En 1988, Marie Morris ajoutait dans le New York Times que, puisque l’écrasante majorité des femmes n’avaient jamais eu le choix entre l’une ou l’autre de ces options, elles avaient surtout été coincées pour attendre l’étranger. Elle n’avait pas tort.
Les récits d’errance et journaux dehobos, de Jack Black à Jack Kerouac, nous ont abondamment donné l’occasion de constater que les deux intrigues n’étaient pas mutuellement exclusives et qu’elles servaient habilement la construction de perdants magnifiques (se rendre intéressant n’est pas qu’un privilège d’écrivain en confinement). Le peintre, théoricien et écrivain hongrois Lajos Kassák a été de ces individus qui ont pris la route au péril de leur santé, abandonnant, dans son cas, le métier de serrurier pour passer de l’autre côté de la porte." La suite sur ledevoir.com
Photo: Séguier La rédaction de la revue «Ma», fondée en 1916 par Lajos Kassák (5e en partant de la gauche), en 1922 |
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