A se plonger dans la vie du baron Franz
Nopcsa (prononcer « Nopcha »), on s'étonne que celle-ci n'ait pas déjà
fait l'objet d'un roman d'aventures. Il est vrai qu'il faudrait tout le
talent d'un Alexandre Dumas ou d'un Jules Verne pour raconter, sans que
cela paraisse par trop invraisemblable, tous les aléas qu'aura connus
cet aristocrate hongrois avant de subir l'exil et la ruine puis de
mettre fin à ses jours, à l'âge de..." La suite sur lesechos.fr
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