"Hollan cherche
d’abord à capter l’énergie qui se dégage de l’arbre, à saisir un «
courant ». Ce grand format projette le spectateur dans la masse colorée
de l’arbre faisant naître chez lui un sentiment de plénitude proprement
jubilatoire.
Dans son enfance,
Alexandre Hollan a savouré des années de très grand bonheur dans la
nature, en Transdanubie, en Hongrie près de l’Autriche, dans le parc de
la maison familiale avec ses arbres et mille sortes d’oiseaux, véritable
paradis. Né à Budapest en 1933 et arrivé en France en 1956, il n’aura
de cesse de retrouver l’harmonie de ses impressions d’enfance,
sillonnant les routes pendant quinze ans avec sa voiture-atelier pour se
fixer finalement dans le Languedoc. Alexandre Hollan développe des
liens puissants avec les arbres, qu’il nomme Le Déchêné, Le Chêne de Garde, Le Foudroyé, L’Indomptable… Cette complicité avec ces « vies silencieuses » repose avant tout sur la quête d’un « au-delà du visible », clé de compréhension du monde." La suite sur connaissancedesarts.com
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