"Critique - Chamanique - En s’inspirant du travail du photographe Charles Fréger, le chorégraphe s’intéresse au devenir animal de l’homme.
On ne présente plus Josef Nadj,
chorégraphe venu de Voïvodine (Serbie) où il naquit en 1957 pour
insuffler en France un esprit nouveau. En 1987, son Canard pékinois
étonne. Il y a chez lui un souci théâtral, des personnages sens
dessus dessous, une certaine noirceur et un attachement évident pour la
liberté corporelle. Directeur du Centre chorégraphique national
d’Orléans depuis 1995, l’institution n’a pas réussi à le rattraper. Il
se balade toujours avec un cahier où il prend des notes et..." La suite sur liberation.fr
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