt et la paraphrase au Musée d'Orsay

Si Franz Liszt figure aujourd'hui au panthéon des musiciens, sa célébrité n'est pas sans équivoque. Le goût d'une virtuosité parfois gratuite ; des préjugés tenaces de la part des puristes ; l'ampleur même de l'oeuvre… Autant de facteurs qui, en cette année d'anniversaire, incitent à écouter de plus près un art qui doit tant à son siècle, tout en annonçant les innovations d'un Wagner, voire d'un Debussy.
Transcriptions, Lieder, oeuvres chorales, représentent la fraction la moins jouée d'un catalogue immense. Transformer inlassablement ses propres oeuvres comme celles des autres, copier pour créer, voilà qui le rapproche dans sa démarche aussi bien des peintres que des plasticiens.
Avec Liszt justement, ce qui compte, c'est la paraphrase qui permet d'écouter d'abord des qualités sonores, résonance, texture, contrastes de registres, qui fait aussi sonner les musiques dont il s'empare d'une manière inouïe. Pour lui, la matière musicale était toujours en mouvement.
Entre Don Juan et Faust, il incarne bien toute la vigoureuse trivialité du nouveau siècle, son goût de l'estrade et des foules, des révolutions et des machines.

Nicolas Stavy, piano
Franz Liszt
Sonnet de Pétrarque n° 104
Six consolations S.172, extrait des Harmonies poétiques et religieuses
Bénédiction de Dieu dans la solitude
Du berceau jusqu'à la tombe, transcription pour piano
Après une lecture du Dante

En collaboration avec Yamaha
Yamaha
jeu 3 novembre 2011 - 20h00
Musée d'Orsay
Auditorium niveau -2

Dezsö Ranki, piano
Edit Klukon, piano
Franz Liszt
Faust Symphonie, pour deux pianos, S.647
Barnabás Dukay
..., qui se repose en son propre silence, poème de voix pour deux pianos
Ouï-dire sur la lumière et l'amour, canons et symphonies pour deux pianos

jeu 17 novembre 2011 - 20h00
Musée d'Orsay
Auditorium niveau -2

Liszt en Hongrie

Ryutaru Suzuki, Théo Fouchenret, Tom Grimaud, Yun Qiu Wu, Florian Chabbert, Guilhem Fabre, Gabriel Tran, Lise Charrin, Victor Métral, Josquin Otal, Marie Dusquesnois et Simon Ghraichy, pianos
Franz Liszt
Hommage à Laszlo Teleki
Rhapsodies hongroises n° 1, 4, 5, 16, 17 et 18
Béla Bartók
Suite de danses
Zoltan Kodaly
Danses de Marosszek, pour piano seul
György Kurtág
Huit pièces op. 3
Péter Eötvös
Kosmos, pour deux pianos

En collaboration avec Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris
Conservatoire national supérieur de musique de Paris
jeu 8 décembre 2011 - 20h00
Musée d'Orsay
Auditorium niveau -2

Source et renseignements complémentaires
musee-orsay.fr

Manifestation du 23 octobre 2011 à Budapest

Crédit photo : Kornis Mihály
Cliquez sur la photo pour l'agrandir

Manifestation organisée par le groupe Facebook "Nem tetszik a rendszer" (le régime ne nous plait pas). Voir les vidéosLien

Fête nationale - Une grande manifestation contre la "victocratie"

"La plus grande manifestation anti-gouvernementale depuis l'accession au pouvoir du gouvernement de Viktor Orbán a réuni plusieurs dizaines de milliers de personnes.
En Hongrie, fête nationale signifie désunion nationale. Comme chaque année, le 55e anniversaire de la révolution de 1956 a donné lieu à un nombre impressionnant de commémorations et de manifestations. "Normalement", tous les partis organisent leur propre commémoration. Cette année, il en était autrement: comme le Premier ministre devait participer à la réunion de crise de l'Union Européenne à Bruxelles (pourtant il a pris l'engagement de ne plus accepter le "diktat" de Bruxelles...), son parti, la Fidesz a renoncé à organiser sa propre fête prévue d'ailleurs juste à côté de la grande manifestation anti-gouvernementale." La suite sur lepetitjournal.com

Des “patriotes républicains” dans les rues de Budapest

"Le régime ne nous plaît pas" : tel était le slogan scandé dimanche 23 octobre dans les rues de la capitale hongroise, lors de la plus grande manifestation anti-gouvernementale organisée depuis l'accession au pouvoir de Viktor Orbán, en mai 2010. A l'occasion du 55e anniversaire de l’insurrection anti-soviétique de 1956, plusieurs dizaines de milliers de personnes (100 000 selon les organisateurs), des "patriotes républicains", comme les qualifie en Une Népszabadság, se sont réunis, via le groupe Facebook “Un million pour la liberté de la presse”. Ils ont dénoncé un régime qualifié d’autoritaire et appelé à l'union de toute l'opposition.

De son côté le quotidien de droite Magyar Nemzet, souligne que les manifestants "ne fournissent pas d'alternative crédible" et dénonce la composition sociologique des protestataires : des intellectuels, des étudiants ou encore des représentants de la culture alternative qui pour le quotidien pro-gouvernemental, sont loin d’être représentatifs de la société magyare." Source presseurop.eu

Budapest inquiet pour Nabucco

"Le ministre hongrois du Développement national a remis en question lundi la viabilité du gazoduc Nabucco, qui doit relier la Turquie à l'Autriche, estimant que les acteurs de l'industrie du gaz ne le soutenaient pas assez et expliquant que son coût de construction risquait d'atteindre 26 milliards d'euros.

"Le prix final de Nabucco est flou", a déclaré Tamás Fellegi, qui a la haute main sur les dossiers relatifs à l'énergie, estimant que la fourchette de coût comprise entre 24 et 26 milliards d'euros était "optimiste"." La suite sur lefigaro.fr

Stéphane Szendy au grand marché d'art contemporain du 28 octobre au 1er novembre 2011


STÉPHANE SZENDY
sera présent

GRAND MARCHE D'ART CONTEMPORAIN
PARIS- PLACE DE LA BASTILLE
28 OCTOBRE AU 1ER NOVEMBRE
Vernissage le 28 octobre Jusqu'à 22 h
Stand 53 sous chapiteau
Invitations imprimable sur la page Facebook
créations Stéphane Szendy
http://www.stephane-szendy.com
http://stephane-szendy.blogspot.com/
06 64 45 63 59

Franz Liszt, compositeur hongrois, était l'ancêtre de Nicolas Sarkozy

"Franz Liszt était un compositeur hongrois, transcripteur et pianiste, véritable virtuose de l'Empire d'Autriche. Né à Doborján le 22 octobre 1811 et mort à Bayreuth (Allemagne wagnérienne) le 31 juillet 1886, il est de sources bien désinformées l'ancêtre génialissime du présidentissime Nicolas Sarkozy. Les analyses de la CIA sont formelles. Liszt est le père de la technique pianistique moderne et du récital, dont la version moderne du XXIème siècle est le pipeautage intégral, le sens de la promesse virtuelle qui virevolte sans jamais toucher terre. Avec Liszt naissent l'impressionnisme du piano politique, le discours orchestral - Mazeppa, la quatrième étude d'exécution transcendantale - et le piano politique littéraire." La suite sur desinformations.com

Une photo géante d'Akos Czigany en vitrine

L'impressionnante photographie d'Akos Czigany a servi de « décor » à une performance de marionnettistes.

"De l'art sur de l'art sur de l'art… ça fait trois tranches de l'art. Un sandwich créatif à croquer sans modération rue de l'Arquebuse [à Charleville-Mézières].
Depuis la mi-septembre, on peut voir dans la vitrine du cabinet d'architecture d'Eric Lenoir, rue de l'Arquebuse, une immense photographie noir et blanc d'Akos Czigany, prise à Budapest. Ce photographe hongrois s'est probablement couché sur le dos dans une cour d'immeuble et a cadré dans le viseur de son appareil une perspective vertigineuse qui donne l'impression de « tomber vers le haut » et débouche sur une portion de ciel taillée au couteau, totalement blanc et totalement vide." La suite sur lunion.presse.fr

A voir dans la vitrine du cabinet d'architecture Eric Lenoir, rue de l'Arquebuse, pendant plusieurs mois… jusqu'au début de la biennale photo Urbi & Orbi 2012.

L’étrange crise de diarrhée en plein match...

"Voilà une information assez étonnante qui nous vient tout droit de Hongrie. Posons tout d’abord le contexte. Nous sommes à la 30ème minute du match opposant Kecskemet à Paks. Alors que la rencontre se dispute normalement, 5 joueurs de l’équipe de Kecskemet foncent au vestiaire, invoquant une diarrhée simultanée, cela ne s’invente pas ! Seul souci, alors qu’il n’y a que deux toilettes dans l’enceinte du stade, le quintette revient un peu plus d’une minute plus tard, comme si de rien n’était. Que s’est-il donc réellement passé ? Et bien en fait, il semblerait que les 5 hommes aient prétexté une diarrhée pour protester ! Ils auraient en effet menacé de ne pas revenir sur le terrain, réclamant le versement de salaires qu’ils n’ont pas perçus. Et visiblement, cette tactique a fonctionné. Si, par exemple, vous voulez une augmentation, vous savez ce qu’il vous reste à faire." Extrait d'un article paru dans footmercato.net

dimanche 23 octobre 2011

Hongrie: grande manifestation à Budapest contre le gouvernement de Viktor Orban


"Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté dimanche à Budapest pour protester contre le gouvernement de Viktor Orban dont les agissements sont à leurs yeux "anti-démocratiques", à l'occasion du 55ème anniversaire de la Révolution hongroise de 1956.

"Les mesures anti-démocratiques et injustes prises par ce gouvernement construisent un système anti-démocratique et injuste, et c'est ce que nous rejetons", a expliqué Peter Juhasz, le porte-parole des organisateurs de cette manifestation baptisée "Je n'aime pas le système"." La suite sur france24.com

Diplomatie. Un Breton à Budapest

"Ambassadeur de France en Hongrie, pays d'Europe centrale gouverné par un populiste, René Roudaut, homme tranquille de la diplomatie, en a vu d'autres après avoir été en poste à Bonn, Rabat et Moscou. Où les agents du KGB n'en croyaient pas leurs oreilles quand il parlait breton au téléphone.

