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lundi 11 août 2025

Paris Design Week 2025 : Rozália Tóvaj du 4 septembre au 18 octobre 2025 au Centre tchèque de Paris


A l’occasion du Paris Design Week 2025, le Centre tchèque de Paris propose une série d’expositions autour de la couleur bleue dans le design contemporain du textile et du verre. Le dénominateur commun de tous les nouveaux talents présentés est la volonté de marier les nouvelles technologies et les tendances contemporaines aux traditions et à l’excellence artisanale, tout en se distinguant par une sensibilité propre à la nouvelle génération de créateurs.

Dans le cadre de la Carte blanche pour Institut Liszt – Centre culturel hongrois à Paris, le Centre tchèque a invité le Centre hongrois qui présentera le travail de la jeune créatrice Rozália Tóvaj.   

Rozália Tóvaj : Nouvelles dimensions de l’indigo

Puisant dans les racines culturelles communes entre la Hongrie et la République tchèque, cette exposition met à l’honneur la tradition du ”kékfestés”, ou teinture au bleu de réserve (indigo), qui remonte à plusieurs siècles.

L’artiste Rozália Tóvaj propose une réinterprétation contemporaine de cette technique artisanale : les motifs traditionnels hongrois sont transposés sur des matières souples à l’aide de l’impression 3D. La collection expérimentale de textiles présente les compositions typiques du kékfestés dans des effets de volume et sur différentes surfaces, en conservant la combinaison chromatique emblématique bleu et blanc de la teinture à l’indigo.

Rozália Tóvaj est diplômée en 2018 du master en design textile et mode de l’Université Moholy-Nagy d’Art et de Design de Budapest. Depuis, elle travaille en tant que créatrice et participe à divers projets artistiques, tout en poursuivant une réflexion constante sur le dialogue entre tradition et design contemporain.

Informations pratiques
Le vernissage en présence des commissaires d'exposition et des artistes aura lieu le jeudi 4 septembre de 18h à 21h dans le cadre de Paris Design Week
CENTRE TCHÈQUE DE PARIS
18 Rue Bonaparte
75006 Paris
France
Contact +33 (0)1 53 73 00 22
paris@czechcentres.cz

vendredi 1 août 2025

Visite d'une villa de luxe à Lanzarote

Le design ouvert du salon, avec ses parois vitrées qui peuvent s'ouvrir entièrement, crée une transition fluide entre la vie intérieure et extérieure. © Helenio Barbetta / Living Inside

"Un architecte d'intérieur hongrois, également producteur de films et d'opéras, et son partenaire, une cheffe cuisinière et professeure de yoga, ont trouvé leur havre de paix à Lanzarote. Nous avons eu le privilège de découvrir leur somptueuse villa. 

Imaginez une oasis de tranquillité où la beauté règne en maître. C'est ainsi que l'on pourrait décrire la maison d'Attila Ferenczfy Kovács. Un lieu parfait pour se déconnecter, comme le souligne le designer et producteur hongrois : « Je vis à Budapest, mais à Lanzarote, je m'évade de l'agitation urbaine. Ici, la nature vous enveloppe, et on a l'impression que c'est le printemps toute l'année, grâce aux alizés qui tempèrent la chaleur. »

Attila possède une autre maison sur l'île, acquise en 2008 avec son ex-femme. Après leur séparation, il a décidé de se lancer dans une nouvelle aventure en achetant et rénovant une autre propriété. « J'ai immédiatement été séduit par cette maison, raconte-t-il, et je l'ai acquise après une véritable bataille avec une famille britannique. Ce qui me plaît tant, c'est son style Bauhaus simple et pur, une nécessité pour la famille qui l'a construite dans les années 50, faute de moyens pour bâtir une demeure élégante. »" La suite sur lecho.be

samedi 21 décembre 2024

Folklore hongrois fantastique enchante les invités à cet endroit


"Le Folklore Hongrois Fantastique Enchante les Invités au Kimpton BEM Budapest

Dans une déclaration en hommage à sa pratique, le designer néerlandais renommé Marcel Wanders déclare « modestement » : « Parfois, lorsque je pense au design et aux intérieurs, et que je critique les ignorants, les peu réfléchis, les paresseux et l’utilisation fatiguée des murs blancs et du minimalisme peu inspiré, je hallucine et rêve d’un monde, d’un design, d’une philosophie qui se construit véritablement sur l’amour, la créativité, la fantaisie, et lorsque je n’arrive pas à expliquer mon plan et à exprimer l’urgence de ma vision, je proclame vigoureusement que chaque centimètre carré mérite notre amour, que chaque centimètre carré mérite notre réflexion, que chaque centimètre carré devrait être embrassé et mérite notre attention, que grand et petit, rose et jaune, vide et plein sont des sœurs qui ne peuvent vivre l’une sans l’amour de l’autre, que le divin se trouve dans la création de nouvelles relations invisibles, inédites, remarquables et inspirantes. » La suite sur decotidien.com

mardi 17 septembre 2024

Lumières de l'Est / Eastern Lights du 5 au 22 septembre 2024 au Centre Tchèque de Paris

