samedi 31 décembre 2016

Mardis hongrois 2017 - Rencontre avec Ludovic Lepeltier-Kutasi qui présentera Hulala le 17 janvier 2017 à 20 h 30

Brasserie Le Saint-André 2, rue Danton 75006 Paris
Métro - RER station Saint-Michel



Hulala est un site d'information francophone fondé en 2009 à Budapest. Son objet est à l’origine d’offrir un traitement indépendant et de qualité sur l’actualité de la Hongrie. En sept ans, Hulala est devenu le média de référence francophone sur ce pays, de par le volume de ses archives (plus de 2500 articles), l’étendue de son lectorat, son réseau de collaborateurs (journalistes freelance, chercheurs, étudiants), mais aussi ses relations privilégiées avec des grands titres de la presse française, belge et suisse.
Depuis 2016, Hulala a élargi sa couverture géographique à l’échelle de l’Europe centrale avec une équipe éditoriale renouvelée et un réseau de correspondants en construction en Pologne, République tchèque, Slovaquie, mais aussi... dans certains pays où vivent d'importantes diasporas centre-européennes. Pour 2017, l'équipe dirigée par Corentin Léotard ambitionne de développer un modèle économique viable et pérenne. 


Ludovic Lepeltier-Kutasi
Membre de la rédaction de Hulala. Diplômé de l’École des Hautes Études en Sciences sociales, doctorant en géographie à l’Université de Tours, rédige une thèse sur le huitième arrondissement de Budapest (Józsefváros).

vendredi 30 décembre 2016

Hanoucca : le rabbin Köves rejette le bras tendu du Jobbik

"À l’occasion de Hanoucca, le Jobbik a adressé ses « meilleurs vœux » aux Juifs de Hongrie. L’initiative, inédite pour le parti d’extrême-droite, a choqué de nombreux fidèles et a valu une réponse sèche de la part du rabbin orthodoxe Slomó Köves.
Gábor Vona et Ádám Mirkóczki ont adressé le 24 décembre dernier leurs « meilleurs vœux » aux Juifs de Hongrie à l’occasion du début des célébrations de Hanoucca, une des plus importantes fêtes rabbiniques. Dans une brève lettre adressée à Slomó Köves, président de la Communauté israélite unie de Hongrie (EMIH), les président et porte-parole du Jobbik ont déclaré souhaiter aux fidèles « que ce temps de souvenir et de réjouissance puisse apporter le renouveau spirituel, et que cette fête des lumières propage la véritable lueur qui éclaire le chemin » " La suite sur hu-lala.org

Les clous semés par Agota Kristof

POESIE
Agota Kristof
Clous
Traduit du hongrois par Maria Maïlat
Zoé, 198 p.
"Les éditions Zoé publient des poèmes inédits de la grande romancière suisse, d’origine hongroise.
Lorsqu'elle a fui la Hongrie, en 1956, il faisait nuit, et elle marchait dans la forêt, direction l’Autriche. Agota Kristof avait 21 ans et portait sa petite fille de trois mois dans ses bras. Elle emportait aussi des dictionnaires, mais n’avait pas pu prendre avec elle ses premiers poèmes, écrits en hongrois. Plus tard, elle dira que c’était ce qu’elle avait perdu de plus grave, dans son exil. En Suisse, à Neuchâtel, elle recomposera ces poèmes de mémoire. Elle en ajoutera de nouveaux, écrits jusque dans les années 80, et les derniers seront rédigés directement en français.
Cette liasse de poèmes, l’auteure les a remis, quatre mois avant sa mort, survenue en 2011, à l’éditrice Marlyse Pietry, ainsi qu’à Caroline Couteau, des éditions Zoé." La suite sur letemps.ch

La politique anti-tziganes en Hongrie

"Vanessa Descouraux nous emmène en Hongrie, avec le retour de méthodes qu'on croyait d'une autre époque, la traque des Tziganes...
Hongrie : il y a quelques années, des milices d’extrême-droite ont semé la terreur dans les villages où les roms sont majoritaires. Depuis, ces milices ont été dissoutes. Sauf qu'aujourd’hui la droite du premier ministre Viktor Orban, mène une politique anti-tsigane. Cette méthode qui vise à éloigner, cacher les roms se fait de manière plus insidieuse que l’extrême-droite…" Reportage à écouter sur franceinter.fr

« Soixante ans après le traité de Rome, deux Europe se font face »