Poignée de main ferme qui témoigne de ses racines terriennes, il se présente en prononçant son nom avec l'accent finistérien : «Roudotte». Fils d'un charpentier du Drennec (29), au pays des abers, où sa mère tenait une petite quincaillerie de campagne, il vient de fêter ses 60 ans et ses quatre ans à la tête de l'ambassade de France à Budapest. Son second poste comme ambassadeur après avoir goûté aux joies de l'Afrique à Kampala, en Ouganda." La suite sur letelegramme.com

Concert. Piano pour Liszt en Guadeloupe

"Deux cents ans après la naissance du virtuose hongrois, Tomasz Szczepanski, pianiste polonais vivant en Guadeloupe, prépare un hommage à Franz Liszt. « Un des plus grands virtuoses de l'époque romantique, dont les compositions sont des références encore aujourd'hui », selon Tomasz Szczepanski. Au programme de cette soirée Liszt, notamment, les deux compositions favorites du soliste de la soirée : la célèbre Campanella et la Mephisto Waltz." La suite sur guadeloupe.franceantilles.fr

Franz Liszt, père du piano moderne

"Le pianiste virtuose hongrois était né il y a 200 ans.

Le piano littéraire, le piano orchestral, l'impressionnisme au piano, tous ces styles et techniques pianistiques sont apparues avec Franz Liszt.

Compositeur et virtuose hongrois il était né le 22 octobre 1811 à Doborjan, à l’époque en Hongrie, aujourd'hui en Autriche. Liszt a écrit des oeuvre pour orgues, pour piano et orchestre des oeuvres symphoniques, même quelques symphonie et a ainsi inspiré et insufflé tout le courant dit moderne de Wagner, Berlioz etc.." La suite sur lefigaro.fr

Hongrie: l'ancien Premier ministre forme un nouveau parti

"L'ancien Premier ministre socialiste hongrois Ferenc Gyurcsany a annoncé samedi la création d'un nouveau parti d'opposition avec l'ambition déclarée d'entamer la suprématie du parti conservateur de son rival, Viktor Orban.

Un nouveau parti de centre gauche, à l'occidentale, est créé (...) le parti de la liberté et de la solidarité contre le système Orban, pour une nouvelle république, a lancé M. Gyurcsany, 50 ans, devant des sympathisants à Budapest." La suite sur romandie.com

samedi 22 octobre 2011

Les Roms se mobilisent pour le recensement en Hongrie

"Les opérations de comptage battent leur plein en Hongrie pour le 15ème recensement qui a débuté le 1er octobre. Combien seront les Roms à revendiquer leur appartenance ethnique ? La question obsède tout le monde, à commencer par les Roms eux-mêmes.

Depuis le début du mois de septembre à Budapest, difficile de passer à côté des affiches du recensement placardées sur les portes d’immeubles et sur les tramways de la ville. Tous les regards se tournent vers les Roms. Combien seront-ils au décompte final ?" La suite sur marianne2.fr

Yona Friedman dans sa «ville spatiale»

"Quatorze maquettes de ce visionnaire de l'urbanisme sont mises en vente samedi.

Est-ce de l'art ou de l'architecture? Les maquettes en plastique et carton de Yona Friedman ressemblent à de drôles d'objets design. Ce Français d'origine hongroise, âgé de 88 ans, installé à Paris depuis 1957, a toujours flirté avec les artistes contemporains (Olafur Eliasson, Pierre Huyghe, Camille Henrot…), les galeristes (Kamel Mennour…) et les commissaires d'exposition (Hans Ulrich Obrist, Daniel Birnbaum, Thierry Raspail…). Il a été invité dans des manifestations aussi prestigieuses que la Biennale de Venise, la Documenta de Kassel ou la Biennale de Lyon." La suite sur lefigaro.fr

Franz Liszt, pianiste hongrois, est célébré par un Google Doodle


"Franz Liszt, très connu compositeur et pianiste hongrois, voit son bicentenaire de naissance fêté par un Google Doodle. En effet, aujourd'hui 22 octobre 2011, Franz Liszt aurait eu 200 ans mais le compositeur, pianiste virtuose, est décédé en 1886 dans sa 75e année. Son nom de naissance était Liszt Ferenc en hongrois. Le moteur de recherche Google lui dédie un logo, appelé un Doodle, sur sa page d’accueil et en haut à gauche des pages de résultats." La suite sur nouvelobs.com

Un 23 octobre sans Viktor Orbán

"Ce dimanche, la Hongrie célèbrera sa troisième fête nationale de l'année (après le 15 mars et le 20 août). Le parti au pouvoir, la Fidesz, a annoncé il y a quelques jours que son traditionnel meeting du 23 octobre, au carrefour Astoria à Budapest, n'aurait pas lieu. C'est l'absence de son "héros national", le premier ministre Viktor Orbán, contraint de se rendre au Conseil européen, qui a motivé cette décision. N'en déplaise à la droite, le quartier sera libre pour la grande manifestation anti-gouvernementale prévue dimanche dans la capitale hongroise, sur Szabadsag Sajto utca à partir de 15h." La suite sur hu-lala.org

Antál Szerb : Le voyageur et le clair de lune

À peine mariés, Mihály et son épouse, Erszi, arpentent l’Italie pour leur voyage de noces.
Tous les deux forment un couple atypique, issu d’une année d’adultère. Leur mariage s’est finalement opéré dans la précipitation lorsqu’Erszi a quitté son premier mari afin de mener cet amour passionné avec Mihály. Dès leur séjour à Venise, Mihály semble rattrapé par les souvenirs du passé. Cette résurgence de sentiments résulte de la rencontre fortuite avec une ancienne connaissance de Mihály. La conversation que les deux époux ont eue avec ce fantôme du passé pousse Erszi à interroger son époux qui finit par lui livrer une histoire singulière.
Il lui explique alors la relation ambigüe qu’il a entretenue, lui et deux de ses amis, avec un frère et une soeur nommés Tamás et Éva Ulpius. Suite à la mort prématurée et mystérieuse de Tamás, le groupe d’amis s’est disloqué et Mihály ne cesse depuis de rechercher Éva… Au fil des jours, Mihály semble ne pas trouver sa place dans cette nouvelle vie et au sein de son couple. Erzsi, quant à elle, constate qu’elle et son mari se connaissent finalement bien mal.
Tous deux continuent de parcourir l’Italie. Ils reçoivent du courrier régulièrement. Alors qu’ils sont à Florence, Mihály ouvre une lettre de l’ancien mari d’Erszi, Zoltán, dans laquelle l’époux esseulé somme Mihály de bien s’occuper d’Erszi. Mihály comprend alors que lui ne peut apporter la stabilité et la protection qu’Erzsi mérite. Mihály se sent de moins en moins bien dans cette nouvelle relation.
Lors d’un autre déplacement en train en Italie, il abandonne plus ou moins sciemment Erszi. Celle-ci monte dans un train pour Rome, Mihály monte dans un autre vers une destination incertaine. Il arpente alors le pays, allant de ville en ville, jusqu’à l’épuisement … Il s’écroule fiévreux et se réveille dans l’hôpital d’une ville qu’il ne connaît pas et où il va séjourner. Il fait alors le constat des quinze dernières années de sa vie, réalisant qu’il n’a jamais mené sa vie comme il l’entendait … À partir de ce moment, Mihály va aller de rencontre en rencontre, mener une vie de bohème sans le sou et sans se soucier du sort de Erszi, restée sans nouvelle de lui.

Natalia Zaremba-Huzsvai (Traducteur) , Charles Zaremba (Traducteur)
Nouvelle traduction
Editions Viviane Hamy Poche paru le : 13 octobre 2011

Oliver VII, Antal Szerb

Oliver VII est le tout jeune roi du royaume d'Alturie mais il ne veut plus régner sur un pays au bord de la faillite et dont les seules ressources demeurent le vin et la sardine. Il décide alors d'organiser un coup d'état contre lui-même... Ce faux complot aboutit et le roi abdique puis disparaît. C'est en Italie que le peintre Sandoval le retrouve, il est devenu Oscar, un petit escroc. Il va vite s'apercevoir, lors d'une de ces escroqueries loufoques, qu'il est bien difficile d'échapper à son destin... Mille personnages se mêlent, les quiproquos se multiplient, les situations sont cocasses et absurdes, voilà une histoire qui évoque irrésistiblement Shakespeare !

Le refus de son identité, les allées de Venise, le dilemme entre plaisir et devoir, le choix entre deux femmes sont des thèmes chers à Antal Szerb...

Traducteur : Chantal Philippe
Parution :
13/10/2011
ISBN :
978-2_87858-500-1
Pages :
220 p.
Prix :
22,00 €Lien

"Qu'est-ce qu'être roi ? En Alturie, un jeune souverain, Oliver VII est bien loin de s'en inquiéter : roi, c'est un principe de filiation assez simple, un peu comme de descendre du singe quand on est homme, ou de l'arbre quand on est singe. Mais au-dehors des murs, par-delà son palais, l'insurrection gronde. Les sardines et le vin rouge ne se vendent plus aussi bien, et le pays, qui a connu les révolutions apportées par le précédent suzerain ont aussi laissé des traces dans le budget et les comptes. Douloureuses traces, d'ailleurs. " La suite sur actualitte.com

vendredi 21 octobre 2011

Prévisions de croissance revues à la baisse dans le programme budgétaire 2012

"En début de semaine, le gouvernement hongrois a largement révisé ses prévisions économiques, à la baisse par rapport à celles indiquées dans le programme de convergence présenté à Bruxelles en avril dernier. Toutefois, la prévision de croissance pour 2012 annoncée par le gouverneur de la Banque centrale hongroise (MNB) Andras Simor se révèle encore plus basse que celle du gouvernement." La suite sur hu-lala.org

Essai - 1956 vu par un tout jeune Parisien

"Pierre Waline se souvient de la révolution hongroise de 1956 et évoque la Hongrie de 2011.
Né avec le baby boom d’après guerre, j’avais 10 ans en 1956. Un âge où les événements s’ancrent très profondément dans notre petit crâne pour ne plus en ressortir. Tel est le cas de ces journées d’octobre 1956 dont je garde encore un souvenir très vivant." La suite sur lepetitjournal.com

La Hongrie fait payer les banques quand l’Europe essaie de les sauver

"La ministre autrichienne des Finances Maria Fekter a déclaré jeudi que les banques européennes avaient besoin d'une centaine de milliards d'euros de capitaux frais pour renforcer leur bilan et affronter les turbulences actuelles. La Hongrie ne semble guère préoccupée par ce problème et se soucie plutôt de faire payer le secteur bancaire, détenu à 80% par des établissements étrangers, pour renflouer les caisses de l'Etat et pour protéger des clients de plus en plus endettés à cause de l'appréciation du franc suisse." La suite sur hu-lala.org

La Fidesz pense au droit du sol pour octroyer la nationalité hongroise

"Mardi au parlement, Antal Rogan (député Fidesz), a proposé que la loi sur la citoyenneté hongroise soit amendée, de façon à ce que la nationalité hongroise soit accordée aux enfants étrangers nés en Hongrie et dépourvus d'autre nationalité." La suite sur hu-lala.org

jeudi 20 octobre 2011

Commémoration de la Révolution de 1956 Júlia d’András Visky 23 octobre à 17h Institut hongrois



Son Excellence Monsieur László TRÓCSÁNYI
Ambassadeur de Hongrie en France

et

Monsieur Balázs Ablonczy
Directeur de l’Institut hongrois, conseiller culturel de l’Ambassade de Hongie

vous prient de leur faire l’honneur d’assister à la commémoration 55ème anniversaire de la révolution de 1956.

le 23 octobre 2011 à 17h
à l’Institut hongrois - 92, rue Bonaparte, 75006 Paris.

