"Le veto du 6 mars confirme l’isolement de Budapest, contournée par les vingt-six autres Etats-membres. Marginalisé dans l’UE et menacé sur ses terres, le tribun magyar s’accroche à la planche de salut Trump.
Cette fois, il n’est pas sorti « boire un café ». En opposant son veto à une nouvelle stratégie de soutien à l’Ukraine, l’éternel trublion Orbán tient parole et brise l’unité européenne. Seul contre tous après le lâchage de son allié slovaque Fico, amadoué par la promesse de relance des livraisons de gaz russe. Pas de quoi contrecarrer une déclaration à vingt-six, mais l’homme fort de Budapest rappelle qu’il peut encore contester de futures décisions d’importance sur l’Ukraine, les sanctions et le budget européen." La suite sur lesoir.be (article payant)
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