"En Hongrie, la police et l'armée brutaliseraient les réfugiés. C'est ce
que dénoncent plusieurs ONG, dont Amnesty International, Médecins sans
frontières, Human Rights Watch et le Comité Helsinki hongrois. En août
2015, Budapest a érigé une clôture de barbelés qui s'apprête à être
doublé. Elle a arrêté et condamné des centaines de migrants pour avoir
franchi illégalement la frontière. Les procès ont eu lieu à partir de
septembre 2015. Mais un petit filet de réfugiés continue à passer entre
les mailles. Pour les dissuader, le gouvernement de Viktor Orban aurait
recours aux violences policières." La suite sur
rfi.fr
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.