Péter Szentgyörgyvölgyi, ancien commissaire de la République, ancien député

Ces événements historiques seront évoqués à travers le monodrame d’András Visky Júlia, mis en scène par Ansrás Dér et interprété par Denisa Dér. (spectacle en hongrois)

Le programme sera suivi d’une réception.

Le monodrame d’András Visky s’inspire d'événements autobiographiques. Après la révolution de 1956, le père de l’écrivain, Ferenc Visky, pasteur de l’Eglise réformée de Transylvanie, est condamné à vingt-deux ans de prison, tandis que sa mère et ses sept frères et sœurs sont déportés au delta du Danube. Quand son cœur lâche sous le poids des épreuves, Júlia, en état de mort clinique, entreprend de raconter son histoire selon une logique toute particulière. Des scènes du passé, paisibles et éprouvantes, s'entremêlent avec le quotidien lugubre du camp. A la fois naïf et ironique, le discours de Júlia imprègne la pièce d’une rare poésie, capable de sublimer les horreurs vécues.

Mis en scène par Ansrás Dér, joué par Denisa Dér

(spectacle en hongrois) Informations : +33 1 43 26 06 44
Entrée libre dans la limite des places disponibles

Culte des héros en Europe centrale - Colloque international les 25 et 26 novembre 2011

Le CIRCE/CRECOB de l’Université Paris-­‐Sorbonne (Paris IV),
les départements d’études du genre et d’histoire de l’Université d’Europe centrale (CEU) et Pasts Inc., Centre d’études historiques,
l’Institut de la Culture polonaise de l’Université de Varsovie
et l’Institut d’histoire de l’Académie slovaque des sciences,
Avec le soutien de l’Institut hongrois de Paris,
l’Association des amis de l’Institut hongrois
et le Centre tchèque

LE CULTE DES HÉROS EN EUROPE CENTRALE DES ANNÉES 1880 À LA SECONDE GUERRE MONDIALE – ASPECTS TRANSNATIONAUX ET INTERDISCIPLINAIRES

Vendredi 25 novembre 2011 – Centre tchèque, 18 rue Bonaparte, 75006 Paris
Samedi 26 novembre 2011 – Maison de la Recherche, 28 rue Serpente, 75006 Paris
Organisation et renseignements : Clara Royer – clararoyer@gmail.com
Coordination : Anna Ciesielska – anna.ciesielska@paris-­‐sorbonne.fr

Ce colloque est le second volet d’un projet de recherche interdisciplinaire comparatiste sur le culte des héros en Europe centrale. Un premier colloque intitulé « Culte des héros en Europe centrale des années 1880 à la Seconde Guerre mondiale – Pratiques et Représentations », s’est
déroulé à Budapest les 12-­‐13 novembre 2010. Diverses figures héroïques / marginales et pratiques sociales en Europe centrale ont été étudiées, particulièrement en lien avec les nombreuses façons dont elles ont été canonisées, instrumentalisées, remises en question ou subverties. (http://www.ceu.hu/node/18985 ou http://www.circe.paris‐sorbonne.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=163&Itemid=13). Le colloque veut explorer les aspects transnationaux et interdisciplinaires du culte des héros en Europe centrale. Ces deux approches devraient permettre de mettre au jour, entre autres, les formes et les forums par lesquels ces cultes se sont élaborés et développés. La périodicité retenue – des années 1880 à la Seconde Guerre mondiale – est motivée par l’enjeu de la confrontation des paradigmes romantiques avec les nouvelles valeurs des sociétés de masse émergeantes. Après l’essai marquant de Thomas Carlyle en 1841 (On Heroes, Hero-‐Worship, and the Heroic in History), le culte des héros a d’abord fait l’objet d’une enquête psychanalytique (Otto Rank), avant d’être abordé par la recherche anthropologique (Stefan Czamowski sur l’efficacité politique du culte des héros)et les études politiques (voir la notion de charisme de Weber). Mais ces cultes étaient déjà depuis des siècles diffusés par la littérature, les arts, les monuments et des rituels spécifiques. Plus récemment, diverses traditions peuvent être envisagées, depuis la théorie des « lieux de mémoire » de Pierre Nora aux diverses écoles historiques de recherche sur les mythes, de l’histoire intellectuelle à l’anthropologie historique, en passant pas la théorie littéraire et l’histoire de l’art. Ce colloque voudrait raviver le débat sur la notion de héros (vs saint, martyr, ou « grand homme » par exemple), et comprendre les différences entre les récits héroïques et la fabrique des mythes. Ainsi que le rappelait le chercheur français Daniel Fabre, les héros modernes sont constamment réévalués et remis en question, leur aura héroïque toujours instable, soumise aux fluctuations de la rhétorique épidictique, qu’elle soit de l’ordre de l’éloge ou du blâme. Par ailleurs, même dans sa singularité exceptionnelle, le héros incarne des valeurs, lesquelles sont à travers lui célébrées, de façon institutionnelle ou non : le héros pointe vers la collectivité qui s’identifie à lui.

Bibliographie indicative :
Jay W. Baird, To die for Germany: Heroes in the Nazi Pantheon, Bloomington, Indiana University Press, 1992.
Russell A. Berman, The Rise of the Modern German Novel: Crisis and Charisma, (Cambridge, MA: Harvard University Press, 1986.
Pierre Boudrot, « Le héros fondateur », Hypothèses 1/2001, pp. 167 ­180.
Joseph Campbell, The Hero with a Thousand Faces, Princeton, N.J., Princeton University Press, 1968.
Stefan Czarnowski, Le Culte des héros et ses conditions sociales. Saint Patrick, héros nationalde l’Irlande, Paris, 1919.
Pierre Centlivres, Daniel Fabre, Françoise Zonabend (éd.), La Fabrique des héros, Paris, Éditions de la Maison des sciences de l'homme, 1998.
Venita Datta, Heroes and Legends of Fin-de- Siècle France: Gender, Politics, and the Nation, Cambridge University Press, 2011.
Emilio Gentile, The Struggle for Modernity. Nationalism, Futurism, and Fascism, Westport, Conn., Praeger, 2003.
George Mosse, The Image of Man: the creation of modern masculinity, New York, Oxford University Press, 1996.
Otto Rank, Der Mythus der Geburt des Heldens, Leipzig et Vienne, 1909.
Hannes Stekl, Elena Mannová (dir.), Heroen, Mythen, Identitäten: die Slowakei und Österreich im Vergleich, Vienne, WUV, 2003.

Boues rouges en Hongrie : 7 400 € pour les sinistrés - Saint-Sébastien-sur-Loire

"En 2010, à la suite d'un grave incident dans une usine de produits chimiques en Hongrie, cinq villages sont victimes de coulées de boues hautement toxiques, provoquant des morts et des blessés brûlés par les produits. Dès le départ, la solidarité s'organise à Saint-Sébastien, seule ville du département jumelée avec une ville hongroise : Kaposvar. Le comité de jumelage se lance dans plusieurs actions. L'association garde l'intégralité de sa recette du Marché de Noël pour les sinistrés (800 €), organise dans 60 commerces de la ville la collecte de dons, plus une tombola et un loto. Au total, 7 400 € sont ainsi collectés." La suite sur ouest-france.fr

Lisztomanias : l'édition du bicentenaire

"Du 22 au 29 octobre, le festival célèbre le bicentenaire de la naissance de Franz Liszt, né un 22 octobre 1811

Le concert de lancement, le 22 octobre, est décentralisé à Paris : l'oratorio «Christus» de Liszt doit être joué à la Cathédrale Saint-Louis des Invalides par le Choeur et l'Orchestre symphonique de la Radio hongroise.

L'oeuvre doit d'ailleurs être jouée simultanément dans plusieurs villes du monde pour le jour anniversaire du compositeur hongrois." La suite sur france2.fr

La Hongrie rejoint la Croatie contre les OGM

"La semaine dernière (13 octobre), le ministère du développement rural a indiqué que le Parlement hongrois a approuvé une résolution pour rejoindre "l’axe Alpes - Adriatique sans OGM". La Hongrie confirme donc son statut de pays sans OGM, qu'elle a d'ailleurs fait inscrire dans sa nouvelle Constitution.

Cette résolution appelle les collectivités locales à interdire la dissémination d’organismes génétiquement modifiés (OGM) dans leurs agricultures régionales. Cette proposition faite par la commission au développement durable a été approuvée à l’unanimité, avec 346 voix en sa faveur." La suite sur hu-lala.org

La Hongrie se met à son compte

"Les statistiques, un thème ennuyeux ? Pas forcément, à voir le très surprenant clip vidéo de l’Office central des statistiques hongrois (KSH), chargé d’organiser le recensement de la population. On y voit un agent recenseur sonner chez un particulier. Une jeune femme aux seins nus ouvre la porte, en petite culotte rouge et bas fantaisie, un fouet noir à la main. «Ah, euh… Je vous dérange ?» bafouille l’agent. «A ton avis ?» réplique la dame aux yeux charbonneux, qui fait comprendre qu’on l’a interrompue en plein effort. La vidéo se termine sur le slogan : «Pas besoin d’être chez vous pour répondre au recensement… Vous pouvez remplir le formulaire sur Internet !»" La suite sur liberation.fr

Un impôt pour les « cocos »

"Mardi 14 octobre, la député Fidesz Maria Wittner a proposé un projet de loi au Parlement, instaurant un impôt “historique” sur les retraites versées aux anciens responsables communistes et aux fonctionnaires qui se sont rendus coupables d’exactions et de représailles envers les insurgés de 1956 en Hongrie.

En fin de semaine dernière, sa proposition a semé le doute quant à sa validité constitutionnelle et sa conformité au droit international. Hier, le doute aurait été levé selon les dirigeants du groupe parlementaire Fidesz. Le projet de loi sera donc bel et bien soumis au vote du Parlement dans les jours à venir." La suite sur hu-lala.org

Sándor Ferenczi : la psychanalyse autrement


Retrace le parcours psychanalytique du psychiatre et psychanalyste hongrois S. Ferenczi (1873-1933) qui a participé à la création de la psychanalyse. L'essai s'attache à décrire l'évolution et l'originalité de sa pensée et comprend la correspondance personnelle de Freud dont il a été tour à tour disciple, patient et confident pendant plus de vingt ans.

