samedi 31 mars 2018

Conférence - « Existences précaires - études de cas : XIXe XXe, XXIe siècles » 26-27 avril 2018 de 9h à 18h Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

La notion de précarité apparait de plus en plus fréquemment dans notre vocabulaire de tous les jours et dans toutes sortes de discours (politiques, culturels, sociaux, etc.). Cette fréquence – pour ne pas dire « mode » - du mot devenu par le fait même polysémique, révèle incontestablement un problème fondamental et universel - existentiel, social, politique, culturel, humain – auquel se heurtent nos sociétés d’aujourd’hui. Il devient alors impératif d’examiner d’une part les usages du concept de précarité dans un contexte proprement scientifique, celui notamment des diverses disciplines en SHS, d’autre part la diversité des réalités auxquelles il veut renvoyer.
Colloque international organisé par le Centre Interuniversitaire d’Études hongroises et finlandaises (CIEH&CIEFi) de la Sorbonne Nouvelle - Paris 3 en collaboration avec
La Fédération de recherche Études pluridisciplinaires sur l’Europe intermédiaire (EPEI)
le Centre d’Études et de Recherches Comparatistes (CERC)
le groupe de travail CODHIL du Département d’Études Françaises de l’Université Eötvös Loránd de Budapest (ELTE)
Entrée libre

Cinéma - Amour, réalisé par Károly Makk 24 avril 2018 à 19h30 Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Littérature et cinéma en République populaire de Hongrie (1949-1989) : passages, résonances, surgissements
Szerelem, 1971, 88min, VOSTFR
Ce programme qui se prolongera tout au long de l’année propose de s’intéresser aux enjeux que soulève l’adaptation cinématographique d’œuvres littéraires dans la Hongrie socialiste, de 1949 à 1989. Il présentera dix films emblématiques dans lesquels les textes littéraires initiaux (souvent méconnus) s’ancrent dans un double processus de reconstitution poétique et de prise de distance critique. Programmation conçue par Mario Adobati, Damien Marguet et Mathieu Lericq.
Luca, une femme au caractère affirmé, entretient des rapports compliqués avec sa belle-mère alitée. Toutes deux attendent le retour d’un homme, János. Mais la relation en vase clos repose sur un mensonge lié à l’arrestation de ce dernier par la police d’Etat. Inspiré par deux nouvelles, l’écrivain Tibor Déry offre au cinéaste Károly Makk la trame d’une œuvre magistrale où une chambre à coucher devient la caisse de résonance de la mainmise implacable du communisme sur les destins individuels, pendant la terrible ère Rákosi.
Séance présentée par Mathieu Lericq.
Entrée libre

Concert de piano de Balázs Fülei 20 avril 2018 à 20h Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Lauréat du prix Liszt, Balázs Fülei a inscrit à son répertoire une trentaine de concertos dont tous les concertos de Beethoven, Brahms et Bartók. Interprète le plus recherché de l’année Liszt (2011) et de l’année Bartók (2016), il se produit sur de prestigieuses scènes internationales (Konzerthaus de Vienne, Concertgebouw d’Amsterdam, Kioi Hall de Tokyo, NCPA de Bombay, Carnegie Hall de New York). Depuis 2012, il enseigne à l’Université de musique Ferenc Liszt de Budapest où il dirige, depuis 2015, le département de musique de chambre. Il donne des master class en Israël, en Chine, au Vietnam et aux États-Unis.
Programme :
Janáček : Sonate 1.X.1905
Chopin : Ballade nº4 en fa mineur, op.52
Ján Cikker : Sonatina Op. 12, 1
Bartók : Huit improvisations sur des chants populaires hongrois, op.20
Entrée libre

Marché - Gâteaux avec Kati 7 avril 2018 de 13h à 18h Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Nous souhaitons vous proposer une sélection des meilleurs gâteaux de Hongrie et d'Europe centrale à l’Institut Hongrois chaque premier et troisième samedi du mois entre 13 et 18 heures.
À la carte, des strudels salés, sucrés, le fameux dobostorta, les gâteaux au pavot, aux pommes, au fromage blanc et bien d’autres délices qui sauront ravir vos papilles !
Vous pourrez les déguster sur place autour d’une tasse de thé, d’une tisane ou d’un café, mais également les emporter si vous le souhaitez.
Pour les commandes, veuillez nous prévenir trois jours avant « L’heure du thé » soit par téléphone au 06 64 27 51 68 ou par mail cuisinehongroise@free.fr.
Délicieusement vôtre,
Kati & Marianna
La brigade de l’Art Culinaire Hongrois

Hongrie: Orban dit avoir une liste de 2.000 ennemis payés pour le renverser

"Budapest - Le Premier ministre hongrois Viktor Orban, a affirmé vendredi, neuf jours avant les élections législatives, qu'il disposait d'une liste de 2.000 personnes payées pour renverser son gouvernement et favoriser l'immigration. "En Hongrie, environ 2.000 personnes rémunérées travaillent pendant la campagne électorale pour renverser le gouvernement et installer un nouveau gouvernement pro-immigration acceptable par George Soros", a déclaré M. Orban.
"Nous savons exactement qui ils sont, nous savons leurs noms, pour qui et comment ils travaillent dans le but de faire de la Hongrie un pays d'immigration", a-t-il déclaré à la radio MR1." La suite sur lexpress.fr

Hongrie : une pétition pour que JCDecaux arrête de diffuser les messages de haine

"Le géant français de l’affichage publicitaire urbain, JCDecaux, est pointé du doigt par les opposants au gouvernement de Viktor Orbán, qui lui demandent de ne plus diffuser sa propagande raciste et xénophobe.Une pétition a été lancée jeudi pour dire STOP GYŰLÖLET! (STOP A LA HAINE !). Signée samedi matin par près de deux mille personnes, elle réclame l’arrêt de la nouvelle campagne d’affichage du gouvernement qui a débuté cette semaine. Ces affiches « d’information gouvernementale » consistent en une photographie d’une foule de migrants barrée du mot « Stop ».
« Le gouvernement hongrois a lancé une nouvelle campagne d’affichage avec l’argent du contribuable hongrois et la participation de l’entreprise française JCDecaux », peut-on lire dans la pétition publiée sur la plateforme aHang.hu." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr

vendredi 30 mars 2018

Un ministre hongrois mis en cause dans une affaire de (très) gros sous

"L'affaire de Csenger" ou "l'affaire des 1 300 milliards", comme on l'appelle déjà, déchaîne l'opposition à quelques jours des législatives. Lajos Kósa, ministre du gouvernement de Viktor Orbán, est en effet accusé d'être impliqué dans une affaire aux retombées politiques potentiellement désastreuses pour le pouvoir. La scène est cocasse et fait d'ailleurs rire bon nombre d'internautes hongrois. En déplacement à Pécs mardi dernier, la voiture du ministre sans portefeuille Lajos Kósa..." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Des ombres d'affairisme sur la campagne électorale de Viktor Orban

"Budapest - Une frénésie de nouveaux stades et de lampadaires municipaux peut-elle compromettre les ambitions de Viktor Orban aux législatives du 8 avril ? Pour les opposants au Premier ministre hongrois, ces marchés publics sont les symboles d'un pouvoir clientéliste et corrompu devenu un thème central de la campagne électorale.
"La Hongrie n'a pas de problème majeur de corruption, il n'y a que la tentative politique de l'opposition d'en faire un sujet important", balaie auprès de l'AFP Zoltan Kovacs, porte-parole de Viktor Orban, le dirigeant ultraconservateur à la tête du pays depuis 2010 et en lice pour un troisième mandat d'affilée." La suite sur lexpress.fr

Les relations littéraires entre la France et la Hongrie au XXe siècle

"Du 5 au 7 décembre 2018
Appel à participation pour le  30 avril.
Le colloque aura lieu les 5-7 décembre 2018 à Budapest, à l’Institut d’Études Littéraires de l’Académie Hongroise des Sciences, à l’Institut Français et au Centre Interuniversitaire d’Études Françaises de l’Université Eötvös Loránd.

