"Insécurité, angoisse, ennui. Dans le monde entier, les modes de vie
ont radicalement changé à cause de la pandémie de coronavirus. Les gens
restent cloîtrés chez eux par obligation, et par peur d'attraper le
virus.
Les jours se suivent et se ressemblent, les relations
sociales quasi inexistantes se détériorent et les plus inquiets peuvent
broyer du noir. Lorsque l'on vit seul, le risque de dépression augmente,
mais les personnes confinées avec leur famille peuvent également être
victime de syndromes d'anxiété, comme nous l'explique Vera Saródy,
psychologue en Hongrie." La suite sur euronews.com
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