"Le Premier ministre hongrois, nationaliste conservateur, suspendu par le
PPE fait voter un état d'urgence à durée indéterminée. Le coronavirus,
un prétexte ?
Quand Gérard Larcher brandit l'image du coup d'Etat lorsqu'Emmanuel
Macron le consulta sur la suppression du premier tour des municipales,
il fut ridicule. Et dangereux (il y a des commissions d'enquête qui se
perdent). En revanche, évidemment, lorsque Viktor Orbán, le Premier
ministre hongrois, instaure un « état d'urgence à durée indéterminée »
pour lutter contre le coronavirus en gouvernant par ordonnances, le
soupçon est légitime. Ses opposants critiquent le fait de ne pas limiter
l'état d'urgence à une durée déterminée comme dans les autres pays de
l'Union européenne. D'autant qu'en l'assortissant de jusqu'à cinq ans de
prison pour diffusion de « fausses nouvelles » sur le virus ou les
mesures du gouvernement, celui-ci pousse le bouchon de tokay un peu
loin." La suite sur lesechos.fr
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