Le XXe siècle et ses remous ont marqué un tournant dans la littérature européenne, influençant la vie et l’œuvre des (futurs) écrivains, poètes, traducteurs, éditeurs, journalistes, correspondants de journaux, et directeurs de théâtre. Les guerres et les révolutions qui l’ont rythmé forment le cadre historique dans lequel se sont inscrites la carrière et la réception des œuvres de nombreux personnages littéraires de cette époque. Les nouveaux résultats de recherche sur les rapports littéraires franco-hongrois au XXe siècle s’inscrivent dans ce contexte historique, comme le démontrent la carrière et la réception des œuvres de nombre de personnages littéraires importants pour ces deux pays. Les possibilités de transfert culturel, l’enseignement supérieur, les préférences des théâtres et les maisons d’édition changent fondamentalement." La suite sur fabula.org

La grande pianiste Lívia Rév est morte

"La pianiste hongroise Lívia Rév est morte à l'âge de 101 ans à Paris, mercredi 28 mars. Née à Budapest, elle avait débuté sa longue carrière en 1925 et joué avec plusieurs grands chefs d'orchestre internationaux.
Elle a joué sous la baguette de Sir Adrian Boult, André Cluytens et Rafael Kubelik, avant de devenir une pédagogue reconnue : la pianiste Lívia Rév s'est éteinte mercredi 28 mars 2018 à l'âge de 101 ans. Née dans une famille de musiciens le 5 juillet 1916, elle se produit dès l'âge de 12 ans avec l'Orchestre symphonique de Budapest, sa ville natale.
Lauréate en 1938 du Grand Prix de l'Académie Franz Liszt de Budapest, où elle est l'élève de Leo Weiner et Arnold Szekely, et sort la même année diplômée de l'académie, après une réception en présence des compositeurs Béla Bartók et de Zoltán Kodály. Pendant la guerre, alors que ses proches quittent le pays, Lívia Rév reste  en Hongrie. C'est après la guerre, alors que des soldats américains l'entendent jouer, que la pianiste quitte son pays natal. En 1946, elle s'inscrit au Concours Long Thibaud en vue d'obtenir un visa pour Paris, mais ne s'y présente pas, faute de préparation. Lívia Rév tombe sous le charme de la capitale, qu'elle ne quittera plus.  Elle y rencontre Arthur Rubinstein en 1948, qui ne tarit pas d'éloge à son égard, écrivant « voici une pianiste qui a un vrai talent, et tout ce qui va avec : le rythme, le style, le son, l'émotion et une technique parfaite ». " La suite sur francemusique.fr

jeudi 29 mars 2018

Imola Gebauer, commissaire d’expo et porteuse de mémoire

"Imola Gebauer est la commissaire d’exposition consacrée à Lucien Hervé au château de Tours. De la Hongrie à Tours, parcours d’une passionnée.
Lorsque l’on croise Imola Gebauer, sa discrétion et son calme sautent aux yeux en premier. Attentive aux échanges, cette jeune femme toute menue a en fait une force de caractère qui l’a menée de la Hongrie à la France, avec maintes péripéties, hasards de rencontres faisant d’elle ce qu’elle est aujourd’hui : une historienne de l’art, chercheuse passionnée et rédactrice de nombreux textes qui mettent en valeur le patrimoine culturel.
Ses études, elle les a d’abord commencées en Hongrie. Puis, par l’intermédiaire d’un frère journaliste venu en France pour apprendre la langue en s’installant chez le photographe Lucien Hervé (hongrois né László Elkán) pour l’aider au quotidien." La suite sur lanouvellerepublique.fr

Peter Munk, fondateur de Barrick Gold, est mort à l'âge de 90 ans

"L'un des grands entrepreneurs du Canada, M. Munk s'est notamment distingué par son travail.
Le fondateur de la société aurifère Barrick Gold, Peter Munk, est décédé mercredi, à l'âge de 90 ans. Il est mort de mort naturelle, à son domicile de Toronto, a indiqué sa fille Nina Munk.
L'un des grands entrepreneurs du Canada, M. Munk s'est notamment distingué par son travail chez Barrick Gold, qui s'est hissé parmi les plus grands producteurs d'or de la planète sous sa direction. Il a su bâtir l'un des plus grands empires aurifères par sa propension à prendre des risques, a déniché les occasions négligées par ses concurrents et en bousculant le statu quo.
Au fil des années, M. Munk s'est aussi imposé comme l'un des plus célèbres philanthropes du Canada. Il a notamment versé un don de 175 millions $ à l'Hôpital général de Toronto en 1997. Selon Barrick Gold, il aurait versé plus de 300 millions $ à diverses causes et institutions au cours de sa vie.
-Advertisement-
Il laisse dans le deuil son épouse Melanie, avec qui il était marié depuis 45 ans, ainsi que ses cinq enfants Anthony, Nina, Marc-David, Natalie et Cheyne. Il était aussi grand-père de 14 petits-enfants.
M. Munk est né à Budapest en 1927. Il a fui la Hongrie en compagnie de sa famille en 1944, à la suite de l'invasion nazie." La suite sur huffingtonpost.ca

Ruag est secouée par deux nouvelles affaires

"La compagnie d’armement nationale [suisse] fait face à de graves défauts de compliance de la part de deux sociétés rachetées ces dernières années, l’une en Floride et l’autre en Hongrie, révèle la «Handelszeitung»
L’affaire russe n’était pas un cas isolé. Ruag Ammotec fait face à deux autres graves problèmes de «gouvernance». La division munitions du fabricant d’armes national est aux prises avec deux autres affaires, cette fois aux Etats-Unis et en Hongrie, révèle la Handelszeitung de jeudi. Finalement, en septembre dernier, Cyril Kubelka, le responsable de cette division depuis 2004, a dû quitter l’entreprise." La suite sur letemps.ch

Un ministre hongrois soupçonné du blanchiment de 4,3 milliards d’euros

"L'affaire de Csenger" ou "l'affaire des 1 300 milliards", comme on l'appelle déjà, déchaîne l'opposition à quelques jours des législatives. Lajos Kósa, ministre du gouvernement de Viktor Orbán, est en effet accusé d'être impliqué dans une affaire aux retombées politiques potentiellement désastreuses pour le pouvoir. La scène est cocasse et fait d'ailleurs rire bon nombre d'internautes hongrois. En déplacement à Pécs mardi dernier, la voiture du ministre sans portefeuille Lajos Kósa..." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

