"Une amnésie qu’avait très brutalement dénoncé l'écrivain Akos
Kertész dans le Népszava américain et qui lui vaut aujourd’hui d’être un
renégat [lire la première partie]. Comme la Hongrie « n'a pas demandé pardon, elle ne recevra pas l'absolution », avait-il écrit.
La Hongrie frappée d’amnésie partielle
Après les quatre décennies de « blackout » mémoriel imposées par le
régime communiste post-seconde guerre mondiale, la Hongrie revient peu à
peu à elle-même, mais très lentement. L'Holocauste a été "
la tragédie de la nation hongroise toute entière",
a récemment déclaré le ministre des Affaires étrangères de la
Hongrie, János Martonyi, à la cérémonie d'ouverture de l'année qui
marque le centenaire de la naissance du « Juste parmi les nations »
Raoul Wallenberg." La suite sur
hu-lala.org
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