Eva Vamos : Spécialiste des médias, vous avez écrit pendant plusieurs années dans de nombreux journaux français dont Le Monde. Pourquoi avez-vous abandonné l’écriture pour la photographie ?
Daniel Psenny : Je n’ai pas abandonné totalement l’écriture car je continue à collaborer à quelques journaux français, selon la demande. Mais, il est vrai qu’en me promenant dans Budapest que je découvre chaque jour, j’ai plus de réflexe de sortir mon appareil photo que mon stylo. C’est une ville magnifique, pleine de surprises. Il suffit de lever le nez pour apercevoir une façade Art Déco ou une architecture raffinée aux allures viennoises ou ottomanes, de pousser une porte pour s’aventurer dans des cours magnifiques ou de déambuler dans des coursives (les fameux gangs) incroyables. C’est la singularité de cette ville avec ses bains, ses jardins, ses grandes avenues, ses monuments et son passé que l’on devine ancré jusque dans les murs. Budapest possède une atmosphère particulière qui offre un immense terrain de jeu pour un photographe." La suite sur jfb.hu
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