Armand Colin, Paris
Collection : Lire et comprendre
256 pages (23 x 14 cm)
Parution : octobre 2011

mercredi 19 octobre 2011

Le guide Gault et Millau va s'implanter en Hongrie

Selon un article paru dans HVG, le guide gastronomique français Gault&Millau viendrait concurrencer le guide hongrois des restaurants, Alexandra, sur les terres magyares dès 2012.

Jön a Gault&Millau, francia konkurenciát kap az Alexandra étteremkalauz

Un investissement spectaculaire

"Un village pour surendettés

Le gouvernement a pour projet de construire un parc de plus de 400 logements sociaux à proximité de Budapest, destinés aux personnes surendettées, venant de perdre leur appartement. Ce projet ne remporte pas l’unanimité ; pour certains, il isole et met à l’écart les plus défavorisés, risquant ainsi de se tranformer ce village en ghetto." La suite sur le Journal francophone de Budapest

Accompli derrière les barreaux

"Emprisonnés et employés

Le travail des prisonniers pourrait avoir pour conséquence de diminuer significativement certaines dépenses publiques, cependant les possibilités de travail en prison sont aussi réduites que les cellules des établissements pénitentiaires.

Actuellement en Hongrie, environ 17 300 personnes purgent une peine de prison, mais seulement 3000 d’entre eux travaillent, bien que les trois quart des détenus soient capables d’effectuer une activité utile. Le gouvernement souhaite aujourd’hui augmenter cette modeste proportion. " La suite sur le Journal francophone de Budapest

Beauvais : Lorant Deutsch était au Cinespace lundi

"Le comédien Lorant Deutsch présentait en avant-première le film hongrois "Coup de Bol" au Cinespace dans le cadre du festival du film de Beauvais consacré à la Hongrie.

Décontracté, accessible, l'humour à fleur de mots, Lorant Deutsch est venu défendre le cinéma hongrois et son unique film hongrois, "Coup de bol", qu'il présentait en avant-première au Cinespace de Beauvais lundi soir, en présence du réalisateur et du producteur français du film. Avec un père hongrois, Lorant Deutsch a bluffé l'assemblée beauvaisienne en parlant couramment le hongrois, l'une des langues les plus difficiles au monde.

Avant de rencontrer le public beauvaisien, il s'est prêté au jeu des questions réponses avec les journalistes et les élèves du lycée Truffaut, micro en main et caméra en marche. Extrait." A voir et écouter sur lobservateurdebeauvais.fr

Musique - La Journée internationale de Liszt

"Alors que l’Europe se prépare à célébrer le 200e anniversaire de la naissance de Franz Liszt, l’oratorio Christus écrit par le célèbre compositeur retentira en 11 points du Globe le 22 octobre au soir, date de naissance de Franz Liszt, et à l’occasion de World Liszt Day. Hungarofest, coordonnateur de l’année Liszt 2011 en Hongrie a eu l’idée d'une coopération internationale, devant servir de cadre pour l'hommage qui sera rendu au compositeur. Au programme : l’interprétation de son œuvre monumentale, réunissant dans une rencontre d’envergure, les événements de l’année Liszt organisés partout dans le monde." La suite sur lepetitjournal.com

Mais qui est donc vraiment la soeur de Márai ?



Rebecca 1938 by H.A. von Behr
Source : worldgallery.co.uk


Mais qui est donc vraiment la soeur de Márai ? La question est ouverte.
No comment!

La soeur de Márai bientôt chez vos libraires

Match déséquilibré pour la grande distribution

"Rencontre avec Vincent Roussel

Le secteur de la grande distribution est confronté aujourd'hui en Hongrie à un contexte économique tendu, auquel s'ajoutent des mesures successives introduites par le gouvernement depuis un an et dont l'impact se fait lourdement ressentir. Vincent Roussel, Président-Directeur Général de Match et Président de la section Hongrie des CCEF (Conseillers du commerce extérieur de la France) depuis 2010 a accepté de répondre aux questions du JFB ." La suite sur le Journal francophone de Budapest

mardi 18 octobre 2011

Le Quartier juif de Budapest, où en sommes-nous ? Une Interview d'Anna Perczel (en hongrois)

Une interview publiée par Civil szemle dans son numéro d'automne.


Civilnek lenni egyenlő más szemlélettel rendelkezni?

Mára a Károly körút – Andrássy út – Erzsébet körút – Rákóczi út által határolt terület egy sorsára hagyott, sokszor üres és lehangoló, vajúdó városrésszé vált. A zsidónegyednek nevezett területen évek óta olyan átalakítások folynak, aminek eredményeként történelmileg, kulturálisan és építészetileg értékes épületek tűnnek el. Ami a helyükre épül, ritkán kecsegtet jóval. A régi megőrzéséért és az új minőségéért évek óta küzd az Óvás! Egyesület. Alakulásukról, tevékenységükről, érdek- és értékvédelmi harcaikról Perczel Anna, az egyesület elnöke beszél.

Mi történt 2004-ben, ami létrehozta az egyesületet?

Az történt, hogy már 1990-től egy új terv született erre a részére a városnak Madách sétány néven. Sőt már ezt megelőzően – ha történelmileg hitelesek akarunk lenni –, amikor az Andrássy út megépült, az Erzsébetvárosi Polgári Egylet úgy gondolta, hogy az nem járja, hogy Terézvárosnak van egy csodálatos sugárútja és az ő kerületüknek nincs. Ezért elkezdtek lobbizni, hogy ott is legyen. Ez lett volna a Madách sugárút, amit csak 1937 körül kezdtek el megvalósítani. Akkor épültek meg a Madách-házak és még két modern bérház a Klauzál tér – Dob utca sarkán. A háború kitörése miatt aztán semmi más nem valósult meg belőle. Ezt a tervet viszont 1990-ben felmelegítették, módosítva, nem sugárútként, – nem lett volna értelme, mert sehova nem vezetett, hiszen a Károly körútba torkolt – hanem sétányként. Ugyanúgy Madáchról nevezték el és megépítése ugyanúgy nagyon erős bontással járt volna a Dob utca és a Király utca között. Ezt a létező tervet kevesen ismerték. Amikor én szembesültem vele ’90-ben, és később, amikor a tervet bár módosítva kissé, de újból megerősítették, akkor kezdtem el foglalkozni evvel a városrésszel, a régi pesti zsidónegyeddel. ’96 –’98 között tanulmányt készítettem a Soros Alapítvány támogatásával az értékeiről, ami tulajdonképpen csak 2002-ben került nyilvánosságra, amikor ez a része a városnak az Andrássy út védőövezeteként a világörökség részévé vált. Az volt az abszurdum, hogy éppen ekkor, 2002-től intenzív bontások indultak el a negyedben, amit immár védelem illetett volna. 2004-re elkészült még egy tanulmány a városrész értékeiről és arról, hogy az önkormányzat szabályozási tervei miként fogják tönkretenni a negyedet.

Ezt a tanulmányt már az Óvás! készítette?

Egy team készítette az én vezetésemmel, a főváros megbízásából. Az ÓVÁS! akkor még nem létezett. A tanulmány aztán nagyon nagy vitát váltott ki. Nyilvános viták zajlottak, Városházi beszélgetéseknek hívták. Ez volt az a pillanat, amikor Jávor Istvánnak az a gondolata támadt, hogy valamit csinálni kell, ezt nem szabad hagyni. Tulajdonképpen a legtöbben akkor szembesültek azzal, hogy mi készül itt.

Jávor István lett a szervezet alapítója?

16-an alapítottuk de ő indította el olyan értelemben, hogy összehívott egy társaságot, a barátait, azok barátait és azokat, akik már addig is sok mindent próbáltak tenni ez ellen a terv ellen. Itt én István kérésére ismét előadtam azt, amit a városházán, vetítettem is, és akkor határoztuk el, hogy valamit közösen kellene tenni. Konrád György azt javasolta alakítsunk gittegyletet. Ez lett az ÓVÁS!

Tehát az ügy, amiért létrejöttek, a zsidónegyed volt? Azt olvastam az alapító okiratban, hogy általában Budapest épített környezetéért, építészeti értékeiért és különösen a zsidónegyedért alakultak.

Pontosan, igen.

Ma ez a városrész Budapest leginkább veszélyeztetett területe?

Egyrészt azért foglalkoztunk a városnak ezzel a részével, mert ismertük házról-házra. Főleg azonban azért, mert Budapest védett negyedeiben – a világörökségi területeken és a világörökségi védőzónák területén – sehol ilyen mértékű bontás nem indult el, mint itt. Van még egy területe a városnak, ahol nagyon erős bontások voltak és zajlanak ma is, ez Józsefvárosnak a körúton kívüli része, de ott 2004-re, amikor mi alakultunk, már nagyon előrehaladott volt minden, emllett ez a része a városnak nem védett. A zsidónegyed esetében viszont abszurd módon a védettség ellenére komoly bontási folyamat indult el, ugyanis olyan szabályozási terv volt érvényben a kerületben, ami ezt lehetővé tette. Nemcsak bontottak, hanem olyan épületeket kezdtek el építeni, ami teljesen szétzilálta a negyedet.

Hogyan volt lehetséges ez, hogy miközben világörökségi védelmet kapott a városrész, aközben azt semmibe vevő folyamatok indultak?

A szabályozási terv már a védettség előtt létezett és azután sem változtatták meg. Noha a nemzetközi egyezmény szerint védeniük kellett volna a városrészt, a magyar vonatkozó törvények a világörökségi védettséget nem tartalmazták, ezért hiába érveltünk azzal, hogy ezt nem lehet egy védett negyeddel csinálni, például a nemzetközi egyezmények miatt sem, az volt rá a válasz, hogy törvényileg lehet.

Ez az önkormányzat kompetenciájába tartozott vagy a főváros felségterülete volt?

Sajnos Budapest nem egy, hanem 23 város, és a kerületek joga, hogy szabályozási terveket készítsenek. A fővárosnak véleményezési joga van, ha védett területről van szó, de hát itt nagyon abszurd viszonyok vannak. Például 2008-ban a kerület új szabályozási tervet készített, de lényegében a régi szemlélettel. Egyetlen különbség az előzőhöz képest az volt, hogy több műemlék épület került felsorolásra benne. A tervet a főpolgármesternek is jóvá kellett volna hagyni, de Demszky Gábor nem értett vele egyet. Ennek ellenére a kerület törvénysértő módon elfogadta azt, sőt maga a terv is tele van törvénysértő részekkel. Tehát jogilag is problémás volt a szabályozás, és nemcsak arról volt szó, hogy egyes emberek érzelmi vagy esztétikai alapon kifogást találnak benne. Az egyesület, látva, hogy komoly jogi szabálytalanságok vannak a terv készítése és elfogadása körül, 2008-ban a Jövő Nemzedékek Országgyűlési Biztosához fordult. Az ombudsman jelentése egy év múlva, 2009-ben készült el és igazolta a feltételezésünket, hogy itt több ponton is jogsértés történt. Azóta is ez a szabályozás van érvényben, senki nem állította le. Szerintünk elsősorban a kerület és a Kulturális Örökségvédelmi Hivatal a felelős ezért.