"
L’Union européenne est confrontée à l’émergence d’un contre-modèle, autoritaire et xénophobe, symbolisé par le premier ministre hongrois Viktor Orban. Mais ce sont aussi deux modèles géopolitiques qui s’affrontent, estime Sylvain Kahn, spécialiste de la construction européenne.
L’année du soixantième anniversaire du traité de Rome de 1957 instituant la communauté européenne sera cruciale : c’est clair maintenant, deux projets européens se font face. Celui des Lumières et celui d’Orban. Depuis six décennies (sept avec la CECA), la construction européenne décline, dans la réalité géographique du monde tel qu’il est, l’utopie kantienne de la paix perpétuelle entre républiques dont le philosophe des Lumières avait énoncé les conditions de possibilités et les principes de réalisation.
Le contre-projet européen est celui de Viktor Orban. Le dirigeant hongrois, tel un Dark Vador de l’Union européenne, construit avec un sombre éclat son personnage de leader du côté obscur de la force européenne. Renouant avec cette tradition européenne des anti-Lumières qu’on croyait durablement marginalisée depuis 1945, Orban théorise avec talent cette évolution et propose à tous un contre-modèle : la « démocratie illibérale ». " La suite sur lemonde.fr (version payante)

mercredi 28 décembre 2016

Concert du quatuor à cordes Deák 17 février à 20h Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Frères et sœurs d’une même famille, les membres du quatuor à cordes Deák sont aussi d’excellents musiciens. Sára Deák, violoniste de l’orchestre de l’Opéra de Budapest et Márta Deák, premier violon de la Philharmonie Pannon ont bénéficié à plusieurs reprises de la bourse nationale Annie Fischer. Anna Deák enseigne le violon à l’école de musique Ferenc Liszt de Pécs tandis que György Deák est violoncelliste de la Philharmonie nationale. En 2003, 2010 et 2016, les membres du quatuor ont remporté le premier prix dans toutes les catégories au concours national de musique de chambre Leó Weiner. Abordant des répertoires allant du baroque à la musique du 21e siècle, le quatuor à cordes Deák se produit régulièrement en Europe (Autriche, Allemagne, Pays-Bas, Suisse, République tchèque, Croatie).
Entrée libre

Concours de belle prononciation 21 janvier 2017 à 15h Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

A l’occasion de la journée de la culture hongroise, l’Institut hongrois de Paris organise un concours de belle prononciation. Les candidats préalablement inscrits déclameront devant le jury deux poèmes hongrois, l’un imposé et l’autre librement choisi. Pour s’inscrire ou obtenir des informations supplémentaires, veuillez consulter la rubrique « Enseignement » du site de l’Institut hongrois.
Entrée libre

Le Salon de Siklós Exposition 20 janvier - 4 février 2017 Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Vernissage : 19 janvier 2017 à 19h




János Dréher

 
    
Fondé en 1991 par des artistes travaillant dans les ateliers de création de Villány et Siklós (en Transdanubie méridionale), le Salon de Siklós est une communauté artistique dont l’objectif est d’organiser des expositions collectives. Depuis 1991, des artistes venus d'horizons différents et mus par la même exigence artistique, entre tradition et innovation, exposent ensemble chaque année au château de Siklós. À ses débuts, le Salon comptait une cinquantaine de membres ; ils sont soixante-quinze aujourd’hui. L’exposition actuelle propose une sélection de leurs 25 années de création artistique commune.
Entrée libre

Hongrie: le secteur cinématographique en pleine santé

"De plus en plus de productions cinématographiques internationales délocalisent le tournage de leur film en Hongrie pour des raisons économiques. En 10 ans, le pays a ainsi détrôné la République Tchèque et Budapest est devenue la plus importante plateforme de tournage de films d'Europe centrale." Vidéo sur boursorama.com Durée: 02:07

Le foie gras de Bulgarie et de Hongrie remplit les étals: moins cher, est-ce qu'il en vaut la peine?

