Cette politique pose particulièrement problème lors des commémorations du 23 octobre, jour de fête nationale dévolu à la résistance héroïque des Hongrois au totalitarisme soviétique en 1956, qui fut brutalement écrasée par ses chars (environ 2 500 morts et 13 000 blessés). En 2022 et 2023, Viktor Orban avait d’ailleurs préféré délocaliser en province ses discours pour détourner l’attention et surtout éviter tout parallèle entre 1956 et la guerre en Ukraine." La suite sur lemonde.fr (article payant)