"Le gouvernement Orban s’était rapproché de celui de Nicolas Maduro pour importer de l’énergie. En manque de pétrole, la Hongrie est dans un bras de fer avec Bruxelles.
Le chef de la diplomatie européenne a exprimé l’inquiétude de l’UE sur la transparence et les conditions biaisées de l’élection présidentielle au Venezuela. Mais des sanctions ne sont pas à l’ordre du jour.
Trois jours depuis l’élection présidentielle au Venezuela,
et déjà trois déclarations de Josep Borrell. Lundi, mardi, et mercredi,
le haut-représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères
a réclamé à trois reprises la publication des résultats détaillés de
l’élection. Faute de quoi la réélection de Nicolas Maduro « ne peut être
reconnue », a-t-il réitéré mercredi lors d’une visite au Vietnam. Le
Conseil électoral national du Venezuela « a présenté à ce jour des
résultats correspondant à seulement 80 % du décompte de voix, sans
fournir aucune source ou système permettant une vérification »,
déplorait-il la veille. Un « résultat partial et invérifiable, [alors
que] les données fournies par l’opposition offrent un résultat
radicalement différent »." La suite sur lopinion.fr (article payant)
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