Mit tudott tenni az egyesület a szabályozás ellen?

Sokféle módon próbálkoztunk. Már a korábbi szabályozást is szerettük volna megváltoztatni. Ez nem történt meg, de sikerült elérnünk, hogy 2007-ben UNESCO-szakértő jöjjön Budapestre és fogalmazzon meg véleményt arról, ami itt történik. Az UNESCO Világörökség Bizottsága ezután, figyelmeztette Magyarországot, hogy ez így nem folytatható, de a 2008-as szabályozás semmit nem vett ebből figyelembe. Az új terv elkészítése is nagyon nehezen indult el. Az újraszabályozást nemcsak az Óvás! szerette volna. Egy civil szervezet önmagában nem sokat tud elérni, másokra is szükség van. A fővárosnak, aki szintén az újraszabályozás mellett volt, kétévi vita után sikerült elérnie a VII. kerületnél, hogy új terv készüljön, de a 2008-as terv nem tartalmazta sem az UNESCO elvárásait, sem az ú.n.
„Megőrzési követelményeket”, amit a világörökségi területre vonatkozó kezelési terv ír elő (a kezelési terv a főváros és az örökségvédelmi hivatal jóváhagyásával elkészült 2005-re, de nem érvényesítették).

Miközben a kerületi önkormányzat sajátos gazdasági érdekek mentén készítette el a szabályozási tervet, illetve a koncepcióját a városrész fejlesztéséről, az Óvás! Egyesület egy egészen más koncepció mentén képzelte el a terület rehabilitálását...

A sajátost idézőjelbe kell tenni. A kerület elképzelései egyértelműen nagyon nagy korrupción alapultak. Tehát azért nem volt érdekük rehabilitációban gondolkodni, mert ott ez a típusú korrupció nem működött volna. Ők csak abban voltak érdekeltek, és semmi más nem történt éveken keresztül, hogy eladtak ingatlanokat pályáztatás nélkül befektetőknek úgy, hogy az önkormányzatnak a legtöbb esetben pénze sem maradt belőle. Az egész arra alapult, hogy három éven belül kiköltöztetik a lakókat, ezután az ingatlan a befektető tulajdonába kerül. Ha nem műemlék, akkor bonthatja, ha műemlék, akkor annyit változtathat rajta, amennyit a Kulturális Örökségvédelmi Hivatal (KÖH) enged. Márpedig a hivatal nagyon sok változtatást engedett, sokszor csak a homlokzat maradt, vagy megmaradt a ház, de 2-3 emelet is épülhetett rá. Nagyon durva beavatkozások történtek még a műemlékek esetében is. Tehát ez volt a stratégia, és minden próbálkozásunk ellenére feltehetően a korrupció miatt volt olyan kimozdíthatatlan a helyzet.

Egyéb gazdasági szereplőket, akik érdekeltek lehettek volna az ügyben, nem tudtak bevonni? Nem próbálkoztak ezzel?

Próbálkoztunk. Volt egy holland civil társaság Amsterdamból, a Stadherstel, akik hasonlóan indultak, mint mi, néhány évig hadakoztak azért, hogy romos, de értékes épületeket ne bontsanak el Amsterdamban (ezek elsősorban az elhurcolt zsidók elhagyott pusztuló házai voltak), és miután nem sikerült elérni, pénzt adtak össze, megvettek egy-egy romos épületet, rendbe hozták, bérbe adták vagy eladták, a pénzt pedig visszaforgatták. Nagyon sikeres vállalkozás lett ebből, amibe beszállt később a város és az állam is, sőt divattá is vált. Egy idő után Amsterdamban már nem voltak romos lakóépületek, ezért jöttek Budapestre, hogy hasonlóan itt is megvegyenek egy-egy épületet és elindítsák a felújítási folyamatokat, de az akkori polgármester, aki most előzetes letartóztatásban van, nem volt hajlandó szóba állni velük. Több ilyen kezdeményezés is volt akkor: a Szimpla – a Dob utca 19-ben volt az első Szimpla kert – megvette volna azt az épületet és rendbe hozta volna, de velük sem álltak szóba. Senkivel, aki az épületek rendbe hozásába fogott volna és valamilyen új vagy régi funkció mentén használta volna azt. Egy régi épület rendbe hozásával ugyanis nem lehet annyi pénzt tenni valaki zsebébe, mint egy egyemeletes épület helyébe egy hét emeletes építésével.

Tehát tulajdonképpen nem eltérő koncepciók ütköztek, hanem korrupciós érdekek a civil elköteleződéssel?

Mi így látjuk, igen.

A holland modellel nem próbálkoztak?

Ez a mi esetünkben képtelenség lett volna. Köztünk nincsenek olyan emberek, akiknek vagyonuk van, de már említettem, itt épületek megvételéről nem beavatottaknak szó sem lehetett.

Volt a civilek közt összefogás a zsidónegyed ügyében?

Igen, volt civil összefogás, nagyon sokan támogattak/támogatnak is minket, és ami még érdekes, hogy a mi indulásunk óta sok civil szervezet alakult a VI. és a VII. kerületben különböző ügyekben, de ugyanazzal a szemlélettel. Ilyen a Nagydiófa utcaiak egyesülete (NE!), akik egyetlen épület, a Nagydiófa utca 8. lebontásának megakadályozásáért alakultak, és akikkel állandóan együttműködünk a legkülönbözőbb dolgokban. A szabályozási tervvel kapcsolatban együtt fordultunk például az alkotmánybírósághoz, amihez a Védegylet és a Szindikátus Egyesület is csatlakozott. A beadványunk azóta is ott van, nem tudjuk, mikor fog a testület elé kerülni, a döntéshozatal az AB-nél sokszor évekbe telik. A Nagymező utcában a platánfák kivágása miatt alakult egy helyi társaság, a Hunyadi téren a piac bezárása miatt. Ezek a civil kezdeményezések mind összefüggenek, mert olyan dolgokért lépnek fel, amik egy városban nagyon fontosak, és együtt alkotják azt a különleges helyet, ami miatt – főleg ha javulna a környezet állapota és csökkenne autós forgalom– érdemes ott lakni és érdemes oda menni.

Mennyire sikerült a helyi lakosságot bevonni, egyáltalán aktivizálni, tömegeket megmozgatni?

Azt nem mondhatnám, hogy tömegeket mozgattunk meg, de nagyon sok támogatónk van. Az Óvás! olyan emberekből áll, akik sok mindenhez értenek, de nem a tömegmozgatáshoz. Mi elsősorban azért alakultunk, hogy bemutassuk, milyen fontos értékek vannak ebben a városrészben együtt és egyedileg is és hogy annak eltűnése milyen visszahozhatatlan veszteség lenne. Építész, művészettörténész, szociológus, író, fotós, filmes, tanár alkotja elsősorban az egyesületet, azon belül nincsenek olyanok, akik az aktivizáláshoz értenének. Mi tulajdonképpen – bár tüntetéseink is voltak – városnéző sétákat tartottunk, fotóztunk, filmeket és tájékoztató anyagokat, újságcikkeket készítettünk, konferenciákat rendeztünk, nemzetközit is, arról, hogy hogyan csinálják ezt máshol. Arról, hogy hogyan történhetett az, hogy Európában mindenhol helyrehozták a zsidónegyedeket, akár Nyugat-, akár Kelet-Európára gondolunk, még a romokból is helyreállították őket, ott is, ahol zsidók már nem is élnek, nálunk pedig, ahol Budapest zsidó lakosságának nagy része a háború végén életben maradt, emellett egyre erősödő zsidó közösségek vannak, létezik zsidó kulturális-és vallási élet, rombolják a zsidónegyedet.

Van erre magyarázat a korrupción kívül?

Volt szó arról, hogy koncepciók szembenállásáról beszélünk-e vagy korrupcióról. Azt hiszem, mind a kettőről. Most kezdjük érezni azt, hogy az építészek, és egyáltalán az emberek, kezdenek fellázadni olyan dolgok ellen, ami ellen 2000-ben vagy 2004-ben még nem lázadtak fel. A bontások ellen, a történelmi városrészek átalakítása ellen újabban nagyon sokan tiltakoznak. Nemcsak ebben a negyedben, hanem Budán és a Belvárosban is. Például a Bécsi utca kapcsán még az építészek és hivatalos építész-szervezetek is megszólaltak, ami eddig soha nem történt meg. Látok egy szemléletváltozást a mi indulásunk óta.

Ehhez köze lehet a szervezet működésének is...

Nem tudom, talán egy kicsi közünk van hozzá, de nyilván egy idő után érezni lehet azt, hogy mit hoz az értelmetlen rombolás és mit jelent, amikor egy régi épületet, utcát, városrészt felújítanak. Nagyon nagy a különbség. Nem azért, mintha nem lehetne jó új dolgokat csinálni. Mi egyáltalán nem vagyunk az ellen, hogy modern épületek épüljenek egy történelmi városrészben (ha van rá hely), de annak jónak kell lenni, nemcsak építészetileg, hanem funkcionálisan is, és illeszkednie kell abba a városrészbe, ahol állni fog. Tulajdonképpen mi történt a zsidónegyedben? Olyan épületeket építettek, amik lakótelep illetve pláza jellegűek. Még a Gozsdu-udvar esetében is, amit nem sikerült annyira elrontani, mint az új épületeket, mert a régi burok itt megmaradt, de azon belül, amit lehetett, elrontottak. Eredetileg 39 nagy lakás volt benne, műemlék, ezek után 120 kislakást alakítottak ki benne. Kicsi üzletek, műhelyek jellemezték – ez hozzátartozott az udvar karakteréhez – ezek után most nagy üzlethelyiségeket képeztek, amit ki sem tudtak/tudnak adni. A lakásokat sem tudták mind eladni, vagy ha eladták, nem laknak benne. Kísértetház lett a Gozsdu-udvarból. Még gazdaságilag sem jól gondolkoztak. Az lett volna a helyénvaló, ha úgy marad az épület, ahogy eredetileg készült, nem azért, mert mindent úgy kell megőrizni, ahogy volt. Előfordul, hogy a történelmi épületeknek megváltozik a funkciója, ez nem feltétlenül baj, de ebben az esetben rosszul gondolták végig és így elrontották az egészet. A negyed különös módon leértékelődik azokon a területeken, ahol új épületeket építettek, ahol viszont a régi házak megmaradtak, még akkor is, ha esetleg nincsenek felújítva, ott indult be a földszintek élete, ami rokonszenvessé és izgalmassá teszi a negyedet.

