"Mêlant performance, travail documentaire et autofiction, Eszter Salamon
multiplie les perspectives sur la construction fragile et perméable de
l’identité. En élaborant les doubles d’elle-même, elle repense le médium
et le matériau, le corps singulier et la parole qui sert à le
circonscrire. Un corps, mon corps – territoire en friche, inconnue
singularisée par un nom, fouillis de souvenirs, de faits, de sensations :
comment rendre compte de ces multiples strates, et dresser une carte
qui permette son appropriation ?" La suite sur
jeudepaume.org
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.