lundi 31 octobre 2016

Josef Nadj, plasticien : un parcours dans la ville du mercredi 2 novembre 2016 au dimanche 15 janvier 2017 à Orléans

"Un parcours autour de l’oeuvre plastique et photographique de Josef Nadj
Danseur et chorégraphe, mais aussi dessinateur et photographe, Josef Nadj aura marqué de son empreinte la cité johannique. Pour ses derniers jours à la tête du Centre chorégraphique national d’Orléans, un vibrant hommage est rendu au plasticien, sous La forme d’un parcours à travers la ville.
Oscar Wilde, dans ses Aphorismes, a dit : « Ce qui est vrai de l’art, est vrai de la vie ». Josef Nadj a su faire de la vie son art et de l’art sa vie. Né à en 1957 Kanjiža, en Serbie, l’artiste qui a étudié l’histoire de l’art et de la musique ainsi que les arts martiaux, arrive à Paris dans les années 1980 pour se former au mime. Là, il est foudroyé par la danse contemporaine. À partir de 1995, il s’installe à Orléans pour diriger le Centre chorégraphique national." La suite sur orleans-agglo.fr

La popularité du Fidesz continue de croître

"Un sondage réalisé par l’institut de recherches en sciences sociales TÁRKI indique que la popularité de la coalition chrétienne-conservatrice au pouvoir a augmenté tout au long de l’année. Elle est toutefois à relativiser nettement si l’on prend en compte les 40 % d’électeurs qui n’approuvent aucun des partis parlementaires.
La cote de popularité du Fidesz-KDNP était plus solide à l’été qu’au printemps, et plus solide cet automne qu’à l’été. Le taux d’approbation du Fidesz est passé de 30 % à 32 % de juillet à octobre parmi l’ensemble de l’électorat, incluant les abstentionnistes. Parmi les électeurs décidés à voter, il dépasse même la majorité absolue, avec 54 % d’approbation contre 49 % en juillet." La suite sur hu-lala.org

La Fabrique de la Guerre Froide - Episode 49 de notre feuilleton, aujourd'hui la crise de Budapest en 1956

"La crise de Budapest de 1956 incarne l’un des épisodes les plus violents de la répression soviétique dans ses républiques satellites. On compte 2500 morts, 20 000 blessés et 26000 personnes arrêtées parmi les insurgés qui se soulèvent pour la démocratisation de la société hongroise. Malgré la mort de Staline l’Union soviétique garde une emprise étroite sur les républiques-sœurs." La suite sur franceculture.fr

Fête de Saint Nicolas Pour enfants 7 décembre 2016 de 15h30 à 18h Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

L’Institut hongrois invite les plus jeunes à se réunir pour accueillir et saluer Saint Nicolas. Comme chaque année, sa hotte sera pleine de cadeaux pour ceux qui viendront à sa rencontre. Nous prions les parents de bien vouloir prendre contact avec ses collaborateurs avant le mercredi 30 novembre ( accueil@instituthongrois.fr) s’ils désirent qu’un petit sac de cadeaux soit offert à leur(s) enfant(s).
Contribution au cadeau : 8€/ enfant
Inscription avant le 30 novembre

Béla Bartók et la poésie hongroise Soirée littéraire et musicale 2 décembre 2016 à 20h Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
MTA BTK Zenetudományi intézet, Bartók Archívum
Cette soirée, organisée à l’initiative de l’Association des Amis de l’Institut hongrois en soutien au Prix Hungarica, et placée dans le contexte de l’année Béla Bartók (1881-1945), explorera les relations croisées entre le compositeur et la poésie hongroise du 20e siècle. Bartók n’a pas seulement mis en musique les poètes (E. Ady), mais inspiré nombre d’entre eux, d’A. József à S. Kányádi en passant par S. Weöres, G. Illyés, L. Kassák et tant d’autres.
Guillaume Métayer, chercheur et traducteur littéraire, présentera le dossier « Bartók et la poésie hongroise » paru en août 2016 dans la revue Po&Sie.
Les lectures seront accompagnées au piano par des improvisations de Karol Beffa, compositeur et musicologue, auteur d’une récente biographie intellectuelle et musicale de Ligeti (Fayard).
Le Prix Hungarica bénéficie du soutien d'EDF.
Réservation souhaitée au 01 43 26 89 92 ou accueil@instituthongrois.fr
Entrée : 20€ / 15€ membres / 10€ étudiants
Vin d'honneur


Cinéma - Márta Mészáros : Journal intime 1er décembre 2016 à 20h Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

1984, 102 minutes, VOSTFR
Journal Intime est sans aucun doute le chef-d’œuvre de Márta Mészáros, dans lequel elle dresse une analyse de la société post-stalinienne, mélangeant critiques du système politique et histoire personnelle d’une jeune fille confrontée à un monde où règnent le pouvoir et la méfiance.
Ayant perdu ses parents en Russie durant les purges de Staline, la jeune Julie revient en Hongrie accompagnée de ses grands-parents. La famille est hébergée chez Magda, femme célibataire qui occupe une position de pouvoir au sein du régime en place. Éloignée du monde extérieur, Julie se sent de plus en plus opprimée par Magda et par l’atmosphère qui règne à la maison. Se réfugiant dans ses souvenirs d’enfance et dans le cinéma, elle finit par entrer en contact avec János, jeune ingénieur qui représentera sa seule ouverture sur le monde.
Ce programme a été réalisé grâce au soutien du Comité commémoratif du 60e anniversaire de la révolution de 1956.
Entrée libre
Réservation obligatoire : accueil@instituthongrois.fr

dimanche 30 octobre 2016

La mezzo-soprano hongroise Klara Csordas subjugue Alger

"La célèbre cantatrice hongroise Klara Csordas a animé lundi soir à Alger un concert de musique lyrique dédié au grand compositeur Bela Bartok dont une partie de l'oeuvre constitue une véritable passerelle culturelle entre l'Algérie et la Hongrie.
Accueilli à l'auditorium Aïssa-Messaoudi de la Radio algérienne, le récital, intitulé «Rencontres musicales de Handel à Bartok», invite à méditer l'oeuvre du pianiste compositeur hongrois Bela Viktor Janos Bartok (1881-1945), pionnier de l'ethnomusicologie. Attiré par la beauté et le patrimoine musical de la ville des Zibans (Biskra), le pianiste compositeur hongrois y a séjourné en 1913 où il fut inspiré de ses musiques traditionnelles et a composé et enregistré quelque 250 «rouleaux» (supports cylindriques dont la gravure correspond à l'inscription de signaux acoustiques). «Plusieurs pièces de Bela Bartok, comme Microcosme et autres, sont inspirées de la musique populaire de Biskra», a rappelé l'ambassadeure de Hongrie en Algérie, Helga Katalin Pritz, présente au concert, avant d'ajouter que l'oeuvre de ce grand compositeur constituait «une passerelle entre les deux cultures algérienne et hongroise»." La suite sur youtube.com


Le gazier hongrois MOL termine l'acquisition d'Agip en Rép tchèque

"Budapest - Le groupe gazier et pétrolier hongrois MOL a terminé l'acquisition des stations-service de l'Italien Agip en République tchèque, a indiqué samedi l'agence de presse hongroise MTI.

Le dernier logo des 125 stations-service Agip achetées par MOL disparaitra d'ici au 31 octobre, a indiqué l'agence, en citant le gazier hongrois." La suite sur romandie.com

samedi 29 octobre 2016

L’homme qui voulait sauver les femmes

Salle : Petit Gymnase
Dates : Tous les samedis
Horaires : 15h00
Durée : 1h00
Ouverture des portes 30 minutes avant le début du spectacle

« L’homme qui voulait sauver les femmes » d’après « Semmelweis » de Louis-Ferdinand Céline.

En 1924, Louis-Ferdinand Destouches soutient sa thèse de médecine intitulée « Semmelweis ». En quelques pages fulgurantes, le futur auteur du « Voyage au bout de la nuit »  se passionne pour la découverte géniale et ignorée d’un médecin hongrois.

