"Dans le camp du pouvoir, on veut croire que Viktor Orbán a eu le dernier
mot. Dans l’opposition, on se réjouit qu’avec le départ du Fidesz du
Parti Populaire européen, il se retrouve le bec dans l’eau, dans « un no
man’s land politique . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.