Salgótarján
a des airs post-apocalyptiques. Des barres d’immeubles grisâtres
construites dans les années 70 défigurent un centre-ville figé dans le
temps. La dépression transpire des structures devenues apparentes de
certains immeubles et des maisons aux toits éventrés. Un étrange silence
y règne : celui des usines fantomatiques de la périphérie. La chute du
pouvoir communiste en 1989 n’a laissé aucune chance à cette commune du
nord-est de la Hongrie, région oubliée du capitalisme mondialisé." La suite sur yahoo.com
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