samedi 6 décembre 2025

« Journal intime du pancréas » : l’agonie créatrice de Péter Esterhazy

"Le grand écrivain hongrois est mort d’un cancer en 2016. Pas avant d’avoir fait de sa maladie mortelle le sujet d’une étonnante autofiction. 

Parmi les manuscrits envoyés aux éditeurs, on trouve beaucoup de témoignages sur l’expérience de la maladie. Qu’un écrivain hongrois majeur comme Péter Esterhazy (1950-2016) ait consacré son dernier ouvrage à ce thème − en l’occurrence au cancer du pancréas qui l’a emporté en juillet 2016 − ne pouvait que susciter l’intérêt. Comment ce sujet émouvant mais rebattu allait-il être traité par l’un des plus grands auteurs magyarophones de cette génération brillante, au style empli de distance, d’humour, et qui pousse l’art du clin d’œil à l’extrême ?

Bien qu’Esterhazy prétende par coquetterie ne jamais vraiment parler de lui dans ses œuvres, Journal intime du pancréas, qui couvre la période de mai 2015 à mars 2016, relève bel et bien de l’autofiction. La part « fictionnelle » tient à l’invention d’un personnage, la tumeur, qui s’incarne ici en une maîtresse possédant de l’intérieur sa victime, que celle-ci nomme, comme pour l’amadouer, « ma Petite Fée » ou « ma Petite Pancréas », « P. », ..." La suite sur lemonde.fr (article payant) 

« Journal intime du pancréas » (Hasnyalmirigynaplo), de Péter Esterhazy, traduit du hongrois par Agnès Jarfas, Gallimard, « Du monde entier », 270 p., 22,50 €, numérique 16 €. 

La Hongrie cherche à éviter de participer à tout mécanisme financier lié à l'Ukraine (Orban)

"Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a déclaré vendredi que la Hongrie cherche à éviter de participer à tout mécanisme financier lié au conflit russo-ukrainien.

Il a fait ces remarques en réponse aux discussions qui ont eu lieu en Belgique entre les dirigeants de l'Union européenne au sujet de l'utilisation des avoirs russes gelés pour garantir un prêt à l'Ukraine.

"Nous n'avons aucune intention de fournir des fonds ni de nous impliquer" dans le conflit, a-t-il déclaré sur la radio nationale Kossuth." La suite sur china.org.cn

Des Etats-Unis à la Hongrie : la fin du républicanisme ?

"Avec Philip Pettit, professeur de philosophie politique à l’université de Princeton

La liberté comme non-domination que l'état de droit défend peut-elle encore servir de boussole pour refonder nos institutions face au retour en force de l’autoritarisme ? Philip Pettit, l’un des grands théoriciens du républicanisme contemporain, est notre invité.

Le républicanisme et la tentation autocratique

Philip Pettit rappelle que le républicanisme repose sur « l’absence de domination », qu’elle soit privée ou publique. Être libre, dit-il, c’est vivre sans maître : « Les gens ne doivent pas être dominés, il ne faut pas qu’il y ait un maître dans la vie des gens ». D’où l’importance des élections, de l’État de droit et des contre-pouvoirs pour empêcher tout gouvernement d’exercer une ingérence arbitraire.

Face à la montée actuelle des régimes autoritaires, Philip Pettit constate une fascination inquiétante : « Les gens sont séduits par l’idée d’autocratie ». Selon lui, cette séduction n’est possible que lorsque les démocraties faiblissent : « Les démocraties ont eu des objectifs républicains, le problème, c’est la séduction de l’autocratie »."  La suite et à écouter (11min) sur radiofrance.fr

Un Renoir confisqué pendant la Shoah vendu 303 312 euros aux enchères à Paris

"Le tableau appartenait au marchand d'art Alfred Weinberger, Hongrois établi à Paris dans les années 1920.

Un tableau de Renoir représentant une « Laveuse », dont un marchand d’art juif avait été spolié pendant la Seconde Guerre mondiale et qui avait été restitué à ses héritiers, a été vendu vendredi 303 312 euros frais inclus aux enchères à l’Hôtel Drouot à Paris, a annoncé la maison de ventes à l’AFP.

La toile était estimée entre 220 000 et 300 000 euros, et s’était vendue 332 000 euros lors de précédentes enchères dans la même maison en 2023.

Cette petite « Laveuse » de 30×35 cm, peinte par Auguste Renoir autour de 1916, représente trois silhouettes de femmes faites de touches colorées, devant une étendue d’eau, dans un décor bigarré." La suite sur timesofisrael.com

Office National du Tourisme Croate à Budapest : assemblée MUISZ et présentation MICE 'New places, new faces'

"La représentation de l'ONTC en Hongrie a relié les partenaires croates et hongrois à travers la participation à l'assemblée élective de la MUISZ et une présentation MICE à Budapest. Ont été soulignés l'intérêt continu du marché hongrois, la double présidence de l'association, ainsi que de nouvelles opportunités de congrès axées sur 2026, y compris le centre de l'Hôtel Pinija Zadar.

La représentation de l'Office National du Tourisme Croate en Hongrie a, au cours de la fin de l'automne 2025, relié les acteurs touristiques croates et hongrois à travers deux événements complémentaires à Budapest : la participation à l'assemblée élective de la Magyar Utazási Irodák Szövetsége (MUISZ) et une présentation professionnelle MICE dans le cadre de la série « New places, new faces ». Les deux rencontres, tenues en novembre et début décembre, ont souligné le statut de la Croatie comme destination sûre, proche et diversifiée que les hôtes hongrois valorisent continuellement en raison de l'étendue du produit – du tourisme de loisirs et actif aux rassemblements d'affaires et voyages de motivation." La suite sur karlobag.eu

J. Blanár a parlé à Bruxelles avec P. Szijjártó de la coordination des mesures concernant le plan REPowerEU

"Le chef de la diplomatie slovaque Juraj Blanár à Bruxelles au sein de l’OTAN a parlé avec son homologue hongrois Peter Szíjjártó de la coordination des démarches concernant le plan REPowerEU.

