"Il y a les groupes avec femmes et enfants, assis sur un banc de parking
ou de jardin public, le regard méfiant et l’oreille rivée à leur
téléphone portable, dans l’attente du passeur qui viendra les ramasser
avec son véhicule. Et puis les bandes de garçons, sac au dos, qui
tracent leur route avec l’énergie de leurs 20 ans. Dans le sud de la
Hongrie comme de l’autre côté de la frontière, du côté serbe, il est
difficile de ne pas voir tous ces réfugiés pressés d’arriver en
Allemagne, tant que c’est encore possible." La suite sur
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