L’oeuvre du mois : « Entrée-sortie » de Judit Reigl


Judith Reigl, « Entrée-sortie », vers 1987, technique mixte, poudre de métal sur toile, 195 x 195 cm
"« Entrée-sortie » est une peinture, jamais exposée auparavant, de l'artiste Judit Reigl, l'une des onze artistes, nées entre les années 1920 et 1930, dont les œuvres sont exposées à la galerie Alain Challier à Paris, à l'occasion de l'exposition « Les pionnières, 11 femmes, 11 artistes du XXe siècle ».
Judit Reigl est l’une des onze femmes artistes dont les œuvres sont exposées à la galerie Pierre-Alain Challier à l’occasion de la sortie du livre Les Pionnières. « Ce sont onze artistes, onze femmes hors du commun, qui sont nées entre 1920 et 1930 », précise le galeriste. Pourquoi les qualifier de « pionnières » ? Ce sont toutes des novatrices, défricheuses d’un art abstrait en devenir. Mais surtout, « elles étaient des créatrices de sexe féminin, à une époque où on ne laissait pas la parole aux femmes ». Très vite reconnues, elles sont tombées dans l’oubli entre 1950 et la fin des années 1970. Un long silence pendant lequel elles ont continué à travailler. Aujourd’hui, elles sont à nouveau à l’honneur. Judit Reigl (« Connaissance des Arts » n°688), dont certaines œuvres sont désormais dans les collections du Centre Pompidou, est l’auteur de cette Entrée-sortie (vers 1987)." La suite sur connaissancedesarts.com

Galerie Pierre-Alain Challier

8, rue Debelleyme
75003 Paris
Tel : 33 (0) 1 49 96 63 00
Fax : 33 (0) 1 49 96 63 01
galerie@pacea.fr
 

Hongrie - Quand Viktor Orban copie Nigel Farage

"UKIP et Fidesz, même combat ? La dernière campagne de publicité anti-migrants du gouvernement hongrois a utilisé la même image que celle diffusée par le parti eurosceptique UKIP durant la campagne en faveur du Brexit au Royaume-Uni.
En 2016, Nigel Farage, l'ancien dirigeant de l'UKIP n'avait pas hésité à poser devant une affiche illustrant l'afflux de réfugiés en Europe. Avec ce slogan dévastateur : "L'Europe nous a laissé tomber".
La photo, elle, n'est pas nouvelle, elle a même fait le tour du monde.
Le cliché avait été pris par Jeff Mitchell, photographe de l'agence Getty, alors qu'il était en train de faire un reportage sur les migrants traversant la frontière croato-slovène au pic de la crise migratoire de 2015." La suite sur euronews.com

L'incontournable Viktor Orban

"N’en déplaise aux Européens qui ne cessent de critiquer ses dérives xénophobes et populistes, le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, devrait rester au pouvoir encore quatre ans. A la veille des prochaines élections législatives du 8 avril, son parti reste en tête des sondages. La question étant de savoir si le Fidesz parviendra à obtenir une majorité des deux tiers ou une majorité simple.
Qui sont les principaux partis en compétition ?" La suite sur euronews.com

Hongrie: arrêté pour vente d'armes sur un site antimigrants

"Un Allemand sympathisant d'extrême droite, qui vendait des armes à air comprimé sur une plateforme antimigrants, a été arrêté aujourd'hui à Budapest par des policiers locaux épaulés par des collègues allemands, a annoncé le Parquet de Berlin. Mario Roensch, 34 ans, est soupçonné d'avoir vendu illégalement depuis la Hongrie entre mai et novembre 2016 "193 armes qui nécessitaient une autorisation" à des Allemands, a expliqué le parquet dans un communiqué.
Ces ventes ont été réalisées par l'entremise du site "Terroriser les migrants", fermé depuis, et "plusieurs connexions hongroises", a-t-il ajouté. Au cours de son arrestation, deux lieux ont été perquisitionnés à Budapest et à Barcs (sud-ouest de la Hongrie). La police y a saisi divers éléments, notamment des ordinateurs et disques durs." La suite sur lefigaro.fr

A Debrecen, dans le fief de la Hongrie rêvée d’Orban

"Les électeurs voient dans le premier ministre un rempart contre les dangers extérieurs et l’immigration.
Marie Csernyi presse le pas sur le parvis de l’immense temple calviniste de Debrecen. C’est ici que Lajos Kossuth, héros du roman national, a proclamé la déchéance des Habsbourg et l’indépendance de la Hongrie, le 14 avril 1849. Le personnage est sacré pour les patriotes ; Viktor Orban, le premier ministre en campagne pour obtenir un troisième mandat d’affilée, se présente comme son héritier.
Trente-cinq ans durant, cette sexagénaire a passé la serpillière sur les tomettes foulées par les ouailles protestantes. Elle votera bien sûr pour le chef du gouvernement, si décrié à l’étranger, aux législatives du 8 avril. « Pour qui d’autre ? Regardez donc autour de vous ! Tout a changé en mieux chez nous grâce au parti Fidesz. »" La suite sur lemonde.fr (article payant)

Législatives en Hongrie : ce que disent les derniers sondages

"Il reste dix jours avant le scrutin législatif en Hongrie, qui se déroulera le dimanche 8 avril. En termes de popularité, le Fidesz du Premier ministre et candidat Viktor Orbán caracole loin devant ses adversaires. Le point sur les derniers sondages d'opinion. Les résultats suivants ont été compilés et mis en graphiques par le site internet Közvélemény kutatók. Ils proviennent de plusieurs instituts de sondage, certains indépendants, d’autres très liés au gouvernement ou à des partis d’opposition . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Lívia Rév, pianiste de renommée internationale, s’est éteinte ce mercredi 28 mars 2018


Lívia Rév, pianiste de renommée internationale, s’est éteinte ce mercredi.
Pendant sa longue carrière, elle se voit invitée par de nombreux orchestres, le London Philharmonic Orchestra, le Mozart Players, l’orchestre de la BBC. Elle enchaîne les tournées en Europe, au Japon ou à Hong-Kong, elle se mobilise pour soutenir les jeunes pianistes et lancer leurs carrières.
L’Institut hongrois a eu l’immense plaisir de la recevoir pendant de longues années entre ses murs pour des concerts et des master class.