Le ministre des Affaires étrangères et européennes de la République slovaque Juraj Blanár (Smer-SD) a discuté, en marge de la réunion des chefs de la diplomatie de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (NATO) à Bruxelles, avec son homologue hongrois Péter Szijjártó de la proposition de la Commission européenne REPowerEU visant à réduire la dépendance de l’UE vis-à-vis des matières premières énergétiques russes. TASR en a informé jeudi le service de communication du ministère slovaque des Affaires étrangères.

L’initiative RePowerEU prévoit une interdiction juridiquement contraignante et progressive des importations de gaz naturel liquéfié (GNL) et de gaz par gazoducs en provenance de Russie vers l’Europe au plus tard à l’automne 2027." La suite sur europeannewsroom.com

Hongrie : l'ensemble ukrainien HOMIN en concert à Budapest avec un message de paix

"Des ovations et une salle comble ont accueilli la chorale la plus populaire d'Ukraine au théâtre d'opérette de Budapest.

Une salle comble pour la chorale la plus aimée d'Ukraine au théâtre d'opérette de Budapest. L'ensemble HOMIN, célèbre dans le monde entier, est arrivé en Hongrie à l'invitation de l'ambassadeur Sándor Fegyír et de Liliána Grexa, porte-parole pour la nationalité ukrainienne, afin d'offrir une soirée de joie aux réfugiés ukrainiens vivant ici et aux Hongrois intéressées par la culture ukrainienne.

"Les Ukrainiens veulent simplement vivre en paix dans leur propre pays. La chorale HOMIN transmet ce message dans le monde entier : la culture ukrainienne vaut la peine d'être chérie et préservée. Il est très important que les autres apprennent à connaître cette culture et voient qu'elle est aujourd'hui attaquée par l'agression russe", explique Liliána Grexa." La suite sur euronews.com

Une du jour. Les pirates Trump et Poutine, le perroquet Orban

"Le président des États-Unis et son homologue russe “font du business au détriment de l’Europe” tandis que leur allié hongrois, Viktor Orban, espère profiter de la situation afin d’avancer ses intérêts pétroliers dans les Balkans, analyse l’hebdomadaire hongrois “HVG”.

Dans une pièce éclairée à la bougie, rappelant la cabine d’un bateau, Donald Trump et Vladimir Poutine, caricaturés en pirates féroces, complotent au-dessus d’une carte au trésor dont les bords sont ornés d’un liseré aux couleurs de l’Ukraine. Poutine, avec un tatouage “URSS” et sa main gauche ensanglantée, trace avec son hémoglobine une croix sur son objectif tandis que le dirigeant magyar, Viktor Orban, grimé en perroquet, trône sur l’épaule d’un Trump capitaine Crochet scrutant le plan de Poutine.

Voilà comment la une du magazine HVG du jeudi 4 décembre interprète, depuis Budapest, les tractations et les intérêts américano-russes autour d’un plan de paix en Ukraine, sans oublier de critiquer le gouvernement hongrois, allié de Poutine et de Trump. Le titre de couverture de l’hebdomadaire libéral, coutumier des jeux de mots, mélange “pillage” et “partage”. “Trump et Poutine font du business au nom de la paix au détriment de l’Europe”, précise le sous-titre." La suite sur courrierinternational.com

Le groupe énergétique hongrois MVM se prépare à se passer du gaz russe si nécessaire

"Le groupe hongrois MVM, détenu par l'État, sera en mesure d'assurer l'approvisionnement en gaz du pays même en cas d'arrêt des importations en provenance de Russie, bien que les prix risquent d'augmenter, a déclaré son directeur général à Reuters.

L'Union européenne a convenu mercredi de mettre fin aux importations de gaz russe d'ici la fin 2027, dans le cadre d'un effort visant à mettre un terme à la dépendance énergétique du bloc envers Moscou, qui dure depuis plusieurs décennies. Les contrats de gaz acheminé par pipeline à court terme pourraient être concernés dès juin 2026. La Hongrie, pays enclavé, s'oppose à cette mesure et a annoncé qu'elle contesterait la législation devant la Cour de justice de l'Union européenne.

Karoly Matrai, directeur général de MVM, qui négocie plus de 10 milliards de mètres cubes de gaz en Europe centrale et détient une part de 40 à 45 % du marché de gros hongrois, a précisé que MVM était en discussion avec plusieurs autres fournisseurs, sans toutefois les nommer." La suite sur ch.zonebourse.com

vendredi 5 décembre 2025

Études à l’étranger : « C’est un endroit cosmopolite, plein d’énergie et de choses à découvrir »

"Avec un coût de la vie abordable et des universités reconnues, plusieurs villes d’Europe de l’Est ont la faveur des étudiants. L’un d’entre eux raconte ses premiers pas dans la capitale hongroise : Budapest. 

Partir à l’étranger commençait à sérieusement titiller cet étudiant de l’école d’ingénieurs ESEO, à Angers (Maine-et-Loire). « Chaque fois que j’en ai eu l’occasion, c’est tombé à l’eau. D’abord à cause de la crise Covid, puis il y avait toujours quelque chose », raconte Artus. En cette 5e et dernière année, il a enfin mis les voiles.

