"La révolution de 1956 fait mal. Les changements de façade et le cours du temps touchent
Honvéd,
d’une part avec la fuite de ses plus grands talents, d’autre part à
cause de l’émergence d’adversaires coriaces qui vont se partager les
lauriers durant deux décennies. Il faudra attendre leur essoufflement
pour que le Budapest Honvéd retrouve la gloire sur le plan national, et
l’équipe nationale hongroise quelques performances notables grâce à une
colonne vertébrale qui joue en Rouge et Noir, comme à la bonne époque.
Les maestro s’appellent cette fois-ci
Détari et
Esterházy." La suite sur
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