Péter Szamosvölgyi n’en est pas à sa première
commémoration du traité de Trianon. Depuis son élection en 1998, le
maire de Sátoraljaújhely rappelle chaque année avec amertume l’accord de
paix qui a démembré l’Empire austro-hongrois, amputé la portion magyare
de 72% de sa superficie s’étendant du Burgenland à la Transylvanie et
transféré la majeure partie de sa ville à la Tchécoslovaquie le 4 juin
1920. Pour lui comme pour le premier ministre Viktor Orbán venu délivrer
un discours sur les hauteurs de la localité à l’occasion du 99e
anniversaire de l’événement, Trianon incarne un «diktat» doublé d’une
injustice." La suite sur letemps.ch (article payant)
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