Ha ma végigmegy valaki a zsidónegyed utcáin, nagyon sok helyen a lepusztultság, deprimáltság érzése uralkodik el az emberen, sok az üres épület és lakás. Rehabilitációval, építészeti beavatkozásokkal, mesterségesen föl lehetne pezsdíteni ezt a városrészt?

Városépítészeti eszközökkel sokat lehet tenni. Ami nagyon fontos, az a zöld. Meg lehet nézni, hogy ahol parkra néz a ház vagy belső kertre, hogyan értékelődnek fel a lakások. Nagyon sokat lehet tenni a gépkocsi forgalomszabályozásával is. Nem az autók teljes kitiltásával, mert az szerintünk egy halott várost hoz létre, hanem azzal, hogy mérsékelik az autók jelenlétét. Ezt nem lehet például avval elérni, hogy egyre több mélygarázst építenek. Amit viszont az emberek tesznek hozzá, azt nem lehet építészettel kiváltani. Volt szó már a funkcióváltásról. Ebben a városrészben nem volt baj a funkcióval, itt a lakó- és kereskedelmi funkció és emellett a zsidó kulturális és vallási élet mindig működött. Attól élő a város, ha laknak benne. Az is nagyon jó, ha vannak munkahelyek, van kereskedelem, Mindezt azonban elsősorban az ott lakókra kell építeni, akár a régiekre, akár újakra. Az nem megy, hogy a régi házakból kiköltöztetik a lakókat, a helyükre építettekben pedig nem laknak. Ahhoz nem kellett például városépítészeti beavatkozás, hogy a fiatalok felfedezzék a negyedet. Bár ez részben a kiürített házaknak volt az eredménye, illetve annak, hogy elértük, hogy ne bontsák le őket. Volt hova jönni, és mert már üresek voltak, emellett hangulatosak is, a fiatalok elkezdték másképp használni. Sokféle útja van a városmegújításnak. Vannak irányított részei és vannak spontán folyamatok.

Beépítetlen telkek is vannak a városrészben, ahova nemcsak házakat lehetne építeni, hanem más megoldásokban is gondolkozni. Nem vonzó ez a terület a fiatal, kreatív építészeknek?

Ez egy nagyon összetett dolog. Mi több üres telek esetében zsebpark kialakítását javasoljuk. Nagyon sokan érdeklődnek a terület iránt tervezés tekintetében. Az ÓVÁS! Egyesület pár évvel ezelőtt az Oktogon folyóirattal közösen meghirdetett egy civil pályázatot a Király utca 40-re, ami egy szimbolikus épület számunkra, nagyon sokat küzdöttünk érte, sok civil szervezet is támogatott minket, hogy ne bontsák le. Sikerült megakadályozni a bontást, sajnos az épület „félbontott” állapotban van azóta is. A kiírásra annak ellenére, hogy nagyon kevés pénz volt rá, érkezett két olyan terv, ami nagyon tetszett nekünk. De azt tudni kell, hogy ezek a telkek és épületek mind el lettek adva, ráadásul sötét módszerekkel. Alig maradt az önkormányzat kezében valami.

Ezeket a terveket nem lehetett fölajánlani az önkormányzatnak modellként?

Az akkori önkormányzatot egy csöppet sem érdekelte, a mostanival lehet talán beszélni róla. A régi önkormányzattal egyáltalán nem lehetett ilyenről beszélni, nem is akarta meghallgatni. Nemcsak ebben az ügyben. Sorolhatnám, mi mindenben nem. De az nem mondható, hogy a fiatalokat, ezen belül a fiatal építészeket nem érdekli ez a városrész. 2005-ben Magyarország, illetve Budapest a zsidónegyed területét ajánlotta fel az EUROPAN elnevezésű, fiatal építészeknek szóló nemzetközi pályázathoz. Ez arról szól, hogy a résztvevő országok kétévente egy vagy több kijelölt területet ajánlanak fel tervezésre, a pályázatokat nemzetközi zsűri bírálja el. A budapesti zsidónegyed területét nagyon sokan, 25-en választották a fiatal építészek közül. A pályázatot végül két berlini építészlány terve nyerte meg. De mást is mondhatok. Évek óta ide jár Osakából egy professzor az egyetem urbanisztika tanszékéről a diákjaival. Van úgy, hogy évente többször is jönnek, beleszerettek a zsidónegyedbe, feltáró-kutató munkát végeznek itt. Minket kerestek meg először, hogy segítsünk ebben nekik, azután az Ybl Miklós egyetemmel is felvették a kapcsolatot. Ősszel kiállítást is rendeznek az eredményeikből. Pár évvel ezelőtt a karlsruhei egyetem urbanisztika szakos hallgatóinak a diplomamunkáját itt jelölték ki. 9 diplomamunka készült a zsidónegyed területére. A budapesti egyetemen is rendkívül sokszor ezt a városrészt kapják feladatul az építészhallgatók féléves tervekre vagy diplomamunkákra. Nekik is segítséget adunk és sétákat vezetünk nemcsak építész, hanem szociológus hallgatóknak is. Nagy az érdeklődés, hiszen izgalmas negyed és igen sokan közülük az estéiket itt töltik.

Zsidónegyedről beszélünk, de ha a mai lakosságot nézzük, nem lenne pontosabb egykori zsidónegyedet mondani? Egyáltalán föl lehet mérni, hogy kik laknak ma itt?

Vannak felmérések, Ladányi János szociológus, az Óvás! egyik alapító tagja készített ilyen felmérést 1999-ben, az eredmény neki is meglepetést okozott: újabban nem csökken, hanem nő a zsidó lakók száma, nagyon sokan költöznek ide például zsidó fiatalok. És noha korábban történelmi okok miatt lényegesen csökkent a zsidók számaránya, a negyed soha nem vesztette el zsidó jellegét. Itt van a három nagy zsinagóga és a Vasvári Pál utcában egy kisebb. Tudni kell, hogy a vallásos zsidók a zsinagógák közelében szeretnek lakni, mert gyalog kell megközelíteniük azt az imák idején. Itt van a Zsidó Múzeum és a Zsidó Levéltár, a Goldmark terem és a Mazsihisz székháza is. Tehát komoly vallási közösségi élet és amellett erős zsidó kulturális élet zajlik. Olyan fiatal zsidó közösségek, mint a Marom, a MASZORTI vagy a Gólem színház is mind itt talált helyet magának. Ezen kívül rendkívül sok alternatív dolog indult be, kulturálisan, kereskedelmileg, kézművesség szempontjából is. Jávor István készített ezekről az alternatív helyekről és erről a megújuló életről egy dokumentumfilmet „Negyedem, negyeded…”címmel. Eredetileg a zsidónegyedről szóló 2009-ben, a Centrális Galériában kiállított alternatív tervünkhöz kapcsolódott volna a film, de végül később önállóan, a Rumbach Sebestyén utcai zsinagógában mutattuk be.

Én hiányoltam, hogy a filmet vagy legalább részleteket belőle nem lehet megnézni a honlapon.

Igen, a honlapunknak nemcsak ez az egyetlen hiányossága, képeket sem tudunk feltenni technikai okok miatt. Ebben nem vagyunk elég erősek, de próbálunk változtatni rajta.

Említette, hogy nem mozgalmárok alkotják az egyesületet, hanem inkább intellektuális jellege van a szervezetnek. Sikerült ennek ellenére felhívni az ügyre a helyiek és nemcsak, hanem általában a budapesti zsidó lakosság figyelmét? Mennyire fontos ma nekik ez a kérdés, mennyire álltak az ügy mellé?

Ezt az emberektől kéne megkérdezni. Én úgy érzem, hogy nagyon sokan mellénk álltak, de nemcsak zsidók. Ez nem zsidó-kérdés. Lehet, hogy sokan érzékenyebben reagálnak rá, akik itt éltek, vagy a szüleik, nagyszüleik éltek itt. Biztos, hogy van ennek ilyen vonzata is, de ez a negyed nemcsak a zsidóknak fontos, ez például Budapest három legrégebben kialakult negyedének egyike. Nekem 2007-ben jelent meg a zsidónegyedről szóló könyvem, a Védtelen örökség, és azóta rengetegen kerestek meg ezzel kapcsolatban, zsidók és nem zsidók egyaránt Az, hogy egy városban egy érdekes és értékes történelmi negyed van, az mindenkinek fontos. Annak ellenére, hogy mi nem vagyunk tömegszervezők, sokan támogatnak, sokan jönnek el a rendezvényeinkre, vitáinkra, sétáinkra és nagyon sokan keresnek meg akár az V. kerületből vagy budai kerületekből személyes kérésekkel, hogy az ő házukkal, problémájukkal kapcsolatban miben tudnánk segíteni. Ahol tudunk, segítünk.

Ez milyen segítséget jelent, esetenként anyagit is?