Perle cosmopolite

Comment s’est-il retrouvé en Hongrie ? « Je cherchais un cursus bien en phase avec ma spécialisation en environnement et énergies renouvelables, ce que Obuda University, à Budapest, offrait. Puis j’en ai parlé autour de moi et n’ai eu que des échos positifs sur cette ville », explique Artus. Elle est, de fait, très prisée des étudiants." La suite sur leparisien.fr

Les ministres des Affaires étrangères de l’Arménie et de la Hongrie ont discuté des questions relatives à l’élargissement de la coopération bilatérale

"En marge du Conseil ministériel de l’OSCE, le ministre des Affaires étrangères de la République d’Arménie, Ararat Mirzoyan, a rencontré le ministre hongrois des Affaires étrangères et du Commerce extérieur, Péter Szijjártó.

Selon « Armenpress », les ministres ont examiné un large éventail de questions à l’ordre du jour des relations bilatérales, en soulignant la dynamique positive observée ces derniers temps. Dans ce contexte, les deux parties ont exprimé leur satisfaction quant à l’ouverture d’ambassades dans les capitales des deux pays.

Ararat Mirzoyan et Péter Szijjártó ont souligné l’importance d’un travail continu en vue de la mise en œuvre des accords convenus, visant à élargir la coopération bilatérale ainsi que le partenariat Arménie-UE. Ils ont mis en avant leur volonté commune de réaliser des projets concrets grâce aux instruments existants de l’Union européenne." La suite sur armenpress.am

Gaz Naturel - La Hongrie saisira la justice après l’accord européen sur la fin du gaz russe

"Budapest conteste l’accord européen visant à interdire les importations de gaz naturel russe d’ici 2027, jugeant la mesure incompatible avec ses intérêts économiques et les traités fondateurs de l’Union européenne. 

La Hongrie a annoncé son intention de contester devant la Cour de justice de l’Union européenne l’accord provisoire conclu par Bruxelles visant à éliminer progressivement les importations de gaz naturel russe. La décision, prise dans le cadre de la stratégie REPowerEU, prévoit l’arrêt des achats de gaz naturel liquéfié (GNL) russes d’ici fin 2026, suivi par la suppression totale des importations de gaz par gazoduc à l’automne 2027.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a présenté cette mesure comme une étape vers une indépendance énergétique complète  de l’Union européenne vis-à-vis de la Russie. Elle a déclaré que les paiements de l’UE à Moscou pour les combustibles fossiles étaient passés de 12 milliards € ($14 milliards)  par mois au début de la guerre en Ukraine à 1,5 milliard € actuellement, objectif étant de les réduire à zéro." La suite sur energynews.pro (article payant) 

La Hongrie augmente de 11% le salaire minimum en 2026 malgré une conjoncture économique morose

"Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a annoncé jeudi une hausse de 11% du salaire minimum pour 2026, à la suite d'un accord entre employeurs et salariés, et ce malgré la stagnation économique qui a contraint son gouvernement à revoir à la baisse les prévisions de croissance pour cette année et la suivante.

Confronté à une forte opposition à l'approche des élections prévues probablement en avril, le gouvernement de Viktor Orban a déjà annoncé des augmentations de salaire dans la fonction publique, dans le but de stimuler la consommation et de relancer l'économie.

Après plusieurs années de forte progression des salaires, la faiblesse de la croissance économique et la flambée des coûts de l'énergie rendent difficile le financement de la prochaine revalorisation du salaire minimum pour les entreprises, selon des analystes." La suite sur zonebourse.com

Water-polo : l’Equipe de France reçoit la Hongrie à la piscine Georges Vallerey ! Piscine Georges-Vallerey PARIS mercredi 10 décembre 2025


"Ce match constituera un test déterminant pour les Bleus, qui retrouveront ces mêmes hongrois lors de la 1ère journée des Championnats d’Europe, le 10 janvier 2026." La suite sur unidivers.fr

Kincső Bede : Déshéritée

 © Kincső Bede

"Dans son livre Porcelain and Wool, Kincső Bede se réapproprie son identité transverse par des objets, des lieux et des tissus de la Transylvanie, en Roumanie. De ce fait, elle compose un récit propre à sa génération, tout en cherchant à mieux comprendre celle de ses parents.

« Naître dans une minorité, en tant que Hongroise székely en Transylvanie, est à la fois une malédiction et une bénédiction. Cela fait partie intégrante de votre personnalité et, dans mon travail, j’examine la nature de cette dualité », introduit Kincső Bede. La photographe, formée à l’école MOME de Budapest, entretient une relation particulière avec son héritage familial et sociétal, fait de contradictions culturelles, mais aussi d’attentes patriotiques complexes. Bien qu’elle fasse aujourd’hui partie de la Roumanie, la Transylvanie conserve une forte présence hongroise – la région était un des territoires de l’Empire austro-hongrois jusqu’à la Première Guerre mondiale." La suite sur fisheyemagazine.fr

En Hongrie, les Ukrainiens ne sont plus les bienvenus

"Il n'y a qu'environ 60 000 réfugiés ukrainiens en Hongrie, soit beaucoup moins que les quelque deux millions d'Ukrainiens qui ont fui la guerre vers la Pologne voisine. Le gouvernement hongrois de Viktor Orbán ne cache pas son attitude pro-russe et exploite également le sentiment anti-ukrainien dans sa campagne électorale pour les élections législatives d'avril 2026." Émission disponible (3min) jusqu'au 4/12/2026 sur arte.tv

Le président polonais Nawrocki refuse de rencontrer Orbán

"Les présidents des quatre Etats du groupe de Visegrád – République tchèque, Slovaquie, Hongrie et Pologne – étaient réunis mercredi à Esztergom, en Hongrie. Mais le président polonais, Karol Nawrocki (droite conservatrice), a annulé la rencontre prévue par la suite avec le chef du gouvernement hongrois, Viktor Orbán. Au motif que celui-ci s'était rendu à Moscou la semaine dernière pour rencontrer Poutine, ce qui serait contraire aux intérêts de la Pologne." La suite sur eurotopics.net

L'ascension de l'opposant hongrois Peter Magyar oblige Viktor Orban à redescendre dans l'arène politique

Corentin Léotard, envoyé spécial à Nyíregyháza

"Selon les sondages le libéral devance le Premier ministre d'une courte tête dans les intentions de vote.