« Spectacle inattendu et fascinant où acteurs et marionnettes content le combat contre l’obscurantisme » Gilles Costaz

« Thriller poétique » Myriem Hajoui

« étrange et envoûtant »  Armelle Héliot

« Céline voulait du vivant, que ça palpite. Parmi tous ceux qui ont transposé tout ou partie de ses romans ou de sa vie, certains semblent avoir retenu son conseil et choisi de retenir ce qui fait la singularité du ton et du style de cet écrivain plutôt que de s’attacher à rendre le contenu littéral de ses récits. La mise en scène de Semmelweis a su rendre le climat » Anne Baudart, Société d’Etudes Céliniennes

Un spectacle de la compagnie La Mémoire et l’Instant avec Christine Lapsca et Michel Sigalla

A partir du 24 septembre 2016
Tous les samedis à 15h00

Tarif Plein  17€
Tarif réduit 13€ (Gpe de 6 personnes, spécial pro du spec., ticket réduc...)
10€ (étudiants, -26 ans, chômeurs)

Source et réservation sur theatredugymnase.com

D'acier, d'or et d'argent

"La nageuse hongroise Katinka Hosszu, trois fois médaillée d'or à Rio, a développé avec son mari une petite entreprise qui consiste à nager du matin au soir et à multiplier sans fin les compétitions dans le monde entier. Une méthode qui gagne et qui rapporte.
À deux pas coule le Danube, mais c'est comme si rien d'autre au monde n'existait que sa ligne d'eau chlorée et sa furieuse volonté de nager. Le soir pointe sur Budapest, Katinka ne verra pas la nuit tomber. Elle a plongé dans la piscine surannée et pleine de charme de Csaszar-Komjadi, où s'ébattent des femmes sans âge auxquelles elle ne portera aucune attention. Elle aligne les longueurs à bouche que veux-tu. «Je nage comme d'autres vont au bureau, dit-elle, c'est mon travail.» Elle ressortira ainsi du bassin quelque trois heures plus tard, au terme d'une journée entamée dès l'aube par de la musculation." La suite sur lequipe.fr (version payante)

Amour - la critique du film de Karoly Makk

"Ce beau portrait de femmes, témoignage des méfaits du stalinisme, est l’une des œuvres les plus accomplies du cinéma hongrois.
  • Sélection Cannes Classics 2016
  • Année de production : 1971
  • Festival de Cannes 1971 : Prix du Jury
L'argument : Budapest, 1953. Pendant les années staliniennes les plus dures en Hongrie. Le régime de Rakosi multiplie les arrestations arbitraires et de nombreux opposants sont enfermés en secret. Luca vit ainsi dans l’angoisse de ne pas savoir si son mari Janos est vivant ou non. Désirant protéger sa belle-mère malade,elle invente que son fils est en Amérique où il travaille sur un film. La vieille dame vit dans l’attente de la prochaine lettre contant les histoires invraisemblables de son fils devenu là-bas un cinéaste renommé." La suite sur avoir-alire.com

L'ONU rejette la candidature de la Russie au Conseil des droits de l'homme

"L'Assemblée générale de l'ONU a élu ce vendredi 28 octobre et pour trois ans les nouveaux membres du Conseil des droits de l'homme, qui siégera à Genève. Et parmi les 14 pays sélectionnés, un certain nombre de pays ne sont pas connus pour leur bilan en faveur des droits de l'homme. Parmi eux : l'Egypte, la Chine, le Rwanda, l'Arabie Saoudite, ou encore la Hongrie. La surprise cette année a été le rejet de la candidature de la Russie, qui ne siégera plus au Conseil des droits de l'homme." La suite sur rfi.fr

Hongrie: un empire médiatique au service du Fidesz

"La rumeur, qui courait depuis la suspension du grand quotidien d’opposition au début du mois d’octobre, a laissé place aux faits : le journal "Nepszabadsag" a été cédé à une société liée à Lorinc Meszaros, celui que tous les partis d’opposition de gauche et de droite désignent ouvertement comme l’homme de paille du Premier ministre Viktor Orban.
Une interprétation des faits qui est jugée "stupide" par le leader du groupe Fidesz à l’Assemblée, Lajos Kosa, celui-ci arguant que M. Meszaros n’est que l’un des nombreux actionnaires d’Opimus, la société acquéreuse.
Mais le curriculum vitae de l’homme en question ne plaide pas en faveur de cette version. M. Meszaros est en effet un ami d’enfance du Premier ministre et le maire de Felcsut, le bourg qui abrite la maison familiale des Orban. Simple monteur d’installations au gaz, il a acquis au cours des dernières années des centaines d’hectares de terre, un vignoble dans la région de Tokaj et bâti un conglomérat industriel prospérant sur la manne des fonds de l’Union européenne, selon les enquêtes de plusieurs journalistes d’investigation." La suite sur lalibre.be (version payante)

Paul Kern : le soldat hongrois qui n'a pas dormi pendant 40 ans après s'être pris une balle dans la tête

"Nous savons tous que le manque de sommeil est un facteur fondamental pour beaucoup de pathologies. Nous dormons en moyenne durant un tiers de notre vie. Les études ont démontré l’importance du sommeil pour les fonctions immunitaires et la santé globalement. Le manque de sommeil peut engendrer des comportements anormaux ainsi que des burn out. Il se trouve qu’il existe un homme qui n’a pas dormi pendant 40 ans. Paul Kern est un soldat hongrois qui a été touché à la tête par un soldat russe en 1915.

La balle a atteint le lobe frontal mais a pu être retirée. Une fois transporté à l’hôpital, lorsqu’il se réveilla, il ne fut plus jamais capable de s’endormir à nouveau. Cet homme a donc passé 40 ans éveillé. Aucuns médicaments, drogues ni même l’hypnose n’ont pu l’endormir." La suite sur ohmymag.com

vendredi 28 octobre 2016

M4, la quatrième ligne de métro à Budapest

"Le premier tronçon de la nouvelle ligne de métro M4, quatrième ligne de Budapest, a été ouvert ! Indiqué en vert sur les cartes, il couvre 7,4 km du tracé total, prévoit 10 arrêts et passe sous le Danube." La suite sur gotohungary.com

Le pays de la diversité et de la magie

"La partie de la Hongrie située à l'ouest du Danube et à l'est de l'Autriche est celle qui offre la plus grande diversité : c'est là que vous trouverez quelques-unes des curiosités les plus intéressantes que le pays a à offrir. Des bons vins aux grands lacs pour voyager dans le temps, ici rien n'est impossible.
La Hongrie occidentale possède un riche patrimoine d'églises médiévales et de monastères, de châteaux et de forteresses, qui accueillent des festivals d'histoire et de musique tout au long de l'année. Pour découvrir un millénaire d'histoire religieuse et architecturale hongroise et goûter aux traditions viticoles bénédictines, rendez-vous à l'abbaye bénédictine de Pannonhalma. La cathédrale Saints-Pierre-et-Paul de Pécs vous invite à un voyage architectural dans le temps, alors qu'au musée de l'abbaye bénédictine de Tihany, vous pourrez vous faire une idée de la vie du dernier monarque de Hongrie. Pour voir où notre premier roi (et quelques autres après lui) fut couronné, visitez la basilique antique du couronnement de Székesfehérvár. Si vous aimez l'élégance du style baroque, explorez le château Eszterházy à Fertőd, les joyaux de la Hongrie occidentale à Sopron, Kőszeg ou Győr, la ville à l'intersection de trois rivières." La suite sur gotohungary.com

Budapest 1956, La révolution vue par les écrivains hongrois Métayer Guillaume

Budapest 1956, La révolution vue par les écrivains hongrois
Kiadó: Du Félin
EAN: 9782866458522
Könyv nyelve: Français
8 280 Ft

Cikk leírása:
Pour la première fois, les lecteurs français vont découvrir les récits et poèmes consacrés par quelques-uns des plus grands écrivains hongrois à l’insurrection de 1956, cette grande « révolution antitotalitaire » (Raymond Aron) qui a marqué l’histoire et révélé au monde la résistance des consciences à la tyrannie stalinienne.
Sándor Márai, György Konrád, Ferenc Karinthy, Tibor Déry, István Örkény et tant d’autres, jusqu’aux générations plus récentes comme Krisztina Tóth ou István Kemény, nous font revivre ces quinze jours de liberté folle et de rêves brisés, dans des textes pour la plupart inédits en français. De cette épopée de tout un pays, leurs écrits nous montrent toute la complexité humaine : le lyrisme et le courage, mais aussi les douleurs, les doutes et la mémoire contrariée.
© Du Félin

Guillaume Métayer sera à la librairie Latitudes le 10 novembre 2016 (Soirée Un livre Un vin) pour présenter cette anthologie
Fő utca 17.
1011 Budapest
+36 1 488 04 29

