Les journalistes de Nepszabadsag
(« Liberté du peuple ») ne sont donc pas paranoïaques : depuis leur mise
au chômage technique et la fermeture brutale du principal quotidien
hongrois (46 000 exemplaires par jour), le 8 octobre dernier, ils
craignaient que leur journal, libéral, de centre-gauche et très critique
envers le pouvoir en place, n’atterrisse entre les mains d’un oligarque
proche du premier ministre nationaliste Viktor Orban. Ils avaient,
semble-t-il, raison." La suite sur lemonde.fr (version payante)
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