"Après une édition Cannoise 2014 qualitative mais terriblement conventionnelle, la réputation de
White God
n'a fait que grandir, lentement mais sûrement. C'est désormais auréolé
d'une réputation qui confine au grandiose que le film débarque dans nos
salles. Et pour une fois, on ne peut qu'abonder, tant le récit de
Kornel Mundruczo tranche avec le tout venant de la fin d'année." La suite sur
ecranlarge.com
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