Des cadres du Fidesz, le parti de M. Orban, ont déjà assuré à plusieurs médias critiques du pouvoir qu’ils seront directement visés par ce texte sans équivalent dans l’Union européenne. « Ce sera le gouvernement qui pourra décider de manière arbitraire qui atterrira sur cette liste et appliquer ensuite des mesures qui pourraient plonger n’importe qui dans la faillite en quelques mois », dénonce Marton Gergely, le rédacteur en chef du magazine politique hebdomadaire HVG, qui s’inquiète qu’un simple abonnement souscrit par un lecteur habitant en dehors des frontières de ce pays d’Europe centrale puisse suffire à le faire figurer sur la liste." La suite sur lemonde.fr (article payant)