Nous nous joignons pour rendre hommage à cette grande dame qui a contribué au rayonnement de la culture hongroise.
Source : Institut hongrois

mercredi 28 mars 2018

« Il faut rendre sa fierté à la communauté juive en Hongrie »

"Loi mémorielle en Pologne et travail de mémoire autour de l'Holocauste en Europe centrale, campagne contre Soros et antisémitisme, vie de la communauté juive en Hongrie et relations avec Israël... András Heisler, président de la Fédération des communautés juives de Hongrie (MAZSIHISZ), aborde tous ces sujets dans un entretien avec Le Courrier d'Europe centrale . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payan)

Un représentant juif appelle à soutenir le candidat local du Jobbik

"Miklós Erdélyi, président intérimaire de la communauté religieuse juive de Hódmezővásárhely, a appelé à soutenir Attila Kiss, le candidat local du Jobbik dans la 4ème circonscription du département de Csongrád, dans le sud du pays, lors des élections législatives le 8 avril . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Viktor Orbán en campagne dans le nord de la Serbie

"Le dirigeant hongrois, candidat à un troisième mandat d'affilée, s'est rendu en Voïvodine en début de semaine pour essayer de mobiliser la minorité hongroise en vue du scrutin du 8 avril en Hongrie. Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán est allé à la rencontre des Hongrois ethniques de Voïvodine, la région septentrionale de la Serbie contiguë avec la Hongrie . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

ARTE Regards Rire contre Orbán

Le rire serait-il une réponse adaptée au népotisme, à la xénophobie et aux atteintes à la liberté d’expression qui ont cours en Hongrie ? Par le biais de la parodie, le parti du Chien à deux queues combat la politique absurde de Viktor Orbán. Une tâche beaucoup plus sérieuse qu’il n’y paraît.
Népotisme, xénophobie, atteinte à la liberté d’expression : la Hongrie est le vilain petit canard de l’UE, mais Bruxelles ne sanctionne pas vraiment le premier ministre Viktor Orbán pour autant. Comme par un fait exprès, c’est précisément un parti satirique qui sème la zizanie dans le pays. Après avoir fait leurs premières armes dans le "street art", les comiques du Chien à deux queues sont passé à la vitesse supérieure. En 2016, ils ont pour la première fois fait les gros titres hors des frontières hongroises en placardant des affiches qui ont fait imploser le référendum anti-immigration de Viktor Orbán. Par le biais de la parodie, le parti du Chien à deux queues combat la politique absurde du dirigeant du pays. Une tâche beaucoup plus sérieuse qu’il n’y paraît.

31 min.
Disponible du 26/03/2018 au 24/04/2018
Disponible en direct : oui

Herzl, une histoire européenne

"Il fut le premier à oeuvrer pour la création d'un Etat pour les juifs. Quelle terre pour les victimes des pogroms en Russie, pour les exilés ? La quête de la Terre promise fut l'histoire de sa vie.
C'est une histoire qui commence par la fin, dans un décors aux couleurs ocres et noires. Un homme a la tête posée sur un bureau. Il baigne dans son sang. A côté de lui, une lettre tapée à la machine à écrire. Son auteur, Ilia Brodsky vous apprend qu'il s'est donné la mort. Il n'est pas vieux. Il est juste usé par la vie. Usé de n'y avoir jamais trouvé sa place.  Enfant, il a fui les pogroms en Russie contre les juifs. Avec sa soeur Olga, il a vécu dans des camps, puis à Vienne en Autriche, où il rencontre brièvement, dans un atelier photo où il travaille, la famille Herzl.
Les Herzl étaient venus immortaliser leur appartenance à l'Empire austro-hongrois
En fait, les Herzl ont quitté Pest, l'ancienne Budapest de Hongrie après la mort de la soeur de Theodor Herzl. Une soeur chérie avec laquelle il partageait les jeux de l'enfance. Quitter Pest pour les Herzl, c'est laisser le malheur là où il est, pour recommencer une nouvelle vie ailleurs. Ilia est encore enfant. Il ne sait pas alors qui est cette famille, ni ce qui anime les pensées de Theodor Herzl, ce jeune dandy barbu au regard triste. Il sait seulement que s'ils partagent les mêmes origines juives, ils ne sont pas du même monde. Ilia est pauvre. Herzl vient de la bourgeoisie." La suite sur franceinter.fr

Les électeurs de la diaspora hongroise, enjeu clé pour Viktor Orban

"Ils sont l’objet de toutes ses attentions: les Magyars vivant dans les pays riverains de la Hongrie sont chouchoutés par le Premier ministre Viktor Orban, un électorat acquis à son parti Fidesz et dont les voix pourront s’avérer cruciales lors des législatives du 8 avril.
Visites de terrain répétées, courriers incitant ces Hongrois de souche à s’inscrire sur les listes électorales: le dirigeant aux tonalités nationalistes, qui brigue un troisième mandat d’affilée, n’a négligé aucun effort pour sécuriser ce vote qui lui était revenu à 95% il y a quatre ans.
Quelque 2 millions de Magyars vivent en dehors des frontières de la Hongrie, conséquence de la dislocation de ce pays en 1920 par le traité de Trianon, imposé après la défaite de l’Autriche-Hongrie lors de la Première guerre mondiale." La suite sur euronews.com

Mardis hongrois de Paris le 27 mars 2018 - Invités Judith et Pierre Karinthy - Présentation de "Qui m'a interpellé ?" un livre de Frigyes Karinthy































Hongrie : la Banque centrale maintient son taux directeur à 0,9%

"La Banque centrale de Hongrie MNB a annoncé mardi le maintien de son principal taux directeur au niveau historiquement bas de 0,9%, conformément aux attentes des analystes.La MNB avait abaissé son taux à ce niveau en mai 2016, soulignant vouloir l'y maintenir « aussi longtemps que possible »." La suite sur cbanque.com

Le travail collaboratif de Sandro Miller et John Malkovich exposé à Budapest

"Quand, à l’âge de seize ans, il a vu le travail d’Irving Penn, Sandro Miller a su qu’il voulait devenir photographe. En grande partie autodidacte, l’Américain s’est instruit grâce aux livres publiés par les maitres de l’histoire de la photographie. À travers leurs images, il a appris l’art de la composition, de l’éclairage et du portrait. Plus de trente ans plus tard, avec des clients comme Forbes, GQ, Esquire, American Express, Coca-Cola et BMW, Sandro Miller a trouvé sa place parmi les meilleurs photographes publicitaires du monde.
Son succès dans le monde commercial lui permet de poursuivre des projets personnels, notamment son travail à Cuba où il photographie des musiciens de blues américains et diverses troupes de danse. Il réalise aussi des projets ambitieux avec John Malkovich, son ami et collaborateur de longue date. Miller a rencontré Malkovich pour la première fois à la fin des années 1990, alors qu’il travaillait pour le Steppenwolf Theatre. Plus de seize ans plus tard, les deux hommes collaborent encore, comme on peut le voir dans leur dernière série, Malkovich, Malkovich, Malkovich: Hommage aux maîtres de la photographie.." La suite sur loeildelaphotographie.com

La cérémonie du Guide Michelin à Budapest

"L'édition 2018 du Guide Michelin Main Cities of Europe décerne deux étoiles à Onyx à Budapest, premier restaurant hongrois à obtenir la distinction. L'occasion de réunir 120 chefs étoilés de toute l'Europe.
La crème des chefs était réunie lundi soir au Palais de Budapest pour le lancement du Guide Michelin Main Cities of Europe 2018. Parmi eux, Christophe Bacquié, Guy Savoy, Arnaud Donckele, Arnaud Lallement, Pascal Barbot, Frédéric Anton, Massimiliano Alaljmo..." La suite sur lesechos.fr

