"La Hongrie n’accueillera aucun demandeur d’asile et aucun réfugié : le premier ministre Viktor Orban, qui avait qualifié de
« folle »
l’idée d’une répartition obligatoire lancée il y a quelques mois par la
Commission de Bruxelles, a gagné la partie. Il n’est pas le seul et
l’on comprend mieux pourquoi certains pays ont exigé que la répartition
de quelque 40 000 demandeurs d’asile arrivés en Italie et en Grèce,
ainsi que celle de 20 000 réfugiés reconnus par l’ONU et séjournant dans
des camps, s’opère uniquement sur une base volontaire." La suite sur
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