Il y a des alibis qui sonnent faux. En ce
jour d'hiver pluvieux, dans la petite ville touristique de Szentendre,
les ruelles sont désertes et les boutiques de souvenirs, vides.
Pourtant, lorsqu'on tente d'interroger les commerçants sur la vie
politique de leur pays, tous se déclarent débordés. A chaque fois, le
sourire se fige. Mieux vaut quitter les lieux. En Hongrie, on ne parle
guère de politique. Année après année, un climat un peu..." La suite sur lesechos.fr
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