"Ils vont augmenter vos impôts pour qu'il s'offre des toilettes en or". L'image met en scène le président ukrainien Volodymyr Zelensky tenant un WC doré, dans lequel sont englouties  des liasses de billets déversés par la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et par Péter Magyar, le principal opposant du Premier ministre hongrois Viktor Orban. Elle donne le ton de la campagne qui débouchera sur les élections législatives du 12 avril. L'image est apposée sur un camion publicitaire venu troller le contre-rassemblement du parti Tisza de M. Magyar. Ce samedi 29 novembre, le bras de fer politique entre les nationalistes du parti Fidesz de Viktor Orbán et les libéraux rangés derrière la formation Tisza de Péter Magyar s'est déplacé à Nyíregyháza, une ville de 120 000 habitants située dans le nord-est de la Hongrie proche de la frontière ukrainienne." La suite sur lalibre.be (article payant)

jeudi 4 décembre 2025

Hongrie : au marché de Noël de Budapest, la police veille face aux pickpockets

"Le marché de Noël de Budapest, l'un des plus grands d'Europe, accueille plus de 800 000 personnes chaque année.

Les visiteurs qui viennent voir le marché de Noël de Budapest, l'un des plus grands d'Europe, n'ont aucun souci à se faire, assure la police de la ville.

L'animation festive qui règne sur la place Vörösmarty attire près de 800 000 personnes venues du monde entier. Outre les stands d'artisans et les animations colorées, de nombreux voyageurs choisissent la capitale hongroise pour sa sécurité. Les rues et places piétonnes, délimitées par des plots en béton, permettent de lutter contre les attaques à la voiture bélier." La suite sur euronews.com

Les présidents des pays du V4 réunis à Esztergom pour discuter de la compétitivité et de l’IA

"Les chefs d’État des quatre pays du groupe de Visegrád (V4 – République tchèque, Slovaquie, Pologne, Hongrie) se réunissent ce mercredi à Esztergom, en Hongrie, pour discuter de la compétitivité européenne, des innovations et de l’utilisation de l'intelligence artificielle. Ils doivent également évaluer le fonctionnement du Fonds international de Visegrád et discuter de questions internationales et régionales.

La rencontre entre le président tchèque Petr Pavel et ses homologues Peter Pellegrini, Karol Nawrocki et Tamás Sulyok se tient dans le cadre de la présidence hongroise du V4 qui a débuté en juillet dernier." La suite sur radio.cz

Accord au sein de l'UE pour interdire le gaz russe à l'automne 2027

"Un accord a été trouvé mercredi entre eurodéputés et États européens pour interdire toutes les importations de gaz russe dans l'UE à l'automne 2027, afin de priver Moscou d'une manne qui finance sa guerre en Ukraine.

"C'est l'aube d'une nouvelle ère, celle de l'indépendance énergétique totale de l'Europe vis-à-vis de la Russie", a salué la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, devant la presse.

La fin des importations à l'automne 2027 est un compromis entre le Parlement européen, qui souhaitait une interdiction plus rapide, et les États membres qui voulaient prendre un peu plus de temps." La suite sur lagazettefrance.fr

Analyse - Pourquoi la menace russe divise les pays d'Europe centrale en deux blocs

"Le groupe de Visegrad, club de quatre pays d'Europe centrale, ne parvient pas à parler d'une voix. Ses membres se tournent vers d'autres alliances.

Un sommet sans éclat. Les présidents des quatre pays du groupe de Visegrad - la Pologne, la République tchèque, la Hongrie et la Slovaquie - se retrouvent en Hongrie ce mercredi dans un contexte tendu. Miné par ses divisions et ses divergences géostratégiques, le club de pays d'Europe centrale, fondé en 1991, peine à faire corps. La preuve avec l'annulation d'une rencontre entre le président polonais, Karol Nawrocki, et le Hongrois Viktor Orban, prévue à Budapest le lendemain du sommet.

La cause de ce changement de plan de l'administration polonaise est claire : il s'agit de la récente visite, pleine de complaisance du Premier ministre hongrois à Moscou. Une démarche qui est restée incompréhensible pour Varsovie, soutien de l'Ukraine et victime d'opérations hostiles de la part de la Russie. Ces divergences sur le conflit ukrainien poussent la Pologne à envisager d'autres alliances et à regarder vers ses voisins du nord." La suite sur lesechos.fr

Live | Où va la Hongrie ? Vers une fin de règne pour Viktor Orbán ?