 
Sommaire
Milan Kundera, Ouverture
Guillaume métayer, Introduction
Gyula ILLYÉS, Une phrase sur la tyrannie
Tamás ACZÉL, L’Histoire d’une villa
Ferenc KARINTHY, L’Âge de fer
László LADÁNYI, Mystère de novembre
György PETRI, Sur Imre Nagy
Erzsébet GALGÓCZI, Piège à loup [Fragment]
György FERDINANDY, Lignes de force du champ magnétique
György KONRÁD, Promenades dans Budapest en 1956
Sándor KÁNYÁDI, Fragment de journal
István ÁGH, Vœux d’octobre
Sándor MÁRAI, Ange issu du ciel
Iván MÁNDY, Cimetières
Tibor DÉRY, L’Heure des comptes
István ÖRKÉNY, Prière
Árpád GÖNCZ, Arrivée à la maison
Krisztina TÓTH, La Clôture
István KEMÉNY, Cinquante-six
Annexes
Éléments de chronologie
Les traducteurs
Cartes
Notices bio-bibliographiques
A szerző / sorozat bemutatása:
Ancien élève de l’École normale supérieure, agrégé de lettres classiques, Guillaume Métayer est chercheur au CNRS et traducteur littéraire du hongrois et de l’allemand. Il travaille sur la postérité des Lumières en France et en Europe centrale. Il a réuni une équipe de traducteurs pour composer cette anthologie en hommage au soulèvement hongrois de 1956 pour la liberté.
© Du Félin

Source : latitudes.hu

Un musée Houdini à Budapest

"Harry Houdini, grand magicien et prince de l‘évasion est mort il y a 90 ans.
Camisoles de force, noyades, menottes, catastrophes aériennes, il survivait à tout. A Budapest un musée lui est consacré. Il a été cofondé par un passionné David Merlini : “Il y a beaucoup de fous comme moi qui font les ventes aux enchères (où j’ai acheté ces menottes) et qui proposent de bonnes sommes d’argent pour une pièce. La contribution de Houdini tout au long de sa carrière à l’histoire de la magie mais aussi à la culture mondiale est absolument unique.” La suite sur euronews.com

Pour 2024, Budapest fait le plein de partenaires

"L’équipe de candidature de Budapest pour les Jeux de 2024 s’était montrée discrète sur son programme de marketing. Fidèle à son habitude, elle a lancé l’offensive avec un temps de retard sur ses rivales dans la course aux Jeux d’été. Mais elle vient de combler d’un coup une grande partie de son handicap.
La candidature hongroise a révélé jeudi 27 octobre compter actuellement 12 partenaires engagés à ses côtés dans l’aventure olympique et paralympique. Douze d’un coup, dont un sponsor au nom encore inconnu, ayant souhaité conserver pour l’instant l’anonymat. Son programme de partenariat a été lancé en juin 2016." La suite sur francsjeux.com

Hongrie: le principal quotidien d’opposition vendu à un proche d’Orban

" « Nepszabadsag » est la dernière victime d’une concentration mettant en cause le pluralisme et la démocratie libérale.
Les journalistes de Nepszabadsag (« Liberté du peuple ») ne sont donc pas paranoïaques : depuis leur mise au chômage technique et la fermeture brutale du principal quotidien hongrois (46 000 exemplaires par jour), le 8 octobre dernier, ils craignaient que leur journal, libéral, de centre-gauche et très critique envers le pouvoir en place, n’atterrisse entre les mains d’un oligarque proche du premier ministre nationaliste Viktor Orban. Ils avaient, semble-t-il, raison." La suite sur lemonde.fr (version payante)

La justice française s'oppose au renvoi des migrants en Hongrie

"NANTES, 27 octobre (Reuters) - La justice française a confirmé l'annulation du renvoi en Hongrie d'un ressortissant afghan en raison des "défaillances systémiques" de ce pays en matière d'accueil des demandeurs d'asile, une décision qui pourrait faire jurisprudence. Said Mohammad Khan, qui avait vu en août 2015 sa demande d'asile en France rejetée, avait été placé en centre de rétention administrative par le préfet d'Ille-et-Vilaine quatre mois plus tard. Il avait obtenu gain de cause une première fois devant le tribunal administratif de Rennes, qui avait alors annulé la décision préfectorale." La suite sur boursorama.com

Sur la BBC, Péter Szijjártó en avocat embarrassé de la Hongrie

"Référendum sur les quotas de réfugiés, violences policières et Brexit étaient au menu de l’interview de Péter Szijjártó, ministre hongrois des affaires étrangères, invité jeudi dernier de l’émission HARDTalk, présenté par Stephen Sackur sur la BBC.
Londres (correspondance) – Multipliant les rires nerveux et autres signes d’inconfort, Péter Szijjártó est apparu sur la défensive tout au long de l’interview menée avec poigne par l’animateur britannique Stephen Sackur. Le ministre hongrois a ainsi préféré s’en tenir à la stricte langue de bois gouvernementale concernant les accusations de violences policières à l’encontre des réfugiés, révélées par l’ONG Human Rights Watch. Et a accusé systématiquement de menteurs toutes les personnes se permettant de remettre en cause la version officielle définie par le gouvernement." La suite sur hu-lala.org

« Le jeu du Chat et de la Souris » du Hongrois Istvan Orkeny au Théâtre de l’Épée de Bois

"Deux sœurs largement sexagénaires; deux conceptions opposées de la vie et deux parcours contraires. Des échanges tendres et rudes qui nous parlent d’âge avancé et de passion, de solitude et d’amitié, de déracinement et d’enracinement, Une pièce du hongrois Istvan Örkény qui nous parle de la vie avec humour, avec le même humour de la mort aussi. Attendrissant, élégant et enthousiasmant.

Une vidéo puis une photo de deux fillettes gambadant heureuses dans les champs; sur scène sous un plaid rouge deux jeunes filles se chamaillent, jouent à la bagarre comme jouent les enfants. L’introduction rapide de la pièce sera dans cette figuration universelle presque banale en cela que la vie est simple voire simpliste lorsqu’elle est saisie dans nos souvenirs d’enfance nostalgiques autant que fallacieux; et, après cette intro, ce bonheur et cette harmonie que seule la jeunesse armée d’insouciance garantit vont laisser place, plus de cinquante ans plus tard au spectacle émouvant d’un amour pour la vie d’autant féroce que bientôt la maladie et la vieillesse viendront triompher de ce que la guerre n’aura réussi à prendre." La suite sur toutelaculture.com

Du 25 octobre 2016 au 13 novembre 2016
Horaire d'ouverture : 20:30 à 21:45
Théâtre de l’Epée de bois
Adresse : Cartoucherie - Route du Champs de manoeuvre , Paris, 75012
Vous pouvez acheter vos places en ligne, ou par téléphone au
01 48 08 39 74
du lundi au samedi
de 12h à 19h.
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jeudi 27 octobre 2016

La Facebook-politique d’opposants bouscule le Premier ministre Orbán

"Fondée fin 2012 par l’ex-Premier ministre hongrois, la petite formation libérale de centre gauche Együtt engrange des milliers de sympathisants grâce à une timeline débordant d’idées.
Sur son blog, Balázs Berkecz dissimule difficilement sa joie. Le concert de sifflets organisé, dimanche dernier (23 octobre), par son parti était si puissant qu’il a obligé Viktor Orbán, le Premier ministre hongrois, à élever la voix pour recouvrir le vacarme.
C’était le but du happening planifié via Facebook. Pourrir le discours-hommage aux insurgés anti-soviétiques d’octobre-novembre 1956 ayant combattu crânement (et vainement) les chars de Moscou mateurs de rébellion. Les écoutilles de Berkecz en « picotent encore »." La suite sur rue89.nouvelobs.com

Népszabadság tombe dans l’escarcelle du pouvoir

"La cession du groupe de presse Mediaworks, anciennement propriété de la holding autrichienne Vienna Capital Partners, à la société Opimus Press Zrt. a été confirmée mardi soir. Le montage financier, les rouages de la manœuvre et les personnes impliquées restent encore un peu obscurs à ce jour, mais la société Opimus est décrite par la presse hongroise comme «proche» d’un des hommes de paille du régime Orbán. Opimus détient désormais une dizaine de titres de la presse régionale ainsi que l’emblématique journal d’opposition Népszabadság.
La nouvelle était attendue depuis deux semaines. Elle est désormais publique et officielle : le Népszabadság ainsi que de nombreux titres de la presse quotidienne régionale sont désormais la propriété d’Opimus Press Zrt., une société hongroise réputée proche de Lőrinc Mészáros, bourgmestre de Felcsút, artisan gazier devenu milliardaire (en forints), et considéré par beaucoup comme un homme de paille de Viktor Orbán. " La suite sur hu-lala.org

Vendée Globe: les papys font de la résistance

"Place aux vieux! Tel pourrait être le slogan de 4 des 29 skippers du Vendée Globe, sexagénaires bien dans leur peau et venus chercher dans cette course autour du monde en solitaire l'occasion de vivre une aventure extrême, un (ultime ?) défi à l'échelle planétaire.
L'Irlandais Enda O'Coineen (61 ans), le Hongrois Nandor Fa (63), le Néerlandais Pieter Heerema (65) et l'Américain Rich Wilson (66), doyen de la course, savent parfaitement qu'ils ne gagneront pas l'"Everest des mers", dont le départ sera donné le 6 novembre des Sables-d'Olonne." La suite sur lepoint.fr