"Le foie gras est l'un des produits phares de cette période de fêtes. Il est souvent préparé en France, mais d'autres pays en exportent de plus en plus, comme la Bulgarie et la Hongrie. Leurs produits sont nettement moins chers que les autres… reste à voir si la qualité est équivalente.
Le gavage des oies et des canards est une tradition de longue date en Bulgarie et en Hongrie. Dans les années nonante, les producteurs ont opté pour des méthodes industrielles en modernisant les vastes fermes d'élevage héritées du communisme. Si la France, avec près de 20 mille tonnes de foie gras annuel, reste le premier pays producteur, la Bulgarie et la Hongrie sont ses concurrents directs. "Pour la production de foie gras de canard, la Bulgarie arrive en deuxième position, suivie par la Hongrie, qui commence à se détourner de sa production traditionnelle, le foie gras d'oie", explique Plamen Chelebiev, un producteur bulgare." La suite sur rtl.be

mardi 27 décembre 2016

Une Bohème de musée à l'Opéra national de Hongrie

"C’est une véritable pièce de musée que cette production de La Bohème de Giacomo Puccini - reprise pour les fêtes de fin d’année à l’Opéra national de Hongrie - puisqu’elle y a été étrennée… en 1937 ! (et jouée plus de 800 fois depuis !). Elle ne s’éloigne bien évidement pas d’une certaine tradition, tout en se situant dans une perspective « cinématographique », car son concepteur, le hongrois Kalman Nadasdy, était avant tout un réalisateur de cinéma célèbre en Hongrie entre deux guerres. Exploitant les vastes dimensions de l’Opéra national de Hongrie, Nadasdy nous entraîne sur les toits de Paris, à l’époque de la création de l’ouvrage, la mansarde des bohèmes occupant pour sa part la moitié de la scène. Nous pouvons ainsi voir Mimi gravir l’escalier de sa chambrette pendant les premiers échanges entre Marcello et Rodolfo, puis souffler sa bougie avant de frapper à la porte." La suite sur opera-online.com

Budapest, nouvelle usine à rêve hollywoodien

"Ryan Gosling, Tom Hanks, Harrison Ford... croiser des stars de cinéma est devenu banal à Budapest, tant la capitale hongroise s'est imposée en Hollywood d'Europe centrale à coup de cadeaux fiscaux et d'installations high-tech pour attirer les tournages internationaux.
C'est Harrison Ford qui fait du shopping dans une boutique de cycles, Hugh Jackmann photographié en plein jogging, Tom Hanks clamant son admiration pour la "plus belle ville après San Francisco": Budapest et ses habitants ont eu droit cette année à une série d'ambassadeurs de luxe." La suite sur leparisien.fr

[Archives radio] Hongrie 1956 : les réfugiés, la Guerre froide et la propagande

Émission avec Tiphaine Robert, doctorante en histoire à l'Université de Fribourg, dont le travail porte sur les réfugiés hongrois de 1956 en Suisse, dans un contexte de Guerre froide entre l'Est et l'Ouest.. Diffusée le 2 janvier 2016 sur Tilos Rádió FM 90.3.

En Hongrie, le combat isolé d'un prêtre pour aider les réfugiés

"Sauvez-nous avant qu'on meure de froid !": bravant l'hostilité des autorités et de certaines de ses ouailles, le prêtre hongrois Zoltan Nemeth offre chaleur et réconfort à des migrants frigorifiés, une initiative rare au pays de Viktor Orban.
Dans la salle attenante à son presbytère, les soutanes accrochées au porte-manteau voisinent avec les matelas et les sacs à dos de 14 demandeurs d'asile --Kurdes irakiens, Afghans, Camerounais, Nigérians, Cubains et Congolais, chrétiens et musulmans-- réfugiés là.
Le cri d'alarme est arrivé début décembre sous la forme d'un courriel adressé par l'un d'entre eux à ce prêtre catholique au visage plein et aux fines lunettes. Et le père Nemeth, 61 ans, assure n'avoir pas hésité à répondre à l'appel.
"Je ne suis pas un héros, c'était mon devoir de chrétien de les aider", explique le prêtre, curé de la paroisse de Kormend, une ville de 12.500 habitants adossée à la frontière autrichienne où un camp de réfugiés a été ouvert l'été dernier." La suite sur leparisien.fr

lundi 26 décembre 2016

Le Parti du Chien à Deux Queues impose sa patte sur le Web hongrois

"Lancé en 2006 par un graphiste, ce « parti » multiplie les happenings et les campagnes moqueuses.
Dans le huitième arrondissement de Budapest, surtout près de la place Blaha Lujza et du bar arty qui lui sert de QG informel, on le voit quasiment partout. Au pied des réverbères, sur les murs, dans les arrêts de bus et de tram avoisinants...
La bête aux mirettes rubis ressemble à un renard mais il s’agit d’un cabot. Un cabot très cabotin symbolisant la drôle de philosophie du Parti du Chien à Deux Queues (MKKP) mêlant promesses irréalisables et humour caustique." La suite sur rue89.nouvelobs.com