"S'il était besoin de preuves supplémentaires, la rencontre entre le premier ministre national-conservateur Viktor Orbán et Vladimir Poutine le 28 novembre à Moscou, pour discuter approvisionnement en énergie et “plan de paix” en Ukraine, souligne une fois encore la complaisance du gouvernement hongrois vis-à-vis des positions du Kremlin - et sa défiance vis-à-vis de celles de l’Union européenne en la matière, tout comme vis-à-vis du projet européen même. Mais à quelques mois des élections législatives d’avril 2026, et alors qu’Orbán et son parti, la Fidesz, sont au pouvoir depuis 2010, les derniers sondages le donnent perdant face à l’opposant Peter Magyar et son parti Tisza (“Respect et liberté”), créé en 2020.

Quel est l'état de la démocratie en Hongrie, et quelles sont les forces d’opposition en présence et de contestation au règne sans partage du dirigeant hongrois ? Subsistent-ils des soutiens et un sentiment d’appartenance à l’UE ? Qu’en est-il aujourd’hui de la liberté de la presse, de la résistance des médias indépendants qui subsistent ? Quelles sont les positions de la population vis-à-vis de la guerre en Ukraine et du plan de paix de Donald Trump ? Comment se porte l’économie ? 

Nous en discuterons avec les journalistes hongrois Boróka Parászka, et György Folk, du magazine indépendant HVG, le mardi 8 décembre à 13h30 heure de Paris/Bruxelles. Une conversation en anglais modérée par Catherine André et Gian-Paolo Accardo." A suivre sur voxeurop.eu

mercredi 3 décembre 2025

Politique - En Hongrie, la percée de Péter Magyar force Viktor Orbán à revenir à la politique de terrain

"Par Thomas Laffitte* & Corentin Léotard** 

Concurrencé comme jamais auparavant par le conservateur Péter Magyar, le Fidesz a un temps caressé l’idée d’une fuite en avant autoritaire avant de reculer. Et désormais, Viktor Orbán est contraint de redescendre dans l’arène politique nationale. 

Juin 2025. Le temps du grand « nettoyage de printemps » contre les « punaises [qui] ont passé l’hiver » annoncé par Viktor Orbán trois mois plus tôt est venu. Le parlement acquis à sa cause aux deux-tiers s’apprête à approuver un texte de loi « sur la transparence de la vie publique » qui donnerait les pleins pouvoirs à une agence de renseignement pour interdire tout média, association, ONG et entreprise, considérée comme menace potentielle aux intérêts de la nation. Une loi liberticide qui ferait basculer la Hongrie pour de bon dans l’arbitraire, voire l’autocratie. 

Au même moment, la rumeur court selon laquelle le pouvoir serait prêt à mettre en état d’arrestation le général Romulusz Ruszin-Szendi, ex-chef d’Etat-major des armées . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr

*Doctorant en science politique au Centre d’études européennes de Sciences Po Paris ainsi qu’à la Central European University de Vienne. Chercheur invité au Brussels Institute for Geopolitics.

** Journaliste indépendant basé à Budapest.

 

Représailles - «Fini les manipulations de marché par Poutine» : l’UE trouve un accord pour interdire le gaz russe à l’automne 2027

"A Bruxelles, un compromis a été trouvé ce mercredi 3 décembre sur un calendrier qui devrait permettre de priver la Russie de la manne financière qu’elle tire de ses exportations d’hydrocarbures dans l’Union européenne lui permettant de financer sa guerre en Ukraine.

Près de quatre ans après le début de la guerre en Ukraine, Bruxelles trouve une manière de priver Moscou d’une manne importante qui finance ses opérations militaires en Ukraine. Ce mercredi 3 décembre, les Etats européens ont acté la fin de toutes les importations de gaz russe au sein de l’UE à l’automne 2027.

Le Parlement européen, qui souhaitait une interdiction plus rapide, et les Etats membres, ont finalement trouvé un consensus marquant «l’aube d’une nouvelle ère», a salué la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen : «celle de l’indépendance énergétique totale de l’Europe vis-à-vis de la Russie».

«Nous y sommes parvenus», s’est également félicité le commissaire européen à l’Energie, Dan Jorgensen. «Fini les tentatives de chantage. Fini les manipulations de marché par Poutine. Nous sommes solidaires de l’Ukraine», a-t-il martelé. De son côté, la Russie a aussitôt fustigé la décision de l’UE qui, selon le Kremlin, se «condamne» à «accélérer» sa perte de puissance avec de l’énergie «plus coûteuse»." La suite sur liberation.fr

Prochaine rencontre des Mardis hongrois de Paris le 9 décembre 2025 à partir de 20 h au Café Le Zimmer

 

Prochaine rencontre

le mardi 9 décembre 2025
à partir de 20 h
au café Le Zimmer
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro : Châtelet
 

A legközelebbi összejövetel
2025 december 9.-én este 8-kor kezdődik
a Le Zimmer kávéházban
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro : Châtelet
Facebook esemény 

Cotisations. La Hongrie contributrice nette de l’Union européenne, “un tournant historique”

"Depuis son adhésion en mai 2004, le pays n’avait jamais reversé plus d’argent à l’Union européenne qu’il n’en reçoit. Un événement, selon les médias magyars, même si cette situation résulte notamment du blocage d’une partie des subventions de Bruxelles.

De janvier à fin octobre 2025, “près de 589 milliards de forints [1,54 milliard d’euros] d’aides européennes ont été versés au budget magyar, alors que 609 milliards de forints [1,59 milliard d’euros] de cotisations à l’Union européenne (UE) ont été versés” par la Hongrie, selon un rapport du ministère de l’Économie nationale, relayé par Nepszava. En d’autres termes, “l’État hongrois est devenu contributeur net du budget de l’UE”, un “tournant historique” car “inédit” depuis l’adhésion du pays en mai 2004.