De la propagande matin…midi…et soir

"Vous reprendrez bien un peu de propagande anti-migrants ? Alors voici…
Mercredi matin, un policier, Péter Pálvölgyi, a été abattu lors d’une perquisition dans la commune de Bőny, proche de Győr, dans l’ouest de la Hongrie. L’homme qui a tiré a été arrêté après l’intervention de l’unité de police antiterroriste TEK. Son identité a été dévoilée par les médias dans les heures qui ont suivi : il  s’agit d’István Győrkös, un homme de 74 ans bien connu de la police et des milieux ultra-radicaux de l’extrême-droite, puisqu’à la tête d’un groupuscule paramilitaire hungariste, d’inspiration néo-nazie, Magyar Nemzeti Arcvonal (Front national hongrois). La police a découvert un arsenal d’armes à son domicile." La suite sur hu-lala.org

Policier abattu en Hongrie : un militant d'extrême-droite suspecté

"En Hongrie, des dizaines de voitures de police dans le village de Bony dans le nord-ouest du pays après la mort d’un policier. Le tireur serait un homme de 74 ans, fondateur d’une organisation d’extrême-droite. Il aurait été condamné à une peine de prison avec sursis dans les années 90 pour la diffusion de propagande nazie.
Sa maison fait l’objet de fouilles, il est suspecté de posséder de nombreuses armes à feu." Source : euronews.com

La Hongrie soutient le traité de libre-échange CETA

"La signature de l’accord économique et commercial global (Comprehensive Economic and Trade Agreement, CETA) entre l’Union européenne et le Canada est dans l’intérêt de la Hongrie, a fait savoir le ministre des Affaires étrangères, Péter Szijjártó, depuis le Canada où il se trouve justement en visite officielle.
«Il serait dans l’intérêt clair de la Hongrie, de son économie et des entreprises hongroises que l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada soit signé le plus rapidement possible, compte tenu du fait que […] les entreprises européennes, y compris hongroises, connaissent un désavantage concurrentiel sur le marché canadien par rapport aux entreprises américaines et mexicaines», a déclaré le ministre à l’agence de presse hongroise MTI." La suite sur hu-lala.org

Aider les migrants et aller en prison? La vie en Europe est complexe…

"Les volontaires qui aident les réfugiés en Europe, sont-ils vraiment des complices de terroristes? Depuis le début de la crise migratoire, les Européens se posent de nouvelles questions en matière de sécurité. Ces craintes sont parfois poussées jusqu’à l’absurde. Une bénévole hongroise risque même une peine de prison.
L'arrivée massive des migrants a divisé les Européens dont certains craignent, et non sans raison, la montée du terrorisme. Mais ces craintes sont parfois poussées jusqu'à l'absurde. Une volontaire de Budapest, Adele Nagy, 38 ans, risque d'être condamnée à 20 ans de prison pour avoir aidé les réfugiés." La suite sur sputniknews.com

Amour (1971) : Une pépite hongroise à redécouvrir ! (le 21 décembre en salles)

"Budapest, 1953. Pendant les années staliniennes les plus dures en Hongrie. Le régime de Rákosi multiplie les arrestations arbitraires et de nombreux opposants sont enfermés en secret. Luca vit ainsi dans l’angoisse de ne pas savoir si son mari János est vivant ou non. Désirant protéger sa belle-mère malade, elle invente que son fils est en Amérique où il travaille sur un film. La vieille dame vit dans l’attente de la prochaine lettre contant les histoires invraisemblables de son fils devenu là-bas un cinéaste renommé.
Tourné en 1970, « Amour » a été récompensé par le Prix du Jury ainsi que le Prix de l’Office Catholique internationale du cinéma au Festival de Cannes un an plus tard. A 90 ans aujourd’hui, Karoly Makk fait parti des cinéastes hongrois les plus célèbres même s’il n’a plus réalisé de film depuis 2003. Si la relève du cinéma hongrois est assurée avec le jeune Laszlo Nemes, auteur de l’étouffant mais brillant « Le fils de Saul », il convient de revenir sur l’oeuvre de Karoly Makk, à l’occasion de la ressortie d’ « Amour » en copie restaurée le 21 décembre." La suite sur nosmeilleursfilms.fr

Ne parlez plus des réfugiés de 1956 à la Hongrie

"La Hongrie refuse de participer à une conférence ce jeudi à Genève sur l’accueil des centaines de milliers de réfugiés hongrois qui avaient fui la répression soviétique en 1956.
Le professeur hongrois Otto Hieronymi ne décolère pas contre son pays d’origine. Il y a 60 ans, il avait fui Budapest après l’écrasement du soulèvement de Budapest par les chars soviétiques. Aujourd’hui âgé de 78 ans, ce professeur à la Webster University avait organisé pour ce jeudi une conférence sur les réfugiés hongrois dans l’enceinte de l’ONU. Les exilés hongrois avaient à l’époque été accueillis à bras ouverts dans le «monde libre». Quelque 200 000 personnes réparties entre les pays européens, dont la Suisse, les Etats-Unis ou le Canada. N’y a-t-il pas matière à inspiration pour résorber la crise des réfugiés actuelle? L’intention du colloque, pas le premier du genre, était louable, mais, rien ne s’est passé comme prévu." La suite sur letemps.ch

mercredi 26 octobre 2016

La Hongrie construit une nouvelle barrière anti-migrants

"La Hongrie a lancé la construction d’une nouvelle barrière anti-migrants le long de sa frontière avec la Serbie, au sud. Deux nouveaux systèmes de barrières sont actuellement testés sur un tronçon de 10 km, avant le début réel des travaux." La suite sur euronews.com

Hongrie. L'historien Kecskés analyse la mémoire autour de 1956

"Il y a soixante ans, un soulèvement populaire contre la dictature communiste était réprimé dans le sang par les tanks soviétiques. Le Premier ministre Viktor Orbán a voulu veut faire du 60e anniversaire de la révolution hongroise une tribune nationaliste, dimanche. Les manifestations ont connu quelques heurts, entre les partisans de son parti conservateur, le Fidesz, et des mouvements de gauche qui ne font pas la même lecture de l'insurrection de Budapest, en 1956. Entretien.

Que représente la révolution de 1956 dans la conscience collective ?

Pendant le communisme, les souvenirs de 1956 sont tombés un peu dans l’oubli car on n’avait pas le droit de parler publiquement de la Révolution et c’était même un tabou jusqu’au sein des familles. La société hongroise a oublié ce qu’il s’était passé. Jusqu’à l’effondrement du système communiste en 1989, les événements de 1956 étaient considérés officiellement comme une « contre-révolution »." La suite sur ouest-france.fr

Hongrie: Ferenc Gyurcsány, le meilleur ennemi de Viktor Orbán

"Il est la bête noire de Viktor Orbán, le seul qui soit aussi charismatique que lui, le seul capable de lui infliger une cuisante défaite lors d’un face-à-face télévisé. Leur affrontement a polarisé la Hongrie dans la seconde moitié des années 2000. Puis Ferenc Gyurcsány (prononcer "diour-tchagne"), jeune star du Parti socialiste, ministre de la Jeunesse et des Sports puis Premier ministre de 2004 à 2009, a explosé en plein vol : discrédité par sa réélection controversée en 2006, terrassé par la crise de 2008 et finalement contraint à la démission. Aujourd’hui, simple député, il vient de décider de boycotter le Parlement avec les trois autres députés du parti qu’il a fondé en 2011, la Coalition démocratique. Il s’agit de "montrer que nous ne voulons rien avoir à faire avec ce régime" , comme il l’explique, dans son bureau à Pest, la partie de la capitale qui se trouve sur la rive orientale du Danube. "Après 2010, il est devenu clair que la Hongrie n’était plus une démocratie. Pas non plus une dictature, mais quelque chose entre les deux : un régime autoritaire. Pour les représentants de la Hongrie démocratique, le dilemme est de coopérer avec et de maintenir l’illusion de la démocratie, ou de se retourner contre lui" , défend-il." La suite sur lalibre.be (version payante)

Les errements de la démocratie en Hongrie, c’est aussi la responsabilité de l’Union européenne

"La victoire proclamée le soir du référendum invalidé le 2 octobre, la «nouvelle unité ni de gauche, ni de droite, mais simplement hongroise» décrétée par le gouvernement hongrois, ainsi que la disparition brutale du journal Népszabadság ont plongé les opposants au Fidesz dans la stupeur.

