A quelques semaines des élections
européennes, le 26 mai prochain, l'exercice pour la représentante de la
France d'Emmanuel Macron au pays de Viktor Orbán pourrait tenir de
l'exercice de corde raide tant les deux visions de l'Europe sont
opposées : une, libérale et réformatrice ; l'autre, illibérale, mettant
en cause le « diktat » de Bruxelles. Il fallait une diplomate capable
non pas de réconcilier des visions éloignées, mais apte à..." La suite sur lesechos.fr (payant après deux visites)
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