Pourquoi s’offrir un séjour à Budapest

"Vous avez envie de visiter Budapest, mais vous vous demandez si un séjour dans cette ville serait une bonne idée ? Voici quelques raisons qui vous donneront envie de partir à la découverte de la capitale hongroise.
Budapest, une des plus belles villes du mondeSelon le classement établi par UCityGuides, Budapest figure parmi les dix plus belles villes du monde, et se trouve à la 9ème place. Une première raison de visiter la capitale hongroise. Une fois là-bas, vous serez étonné de la richesse de l’architecture de la ville. Elle abrite en effet de nombreux musées qui sont tous à visiter si l’on aime l’art. Le Musée national hongrois, le musée des arts appliqués et le musée d’ethnographie figurent parmi les musées les plus incontournables de Budapest. Sachez également que la gastronomie hongroise est l’une des plus riches et des plus réputées d’Europe. La Hongrie est un pays de saveurs. Les nombreux restaurants de Budapest vous ouvrent leurs portes pour vous faire découvrir des plats typiques du pays. Venez déguster des crêpes de Hortobagy, du Paprikàscsirke et des gulyás." La suite sur littoral-ouest.com

Handball: De mauvaises performances? Veszprem baisse les salaires

"Ce mardi, le club hongrois de Veszprem a annoncé qu’il décidait de payer ses joueurs et son staff au salaire minimum jusqu'à la fin de la saison. Cette sanction est due à de mauvaises performances notamment en Ligue des champions.Dans un communiqué officiel publié ce mardi, le club hongrois de Veszprem a annoncé qu’il paierait ses joueurs et les membres du staff au salaire minimum jusqu’à la fin de la saison, soit 412,66 euros brut par mois. "Plusieurs résultats de l'équipe cette saison ont été inacceptables, notamment dans les performances et les attitudes. Cela va contre les traditions d'un club créé il y a 40 ans" a déclaré la direction du club." La suite sur bfmtv.com

Natation. Le champion olympique Dániel Gyurta prend sa retraite

"L’heure est venue de sortir du bain pour le champion hongrois du 200 m brasse aux Jeux Olympiques de Londres en 2012. À 28 ans le Hongrois Dániel Gyurta qui est aussi triple champion du monde affirme prendre cette décision suite à une baisse de régime qui ne lui permet plus d’atteindre ses performances d’antan.
Le nageur hongrois Dániel Gyurta, champion olympique du 200 m brasse aux JO de Londres en 2012, a annoncé mardi à Budapest qu’il mettait un terme à sa carrière.
« Prendre ma retraite n’a pas été une décision facile », a déclaré Gyurta, 28 ans, qui avait battu à Londres le record du monde de la distance." La suite sur ouest-france.fr

mardi 27 mars 2018

Jobbik, l’ancien parti paria qui veut détrôner Viktor Orban

"Jusqu’en 2013, le parti hongrois Jobbik brûlait des drapeaux européens et suggérait d’établir des listes de juifs «à risque». Aujourd’hui, son dirigeant envoie des cartes de voeux pour les fêtes juives et se présente comme le seul à même de détrôner le souverainiste Viktor Orban.
Créditée de 15 à 18% des voix à l’approche des législatives du 8 avril, cette formation nationaliste se présente comme la deuxième force du pays derrière le Fidesz de M. Orban, et son principal rival.
Et la possibilité que la gauche noue localement des accords informels avec ce parti naguère honni, en vue de faire battre le Premier ministre sortant, n’est plus considérée comme une pure fiction par les politologues." La suite sur liberation.fr

Portrait de la Hongrie d'aujourd'hui le dimanche 8 avril sur M6.

"Un documentaire de Laetitia Kretz et Ibar Aibar (Nova productions), présenté par Bernard de La Villardière le dimanche 8 avril à 23 heures sur M6 : Hongrie, tensions maximales au coeur de l'Europe.
Située au cœur de l’Europe, riche d’une longue histoire et d’influences diverses, la Hongrie est aujourd’hui le pays le plus fermé de l’Union Européenne. Un véritable état « barbelés » qui a fermé toutes ses frontières suite à la crise migratoire.
M6 présente ainsi le sujet diffusé :
"A l’été 2015, de très nombreux migrants (100 000 personnes) ont fui le Moyen Orient. La plupart sont Syriens. Chassés par la guerre, ils souhaitent rejoindre l’Allemagne, la France ou l’Angleterre. Sur leur route, la Hongrie leur barre la route. Contre l’avis de Bruxelles, Viktor Orban, le premier ministre hongrois, érige un mur à la frontière avec la Serbie. Et la Hongrie, pourtant l’un des berceaux de la culture européenne, sombre dans la peur de l’autre." Le suite sur leblogtvnews.com

L’eau contaminée à l’arsenic touche un million de personnes en Serbie, Croatie et Hongrie

"Cet article fait l'objet d'une co-publication avec Le Courrier des Balkans.
 
Voilà un nouveau scandale sanitaire, révélé par BIRN. Sur un territoire qui s'étend entre l'ouest de la Croatie, le nord de la Serbie et le sud de la Hongrie, l'eau du robinet affiche des taux de concentration en arsenic jusqu'à 27 fois supérieurs à la limite légale. Près d'un million d'habitants sont exposés depuis des dizaines d'années à une eau cancérigène... dans le silence des autorités.
L'eau du robinet a une couleur tirant vers le jaune brunâtre et un petit goût de métal rouillé. Il faut se boucher le nez pour la boire, mais les gens se sont habitués : il y a des dizaines d'années qu'ils la boivent et on ne leur a jamais dit qu'elle n'était pas potable. Pourtant, elle . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Tourisme hongrois : Le Maroc accueille le MUISZ et vise les 35 000 touristes

"Infomédiaire Maroc – L’Association hongroise des tours opérateurs et agences de voyage (MUISZ) a tenu samedi, à Marrakech, son Congrès annuel en présence du ministre du tourisme, du transport aérien, de l’artisanat et de l’économie sociale, Mohamed Sajid.
L’organisation de ce congrès au Maroc, à l’invitation de l’Office national marocain de tourisme (ONMT), s’inscrit dans le cadre de la création d’une dynamique touristique importante du marché hongrois et pour accompagner les nouveaux vols aériens au départ de Budapest et à destination de Marrakech et Agadir." La suite sur infomediaire.net

«Il existe un lien étroit entre immigration et terrorisme», selon un ministre hongrois

"La dernière attaque terroriste montre qu’il existe un lien entre le terrorisme et l’immigration, a déclaré le ministre hongrois des Affaires étrangères et du Commerce Peter Szijjarto lors d’une conférence de presse. Ses propos ont été relayés par The Hungary Journal.
Lors de sa dernière conférence de presse du 24 mars, le ministre hongrois Peter Szijjarto a commenté la récente prise d'otages dans le sud de la France.
«Le dernier attentat en France prouve qu'il y a un lien étroit entre immigration et terrorisme», a-t-il déclaré cité par The Hungary Journal." La suite sur sputniknews.com

La Hongrie expulse un diplomate russe dans l'affaire Skripal

"BUDAPEST, 26 mars (Reuters) - Le ministère hongrois des Affaires étrangères a annoncé lundi avoir décidé l'expulsion d'un diplomate russe impliqué dans des activités d'espionnage." La suite sur zonebourse.com

lundi 26 mars 2018

Interview avec Ferenc Temesi et extraits de son roman Por dans la traduction de Patricia Kempf, premier prix du concours de traduction de l'Institut hongrois (2018).