Ce qui suit est la traduction d’un éditorial écrit par la sociologue spécialiste des médias Mária Vásárhelyi, publié le 13 octobre 2016 dans l’édition papier de l’hebdomadaire Heti Világgazdaság sous le titre «La fin d’une illusion» («Egy illúzió vége»).

Beaucoup d’entre nous ont cru que l’adhésion de la Hongrie à l’Union européenne était importante surtout du fait que, en tant que membre d’une communauté démocratique des États européens, nous aurions la garantie que certaines choses ne se reproduiraient pas dans ce pays." La suite sur hu-lala.org

Châteauroux : un pianiste prodige de 13 ans en ouverture des Lisztomanias

"La 15ème édition des Lisztomanias de Châteauroux (Indre) s'est ouverte lundi par le récital de Misi Boros. Cet ado hongrois de 13 ans est une célébrité dans son pays et un virtuose du piano invité dans le monde entier.
Franz Liszt avait 6 ans lorsqu'il a commencé le piano. Misi Boros lui était âgé de 4 ans lorsque ses parents lui ont offert son premier piano. Deux siècles séparent les deux compatriotes hongrois mais Misi Boros est bien le digne héritier du célébrissime compositeur." La suite et vidéo sur francebleu.fr

Budapest convoque l'ambassadeur russe après des propos "dégradants" sur le Soulèvement de 1956

"Le ministère des Affaires étrangères hongrois a convoqué l'ambassadeur russe à Budapest après que la télévision nationale russe a parlé d'une manière jugée "dégradante" du Soulèvement hongrois de 1956, a annoncé ce ministère mardi.
"Nous allons faire savoir très clairement que nous ne tolérons de personne qu'il s'exprime d'une manière dégradante au sujet du Soulèvement de 1956 et de ses héros", a-t-il indiqué à l'agence de presse nationale MTI.
Le Soulèvement de Budapest, dont la Hongrie a célébré les 60 ans dimanche, a été qualifié par la télévision nationale Rossia 1 de simple "émeute". Elle a en outre affirmé que "des milliers d'anciens nazis (la Hongrie était une alliée de l'Allemagne d'Hitler lors de la Seconde guerre mondiale) retrouvent alors la liberté"." La suite lorientlejour.com

La révolution hongroise de 1956 - La marche de l'histoire sur France Inter

"Alors que le 23 octobre est devenu fête nationale, en souvenir du début des évènements de 1956, son interprétation n’est certes pas stabilisée.
Quand il n’était qu’un jeune opposant prometteur, en 1989, Viktor Orban tenait un discours différent de celui d’aujourd’hui. Son adversaire à l’époque n’était pas l’Union européenne mais l’Union soviétique dont il exigeait le départ de son pays.
Alors que le 23 octobre est devenu fête nationale, en souvenir du début des évènements de 1956, son interprétation n’est certes pas stabilisée." La suite et l'émission sur franceinter.fr

La cantatrice hongroise Klara Csordas subjugue Alger

"La célèbre cantatrice hongroise Klara Csordas a animé lundi soir à Alger un concert de musique lyrique dédié au grand compositeur Bela Bartok dont une partie de l'oeuvre constitue une véritable passerelle culturelle entre l'Algérie et la Hongrie.
Accueilli à l'auditorium Aïssa-Messaoudi de la Radio algérienne, le récital, intitulé «Rencontres musicales de Handel à Bartok», invite à méditer l'oeuvre du pianiste compositeur hongrois Bela Viktor Janos Bartok (1881-1945), pionnier de l'ethnomusicologie. Attiré par la beauté et le patrimoine musical de la ville des Zibans (Biskra), le pianiste compositeur hongrois y a séjourné en 1913 où il fut inspiré de ses musiques traditionnelles et a composé et enregistré quelque 250 «rouleaux» (supports cylindriques dont la gravure correspond à l'inscription de signaux acoustiques)." La suite sur lexpressiondz.com

Hongrie : l'éditeur du journal suspendu Népszabadság vendu à un groupe proche du pouvoir

"Budapest - L'éditeur du journal d'opposition suspendu Népszabadság a été vendu au groupe Opimus, proche du gouvernement, a annoncé mardi soir la bourse de Budapest.
Opimus Press Zrt annonce avoir obtenu 100% des actions de Mediaworks Hungary Zrt, a annoncé le site officiel de la Bourse de Budapest.
Opimus Press est une nouvelle société créée au cours de l'année et qui selon la presse hongroise se trouve dans la sphère d'intérêt de l'oligarque Lörinc Mészáros, proche du Premier ministre hongrois Viktor Orban." La suite sur romandie.com

Les commémorations de 1956 à Budapest en photos

"Soixante ans, ça se fête ! Surtout lorsqu’il s’agit d’honorer la mémoire de martyrs, au nombre de deux ou peut-être même trois mille. Auxquels il faut ajouter dix mille blessés, des incarcérations par milliers et trois cents exécutions. Problème : les interprétations historiques divergentes et instrumentalisées réduisent 56 à un simple outil de politique intérieure. Et cela se ressent nettement sur l’atmosphère général des festivités…
Quelques milliers de personnes ont répondu à l’appel de trois partis de gauche et du centre. La petite scène et le décor de la place Blaha Lujza faisaient bien pâle figure et même un peu pitié en comparaison du décor grandiose dans lequel a eu le plaisir d’évoluer le gouvernement…" La suite sur hu-lala.org

mardi 25 octobre 2016

Les leçons oubliées du soulèvement de Budapest

"Il y a soixante ans, en octobre 1956, les Hongrois se soulevaient contre l'URSS. Des combats héroïques dans les rues de Budapest qui ont fait 2.500 morts du côté hongrois et 700 dans l'armée soviétique. « Un coup mortel pour le stalinisme et une scission dans le mouvement communiste international » (trois ans après la mort de Staline), écrit « The Times ». Le journal rappelle l'exil de plus de 200.000 Hongrois fuyant vers l'Autriche et la liberté. « L'Occident avait alors ouvert son coeur et ses portes », écrit le quotidien. Même le Royaume-Uni, englué alors dans la crise de Suez, avait accepté des milliers de réfugiés." La suites sur lesechos.fr

lundi 24 octobre 2016

Trio Yengibarian- Jazzycolors festival 26 novembre 2016 à 20h Centre Culturel de Serbie

Centre Culturel de Serbie 123 Rue Saint-Martin 75004 Paris
Réservation : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44




Photo : Zsolt Batar

L’Arménien David Yengibarian est un compositeur-interprète incontournable de la scène jazz et musique du monde en Hongrie. Il a quatre disques à son actif et a également composé la musique de plusieurs films et productions théâtrales. Son univers musical est empreint d’influences multiples : tradition arménienne, jazz américain et européen, tango argentin, musique d’Astor Piazzolla.
Avec le percussionniste Márk Badics et le bassiste István Bata, il forme le Trio David Yengibarian dont le dernier album, Mariage a été enregistré en collaboration avec le cymbaliste Miklós Lukács.
Entrée : 5€ | 8€
Réservation obligatoire : accueil@instituthongrois.fr

Basket ball - Le match Nanterre 92 – KC Sopron aura lieu le Mercredi 9 Novembre à 20h30

Le match Nanterre 92 – KC Sopron aura lieu le Mercredi 9 Novembre à 20h30 dans le cadre de la FIBA Europe Cup.
Les informations billetterie sont disponibles sur www.nanterre92.com
Les places sont de 5€ à 15€ pour le match.

Présentation de livre 29 novembre 2016 à 19h Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44



Objets rapportés par Géza Róheim lors de son voyage d'étude en Papouasie Nouvelle-Guinée.
Double statue anthropomorphe en bois
Collection Océanie, Musée ethnographique (Budapest) / n° 131.559 / 43 x 28 cm / Papouasie Nouvelle-Guinée, Îles d’Entrecasteaux, Duau, Loboda.
Copyright 2016, Néprajzi Museum, Samuel Rambaud

La collection « nouveau document » met à l’honneur pour son premier numéro une figure majeure des sciences humaines de la première moitié du 20e siècle, l’ethnologue et psychanalyste hongrois Géza Róheim. Cet ouvrage réunit une dizaine de contributions de chercheurs et universitaires, hongrois, français, anglais, belges et australiens, une riche iconographie, ainsi qu'une série de correspondances, traçant un portrait de ce penseur trop longtemps méconnu.
Témoin privilégié et acteur d'une époque en transition – entre la vision du monde et les théories du 19e siècle et celles du 20e siècle – Róheim prendra part au foisonnement de la psychanalyse de ce début de siècle, voyant naître des chemins nouveaux et aventureux se dégageant progressivement de la présence souveraine de Freud, sans jamais parvenir totalement à inscrire sa vision dans cette dynamique.
A la fois marginal, progressiste, expérimentateur, défricheur, inventeur et pluridisciplinaire, Róheim est aujourd'hui encore une figure discutée, qui nous parle avec force et originalité de la forme d'une recherche en sciences humaines et d'un échec tout aussi magnifique que fructueux.
Intervenants :
Roger Dadoun (philosophe, psychanalyste, traducteur et critique d'art français)
Ferenc Erős (Professeur de psychologie sociale, Pécs, Hongrie).
Entrée libre
Réservation recommandée : accueil@instituthongrois.fr

Close Encounters with Vilmos Zsigmond Un documentaire de Pierre Filmon Sortie nationale : 16 novembre 2016

Festival de Cannes | Cannes Classics

Sans Vilmos Zsigmond (disparu le 1er janvier 2016), le cinéma américain des années soixante-dix ne serait pas le même. Invité à Paris en 2014 pour évoquer sa carrière, ce mythique chef opérateur accepte de passer devant la caméra pour une rencontre d’un autre type.

