"Belgrade ne cache pas sa consternation après la décision des autorités hongroises de dresser un mur le long de la
frontière avec la Serbie (175 km), afin d’empêcher l’arrivée en masse
des immigrés en Hongrie. “
La Serbie n’est pas un camp de concentration”, titre
Blic, en demandant au Premier ministre hongrois, Viktor Orban, “
de revenir à la raison et de renoncer à la construction du mur”." La suite sur
courrierinternational.com
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.