"Au demeurant, tout roman est autobiographique, même Guerre et Paix."
Dans un entretien, vous avez déclaré que « le roman commence merveilleusement bien, tu tombes amoureux du roman, tu l’adores, il est gentil avec toi, tu es impatient de le retrouver chaque jour, comme la naissance d’un grand amour, il te réserve encore et encore des surprises, et puis, il se met à te dominer, de plus en plus, et finit par se comporte avec toi comme un tyran, alors voilà, tu lui tord le cou et tu le livres au public et à partir de ce moment, il ne t’appartient plus. Il passe entre les mains de ceux qui le lisent ou qui le publient. » (1). Votre roman « Poussière » a pris son indépendance il y a près de trente ans. Il a été réédité quatre fois, jusqu’à devenir un classique en dépit de son côté fraichement ludique. Vous estimez qu’il a été bien traité par ses lecteurs ?

Je dirais que oui. Pour sa première publication, il a été édité deux fois en un an, ce qui est extrêmement rare. La troisième édition remonte au début des années 2000, à nouveau en deux volumes, un succès également. La dernière édition (2) me laisse un peu perplexe. Ce gros roman publié en un volume unique, c’est impressionnant. Du point vu de sa taille, il pourrait aller sur l’étagère où je range mes plus gros dictionnaires…" La suite sur litteraturehongroise.fr

(1) Szepesi Dóra : entretien avec Ferenc Temesi Ferenc, Bárka online, 28 avril 2011.
(2) Por, Scolar, 2017
 

Rencontre / Lecture de ​Seiobo est descendue sur terre de László Krasznahorkai au Centre Pompidou le 9 avril 2018 à 20 h


17 histoires composent Seiobo est descendue sur terre : autant de variations sur l’art, la création, la quête de la beauté et celle du sacré. De Kyoto à Venise, de Paris à Athènes en passant par Grenade, László Krasznahorkai, écrivain hongrois essentiel, nous entraîne dans un surprenant voyage à travers l’espace et le temps.

Déployant sa prose envoûtante, László Krasznahorkai impressionne dans cette œuvre qui interroge à la fois le rôle des artistes, des spectateurs et l’émotion que peut provoquer l’art sur les êtres humains. 

Programme
Rencontre / Lecture de ​Seiobo est descendue sur terre de László Krasznahorkai traduit du hongrois par Joëlle Dufeuilly (éditions Cambourakis, mars 2018)

Avec
László Krasznahorkai
, écrivain
Didier Sandre, de la Comédie française, lecteur
Oriane Jeancourt, rédactrice en chef Littérature revue Transfuge
Dominique Radanyi, interprète 

Petite Salle Centre Pompidou
Niveau -1
Entrée principale, rue Saint-Martin (Piazza)
75004 Paris

Entrée libre dans la limite des places disponibles

Hongrie : des étudiants protestataires mis au pas

"Plusieurs dizaines d'étudiants qui ont manifesté lors de la fête nationale hongroise, le 15 mars dernier à Budapest, ont reçu des amendes salées, rapporte 444.hu. Il s'agit pour le pouvoir de tuer dans l’œuf tout mouvement de contestation avant les élections législatives en avril . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr

En Hongrie, la petite ville qui défie Orbán

"A deux semaines des législatives, le Premier ministre nationaliste part favori pour un troisième mandat. Mais la défaite surprise de son parti dans une élection municipale partielle a rebattu les cartes.
Il est l’outsider, l’inconnu surgi de nulle part qui alarme Viktor Orbán. Péter Márki-Zay a fait tomber un bastion du parti nationaliste du Premier ministre. Candidat indépendant, il a été élu il y a un mois maire de Hódmezövásárhely, cité de 47 000 habitants dans le sud-est de la Hongrie, battant à plate couture le candidat du parti au pouvoir (Fidesz, droite nationaliste) lors d’une élection municipale partielle. Un camouflet pour Orbán. Car cette ville est le fief de son bras droit, János Lázár, ex-maire et aujourd’hui ministre." La suite sur liberation.fr

L’avenir de l’UE au cœur des élections hongroises

Par Thomas Ferenczi
"Les électeurs hongrois sont appelés aux urnes, le 8 avril, pour décider s’ils accordent un troisième mandat consécutif au premier ministre sortant, Viktor Orban, ou s’ils préfèrent mettre un frein au populisme autoritaire et eurosceptique que celui-ci incarne. La campagne a été dominée par le thème de l’immigration et par celui de la défense du christianisme menacé par l’Islam. Les sondages font de Viktor Orban le grand favori du scrutin. Sa victoire accentuerait le clivage qui sépare, en Europe, les pays de l’Ouest de ceux de l’Est et qui rend problématique la relance de l’Union européenne.
Est-ce le souvenir de l’insurrection de Budapest, qui donna en 1956 le signal de la révolte contre l’URSS, ou la nostalgie d’un empire austro-hongrois plus ou moins mythifié, dont l’effervescence intellectuelle, au tournant du siècle, est perçue rétrospectivement comme annonciatrice de la modernité ? Toujours est-il que la Hongrie jouit en France d’une image flatteuse, rendue exotique par la singularité de sa langue et familière par le charme de sa capitale ou la richesse de sa culture, dont témoignent au XXème siècle, parmi d’autres, le compositeur Bela Bartok, l’écrivain Imre Kertész, prix Nobel de littérature en 2002, ou le photojournaliste Robert Capa. Cette image, le premier ministre Viktor Orban, à la tête du gouvernement depuis 2010 après l’exercice d’un premier mandat de 1998 à 2002, l’a sans doute largement détériorée par son comportement autoritaire et ses critiques répétées à l’égard de l’Union européenne, teintées de populisme et de xénophobie." La suite sur boulevard-exterieur.com

dimanche 25 mars 2018

Conférence - Et si Nicolas Schöffer était né en l’an 2000 ? 18 avril 2018 à 19h30 Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Nicolas Schöffer, sans conteste un artiste majeur et précurseur du XXe siècle, a défriché bien des sentiers qui ont façonné le paysage artistique du XXIe siècle. Fondateur de l’art cybernétique, il a toujours revendiqué la nécessité pour l’artiste de travailler avec les outils de son temps. Puisant dans son œuvre foisonnante, cette conférence propose de visiter les formes qui auraient pu inspirer les avancées considérables dans le domaine des neurosciences et de la compréhension des mécanismes du vivant depuis une vingtaine d’années.
Autour de quelques-unes de leurs œuvres et de quelques repères dans l’histoire de l’Art et des Sciences, les artistes Catherine Nyeki et Marc Denjean nous parleront des nouvelles perspectives de l’art immersif ouvertes par les technologies, de la réalité virtuelle, et de la réalité augmentée.
Catherine Nyeki : Artiste plasticienne plurimédias, musicienne
Marc Denjean : Designer/codeur, plasticien du langage
Entrée libre

Des pâtisseries hongroises vendues dans une caravane, dans l’agglo de Rouen

"Caravanille est une caravane originale, qui propose des pâtisseries hongroises - au nom aisément prononçable, Kürtőskalács - dans l'agglo de Rouen (Seine-Maritime). Présentation.
Des saveurs et senteurs de Hongrie en Normandie. C’est ce que propose Györgyi Ravai, une Hongroise installée dans l’agglo de Rouen (Seine-Maritime) depuis 14 ans. À bord de Caravanille, une caravane spécialement réaménagée, elle vend des Kürtőskalács, des pâtisseries hongroises typiques. Elle est présente à la Foire internationale de Rouen jusqu’au 2 avril 2018.