C’est l’histoire de deux hommes. L’un au sommet de sa gloire, couronné à Cannes pour l’ensemble de sa carrière, par le prix de l’American Society of Cinematographers en 1999. L’autre, réalisateur et scénariste, rêvant de travailler avec le plus grand des chefs opérateurs, pour son premier long-métrage, A Dream Last Night. D’un projet de collaboration professionnelle entre les deux naît une amitié, et de cette amitié, une évidence : que l’un filme l’autre. Dans un documentaire qui sortira en salles à l’automne 2016, « Close Encounters with Vilmos Zsigmond » le français Pierre Filmon suit ainsi ce géant du cinéma, à Los Angeles, Budapest et Paris, et revient sur la personnalité d’un des Hongrois les plus célèbres d’Hollywood.

L'insurrection de Budapest : 60 ans après, Ferenc se souvient

"L’insurrection de Budapest, c‘était il y a soixante ans, jour pour jour. Le 23 octobre 1956, ont lieu les premières manifestations pour dénoncer l’oppression de l’Union soviétique. Les étudiants sont en première ligne. Spontanément, une marche s’organise au coeur de la capitale hongroise jusqu’au Parlement.
Ferenc Vogyerak a 18 ans en 1956. Il est étudiant. Nous revenons dans l‘école où il se trouvait quand il a pris connaissance des événements.
“L’atmosphère était réellement révolutionnaire. Et ici, après cela, les cours se tenaient disons dans des circonstances de temps de guerre”, raconte t-il." La suite sur euronews.com

Il y a 60 ans, la révolution de Budapest, une vraie guerre urbaine

"(B2) Le souvenir de la révolution s’est émoussé… Et on oublie que ce qui a commencé le 23 octobre 1956 et a duré juste quelques semaines jusqu’au 4-5 novembre (11 novembre pour les derniers combats) dans les rues de Pest, de Buda et des alentours a été une vraie bataille urbaine, la dernière sans doute du continent européen avant les batailles yougoslaves à l’horizon des années 1990 (1).
Ce ne sont pas seulement quelques étudiants, ouvriers et intellectuels qui se soulèvent (une véritable révolution au sens marxiste du terme). C’est en effet une partie de la police hongroise et de l’armée hongroise (2)(3) qui basculent en quelques heures, quelques jours, avec armes et bagages du coté des insurgés. Seule la police politique fortement armée (AVH) reste fidèle en fait aux forces d’occupation." La suite sur bruxelles2.eu

Hongrie : sifflets anti-Orban lors des commémorations du Soulèvement de 1956

"Des sifflets visant le Premier ministre conservateur Viktor Orban et des échauffourées ont perturbé dimanche une cérémonie marquant le 60e anniversaire du Soulèvement de Budapest dans la capitale hongroise, ont constaté des journalistes de l'AFP.
Plusieurs centaines d'opposants équipés de sifflets et de cornes de brume s'étaient rassemblés en marge de la cérémonie officielle, organisée devant le Parlement de Budapest et au cours de laquelle M. Orban a défendu sa politique anti-migrants devant quelque 15.000 partisans, selon l'estimation d'un photographe de l'AFP." La suite sur lorientlejour.com

Ces Allemands qui fuient leur pays pour s'installer en Hongrie

"REPORTAGE - En quête d'une vie moins chère et sans migrants, les Allemands sont de plus en plus nombreux à s'installer au pays du très conservateur Viktor Orban. Le phénomène s'est accentué depuis un an avec l'ouverture des frontières aux réfugiés décidée par Berlin.
Envoyée spéciale au sud du lac Balaton
En quête d'une vie moins chère et sans migrants, les Allemands sont de plus en plus nombreux à s'installer au pays du très conservateur Viktor Orban. Le phénomène s'est accentué depuis un an avec l'ouverture des frontières aux réfugiés décidée par Berlin.
« Je n'ai jamais eu autant de demandes de renseignement en provenance d'Allemagne.Tous me parlent de leur crainte d'être envahis par les étrangers : c'est la raison principale de leur déménagement» " La suite sur lefigaro.fr (version payante)

Hongrie : Orban dénonce la «soviétisation» de Bruxelles et défend l'Etat nation

"Lors de la commémoration de la révolte anti-communiste de 1956, le Premier ministre hongrois a comparé l'UE à une soviétisation, plaidant pour une maîtrise des frontières et le triomphe de l'Etat nation pour faire face à l'immigration de masse.
«Les peuples qui aiment leur liberté doivent sauver Bruxelles de la soviétisation, de gens qui veulent nous expliquer comment nous devons vivre dans nos propres pays», s'est enflammé Viktor Orban lors de son discours devant plusieurs milliers de personnes, le 23 octobre à Budapest. Il en a profité pour rappeler que, d'après lui, les vrais garants de la liberté en Europe étaient la chrétienté et l'Etat nation." La suite sur rt.com 

dimanche 23 octobre 2016

Viktor Orbán chahuté lors de la fête nationale hongroise

"La Hongrie célébrait aujourd’hui les soixante ans de l’insurrection de Budapest contre l’armée soviétique. Dans un climat tendu, des centaines de manifestants ont sifflé ce dimanche le discours du Premier ministre Viktor Orbán, en présence du président polonais Andrzej Duda. Devant le Parlement, quelques bagarres mineures ont éclaté dans la foule et un éminent intellectuel a reçu un coup au visage.
Budapest – L’ambiance n’étais pas à l’union nationale, alors que le pays célébrait ce dimanche le soixantième anniversaire de l’insurrection de Budapest contre l’armée soviétique. Le gouvernement avait pourtant voulu faire les choses en grand, invitant notamment le président polonais Andrzej Duda à prononcer un discours aux côtés de Viktor Orbán devant le Parlement. Mais les cérémonies officielles ont été débordées par l’actualité politique, particulièrement tendue depuis la suspension du principal journal d’opposition Népszabadság, considérée par la gauche comme une énième preuve du tournant autocratique du Fidesz au pouvoir." La suite sur hu-lala.org

Katinka Hosszu a remporté trois courses à Singapour

"Après son quadruplé de vendredi, la Hongroise Katinka Hosszu a remporté samedi trois autres courses lors de l'étape de Coupe du monde en petit bassin de Singapour : le 200m et 400m nage libre et le 200m quatre nages. Doublé pour Vladimir Morozov et Jeanette Ottesen-Gray.
Katinka Hosszu a confirmé samedi lors de la deuxième journée de l'étape de Coupe du monde en petit bassin de Singapour qu'elle était une des deux reines de la natation mondiale avec Katie Ledecky. Auteure d'une quadruplé vendredi, la Hongroise a remporté trois autres courses : le 200m, le 400m et le 400m quatre nages." La suite sur lequipe.fr

Quadruplé pour Katinka Hosszu

"Katinka Hosszu a remporté quatre épreuves vendredi lors de la première journée de l'étape de Coupe du monde en petit bassin de Singapour.
La stakhanoviste Katinka Hosszu a encore frappé. La Hongroise a remporté quatre médailles d'or lors de la première journée de la septième étape de la Coupe du monde en petit bassin, sur 200m, 200m dos, 200m 4 nages et 100 m papillon. Elle a notamment battu Jeanette Ottesen, qui menait à mi-course, lors du 100m papillon. La Danoise s'est consolée ensuite en s'imposant sur 50m. Il n'a manqué que trois centièmes à Hosszu pour remporter un cinquième titre avec le 50m dos, où elle a été devancée par l'Australienne Emily Seebohm, victorieuse en 26"18." La suite sur lequipe.fr

Sándor Szűcs, pendu pour l’exemple

"Il avait tout pour réussir. Titulaire indiscutable à Újpest, régulièrement appelé pour défendre les couleurs de sa sélection nationale, Sándor Szűcs faisait partie de cette prometteuse génération du football hongrois des années 1940. Mais il a brutalement perdu le fil de sa belle carrière, avant de perdre la vie. Ou quand une histoire d’amour peut conduire jusqu’à l’échafaud.