Cependant, si cette situation se produit, ce n’est “pas parce que tout va bien, mais parce que la Commission retient les fonds européens [dus à la Hongrie, soit environ 20 milliards d’euros] depuis des années à cause des lacunes en matière d’État de droit”, raille l’hebdomadaire HVG. Cette nouvelle “devrait signifier que le développement de la Hongrie dépasse largement la moyenne européenne”. Mais en réalité, elle “montre plutôt à quel point les fonds de l’UE sont gelés, car le pouvoir s’accroche aux marchés publics opaques”, analyse un autre article.

“La fierté de von der Leyen”, tacle Mandiner, en jugeant que la Commission européenne, dirigée par l’Allemande, “retient les fonds revenant à la Hongrie en vertu de raisons politiques”. Pour..." La suite sur courrierinternational.com (article payant)

Orbán à Moscou - L’interprète hongrois est un artiste

"Après la rencontre à Moscou, le 28 novembre 2025, entre Viktor Orbán et Vladimir Poutine, le site hongrois indépendant « Telex » a découvert que les propos du maître du Kremlin avaient été traduits de façon fantaisiste par les services officiels de Budapest.

Vendredi dernier, le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, s’est rendu à Moscou pour rencontrer son ami Vladimir Poutine. C’était la quatorzième fois qu’il faisait le voyage depuis son retour au pouvoir, en 2010. Au menu : la sécurité énergétique à long terme de la Hongrie, avec la livraison de pétrole russe, le plan de paix avec l’Ukraine et la relance d’un possible sommet Trump-Poutine à Budapest.

Ça traduit un malaise

Avant leur réunion bilatérale, les deux hommes se sont brièvement entretenus devant les caméras avec leurs interprètes. Le site hongrois indépendant Telex a relevé une sérieuse différence entre les déclarations de Poutine en..." La suite sur lecanardenchaine.fr (article payant)

mardi 2 décembre 2025

Remise du Prix Louis-Guillaume du Poème en prose à 𝐆𝐮𝐢𝐥𝐥𝐚𝐮𝐦𝐞 𝐌𝐞́𝐭𝐚𝐲𝐞𝐫 mercredi 3 décembre à 18h15, à la Maison de Poésie


Remise du Prix Louis-Guillaume du Poème en prose à 𝐆𝐮𝐢𝐥𝐥𝐚𝐮𝐦𝐞 𝐌𝐞́𝐭𝐚𝐲𝐞𝐫, pour son recueil « Mains positives », paru aux éditions la rumeur libre.
Le mercredi 3 décembre à 18h15,
à la Maison de Poésie (Hôtel Blémont 11bis rue Ballu, 75009 Paris)

Au programme :
Lectures de poèmes extraits du recueil par l’acteur Félix Libris
Interventions musicales à la guitare du compositeur et interprête Arnaud Combes
Remise du prix et présentation du livre par Yekta
Discours de réception du Prix : Guillaume Métayer
Verre de l’amitié en clôture

Le Kimpton BEM ouvre ses portes à Budapest

© Kimpton BEM

"Le tout nouveau joyau boutique-hôtel de IHG Hotels & Resorts débarque à Budapest, à deux pas du quartier du château. L’adresse conjugue maximalisme et expression artistique, dans un manoir du XIXe siècle. 

Vue d’ensemble | L’extravagance chic 

Sur la rive Buda du Danube, à deux pas du quartier du château, classé au Patrimoine de l’Unesco, le Kimpton BEM, nouvel hôtel à Budapest est une prouesse artistique. Signé par le designer néerlandais Marcel Wanders, il rend hommage au riche folklore hongrois en faisant appel à des artistes du pays. Une adresse résolument maximaliste mêlant mythe, magie et design. Cerf doré (figure protectrice légendaire), motifs floraux et symboles folkloriques décorent les murs de l'établissement. Installé dans un manoir du XIXe siècle, l’hôtel offre une localisation privilégiée pour visiter le Bastion des pêcheurs, l’église Matthias, le pont de Chaîne et les célèbres bains thermaux de la ville. Un camp de base idéal pour un week-end à Budapest. " La suite sur yonder.fr

Hongrie : vaste manifestation à Budapest contre les coupes budgétaires

"La Cour des comptes de Hongrie a récemment conclu que la contribution dite de solidarité - qui prélève des milliards sur le budget de la capitale - pourrait rendre Budapest insolvable d'ici la fin de l'année.

Des milliers de personnes ont manifesté lundi soir dans les rues de Budapest, pour protester contre les coupes budgétaires du gouvernement de Viktor Orbán qui mettent à mal les fonds de la capitale.

La Cour des comptes de Hongrie a récemment conclu que la contribution dite de solidarité - qui prélève des milliards sur le budget de la capitale - pourrait rendre Budapest insolvable d'ici la fin de l'année.

Gergely Gulyás, ministre de Viktor Orbán, a répondu la semaine dernière que le gouvernement était prêt à aider la capitale, mais seulement si elle se déclarait en faillite." La suite sur euronews.com

La Hongrie hisse son drapeau au-dessus de sa nouvelle ambassade à Jérusalem

"Sept pays disposent d'une ambassade à Jérusalem : les États-Unis, le Guatemala, le Honduras, le Kosovo, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, le Paraguay et les Fidji.

Le drapeau de la Hongrie, qui est l’un des plus proches alliés d’Israël en Europe, flotte désormais au-dessus de la nouvelle antenne de son ambassade, à Jérusalem.

L’Académie hongroise de Jérusalem, un centre culturel situé à côté du YMCA dans le quartier de Talbiyeh de la ville, ouvrira officiellement ses portes au début de l’année prochaine, a annoncé l’ambassade de Hongrie au Times of Israel. Son directeur arrivera en janvier.

