"Ce 1er janvier, les gardes-frontières hongrois ont la gueule de bois. Leur corps est officiellement dissous et ses 10 500 hommes intégrés à la police nationale ou mis à la retraite. A Rösszke, à la frontière entre la Hongrie et la Serbie, le lieutenant-colonel Gábor Eberhardt et ses hommes troqueront ainsi leurs épaulettes et leurs écussons verts pour l’uniforme bleu de la rendörség («police»). " Un article de Florence La Bruyère à lire dans
Libération du 1er janvier 2008
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