A mi szervezetünknek nincs állandó pénze. Nincs titkárságunk, nincs telefonunk, irodánk, nem tartunk fenn semmit. Mindent a saját terhünkre csinálunk, de mégis van pénzünk úgy, hogy pályázunk. A legutóbbit azért is említeném meg, mert ezzel kezdődik el az a történet, ami a beszélgetésben többször előkerült, a közönséggel való kapcsolat kialakítása. Pályáztunk a Norvég Civil Alaphoz egy úgynevezett Óvás!-sátor elkészítésére, mert azt tapasztaltuk, ha néha megjelentünk egy-egy rendezvényen, például a Múzeumok Majálisán, hogy nagyon sokan érdeklődnek a dolgaink iránt. Ez inspirált bennünket arra, hogy benyújtsuk a pályázatot. Meg is nyertük, tavaly év végére készült el a sátor, most tavasz óta már többször fel is állítottuk. Bécsben is voltunk vele, oda is meghívtak, az ottani VII. kerületbe, sőt most ősszel ismét megyünk oda. A sátorban vetíteni tudunk, képeket állítunk ki, szórólapokat osztunk arról, hogy kik vagyunk, miért alakultunk, mi a tevékenységünk. Ismertetjük azt az anyagot is, amit az UNESCO-nak készítettünk ebben az évben arról, hogy az utóbbi három évben mi történt a zsidónegyedben. Ezen kívül két könyvet is, az egyik, amit már említettem, a Védtelen örökség, ami konkrétan a zsidónegyedről szól. Több mint száz házról van benne szó nagyon részletesen. A másik könyvet Kemény Mária, az Óvás! egyik alapító tagja szerkesztette és a Kismező, Nagymező, Broadway címet kapta. A mai Teréz- és Erzsébetváros egy szeletét mutatja be társadalomtörténeti tanulmányok segítségével. Többen írták, szociológiai felmérések is vannak benne, interjúk, adatok is, amiket például az 1941-es népszámláláskor a Klauzál tér egyes házairól rögzítettek. Nagyon érdekes dolgok jöttek ki ebből a negyedre vonatkozóan. Itt is felmerült, a zsidónegyed – nem zsidónegyed kérdés. Valóban nem hívták annak, de amikor valaki azt mondta, hogy Dohány vagy Rumbach, akkor mindenki tudta, miről van szó. A statisztikai adatok szerint Erzsébetváros egészében 35%-ban éltek zsidók, de a zsinagógák környékén ennél jóval erősebb volt a jelenlétük, ott 70-80-90%-ban zsidók lakták a házak többségét. Én tíz évig foglalkoztam a zsidónegyed házaival. Az derült ki a kutatásaimból, hogy a nagy zsinagógák környékén minden második-harmadik házban imaház volt és ugyanilyen gyakorisággal kóser mészárszékek vagy kóser pékségek, igen gyakran zsidó nyomdák, egyletek, szociális szervezetek. Tehát nagyon erős zsidó jelenlét kellett ahhoz, hogy ennyire sok mindenre és ilyen sűrűn legyen szükség. Az 1941-es adatok a Klauzál tér házaira vonatkozóan házanként és lakásonként mutatják meg, hogy kik és hányan éltek ott foglalkozás és vallás szerint. A statisztika alapján még ott is erős volt a zsidó családok aránya, kb. 50-60%. Mi most szeretnénk folytatni ezt a kutatást. Hogyha ma a kulturális és vallási élet így sűrűsödik egy helyen, akkor én nem tudom másként nevezni, mint zsidónegyednek. De már nem szoktam azokkal vitatkozni, akik úgy gondolják, hogy nem az. Mindenki gondoljon azt, amit akar, az viszont biztos, hogy az UNESCO régi pesti zsidónegyedként tartja számon. Igaz, hogy csak a Klauzál térig, tehát a három nagy zsinagógát határolták be és kimaradt az Akácfa utca, ahol például a gettó határa volt.

Visszatérve az egyesület működésére, a hét év alatt nagyon sokat harcoltak a kerületekkel, a döntéshozókkal. Mi az, amit eredménynek tekintenek és milyen kudarcaik voltak?

Ha valaki eljön velünk egy sétára – egyébként most meghívtuk a VII. kerület új polgármesterét is, mert egészen más a valóságban látni, hogy mi van, mint papíron –, meg tudjuk mutatni azokat a házakat, amik most nem lennének, ha mi nem vagyunk.

Említene néhányat ezek közül?

Sorba mondhatom: például Dob 19, Dob 21, Dob 29, Kazinczy 34. Ezt a két utóbbi házat most rendbe hozták, és lehet látni, hogy bizony érdemes volt. A Kazinczy utca 47-et szintén rendbe hozták, (azonnal a fiatalok kultikus helyévé vált), mellette van a Kazinczy 49, amit viszont nem, és lehet látni, hogy milyen különbség van a két épület között, pedig korábban mind a kettő ugyanolyan rossz állapotban volt. Ennél a két háznál sikerült megakadályozni a Madách sétány további folytatását. Említhetem még a Király utca 40-et, bár az felemás helyzetben van, de mégis ott áll még. A Síp utca 8-10-et is ide sorolhatom, noha annak ellenére, hogy 2005-ben műemlék lett, a Kulturális Örökségvédelmi Hivatal 2006-ban megengedte a belső szárnyaik rombolását. A háznak csak a homlokzata maradt meg, de legalább az megmaradt. Még sorolhatnám a sort a házakról, amik megmaradtak. Ez az egyik sikerünk. A másik az, hogy megismerték, elkezdtek foglalkozni a negyeddel. A világban is ismertté vált. Nem tudom elmondani, hogy hány riporter, hány filmes jött már a zsidónegyedbe, hányan fotózzák magyarok és nem magyarok. Említettem, hogy Osakából is idejárnak, Karlsruhéból is. Nagyon sok csoport van, most is ötven francia jön megnézni a negyedet. Nagyon sok előadásra hívnak. Ezek mind eredmények. Kudarc viszont, hogy sok épületet nem sikerült megmentenünk és a kerületi szabályozási tervet nem sikerült megváltoztatni. Iszonyú fájdalmas látni, hogy mi az, ami nem sikerült, mert tudjuk, hogy milyen jó lett volna, ha sikerül. A Dob 27-et például nem sikerült megmentenünk. Meg lehet nézni, hogy mi áll a helyén. De az a nem kevés épület, ami megmaradt, és ami közül most éppen hármat rendbe hoztak, nagyon nagy öröm. Most lehet látni, hogy egy felújított épület milyen gyönyörű és hogy milyen jól lehet használni. Ez az út valóban föl fogja értékelni a negyedet.

Alapítottak közben egy dózer-díjat. Átadták valakinek?

Hunvald Györgynek szerettük volna átadni, de hiába próbálkoztunk, nem sikerült.

Hogyha egy elismerő díjat is alapítanának, azt kinek adnák át? Van olyan egyesület, cég vagy személy, aki érdemes lenne rá?

Jó ötlet, lehet, hogy lesz ilyen, majd gondolkodunk rajta.

A kudarcokon kívül hiányol valamit a szervezet tevékenységéből?

Rengeteg mindent. Nem tudom, hogy ki hogyan ismeri a civil szervezeteket, mi egy nagyon kicsi szervezet vagyunk, annyira civilek, hogy emellett mindenkinek van foglalkozása, elfoglaltsága. Az egyesület munkája, tevékenysége állandóan hullámzik. Olykor nagyon jók vagyunk, nagyon intenzíven dolgozunk, olykor meg leül a dolog, mert senki nem ér rá ezzel foglalkozni. Most a Szigetre készülünk, tehát éppen egy felmenő hullámban vagyunk. Említettem az Óvás!-sátrat, ezzel leszünk kint három napig a civil részen. Erre nagyon készülünk. De ebben nem csak az a lényeg, hogy sok mindent bemutatunk, hanem az, hogy rengetegen jönnek be a sátorba, és iratkoznak fel egy tájékoztató vagy támogató listára. Tehát amit korábban hiányolt, és amiről én is azt mondtam, hogy mi ebben nem vagyunk jók, most megindult egy nyitás azok felé, akik korábban nem ismerték ezeket a problémákat. Tényleg sokan iratkoznak föl, csak ezt majd nekünk jól kell kezelnünk és valóban tájékoztatnunk kell őket, ha valamit csinálunk.
Ezen kívül újabban végigfotóztuk a gettófalakat, abból szeretnénk kiállítást rendezni ősszel vagy télen. Ugyanis az történt, hogy a Király 15-ben a régi gettófalat a lakók meg akarták menteni, de Hunvald György polgármester és a KÖH VII. kerületért felelős munkatársa azt állította, hogy a kőfal értéktelen és megengedték az Autóker Holdingnak hogy lebontsa. Ebből aztán nemzetközi botrány lett. Az UNESCO szinte súlyosabb dolognak tekintette az emlékfal bontását, vagyis az emlékezés lehetőségének sérelmét, mint egy-egy épület lebontását. Nem értették, hogy abban az országban, ahol Wallenberg embereket mentett, ahol olyan emberek élnek, mint Kertész Imre, Konrád György, ilyesmi megtörténhet. Ezért vissza kellett építeni a falat, amire mi emléktáblát helyeztünk el, és azóta ez olyan emlékező pont lett a negyedben, ahova elviszik az embereket, amikor városnéző séták vannak, bárki is szervezi azt.

Itthon elsősorban a jogi megoldásokat keresték: bírósághoz fordultak, alkotmánybírósághoz, önkormányzattal tárgyaltak. Az UNESCO-hoz fordulás úgy tűnik nekem, mint egy kudarcok utáni elkeseredett lépés, segélykérés kívülről. Eredményes volt?

Ez is csak részben. 2005-ben írtuk az első levelünket, 2006-ban a másodikat, és anyagokat is küldtünk mellé. 2007-re sikerült elérnünk, hogy UNESCO-szakértő jött Magyarországra. Nem egyedül értük el, időközben megkeresett minket egy francia civil társaság, a Mardis Hongrois de Paris, magyarul a Párizsi Magyar Keddek. Ez egy olyan társaság, akiknek tagjai magyar származásúak, de Franciaországban élnek, és kéthetente kedden találkoznak Párizsban, egy kávéházban. Működtetnek egy honlapot is, ide kulturális híreket tesznek fel arról, hogy mi történik Párizsban magyar vonatkozásban. Elkezdtek érdeklődni a zsidónegyed iránt, mi küldtünk nekik anyagokat, ezeket mind föltették a Sauvez Budapest – Mentsük meg Budapestet – honlapjukra. Itt nemcsak a zsidónegyeddel kapcsolatosan vannak hírek, olvasni lehet más, például a Bécsi utcai eseményekről is. Amikor megtudták 2007-ben, hogy az UNESCO-hoz fordultunk, írtak ők is a szervezetnek egy levelet. Ezt aláírásgyűjtéssel kombinálták, a francia közélet neves alakjai írták alá, például építészek, az állami építészek szervezetének az elnöke, a Radio France egyik igazgatója, aki a kulturális örökségvédelemért felel, két kerületi polgármester, de magyarok is, például Fejtő Ferenc, aki akkor még élt vagy Méray Tibor. Ezeknek a hatására küldtek szakértőt. Tehát ketten kellettünk hozzá. Ezután Magyarországot komolyan elmarasztalták, de a dolgok ennek hatására sem változtak igazán meg. Hogy csak egy példát említsek, a kerületi szabályozási terv szerint a belvárosban, így a zsidónegyedben is, a szintterületi mutató, ami azt jelenti, hogy egy telekre mennyit lehet maximum építeni, 5,5 – 6 között mozog. Ugyanez az érték Párizs történelmi városrészében 3,5 volt, egy éve csökkentették 3-ra. Tehát fele annyit lehet építeni ott, mint Budapesten, és közben Párizsban a lakásárak meg telekárak tízszer nagyobbak. Abszurdum az a szabályozás, ami Budapest belső területére, így zsidónegyedére is érvényes. Ebből fakadt a Bécsi utcai történet is.

Az UNESCO megállapításai elsősorban a kormányt kötelezik. A kormány tett lépéseket?