En face du nouveau centre culturel hongrois se trouve une antenne de l’ambassade de la République tchèque. La Slovaquie en possède également une dans la même rue." La suite sur timesofisrael.com

En Hongrie, Péter Magyar s’entoure de candidats néophytes dans l’espoir de succéder à Viktor Orban

"Favori des sondages pour les élections législatives d’avril 2026, le chef du parti Tisza mise sur des profils sans expérience politique, issus en grande partie de la classe moyenne supérieure aujourd’hui déçue par les mauvais résultats de l’économie hongroise.

Une centaine de candidats pour « un changement de régime ». En présentant les résultats des primaires qu’il a organisées dans la presque totalité des 106 circonscriptions de Hongrie en vue des élections législatives d’avril 2026, l’opposant Péter Magyar s’est dit convaincu, vendredi 28 novembre, que ses candidats battraient « avec une large avance » ceux du premier ministre. Le nationaliste Viktor Orban gouverne sans partage, depuis 2010, ce pays d’Europe centrale de 9,5 millions d’habitants.

Si la campagne s’annonce longue pour Péter Magyar, ancien cadre de l’appareil d’Etat qui a brusquement quitté ses fonctions début 2024, ce quadragénaire au look soigné et à la confiance en soi débordante a déjà réussi, en moins de deux ans, à effacer les autres formations d’opposition. Depuis des mois, son parti, Tisza (« respect et liberté »), est en tête de tous les sondages réalisés par des instituts indépendants, devant le Fidesz, la formation de M. Orban.

Pour maximiser ses chances, M. Magyar a volontairement misé sur des profils « dénués de toute expérience politique », en désignant des inconnus issus en grande partie de cette classe moyenne supérieure hongroise qui a pu voter dans le passé pour le Fidesz, mais est aujourd’hui déçue par les mauvaises performances de l’économie. Celles-ci sont explicables en partie par la corruption généralisée..." La suite sur lemonde.fr (article payant)

Hongrie : fraude électorale massive dans le village de Tiszabura

"Selon le maire de cette commune, l'une des plus pauvres de Hongrie, il est possible d'obtenir jusqu'à 70 000 HUF (170 €) par personne pour un vote, mais il existe également une réduction pour les familles.

Des élections locales ont été organisées dimanche pour la troisième fois à Tiszabura, l'un des villages les plus pauvres de Hongrie. Comme la dernière fois, Zsigmond Fekete, le candidat de l'Association des communautés tsiganes, est arrivé en tête, avec un taux de participation surprenant d'environ 80 %.

Les deux résultats précédents ont été annulés par la Cour suprême hongroise pour cause de fraude électorale massive : des électeurs avaient été payés et transportés sur place, tandis que de l'argent liquide avait été retrouvé dans les urnes." La suite sur euronews.com

Ambassade de Hongrie à Paris - Magyarország Nagykövetsége - Párizs - Son Excellence Miklós Erik Tromler

Nagy örömmel köszöntjük új nagykövetünket, Őexcellenciája Tromler Miklós Eriket, immáron francia földön. Nagykövet Úrnak Franciaország nem ismeretlen terep, egyk

Üdv újra itthon Nagykövet Úr!
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C'est avec grand plaisir que nous accueillons notre nouvel ambassadeur agréé, Son Excellence Miklós Erik Tromler, désormais sur le sol français. L’Héxagone n'est pas un terrain inconnu pour Monsieur l'Ambassadeur, qui revient dans son ancienne maison. Ainsi, l'élan hongrois et l'art de vivre à la française ne tarderont pas à imprégner à nouveau le quotidien de l'ambassade.
Bienvenue Monsieur l'Ambassadeur !
 
Miklós Erik Tromler, né le 20 janvier 1979 en Hongrie, est un diplomate hongrois actuellement ambassadeur de Hongrie en France depuis l'été 2025, succédant à Georg von Habsburg qui a été nommé en Espagne. Avant sa carrière diplomatique, il a été un sportif professionnel en water-polo, où il a remporté la coupe LEN. Il a obtenu un bachelor en agriculture en 2000, suivi d'un MBA à l'Université Corvinus de Budapest, puis d'un master en économie internationale et économie du sport à Marseille. Après une expérience dans le secteur privé international, il a rejoint le ministère des Affaires étrangères hongrois en tant qu'officier de protocole, puis conseiller principal pour l'Australie et la Nouvelle-Zélande au département Asie-Pacifique. Il a ensuite servi comme chargé d'affaires à l'ambassade de Hongrie à Rabat, avant d'être nommé ambassadeur de Hongrie au Maroc (et en Mauritanie) en 2015, poste qu'il a occupé pendant environ 10 ans jusqu'en novembre 2025. Durant cette période, il a contribué à renforcer les relations bilatérales, notamment en matière économique, culturelle et sportive. Sa nomination à Paris a été annoncée en juillet 2025 par le ministre des Affaires étrangères Péter Szijjártó, marquant un nouveau chapitre dans sa carrière diplomatique.
Source : IA

lundi 1 décembre 2025

Le président polonais annule une réunion avec le Premier ministre hongrois

"Le président nationaliste polonais Karol Nawrocki ne verra pas mercredi le Premier ministre hongrois Viktor Orban, après la visite de ce dernier à Moscou, une annulation annoncée dimanche par le secrétaire d’Etat polonais." La suite sur mediapart.fr (article payant)

Exposition individuelle Rita KORTSHOK à Évry-Courcouronnes, du 2 au 16 décembre 2025

 

Chers amis,
 
Je suis heureuse d’annoncer ma prochaine exposition individuelle à la MJC Simone Signoret d’Évry-Courcouronnes, du 2 au 16 décembre.

