Mais ce silence ne pourra pas se prolonger, puisqu’Orbán a ouvertement violé les droits et libertés garantis par les traités européens, alors même que Budapest va exercer à partir du 1er janvier la présidence semestrielle tournante de l’Union aux côtés d’Herman Van Rompuy, le président permanent du Conseil européen des chefs d’Etat et de gouvernement. Autant dire que sa vocation à représenter l’Union aux yeux du monde est clairement mise en cause." La suite dans le quotidien Libération du 31 décembre 2010 version payante.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.