Dans
un pays où le quotidien n’est pas festif, la politique dure et
controversée, le Sziget fait office d’ovni, de trêve dans une Hongrie
ultra conservatrice. Cette année, le thème du festival, la Love
Revolution était donc un moyen de créer une frontière fictive avec le
reste du pays sur l’île d’Obuda. Car en arrivant au Sziget, on oublie
que l’on est en Hongrie dans la sublime ville de Budapest. Une sorte
d’Etat libertaire éphémère prend vie pendant 7 jours et quelques 565 000
Szitoyens (nom donné aux festivaliers du Sziget) ont participé cette
année à la fête. Retour ensemble sur la plus belle semaine de l’année." La suite sur soundofbrit.fr
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