Un moment pour partager mon univers… entre lumière intérieure, le silence, et ces passages secrets où naissent les images.

Le Vendredi 12 décembre à partir de 18h30 aura lieu la Fête de l’exposition,  je serai présente pour rencontrer celles et ceux qui souhaitent venir échanger autour des œuvres.

MJC-CS Simone Signoret
Place Guy Briantais (ex mail de Thorigny)
91080 Evry-Courcouronnes

Entrée libre
Horaires :
Lundi : 14h00 – 18h00
Mardi à Jeudi : 10h00 – 12h30 / 14h00 – 19h00
Vendredi : 10h00 – 12h30 / 14h00 – 18h00
Samedi : 10h00 – 13h00

Au plaisir de vous y retrouver
Artistiquement,
Rita KORTSHOK (EHRSAM)

Le "Hollywood sur Danube" hongrois craint de faire les frais des taxes Trump

« Dune », « Blade Runner 2049 », « The Witcher »: ces blockbusters ont tous été au moins en partie tournés à Budapest, surnommée le « Hollywood sur le Danube ». Mais l’industrie du cinéma hongrois florissante craint de faire les frais des taxes douanières de Donald Trump.

« C’est comme une météorite qui se dirigerait vers la Terre : elle peut soit passer à côté de nous soit nous frapper de plein fouet », estime Karoly Radnai, directeur général du cabinet fiscal hongrois Andersen.

« Il n’y a aucun moyen de s’adapter. Si Trump introduit des taxes, ce sera très mauvais pour nous », ajoute-t-il, alors que cette industrie pèse près d’un milliard de dollars.

La capitale hongroise et la Hongrie dans son ensemble sont devenues des lieux de tournage incontournables pour les productions internationales ces 20 dernières années, en particulier pour les studios américains, grâce à des paysages pittoresques, une main-d’œuvre bon marché et un généreux programme de subventions." La suite sur la-croix.fr

En Hongrie, Viktor Orbán et son adversaire s’affrontent par meetings interposés dans la même ville

"Samedi, alors que Viktor Orbán tenait meeting à Nyíregyháza, dans le nord-est de la Hongrie, son opposant de droite libérale Péter Magyar a organisé un contre-rassemblement. Ils se livrent une bataille sans merci en vue des législatives en avril 2026.

Nyíregyháza (Hongrie).– Le long des deux cents kilomètres d’autoroute qui mènent de Budapest à Nyíregyháza, un défilé d’affiches du gouvernement et de ses organisations satellites donne le ton : Péter Magyar est tantôt présenté en complice de Volodymyr Zelensky, tantôt en marionnette d’Ursula von der Leyen. Sur la route, beaucoup de camionnettes chargées de familles et de travailleurs ukrainiens rentrent au pays. La radio publique Kossuth ouvre ses flash infos sur la visite de Viktor Orbán la veille à Moscou et cite un officiel russe : il annonce une augmentation des livraisons de gaz à la Hongrie qui lui donneront « un avantage compétitif »." La suite sur mediapart.fr (article payant)

Magyar színház Párizsban! Akteon theater - 31 janvier 2026 de 19h00 à 20h30

 

Anett és Móni, a két gyermekkori barátnő 25 év után látja újra egymást. Egy véletlen találkozás, a Marcipán cukrászdában. Vajon a felejtés az agy hibás működése, vagy inkább védekezés? Hányszor halljuk, hogy csak a szépre emlékezünk, de legtöbbször már arra se nagyon… Pedig minden megmarad. Mindenről készül biztonsági mentés van valaki, aki előhívja. Tárgyak, színek, illatok, arcok, hangok, találkozások. És hogy leszünk-e a másik ajtónyitói azokra a bizonyos évtizedekre, sokszor csak a véletlenen múlik. De lehet, véletlenek egyáltalán nincsenek. Most hirtelen minden megjelent, újra itt van a letűnt világ! Azt hittük, örökre elveszett, pedig csak a holnap emléke lett.
Szereplők:
Móni: Kocsis Judit (Jászai Mari – díjas színművész)
Anett: Vígh Anita
Írta: Vígh Anita
Jelmez: Katona Bálint
Zene-dalszöveg: Agent Anonyme
Rendező: Csáki Rita

Ciném'à la maison - « Toldi » de Marcell Jankovics et Lajos Csákovics 16 décembre 2025 à 19 h 30


Le 16 décembre, dans le cadre de notre série de projections en ligne « Ciném'à la Maison », et en lien avec le Festival du Film d'Animation d'Annecy 2025, nous vous invitons à regarder « Toldi » de Marcell Jankovics et Lajos Csákovics (sous-titré en anglais).
Co-réalisée par Lajos Csákovics, cette adaptation d’un célèbre poème épique magyar est le dernier film du maître de l’animation hongroise Marcell Jankovics, décédé en 2021.
Son héros, Miklós Toldi est "un solide gaillard, le visage encore imberbe", d’une force herculéenne, travaillant dans les champs, mais rêvant d’un avenir glorieux peuplé "d’épées étincelantes et de fiers guerriers". Fils de chevalier, il est confiné sur les terres familiales par son frère György qui a intrigué pour accaparer la fortune des Toldi et en être l’unique représentant à Budapest, à la cour du roi Louis d’Anjou de Hongrie.
Hongrie / 2022 / 108 min / en langue hongroise, sous-titré en anglais
Projection gratuite, en partenariat avec les Archives de l'Institut National Hongrois de la Cinématographie (NFI)
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