"En 1983, Iván Fischer fondait le Budapest Festival Orchestra. Quarante-deux ans plus tard, force est de constater que, s’il lui est arrivé de commettre quelques infidélités, le chef hongrois est toujours revenu à cette formation comme à sa famille, son foyer. Très réputés, partout demandés, l’orchestre et son guide n’avaient pourtant jamais paru dans le cadre prestigieux du festival de Grenade. L’occasion se présentant enfin l’été dernier, sans doute Fischer a-t-il voulu faire montre d’originalité en proposant, plutôt que les éternels Falla ou Granados si souvent invoqués en ces lieux, un programme entièrement dédié à Mahler — et pas au plus gai : les Kindertotenlieder et la Symphonie n° 5." La suite sur telerama.fr (article payant)
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