Sándor ‘Borz’ Kováts : ‘Vargánya’ Mushroom Lamp Collection, 1968, Bent aluminum, varied sizes

Centre Tchèque de Paris
18 Rue Bonaparte, 75006 Paris

L'Institut Liszt Paris en partenariat avec le Centre tchèque de Paris, Initio Arts & Design (Paris – Budapest) présente des lampes vintage emblématiques de Hongrie et de l’ancienne Tchécoslovaquie (aujourd’hui Tchéquie et Slovaquie). Parallèlement, un nouveau livre sur ce thème sera publié, écrit par des experts internationaux du design en provenance de Hongrie, de Tchéquie et de France.

Les lampes hongroises et tchécoslovaques des années 1950 à 1980 allient innovation artistique, savoir-faire et contexte sociopolitique uniques. Ces décennies, marquées par la Guerre froide et les bouleversements politiques en Europe centrale et orientale, ont donné naissance à des créations qui, au-delà de leur fonction, capturent l’esprit de l’époque.

L’exposition offre un voyage captivant à travers les évolutions idéologiques, artistiques et sociales de cette période, en rendant hommage à des designers suivants : Tamás Borsfay, Sándor ‘Borz’ Kovács, Helena Frantová, Tibor Házi, Sándor Heller, Josef Hůrka, Stanislav Indra, Tibor Nádai, Opteam, Ján Sucháň.

Initio Arts & Design

Présent à Paris et à Budapest, Initio Arts & Design se spécialise dans les projets internationaux autour de l'art et du design de collection d'Europe de l'Est. Fondé par Marie Tourre de Robien et Bálint Ferenczy, l’espace permanent de Paris, ouvert en 2022, combine art et design à travers des expositions, foires et projets collaboratifs, mettant en avant artistes établis et talents émergents.

Entrée libre

mardi 26 décembre 2023

Hongrie. Erika Varga : comment j’ai fondé Romani Design, la première maison de mode rom

La créatrice de mode Erika Varga, cofondatrice de la marque hongroise
Romani Design, Budapest, en mars 2019.
Photo : Attila Kisbenedek/AFP

"Depuis 2010, la Hongroise Erika Varga crée des vêtements et des accessoires haut de gamme dont les motifs aux couleurs éclatantes exaltent l’identité rom. Avec sa griffe, Romani Design, elle espère combattre les préjugés dont souffre la communauté tsigane dans son pays, raconte le magazine “Jelen”, publié à Budapest.

“L’oisiveté ne mène à rien. J’ai appris cela de mes parents. Tout petit, mon père transportait déjà de l’eau contre quelques sous. Il avait quitté l’école avant la grande section. Ses ancêtres étaient commerçants. Il a suivi leur voie, mais a aussi appris à poser du torchis, ferrer des chevaux et a travaillé comme livreur. La famille de ma mère travaillait la terre et élevait des animaux”, raconte Erika Varga en guise d’introduction.

La créatrice de mode poursuit : “Nous sommes de la région de Szabolcs [dans le nord-est de la Hongrie]. Mes frères et moi avons grandi entourés de proches aimants, baignant dans la culture tsigane olah [valaque] et le respect des traditions. Ma grand-mère adorée m’a raconté des histoires et chanté des chansons durant toute mon enfance. Elle avait une collection de poupées et nous leur avons cousu ensemble de nombreux habits. Elle fabriquait aussi de belles tenues pour nous, les filles.”

À l’école de l’exclusion

Erika n’a été scolarisée qu’à partir du cours préparatoire, où elle a appris le magyar – à la maison, on parlait le cerhar [dialecte tsigane]. La famille vivait en ville, pas dans le quartier tsigane, et l’école n’accueillait que quelques élèves roms. “C’est là que j’ai découvert l’exclusion. L’institutrice faisait asseoir les Tsiganes au fond de la classe. J’ai raconté ça à ma mère, qui est allée régler la situation”, se souvient Erika.

“En troisième [l’équivalent du CE2 français], j’étais l’unique Rom. Quand les autres me brimaient, ma professeure principale me disait d’être fière d’être tsigane et punissait mes harceleurs.”“J’aimais étudier. Mes parents m’ont soutenue et j’ai intégré un lycée technique à Budapest”, enchaîne Erika." La suite sur courrierinternational.com (article payant)

lundi 18 décembre 2023

Exposition à Pécs - Absence et mémoire commémorative à Marcel Breuer


"Architecte de renommée mondiale, Marcel Breuer (1902-1981) est connu en tant que designer de mobiliers qui a créé la première chaise en acier tubulaire, et en tant que personnage influent de l'architecture moderne du XXe siècle. Non seulement il a contribué à définir le modernisme américain du milieu du XXème siècle, mais il a également laissé ses empreintes partout en France.

