"Après quinze mois dans les geôles hongroises, l’antifasciste Ilaria Salis ne doit sa liberté qu’à son élection comme députée européenne en juin 2024. Aujourd’hui, elle appelle la France à refuser l’extradition de son camarade Gino Abazaj, réclamée par Viktor Orban.
La répression politique en Hongrie, Ilaria Salis ne la connaît que trop bien. Entre son arrestation à Budapest en février 2023, en marge de la « Journée de l’honneur », un rassemblement de néonazis commémorant une cuisante défaite contre l’Armée rouge en 1945, et son élection au Parlement européen, en juin 2024 – elle siège dans le groupe de la Gauche (GUE-NGL) –, elle a dû endurer pendant près d’un an et demi ce qui ressemble à de la « torture blanche »…
Un traitement injuste et inhumain qu’elle veut épargner à Rexhino Abazaj, alias « Gino », et à d’autres de ses camarades, cibles sur tout le continent d’une même vengeance d’État planifiée directement par le premier ministre hongrois, Viktor Orbán." La suite sur humanite.fr
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