Du Szolnok MAV à Újpest


Meurtrie par six années de conflit, l’Europe commence tout juste à panser ses plaies lorsque, le 20 août 1945, la Hongrie reçoit l’Autriche à Budapest. Les spectateurs ne le savent pas encore, mais ils vont assister aux débuts internationaux d’un des plus grands footballeurs de tous les temps. Ferenc Puskás étrenne effectivement pour la première fois le maillot magyar. Et marque son premier but sous cette tunique, pour une victoire sans appel (5-2). Parmi ses coéquipiers se trouve alors un certain Sándor Szűcs, solide défenseur central de 24 ans. Qui, sans une terrible décision de justice, aurait sans doute eu un rôle à jouer au sein du mythique « Onze d’or » hongrois du début des années 1950." La suite sur footballski.fr

Buller dans les bassins d’eaux thermales de Budapest

"Les sources d’eau chaude que recèle le sous-sol de la capitale hongroise sont exploitées dans de superbes et nombreux bains publics fréquentés par les Budapestois, mais aussi très appréciés aussi des touristes.
Quoi de plus agréable après une longue journée de visite de la ville que de se prélasser dans les eaux à 38 ° C des piscines d’eau thermale des bains ? Impossible de voyager à Budapest sans sacrifier à cette tradition. Quel délice de se laisser voluptueusement glisser dans ces bassins où se côtoient Budapestois et touristes !
Découvertes par les Romains, les sources thermales de Budapest – on en recense 123 – ont connu leur développement durant le règne ottoman. Les Turcs ont construit dans la capitale hongroise quelques-uns des plus beaux bains au monde, à l’instar des bains Rudas. Et de longue date, la fréquentation de la quinzaine de bains publics, mais aussi des nombreux spas de la ville (la plupart des hôtels de luxe en disposent), s’avère très populaire." La suite sur leprogres.fr

Fête nationale de la Hongrie 2016

  • October 23rd is a national holiday in Hungary commemorating the anniversary of the Hungarian Revolution, also known as the Hungarian Uprising of 1956. Sixty years ago today, on the heels of Poland’s rebellion, students and workers took to the streets of Budapest, and a spontaneous national revolt against Soviet rule erupted. The movement was suppressed on November 4th with the arrival of Soviet tanks in Budapest.
    For three decades, public discussion of the uprising was silenced. That changed in 1989 with the fall of communism in eastern Europe and the official declaration of Hungary as a republic.
    As the tricolor red, white, and green flag is raised today in Budapest’s Kossuth Square, Hungarians pay tribute to the brave citzens who fought for Hungary’s liberty. Patriotic speeches will fill the air, and celebrations will include folk music, dancing, and cultural events.
    Today’s Doodle depicts Hungary’s flag with a hole where the Soviet-style communist symbol was once displayed. Excised by the revolutionaries, the emblem-less flag has became an enduring symbol of freedom in Hungary.

samedi 22 octobre 2016

La Hongrie a la mémoire courte. En maltraitant les réfugiés, elle oublie qu'il y a 60 ans d'autres pays ont accueilli les réfugiés hongrois

"Soixante ans après et à des milliers de kilomètres de là, la peur est encore gravée dans la mémoire de Judy Kepecz-Hays. « Nous marchions dans la forêt en direction de la frontière. Ma mère m'a dit de ne pas faire un bruit », se souvient-elle. « Il y a eu des accidents, des parents qui ont étouffé leur bébé qui pleurait dans leur tentative de ne pas se faire repérer par les soldats. »
 C'était début novembre 1956, peu après la répression violente du bref soulèvement en Hongrie, et Judy Kepecz-Hays fuyait ce pays avec ses parents, son frère de âgé trois ans et sa sœur âgée de 18 mois. Elle avait six ans. « Je me souviens avoir demandé un jour à ma mère ce que c'était que ce liquide rouge dans le caniveau. » " La suite sur amnesty.org

La Hongrie songe à baisser les cotisations sociales

"Baisser les cotisations sociales des entreprises, c’est l’idée du gouvernement hongrois pour gonfler les salaires.
Le ministre hongrois de l’Economie Mihaly Varga a déclaré lors d’une interview télévisée qu’il préparait un programme sur deux à trois ans, qui inclut des mesures visant à inciter les entreprises à augmenter les salaires deux ans après les premiers allègements de charges."La suite sur euronews.com

Arrivée des premiers réfugiés hongrois à Buchs

"Alors qu'ils craignent pour leur vie dans leur pays, les Hongrois affluent en Suisse pour se réfugier. Retrouvez chaque semaine une vidéo de l'actualité suisse des années 1940 à 1976.
La répression brutale par les Soviétiques de l'insurrection hongroise se transforme en bain de sang. Des milliers de Hongrois choisissent donc de quitter le pays pour trouver refuge en Autriche et en Suisse. Ils traversent la frontière à Buchs (SG) et doivent ensuite passer des tests sanitaires." La suite sur 20min.ch

vendredi 21 octobre 2016

Hongrie. Fête nationale mouvementée pour Viktor Orbán

"Budapest commémore ce dimanche 23 octobre les soixante ans de l’insurrection anticommuniste réprimée par Moscou. L’opposition appelle à “un concert de sifflets” contre le Premier ministre lors de son allocution. La presse magyare est, comme d’habitude, très divisée.
Viktor Orbán a connu des séquences beaucoup plus confortables. Entre l’invalidation du référendum sur les quotas de réfugiés et la fermeture du quotidien d’opposition Népszabadság, considérée par ses détracteurs comme un putsch de l’exécutif, cette fête nationale s’annonce mouvementée." La suite sur courrierinternational.com

En Hongrie, les journalistes d'opposition licenciés font un carton dans le journal "Sans abris"

“Népszabadság!”, (prononcer Nipsabadchag) crient les sans-papiers dans les rues de Budapest. Népszabadság, c’est le nom d’un quotidien de gauche, qui vient d‘être fermé le 8 octobre. Ses journalistes ont donc décidé d‘écrire dans le journal “Sans-abris”, vendu par des SDF ou des Hongrois en grande précarité, comme Daniel, retraité : “Il y a une semaine lorsque la radio et la télévision ont commencé à parler de cette initiative, tout le monde a réclamé le journal, les gens pensaient que je ne voulais pas leur vendre, alors qu’en fait je ne l’avais pas encore ! Je pense que ces 200 exemplaires que j’ai seront vendus en quatre heures.” La suite sur euronews.com

En 1956, les héros de Budapest

"Alors que la Hongrie s’apprête à commémorer le soixantième anniversaire du soulèvement anti-soviétique de l’automne 1956, nous avons rencontré les auteurs d’un livre qui célèbre vraiment les héros de l’insurrection de Budapest.
Tout est parti d’une photo. Une photo publiée dans Paris Match en novembre 56 qui montre un couple de deux jeunes insurgés : elle pansement sur la joue, lui arme à la main. Que sont devenus ces deux gavroches héroïques et romantiques des faubourgs ouvriers de Budapest ?
Eszter Balázs, historienne et Phil Casoar, journaliste, sont partis sur leurs traces. Leur enquête a été publiée au moment du cinquantième anniversaire de la révolution, il y a dix ans. Dans quelques jours sortira son édition en hongrois. A travers le destin de ces deux personnages centraux et des nombreuses ramifications, c’est la grande histoire que l’on entrevoit." La suite sur hu-lala.org

Audi et Mercedes manquent de bras en Hongrie

"Les deux marques premium allemandes qui disposent d’usines en Hongrie sont confrontées à un problème.
Comme le rapporte un titre de la presse, Audi et Mercedes, qui continuent à batailler pour garder ou prendre la tête dans leur lutte intestine premium, se retrouvent actuellement en face d’un problème sur le sol hongrois.
En résumé, chez les deux constructeurs qui disposent de complexes industriels notamment à Györ et Kecskemét on manque tout simplement de main d’œuvre." La suite sur leblogauto.com

Le Népszabadság hébergé dans le journal…des sans-abri de Budapest !