Un changement de cap radical

Pour cette mère de deux enfants, il s’agit d’une nouvelle aventure professionnelle. Après ses études universitaires, dans la communication culturelle, à Budapest, elle a été fonctionnaire dans le domaine culturel. C’est au hasard des échanges professionnels qu’elle a rencontré son compagnon français. Arrivée en Normandie, elle a créé une association d’échanges culturels à destination des étudiants européens. Elle a également travaillé comme agent d’exploitation dans une société de transports. Autant d’activités passionnantes, toutefois l’envie d’opérer un virage à 180 degrés a germé…
« J’avais envie de changer, et de monter ma propre entreprise, raconte Györgyi Ravai. Je voulais créer quelque chose autour de la nourriture et de ma culture. Je voulais aussi que cela soit gai, qui sort de l’ordinaire, et avec un aspect itinérant. »" La suite sur actu.fr

Table ronde - L’humour juif de Pest 13 avril 2018 à 19h30 - Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

À partir de son Dictionnaire amoureux de l’humour juif, paru récemment chez Plon, Adam Biro et le sociologue hongrois Viktor Karády essayeront, avec l’aide de Guillaume Métayer, modérateur, de définir ce qu’est le pesti zsidó humor, l’humour juif de Pest, Pest étant la partie basse, commerçante et populaire de Budapest.
Quelles sont les caractéristiques de cet humour ? De quelle façon et pourquoi s’est-il répandu dans toute l’Europe centrale, jusqu’à Hollywood ? Si sa source est l’humour du Talmud et l’humour juif des shtetlekh, pourquoi ne parle-t-on pas d’humour juif de Prague, de Vienne ou de Berlin ?
Cette discussion fournira, peut-être, un début d’explication à cette étrange et exceptionnelle rencontre entre les juifs et la Hongrie, rencontre qui a résisté à toutes les vicissitudes et toutes les persécutions et qui a indéniablement enrichi la culture hongroise.
Participants : Adam Biro, écrivain, Viktor Karády, sociologue, professeur à l’Université d’Europe centrale de Budapest, Guillaume Métayer, traducteur littéraire, chercheur au CNRS
Entrée libre

Les marionnettes de Budapest - Spectacle pour enfants et parents 11 avril 2018 à 17h30 Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Les marionnettes de Budapest vous proposent une multitude de marionnettes dans un cycle de courtes histoires racontées avec un accompagnement musical. Ce spectacle est exceptionnel car le créateur-artiste allie un langage artistique qui lui est propre à un univers de représentations typiques d’Europe Centrale, tout en créant de la nouveauté avec chaque personnage grâce à sa collection de poupées à la fois uniques et originales. Bence Sarkadi est un marionnettiste qui vient de Hongrie. Il travaille avec ses marionnettes depuis 1999 et a commencé ses tournées de marionnettiste soliste en 2007. Il s’est déjà produit dans les rues et sur les scènes des six continents et a remporté de nombreuses récompenses prestigieuses dans le monde entier.
Entrée libre

La France et la Hongrie unissent leurs forces pour encourager la consommation de fruits et légumes

"European Fraîch'Fantasy, un nouveau programme franco – hongrois, de communication, à destination des enfants, a été lancé le 21 mars, à l’ambassade de Hongrie en France. Il a pour objectif de favoriser la consommation de fruits et légumes chez les enfants, en faisant appel à leur imagination.

Le 21 mars Interfel, l’interprofession des fruits et légumes frais, a lancé, à l’ambassade de Hongrie, en présence de l’ambassadeur, European Fraîch'Fantasy, un nouveau programme franco – hongrois de communication à destination des enfants, afin de promouvoir la consommation de fruits et légumes. Georges Károly, ambassadeur de Hongrie en France, stipule que cette coopération a pour objectif « d’améliorer l’alimentation, la santé et le bien-être des populations des deux pays ». En effet, dans les deux états, la consommation de fruits et légumes est en dessous des recommandations. « En France, seulement 6% des enfants atteignent les recommandations », précise Louis Orenga, directeur d’Interfel. Balázs Gyorffy, président de la NAK, chambre d'agriculture Hongroise, nous apprend qu’en Hongrie, les familles avec enfants constituent 26% des consommateurs de fruits et légumes frais. Il estime que la consommation a diminué fortement depuis les années 1990, alors que le pays à un potentiel de 1,2 million de tonnes pour augmenter sa production." La suite sur agri71.fr 

Projection – conférence-débat - Optimiser la pédagogie instrumentale grâce aux apports des sciences cognitives 10 avril 2018 à 19h30 Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Projection du court métrage : « Ballade pour un cerveau musical », réalisatrice Ester Pineda
Avec pour fil conducteur la musique, le film propose une vision poétique de la recherche en neuropsychologie de la musique dans une balade-exploration de l'imaginaire musical et de l'écoute intérieure des pianistes. Faire de la musique, c'est impliquer entièrement l'être.
C'est un processus complexe qui s’appuie sur de multiples facteurs et fait appel à nos capacités cognitives (perception, intelligence, mémoire, attention...) dans leur globalité. Pourquoi la musique est-elle un sujet majeur dans les recherches actuelles ?
Intervenants : Ester Pineda, pianiste, réalisatrice, chercheure et professeure de piano
László Stacho, pianiste, musicologue et psychologue
Entrée libre

Remise du Prix Hungarica 2017 - 6 avril 2018 à 19h30 Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Le 14e Prix Hungarica , créé en 2004 par l’Association des Amis de l’Institut hongrois, décerné par le jury le 7 mars 2018, sera remis à :
Julia Arikàn BAVOUZET pour sa thèse de doctorat en histoire, sociologie et langues soutenue à l’université de Nanterre et intitulée « Entre technocrates et administrateurs de l’Ancien régime. Les hauts fonctionnaires des ministères hongrois du dualisme (1878-1918) ».
Jean-Pierre LIOTARD-VOGT a obtenu un accessit pour son mémoire de master 2 en histoire, présenté à l’Inalco et intitulé « Travail de politisation et sociabilités militantes au sein de la mouvance social-démocrate à Budapest entre 1890 et 1914 ».
Les lauréats seront invités à commenter leurs travaux de recherche.
Le Prix Hungarica 2017 a bénéficié du mécénat d’EDF.
Entrée libre

