"Et maintenant Prague. Après la Lettonie et la Hongrie, la République tchèque est le troisième pays d'Europe centrale à voir son gouvernement chuter depuis le début de la crise. Certes, les méandres de la vie politique locale expliquent en partie la chute de ce troisième domino. Il n'en reste pas moins que les difficultés économiques ont joué un rôle considérable dans la mise en minorité du premier ministre, Mirek Topolanek..." La suite de l'article sur
Le Monde du 25 mars 2009
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