"Le journal Fedél Nélkül rend un hommage chaleureux ce jeudi à son confrère disparu.
La situation est tristement ironique. Les journalistes du quotidien de centre-gauche mis au chômage technique par leur direction ont trouvé un hébergement provisoire…dans les colonnes de Fedél Nélkül, le journal vendu par les sans-abri dans les rues de la capitale hongroise." La suite sur hu-lala.org

Explosion à Budapest: un suspect arrêté

"Les autorités hongroises ont annoncé aujourd'hui l'arrestation d'un homme soupçonné d'avoir fait exploser une bombe artisanale qui a blessé deux policiers fin septembre à Budapest et dont les motivations restent mystérieuses.

Le suspect est un Hongrois sans passé judiciaire "arrêté pour suspicion de tentative de meurtre prémédité de plusieurs personnes dont des agents de la force publique, ainsi que pour usage de matériel explosif", a déclaré Imre Keresztes, procureur en charge des investigations, lors d'une conférence de presse. Les enquêteurs avaient rapidement écarté l'hypothèse d'une attaque djihadiste mais aucune précision n'a été apportée sur les possibles motivations, ni sur les indices ayant mené à l'arrestation de cet homme, hier, dans la commune de Keszthely (sud-ouest), à 190 kilomètres de Budapest. Selon le procureur, l'homme arrêté nie les accusations." La suite sur lefigaro.fr

Pour la moitié des Russes, l'URSS a eu raison d'écraser le soulèvement hongrois de 1956

"La moitié des Russes estiment que l'URSS a eu raison d'écraser le soulèvement de Budapest en 1956, selon un sondage du centre Levada paru jeudi, 60 ans après le début de cette insurrection.
Pas moins de 15% des sondés sont "totalement d'accord" et 35% "assez d'accord" avec l'idée que l'URSS a eu raison de réprimer cette révolte populaire contre l'Union soviétique, qui avait commencé le 23 octobre et avait été écrasée dans le sang le 4 novembre 1956 par les chars de l'Armée rouge.
La répression avait fait 2000 morts et entraîné l'exil de 200 000 Hongrois. Plus de 300 personnes avaient en outre été exécutées, dont le Premier ministre Imre Nagy." La suite sur rtbf.be

Le cinéaste hongrois Béla Tarr désigné président du jury du FIFM 2016

"Pour sa 16e édition, le Festival international du film de Marrakech a choisi le cinéaste hongrois Béla Tarr pour présider le jury.
Pour l’année 2016, c’est le réalisateur hongrois Béla Tarr qui présidera le jury du Festival international du film de Marrakech (FIFM). Il succède à Francis Ford Coppola, qui a présidé le jury de l’édition 2015 du festival. Béla Tarr, grand cinéaste, est considéré comme le plus fidèle héritier du réalisateur russe Andrei Tarkovski et du Danois Carl Dreyer." La suite sur telquel.ma

jeudi 20 octobre 2016

« Táncház » avec l’orchestre Merkati samedi 5 novembre à 17:30 et 21:00 - Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Atelier de danse à 17h30 pour les enfants et à 19h pour les adultes.

Inscrite sur la liste du patrimoine immatériel de l’UNESCO, la méthode táncház (maison de danse) d’enseignement de la danse folklorique et de la musique combine des formes traditionnelles d’apprentissage avec des méthodes modernes de pédagogie et de folklore. Toute personne, sans distinction d’âge ou de compétence, sans expérience préalable, peut devenir un participant actif.

Avec la participation de Gabriella Rusaran, Péter Ertl (enseignement de danse) et l’orchestre Merkati.

Les musiciens :
Katalin Gyenis, chant
Csaba Soós, violon
István Adorján, alto
Zoltán Porteleki, cymbalum
Géza Pénzes, contrebasse

Entrée libre

Géraldine, reine des Albanais par Joséphine DEDET

"La troisième édition est en librairie à partir du 6 octobre 2016
A l’occasion du mariage à Tirana du petit-fils du roi Leka Zogu, une nouvelle édition de « Géraldine, reine des Albanais » publiée à Paris est augmentée et actualisée.
Ce document unique, consacré à la reine (1915-2002) sort.chez Belfond et se lit comme un roman. Cette biographie repose sur le témoignage direct et les archives personnelles de la souveraine, ainsi que sur le récit des témoins de l’époque, que l’auteur est seule à avoir recueillis.

Ce bel ouvrage est construit autour d’un long entretien de l’auteure avec la reine, en janvier 1996 en Afrique du Sud, qui lui ouvre ses archives personnelles. Dès 1995, l’auteure a entretenu une imposante correspondance privée avec la reine Géraldine, pour le livre d’abord pendant un an, qui s’est poursuivie jusqu’en 2002. Joséphine Dedet a été la première personne extérieure à sa famille à apprendre son retour en Albanie, en 2002." La suite sur association-albania.com
Photo : copyright Peter Gabor.

L’auteure :
Joséphine Dedet, journaliste à Jeune Afrique est spécialiste de la Turquie. Sa biographie « Géraldine, reine des Albanais » est un best-seller en Hongrie, pays natal de la reine, et sort simultanément pour cette nouvelle édition en France et en Albanie en octobre 2016.

Hongrie: un numéro spécial en hommage au journal suspendu

"Un magazine hongrois de sans-abri a publié aujourd'hui un numéro spécial en hommage au quotidien d'opposition Népszabadság, dont la récente suspension de publication par son propriétaire alimente des craintes pour le pluralisme de la presse dans le pays. Le journal Fedel Nelkül ("Sans-abri") a encarté un cahier de douze pages baptisé "Nep" ("Peuple"), dans un clin d'oeil au Népszabadság ("La liberté du peuple"), a constaté un journaliste de l'AFP.

Ce supplément, financé par l'ex-rédaction du premier quotidien généraliste hongrois, comprend des contributions de journalistes extérieurs, d'écrivains, de photographes et de poètes. Pour des raisons contractuelles, les journalistes du Népszabadság n'ont pas eu le droit d'y signer d'articles, pas plus que d'utiliser le nom du journal, rappelle Marton Gerguely, rédacteur en chef adjoint du quotidien suspendu. "Nos lecteurs sont tristes et nous avons voulu leur offrir malgré tout quelque chose qu'ils puissent tenir dans leurs mains et qui leur rappelle le Népszabadság", a-t-il souligné. "Ca fait partie du processus de deuil." La suite sur lefigaro.fr

Brexit - Vu de Hongrie, le choc

"Goran BULDIOSKI et Peter NIZAK
Codirecteur de l’Open Society Initiative for Europe (OSIFE)
Directeur du projet pour la Hongrie, OSIFE
Le Brexit aura sans aucun doute un impact négatif sur la Hongrie, mais il ne provoquera pas de « Huxit », contrairement à ce que certains médias avancent déjà(1). Néanmoins, on peut facilement identifier des conséquences néfastes concrètes à court, moyen et long terme pour le pays.
Premier impact négatif du Brexit : le statut incertain des centaines de milliers de Hongrois qui travaillent au Royaume-Uni, et dont le nombre exact n’est pas connu. Les chiffres officiels du gouvernement hongrois font état de 112 000 travailleurs, mais l’office national des statistiques du Royaume-Uni évoque le chiffre de 150 000 pour 2014. La même année, György Matolcsy, le Gouverneur de la Banque nationale de Hongrie, est allé beaucoup plus loin en parlant de 300 000 Hongrois travaillant au Royaume-Uni(2). Quel que soit leur nombre, 100 000 travailleurs en moins représentent une perte de 2 % de la main-d’œuvre hongroise. En outre, la tendance s’accélère : depuis 2001, dix fois plus de Hongrois sont partis travailler au Royaume-Uni, et leur nombre a triplé au cours des cinq dernières années." La suite sur confrontations.org

Censure, oppression : l'Italie veut sa place dans l'action internationale (Federico Motta)

"Si 2016 marque une année record dans la participation de l’édition italienne à la Foire de Francfort, c’est également que l’industrie vit un renouveau. Après cinq années d’une crise sévère, le pays renaît de ses cendres, et entend le faire savoir. Federico Motta, président de l’association des éditeurs, a livré un discours allant dans le sens d’un retour de l’Italie sur le devant de la scène internationale.
C’est qu’en 2011 et 2014, le marché du livre avait perdu près de 20 % de sa valeur, soulignait le président de l’AIE, pour qui 2016 représente le point zéro d’une réelle renaissance. « En réalité, nous pensons aujourd’hui qu’il est impossible de relancer l’édition italienne sans tenir compte des dimensions européennes et internationales », précise-t-il, en allusion directe au projet européen Aldus

La Hongrie, isolée dans un silence inadmissible
Et de poursuivre son intervention en évoquant l’édition... hongroise, dont l’Italie se sentirait particulièrement proche. L’édition savante fut nationalisée dans le pays, et, désormais, il n’est plus possible de réaliser des manuels scolaires qui ne seraient pas parfaitement raccord avec les directives du gouvernement." La suite sur actualitte.com