Tett bizonyos lépéseket, de nagyon lassan és csak mostanában, emellett csak évekkel későbbi hatással. Ezért írtuk meg ebben az évben az új levelünket az UNESCO-nak az elmúlt évekről és a várható jövőről. Idén ugyan elfogadták a világörökségi törvényt, ami 2012-ben lép életbe. Ennek értelmében kezelő szervezeteket állítanak föl. Ezeknek lesz a feladata a kezelési terv elkészítése, ami alapján majd az önkormányzatoknak el kell készíteni a szabályozási tervüket. Amikor ez utóbbit is elfogadják, akkor lesz úgymond rend a világörökségi területeken, a zsidónegyedben és a többi helyen. Mert a többi helyen is baj van, csak az a különbség a zsidónegyed és a többi védett városrész között, hogy itt maradt a legtöbb épület az önkormányzat tulajdonában. Ezeket nem adták el korábban a lakóknak, most viszont eladták nagy befektetőknek Ezért itt történik a legtöbb durva változás és a továbbiakban is történni fog, mert a világörökségi törvény szerint csak 2014-re lesznek új kerületi szabályozási tervek. Mostantól 2014-ig minden folytatódhat változatlanul. Bár valóban, ahogy a magyar állam UNESCO-nak szóló ez évi jelentésében írta, a gazdasági válság miatt nem történt sok változás az utóbbi két évben, de mivel addig továbbra is folyamatosan adják ki az építési engedélyeket a meglévő törvénysértő tervek alapján, ezek bombaként robbannak majd, ha beindul a gazdaság,

Az új erzsébetvárosi önkormányzat ugyanúgy kiad engedélyeket, ahogy a korábbi tette?

Az önkormányzat nem adott ki túl sok új engedélyt, inkább a Kulturális Örökségvédelmi Hivatal, az épületek nagy része műemlék.

Viszonylag keveset beszéltünk az itt lakókról. Az önkormányzat, illetve a korábbi polgármester sajtónak tett nyilatkozataiban az állt, hogy ők a lakosság érdekeit képviselik. Az Óvás! is ezeket az érdekeket próbálja képviselni?

Mi ilyet sose mondtunk. Biztos, hogy ezt szeretnénk, de ilyen kijelentéseket nem teszünk. A helyi lakos nem egy, hanem ezerféle. Van, aki rokonszenvezik velünk, támogat minket, és van, aki nem. A Nagydiófa utcaiakkal együttműködünk, együtt csinálunk mindent, annak az utcának a lakosait ilyen értelemben képviseljük, de lehetnek más utcák, más házak, ahol a lakók esetleg nem értenek egyet velünk.

Arról van tudomásuk, esetleg készültek felmérések, hogy a lakóknak milyen elképzeléseik vannak az épületekről, amiben laknak?

Említettem, hogy 2004-ben készítettem a főváros megbízásából egy tanulmányt, ami nagy vitát váltott ki. Ezután 2006-ban a főváros kiadott még egy hármas megbízást, az egyiket mi készítettük a város építészeti, kulturális megújulási lehetőségeiről. Ebben a rehabilitációs javaslatainkat mutattuk be. A másik egy szociológiai felmérés volt, amit az ELTE készített és a lakosság szempontjait összegezte. Ez utóbbi kutatási anyag azt mutatta ki, hogy az itt élő emberek többsége a környezet és a közlekedés állapotának javulását szeretné (persze az épületek rendbe hozásával együtt) és ragaszkodik ahhoz a helyhez, ahol lakik. Ez nemcsak itt volt kimutatható. Korábban én a Józsefváros középső, Körúton kívüli részével foglalkoztam, ahol sokkal rosszabb állapotok voltak és az emberek sokkal rosszabb körülmények között éltek – ez az a terület, amit most lebontottak a Szigony-projekt kapcsán – és az ottani szociológiai felmérések is azt mutatták, hogy a lakosság többsége, 60-70% akár, ragaszkodik ahhoz a helyhez, ahol él. Hiszen kialakulnak közösségek, hagyományok, kialakul, hogy ki hol vásárol, hova jár templomba vagy zsinagógába, iskolába, tehát sok minden. Az emberek szeretnek a megszokott környezetükben maradni, még rossz körülmények között is. Azok közül, akiket kiköltöztettek, sokan sírva mentek el, és persze akadtak olyanok is, akik szívesen, de kevesebben. Ez nagyon összetett dolog, minden épület és minden ember helyzete más. Érzékeny kérdés, ezért olyan nehéz és időigényes a rehabilitáció. Itt nem lehet azt mondani, hogy márpedig csak így lesz, csak így lehet csinálni, hanem minden esetet külön kell értékelni, minden helyzetben másképp kell viselkedni, más megoldást kell találni.

Az Óvás! Egyesület, illetve az Ön munkája is tulajdonképpen házról házra történő felméréseken és elképzeléseken alapul?

Az Óvás!, mint egyesület nem tud felméréseket végezni, ilyen szisztematikus munkákra nincs kapacitása. Az egyes tagok, ahogy említettem Ladányi Jánost vagy Kemény Máriát is, a munkájuk során végeztek felméréseket. Az én esetem is ilyen, hogy a tíz éves kutatómunkám csúszott össze az egyesület munkájával. Még nem is volt Óvás!, amikor nekem már komoly anyagaim voltak. Ez ilyen szempontból egy szerencsés véletlen, mert így szinte minden épületet ismerünk, ezért könnyen mozgunk ezen a területen. Ha egy épülettel történik valami, rögtön tudjuk, hogy miről van szó. Nagyon gyakran megkérnek, hogy segítsünk egy másik kerületben. Az nehezebb, mert nem vagyunk eleve tisztában a helyzettel, nem feltétlenül ismerjük a szabályozást, külön munkát jelent ezeknek utána járni, megismerni az épület történetét, stb..

Van a szervezetnek ezekre a külső munkákra is kapacitása? Vagy újabb embereket kell bevonni ahhoz, hogy bővíthesse a tevékenységét?

Jó lenne, csak nem olyan egyszerű. Ez egy nagyon naiv kérdés, ugyanis a munka rendkívül nagy időtöltést jelent, anélkül, hogy pénz járna érte, amit nem mindenki vállal. Nem úgy van, hogy szólok ennek vagy annak, és megcsinálja. Nem. Mindig kiderül, hogy ki az, akire lehet számítani, és ki az, akire nem. Egyébként, ha van valami nagyobb munka vagy projekt, mint amilyen volt az alternatív terv elkészítése, ami egy hosszú folyamat volt és állandó intenzív munka, akkor az Óvás! tagjai is pénzt kaptak érte, mert e-mögött például, a Soros Alapítvány támogatáából, volt pénz. Ha hat hónapig dolgozik valaki intenzíven egy terven, azt nem lehet ingyen csinálni. De a tanácsadást, utánanézést vagy azt, hogy most a Szigetre készülünk mindenki juttatás nélkül csinálja. Mi kis szervezet vagyunk, kicsi csapat, elsősorban a zsidónegyedre koncentrálunk, nem tudunk mindennel foglalkozni. Lehetne országos is a szervezetünk, mert ezek a problémák, amikkel mi szembenézünk, mindenhol léteznek, és nagyon hasonlóak. Például Jánoshalmán is van egy hasonló helyzet, amibe véletlenszerűen kerültünk bele, és próbáltunk segíteni, de mindenhol nem tudunk. Az a jó, ha különböző közösségek alakulnak és mindenki a saját területén fölvállalja azt, amit tud, amihez ért, amire képes. Persze vannak a nagyobb szervezetek, mint a Városvédő Egyesület, a Védegylet, a Levegő Munkacsoport, akikkel nagyon gyakran együtt dolgozunk, és akik akár az országos, vagy akár az egész főváros dolgait is föl tudják vállalni.

Ha egy ideális állapotot képzelnénk el, mi lenne az, amibe a zsidónegyednek kerülni kellene az Óvás! szerint?

Nagyon sok minden hiányzik. Az UNESCO is kérte a magyar államtól, hogy alakítson ki egy olyan támogatási rendszert, ahol előnyösebbé válik rendbe hozni egy épületet, mint újat építeni. Jelenleg a régi házak, lakások felújítása mögött nincs támogatási rendszer. Azokban az országokban, ahol rendbe hoztak régi történelmi negyedeket, ott ez létezett, létezik. A magyar állam sajnos még most sem ment el ebbe az irányba, bár az UNESCO-nak írt jelentéséből kiderül, hogy ezt szándékában áll majd valamikor megtenni, de továbbra sem jelölt meg időpontot. Persze e nélkül is lehet másképp gondolkodni és másképp cselekedni, de ez egy nagyon fontos lépés lenne. Mi mindenképpen rehabilitációban gondolkodunk. Abban, hogy a zsidónegyedben, ahol már annyi mindent tönkretettek, annyi embert akarata ellenére is elköltöztettek, nem szabad egyetlen egy házat sem lebontani, további lakókat erőszakosan elküldeni. Ilyenkor persze azt mondják, hogy mi mindent meg akarunk tartani. Nem. De már 30-40%-a hiányzik a régi épületeknek, és ami helyettük épült, az elfogadhatatlan. Van egy határ a történelmi negyedekben, amin tovább már nem szabad változtatni, mert akkor az nem történelmi többé és a védelem szónak sincs többé semmi értelme. Ezen kívül azt szeretnénk, hogy ne szabályozási tervek szülessenek, hanem először egy rehabilitációs program. Emellett addig is azt, hogy legalább azt a bizonyos 2005 óta létező kezelési tervet, annak megőrzési követelményeit figyelembevegyék. Ha 2005 óta betartotta volna a Kulturális Örökségvédelmi Hivatal és a VI. és VII. kerület az engedélyezések során ezeket az elvárásokat, most nagyon elégedetten beszélgethetnénk az eredményekről. Az a paradox helyzet áll fenn, hogy törvénytelen a szabályozási terv, és az engedélyezések mégis törvényesek.

Az egyesület folyton harcban volt és van az önkormányzattal, az örökségvédelmi hivatallal, a kormánnyal. Civilnek lenni egyenlő harcban lenni?

Attól függ, hogy milyen a kormány vagy az önkormányzat. Civilnek lenni például azt jelenti, hogy a hivatalokban vagy a politikában elfogadotthoz képest más, frissebb, összetettebb módon nézni a világot. Sokszor a szakmai szemlélet is beszűkülhet. A civilek elvileg nincsenek benne abban a szakmai, szervezeti vagy állami struktúrában, ahol a dolgok eldőlnek, ahol a döntések nagyon gyakran megmerevednek. Nincsenek benne a különböző politikai-gazdasági érdekviszonyokban sem, ha igazán szabadok. Mi nem feltétlenül akarunk szembe menni valakivel. Ha az új önkormányzat vagy a Kulturális Örökségvédelmi Hivatal másképp fog gondolkodni és cselekedni, akkor akár partnerek is lehetünk. Csak akkor megyünk szembe, ha a döntéseik nem az értékőrző alapon történő megújulás irányába történnek és hatnak.