Né à Pécs, en Hongrie, le 21 mai 1902, il reste lié à sa ville natale jusqu'à sa mort. Il fait ses études au Bauhaus, il y conçoit la fameuse chaise « Wassily », également connue sous le nom de « chaise modèle B3 ». La chaise est conçue en 1925 en s'inspirant d'un cadre de bicyclette, comme le designer le dit lui-même dans l'interview que les visiteurs peuvent écouter en entrant dans la salle d'exposition. 

Bien qu'il émigre aux États-Unis en 1937, il réalise des bâtiments uniques en France.

Le siège de l'UNESCO (1955-1958) conçu en collaboration avec Bernard Zehrfuss et Pier Luigi Nervi, est un complexe de trois bâtiments à ossature en béton, dont la peinture et la sculpture sont des œuvres de Pablo Picasso, Joan Miró, Henry Moore, Jean Arp, Isamu Noguchi, Alexander Calder." La suite sur jfb.hu

jeudi 17 août 2023

Designers de gloire (4/5) La tôle histoire de Mathieu Matégot

 

La chaise Kyoto dessinée par Mathieu Matégot. (© Leonard de Selva/Bridgeman Images)

"Redécouverts après être tombés dans l’oubli, ou méconnus du grand public, ces artisans et designers connaissent un regain d’intérêt et voient leur côte s’envoler. Aujourd’hui, l’amateur de métal perforé et tapissier franco-hongrois, disparu en 2001.

Quel chemin a bien pu prendre Mathieu Matégot pour créer sa première pièce en métal perforé ? Né en Hongrie en 1910, il a d’abord été décorateur pour le théâtre. Inventif, il sait tout faire, alors il touche à tout une fois diplômé des beaux-arts de Budapest où il a rencontré Vasarely. Installé à Paris en 1931, il est tour à tour étalagiste aux Galeries Lafayette et à La Toile d’Avion, dessine des modèles pour la maison de couture Molyneux, crée des tapisseries et se penche finalement sur le cas du métal alors qu’il a été fait prisonnier – la captivité dure quatre années – et affecté dans une usine de construction mécanique allemande pendant la Seconde Guerre mondiale. Il travaille la tôle comme une dentelle qu’il va ajourer et courber. Le Hongrois s’évade à deux reprises et, comme le précise une monographie du galeriste Philippe Jousse et de Caroline Mondineu (1), il s’engage en 1944 dans la Résistance avant d’être naturalisé français. Matégot peut alors poursuivre sa carrière avec deux dominantes : la tapisserie et le mobilier.

Pari sur la stabilité

Dans les années 50, ses productions en Rigitulle (technique de perforation dont il a déposé le brevet) se déploient dans le mobilier (banquette, chaises, étagère Dédale) et les objets du quotidien, parfois surannés vu d’aujourd’hui : porte-revues, cache-pots, tables roulantes, corbeilles, porte-verres. L’une des pièces maîtresses de..." La suite sur liberation.fr (article payant)

dimanche 7 mai 2023

Absence et mémoire Exposition en hommage à Breuer Marcell 25 mai au 8 juillet 2023 - Institut Liszt

Institut Liszt 92 Rue Bonaparte 75006 Paris

Exposition et conférence à l'occasion du 120e anniversaire de Marcel Breuer. L'exposition présente l'ensemble de l'œuvre de Breuer.

Vernissage : 25 mai 2023 à 19h !

Marcel Breuer, né en 1902 à Pécs, diplômé à l'école du Bauhaus dans les années 1920, acquiert une réputation internationale grâce à ses meubles tubulaires. A partir des années 1950, il reçoit beaucoup de commandes aux États-Unis et en Europe et devient l'un des architectes vedettes de son temps.

Marcel Breuer en Normandie, 1950

Marcel Breuer est un architecte de renommée mondiale, figure majeure de l'architecture moderne du XXe siècle, souvent qualifié d'architecte d'origine américaine ou parfois allemande. Il est né et a grandi à Pécs, en Hongrie, le 21 mai 1902. Il a moins de 20 ans lorsqu'il quitte sa ville natale pour commencer ses études au Bauhaus. Il s'est fait un nom en tant que designer de meubles dans les premières décennies du siècle, et après avoir émigré aux États-Unis en 1937, il s'est fait connaître en tant qu'architecte. Breuer est resté lié à sa ville natale jusqu'à sa mort.

L'exposition explore ces dualités, en se concentrant sur les traits stylistiques du designer de meubles et de l'architecte brutaliste, sur la relation entre le cosmopolite et la Hongrie, et sur le travail de Breuer en France.