Conférence - Marguerite de Hongrie et Hélène de Hongrie - La sainteté féminine des dominicains dans la Hongrie médiévale 4 avril 2018 à 19h30 Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Marguerite (1242-1270), fille du roi Béla IV qui a mené une vie de nonne dans le monastère dominicain royal construit pour elle sur l'île des Lièvres (actuelle île Margit) au milieu du Danube, est la sainte la plus documentée du Moyen Âge hongrois. Ses légendes et les actes de son procès de canonisation (1273-1276) récemment réédités offrent une image détaillée de l'idéal de sainteté lié à la pauvreté volontaire, rendu populaire par les ordres mendiants, même dans les cours royales.
Parallèlement, l'autre idéal de ces ordres, la compassion avec le Christ souffrant, trouvait son expression dans le miracle extrême de la stigmatisation. Selon Saint François, quelques nonnes dominicaines portaient également les stigmates : cette réputation était attribuée aussi à Marguerite de Hongrie et à sa « magistra » (dame-maîtresse), Hélène, béguine au monastère St. Catherine de Veszprém. La conférence examinera les documents écrits et iconographiques de leurs légendes.
Intervenant : Gábor Klaniczay (CEU, Budapest)
Entrée libre

samedi 24 mars 2018

Handball - Görbicz célébrée pour sa retraite internationale

"En préambule de la rencontre Hongrie – Pays-Bas (18-19) hier soir comptant pour les qualifications au prochain Euro 2018, Anita Görbicz a été honoré par les 5000 supporters massé dans l’Audi Arena de Györ.
Après 233 matchs internationaux, la meilleure joueuse du monde 2005 a décidé de mettre un terme à son expérience internationale après l’élimination de la Hongrie en quart de finale du dernier mondial face à la France. Son numéro, le 13, a été retiré par la fédération hongroise. A 34 ans, la demi-centre native de Veszprém est une légende en son pays qu’elle n’a jamais quitté depuis ses débuts à Györ en … 1993 à l’âge de 10 ans." La suite sur handnews.fr

Un important réseau de prostitution hongrois démantelé à Nice

"Les policiers de la Sûreté départementale viennent de démanteler un réseau de prostitution hongrois qui sévissait à Nice. Onze personnes ont été interpellées. Les trois principaux auteurs, deux hommes de 50 et 33 ans et un femme de 20 ans ont été mis en examen et placé en détention provisoire à la maison d'arrêt pour "proxénétisme aggravé avec pluralité de victimes ainsi que pour des faits de violences et menaces avec armes"." La suite sur nicematin.com

Sport: Deux anciens grands escrimeurs hongrois honorés par le Comité Olympique et Sportif algérien

"ALGER - Le Comité Olympique et Sportif algérien (COA) a décerné, vendredi au Musée olympique à Alger, deux plus hautes distinctions de l'olympisme algérien, à deux anciens champions hongrois d'escrime, à l'occasion de la visite de travail d'une délégation de ce pays en Algérie, à l'invitation de l'instance olympique nationale.
Il s'agit de l'ordre du mérite olympique décerné à Pál Schmitt, double champion olympique en 1968 (Mexico) et 1972 (Munich), ancien président de la République hongroise et ex-président du Parlement hongrois et vice-président du Parlement européen, et la médaille de mérite olympique attribuée à Krisztián Kulcsár, médaillé d'argent en escrime aux Jeux Olympiques de Barcelone 1992 et Athènes 2004, champion du monde et d'Europe dans sa spécialité et président du Comité olympique hongrois depuis mai 2017. " La suite sur aps.dz

Budapest, usine à rêves hollywoodiens

"La série « Genius : Picasso » et le film « Terminator » ont un point commun: Budapest. La capitale hongroise a servi de cadre au tournage de ces superproductions et à de nombreuses autres fictions internationales attirées par les avantages fiscaux et les installations high-tech.
« Ces tournages ont lieu ici car nos prix et nos équipes, reconnus dans le monde entier, sont bons mais aussi en raison d’un rabais fiscal qui fonctionne très bien« , explique Ildiko Kemeny, coproductrice hongroise, de Genius, série TV de National Geographic.
Dans la concurrence acharnée que se livrent les capitales européennes pour attirer les réalisateurs, la Hongrie a été l’un des premiers pays de l’ex-bloc communiste à adopter, en 2004, un système très avantageux d’incitations fiscales et de subventions, qu’il n’a cessé d’étoffer." La suite sur cineserie.com

vendredi 23 mars 2018

Sur Internet, des citoyens hongrois se mobilisent pour un « vote tactique » contre Orbán

"Alors que les différents partis d'opposition ne parviennent pas à trouver un accord autour de candidatures communes face au Fidesz de Viktor Orbán, de nombreuses initiatives fleurissent sur Internet pour mobiliser les citoyens en faveur d'un "vote tactique" contre la droite le 8 avril prochain.
Mercredi dernier, Péter Márki-Zay, le "mouvement Pays en commun" et plusieurs petites organisations ont tenu une conférence de presse à Budapest, afin d'acter l'échec des pourparlers entre les différents partis d'opposition pour présenter des candidatures communes face au Fidesz dans les 106 circonscriptions que compte la Hongrie. Leur objectif : lister pour chaque cas de figure le candidat le mieux placé pour gagner face au parti gouvernemental, dans le but de mobiliser les électeurs en faveur du meilleur "vote tactique . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Mardis hongrois - Rencontre avec Judith et Pierre Karinthy le 27 mars 2018 à 20 h 30 à la Brasserie Le Saint-André

Brasserie Le Saint-André 2, rue Danton 75006 Paris Métro - RER station Saint-Michel

Judith et Pierre Karinthy présenteront leur dernière traduction de textes de Frigyes Karinthy parue sous le titre "Qui m'a interpellé ?"
******
L’humour est immanquablement présent dans les textes de Karinthy, mais ici il est accompagné des pensées de l’auteur sur le monde tel qu’il est, tel qu’il devrait être et tel qu’il deviendra si les forces de l’esprit sont victorieuses.
La première partie, sous le titre Qui m’a interpellé ?, recueil publié en 1924, réunit des textes destinés à devenir les articles d’une Nouvelle Encyclopédie que Karinthy appelait de ses vœux, comme il aspirait à un nouveau siècle des lumières. Nous y avons adjoint dix textes écrits entre 1930 et 1937 qui se présentent aussi comme des entrées pour une encyclopédie.
Les essais de la troisième partie, regroupés sous le titre Mon Journal, ont été publiés par Frigyes Karinthy dans la presse hongroise en 1927, 1928 et 1929. Ils expriment l’essentiel de la pensée de l’auteur. Ils abordent les ressorts de la société, le psychisme, la morale, la force créatrice de l’esprit, la liberté individuelle, le progrès technique.
Karinthy se révèle ici être un étonnant visionnaire : citons les fameux six degrés de séparation entre deux personnes quelconques sur la planète, l’ordinateur personnel, les e-books, la vidéo à domicile, mais aussi les fichiers informatiques et la protection de la vie privée.

Disponible sur amazon.fr
Prix : 14,77 €