Le Premier ministre hongrois appelle Bruxelles à changer après l’attentat de Berlin

"Au seuil de 2017, Viktor Orban, Premier ministre hongrois, a déclaré que l’intégration des migrants non-européens avait échoué en Europe et a souhaité que l’année prochaine soit une année de révolte pour la démocratie en Europe.
«Il est sans précédent qu’au cœur de l’Europe, des Chrétiens aient été tués à Noël», s’insurge Viktor Orban dans une interview accordée au journal en ligne hongrois veol.hu commentant l’attentat à Berlin du 19 décembre, lors duquel un Tunisien a foncé dans la foule dans sur le marché de Noël en faisant 12 morts et 56 blessés." La suite sur rt.com

dimanche 25 décembre 2016

Ces pays européens qui monnaient le titre de séjour aux riches étrangers

"Pour attirer de riches étrangers, plusieurs pays européens de l'espace Schengen leur octroient, en échange d'investissements locaux, un titre de séjour. Devenus résidents européens, ils circulent plus librement ou font profiter leurs enfants de frais universitaires moins élevés.
Devenir résident européen en payant en toute légalité ? C'est la proposition que plusieurs pays de l'espace Schengen ont institué pour attirer de riches investisseurs non-européens sur leur territoire. En échange de l'acquisition d'un bien immobilier ou d'un investissement dans l'économie locale, ces citoyens fortunés obtiennent le droit de voyager dans tout l'espace Schengen sans visa." La suite sur bfmtv.com

Trouvez le mouton! La nouvelle image casse-tête de Noël

"JOYEUX NOEL On le retrouve un peu partout sur les réseaux sociaux, ce dessin d’un artiste hongrois est à s’en arracher les cheveux…
On vous laisse trouver le mouton. - Facebook/Gergely Dudas
C’est un peu un « Où est Charlie ? » à la mode de Noël. Sur cette image mise en ligne sur Facebook et Instagram par l’artiste hongrois Gergely Dudas, il s’agit de retrouver un mouton perdu au milieu de dizaines de Pères Noël. Un vrai casse-tête comme on les aime, partagé près de 4.000 fois sur Facebook et repris par de nombreux utilisateurs sur Twitter." La suite sur 20minutes.fr

Quand Guillaume Meurice trouve des escargots de Bourgogne hongrois au Marché de Noël des Champs-Élysées

Le marché de Noël - Le Moment Meurice
Aujourd'hui (23 décembre), Guillaume Meurice s'est rendu sur le marché de Noël des Champs-Elysées à Paris. Malgré un contexte anxiogène, il a pu y rencontrer des commerçants et découvrir leurs spécialités culinaires, et autres...

Le moment Meurice par Guillaume Meurice (17h30 - 23 Décembre 2016)
Retrouvez toutes les chroniques de Guillaume Meurice sur www.franceinter.fr

samedi 24 décembre 2016

Soirée des Mardis hongrois de Paris du 20 décembre 2016 - Portraits par Erwan Le Touze























Hulala fait son bilan et vous souhaite de bonnes fêtes

"Et voilà, l’année prend fin, et l’heure est venue pour toute l’équipe de Hulala de prendre quelques jours de vacances afin de revenir en force et reposés au début du mois de janvier. L’occasion de faire le bilan et de revenir brièvement sur l’année écoulée.
Crise des réfugiés et référendum hongrois, essor du groupe de Visegrád, vague conservatrice des deux côtés de l’Atlantique, Brexit et une construction européenne à bout de souffle… Hulala a eu du pain sur la planche pour documenter et analyser les événements qui ont fait l’année 2016 en Europe centrale." La suite sur hu-lala.org

vendredi 23 décembre 2016

Nandor Fa, 63 ans : «Je serais capable de mener un bateau à foils mais…»

"Vétéran du Vendée globe, Nandor Fa joue aux avant-postes dans le Grand Sud. Force de la nature, le Hongrois a encore de sacrés restes.
Etre 9e du classement après un mois et demi de course, c’est une fierté pour vous ?
Nandor Fa : Je ne tire pas de plan sur la comète car l’arrivée est encore très loin mais oui je suis fier d’être dans le Top 10 même je n’y suis pas rentré de la manière dont j’aurais voulu. Je suis triste pour tous ces marins qui ont abandonné. Il y a eu trop de collisions depuis le départ. C’était très motivant de naviguer à côté de tous ces jeunes talentueux. Je sais ce que ça fait de tout perdre sur un coup de malchance. J’ai moi-même connu ça en 1996 quand j’ai percuté un cargo avec mon bateau alors que j’étais parti des Sables pour gagner." La suite sur lefigaro.fr

