Est-ce le manque de souffle politique après environ
une décennie de pouvoir cadenassé? La perte de dix des plus grandes
villes de Hongrie, dont la capitale, Budapest, aux municipales d’octobre
dernier? Jeudi 9 janvier, lors d’une grande conférence de presse
internationale donnée devant une assemblée de journalistes triés sur le
volet, un Viktor Orban grave reconnaissait à demi-mot sa responsabilité
dans le premier échec électoral encaissé par son parti, Fidesz, depuis
les législatives du printemps 2010. Ultra-dominateur au parlement, le
camp de la majorité qui semblait inébranlable doute de sa puissance." La suite sur letemps.ch (article payant)
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