"Une nouvelle intégrale du piano de
Bartók, cela attire fatalement l’attention. J’avoue n’avoir rien su jusqu’ici d’
Andreas Bach, que le public munichois fête régulièrement. Mais dés les premières mesures de la
Suite de Danses, ces phrasés si particuliers
, ce clavier si plein qui ne sacrifie rien des couleurs médianes omniprésentes dans le piano de
Bartók, cette technique parfaite qui refuse le brillant pour mieux servir le lyrisme du discours m’ont tiré l’oreille." La suite sur
artalinna.com
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