Des centaines de camions immatriculés en Hongrie découverts sur un parking à Opglabbeek

"L’Union belge du Transport (UBT) a découvert jeudi soir des centaines de camions du transporteur hongrois Waberer rangés sur un parking à Opglabbeek dans le Limbourg. Les chauffeurs de ces camions, originaires d’Europe de l’Est, rentrent en autocar dans leur pays pour les fêtes de fin d’année, peut-on lire dans un communiqué du syndicat des transporteurs.
Tout comme l’an dernier, à cette même période de l’année, un nombre important de camions a été retrouvé en stationnement dans la ville limbourgeoise d’Opglabbeek. En décembre l’année passée, des centaines de camions avaient déjà été découverts parfaitement rangés dans une prairie à côté d’une ferme. Cette année, les camions sont garés sur un parking de l’entreprise flamande Jet Group." La suite sur sudinfo.be

Vu de Hongrie. Pour Noël, offrez un stade, un M16 ou un journal d’opposition disparu

"Pour les fêtes de fin d’année, le site d’informations 444 soumet une liste de dix cadeaux décalés égratignant le pouvoir conservateur. Des présents qui ne seront certainement pas du goût du premier ministre Viktor Orbán.
Un pass de plusieurs billets dans un théâtre budapestois, un week-end détente près du lac Balaton ou au coeur du massif de Zemplén, une place pour voir les traditionnels matchs de hockey, non loin du château de Vajdahunyad, ou pour le concert de Bruno Mars prévu le 30 mai prochain dans la capitale, des ustensiles artisanaux en bois dénichés au marché de Noël de la place Vörösmarty… Certains de ces présents s’inviteront probablement sous les sapins magyars au matin de la Nativité.
Fâcher le gouvernement
Le portail 444.hu privilégie quant à lui des cadeaux loufoques susceptibles de fâcher le gouvernement." La suite sur courrierinternational.com

jeudi 22 décembre 2016

Renforcement de la coopération entre Hanoi et les localités hongroises

"Hanoi (VNA) - Le président du Comité populaire de Hanoi Nguyen Duc Chung a reçu mercredi à Hanoi l'ambassadeur de Hongrie au Vietnam Ory Csaba.
Appréciant les résultats de coopération entre Hanoi et les localités hongroises ces dernières années, Nguyen Duc Chung a affirmé que Hanoi était prêt à intensifier sa coopération avec la Hongrie en tous domaines, notamment dans le commerce et l'investissement, et à favoriser les entreprises hongroises sur son sol." La suite sur vietnamplus.vn

Critique : Amour (Karoly Makk)

"Tout comme le film au titre éponyme de Michael Haneke, Amour de Karoly Makk a été primé au festival de Cannes, recevant un prix du jury présidé par la regrettée Michèle Morgan, disparue à la veille de cette reprise. Les deux films mettent ont en commun de mettre en scène une femme au bord de la mort, mais le parallèle s’arrête là…

Synopsis : Budapest, 1953. Pendant les années staliniennes les plus dures en Hongrie. Le régime de Rákosi multiplie les arrestations arbitraires et de nombreux opposants sont enfermés en secret. Luca vit ainsi dans l’angoisse de ne pas savoir si son mari János est vivant ou non. Désirant protéger sa belle-mère malade, elle invente que son fils est en Amérique où il travaille sur un film. La vieille dame vit dans l’attente de la prochaine lettre contant les histoires invraisemblables de son fils devenu là-bas un cinéaste renommé.
On est dès les premières images plongés dans l’intimité de cette maison qui se prépare au deuil, assistant aux visites quotidiennes de Luca () chez sa belle-mère (), en attendant le retour de son mari. Et si l’on peut être tenté d’imaginer la scène d’une mère alitée qui attend le retour de son fils comme austère et longue, il n’en n’est rien dans les faits. Makk fait preuve d »une mise en scène dynamique, enchaînant les plans avec des raccords audacieux – des jump-cut que l’on n’aurait pas renié du côté de la nouvelle vague française – et en jouant constamment sur le son pour nous immerger dans l’esprit des personnages." La suite sur critique-film.fr

mercredi 21 décembre 2016