L'exposition comprend des maquettes, des dessins et des documents photographiques des bâtiments les plus célèbres de Breuer. Les réflexions contemporaines de Breuer seront également présentées dans une installation vidéo de Dénes Fekete.

Finissage le 28 juin 2023 et visite guidée par le commissaire Valéria Fekete à 19h30.

Commissaire : Valéria Fekete

Plus d'informations : contact@instituthongrois.fr

samedi 29 avril 2023

Breuer.121- exposition 25 mai - 8 juillet 2023 - Institut Liszt

Institut Liszt 92 Rue Bonaparte 75006 Paris

Exposition et conférence à l'occasion du 120e anniversaire de Marcel Breuer. L'exposition présente l'ensemble de l'œuvre de Breuer.

En parallèle, l'Institut Liszt lance un concours de création d'affiches destinés aux étudiants d'universités d'art en France et en Hongrie sur le thème de l'influence de Breuer sur le design contemporain.

Finissage le 28 juin 2023 et visite guidée par le commissaire Valéria Fekete à 19h30.

 

Marcel Breuer, né en 1902 à Pécs, diplômé à l'école du Bauhaus dans les années 1920, acquiert une réputation internationale grâce à ses meubles tubulaires. A partir des années 1950, il reçoit beaucoup de commandes aux États-Unis et en Europe et devient l'un des architectes vedettes de son temps.

Vernissage le 25 mai à 19h !

Plus d'informations : contact@instituthongrois.fr

 

vendredi 17 mars 2023

Peugeot 508 restylée. Pourquoi pas un coupé et un shooting brake ?

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Le designer hongrois X-Tomi a imaginé ce à quoi pourrait ressembler une Peugeot 508 restylée dans sa version coupé.
X-Tomi Design

"À peine dévoilée, la Peugeot 508 restylée laisse place à l'imagination des illustrateurs. Le designer hongrois X-Tomi montre à quoi pourrait ressembler la 508 en versions coupé et shooting brake. Peugeot ne sautera pas le pas, mais il n'est pas interdit de rêver !

Connu pour ses créations insolites, le designer hongrois X-Tomi profite de la présentation de la Peugeot 508 restylée pour l'imaginer dans d'autres silhouettes : une version coupé et un break de chasse, aussi appelé shooting brake en anglais. Deux interprétations qui ne sont pas si farfelues, car les coupés étaient une tradition de la marque sochalienne, alors que le break à trois portes rappelle une certaine 504 Riviera." La suite sur largus.fr

dimanche 20 novembre 2022

Paris au pluriel: exposition collective du 15 au 27 novembre 2022 - Galerie Cécilia F

Exposition collective ouverte tous les jours de 13h à 20h du 15 au 27 Novembre 2022.
Galerie Cécilia F. 4, rue des Guillemites 75004 Paris
Vernissage le Vendredi 18 Novembre à partir de 18h.
Entrée libre

Paris, ville lumière, capitale de l’amour, rêve des touristes, lieu de tournage convoité, pionnière de la mode, source d’inspiration pour les artistes, écrivains et chanteurs, etc... mais aussi centre de trafic de crack, de logements minuscules, de la vie chère, des pannes de métro, de l’isolement urbain et bien d’autres désagréments... Le visage de Paris change selon nos expériences, nos humeurs, notre identité ou simplement la météo du jour; et pourtant toutes ces versions de Paris, même les plus contradictoires, existent simultanément. Ce paradoxe est à l’origine de l’exposition collective Paris au Pluriel, organisée par Clara Lang-Ezekiel, qui met en dialogue le travail de sept artistes sur leur relation à la ville, formée par leurs identités respectives. Venez découvrir les Paris de Amande Art, Kate Healy, Szab Kariko, Clara Lang-Ezekiel, Sarah Micho, Kata Száraz, et Faten Triki.

vendredi 24 décembre 2021

Colorful spices : des emballages d’épices inspirés des couleurs Pantone

 Crédits : Peter Bakonyi

"L’entreprise américaine Pantone est en quelque sorte une encyclopédie des couleurs qui a révolutionné le monde du graphisme et qui s’avère être une aide précieuse aux créateurs du monde entier. Et c’est justement ce qui a inspiré le designer hongrois Peter Bakonyi pour sa déclinaison d’emballages faisant écho aux échantillons de couleurs Pantone.

Pour ce projet intitulé Colorful spices, il a imaginé des emballages simples et minimalistes mais qui ne manquent pas d’élégance. Chaque paquet correspond à la couleur d’une épice et prend une apparence similaire à des échantillons de couleurs Pantone grâce au carré coloré et à l’emplacement de la typographie.

Parmi les épices représentées, on retrouve du poivre noir et blanc, de l’origan, du basilic, du curcuma ou encore du persil. Tout un assortiment parfaitement bien représenté que les graphistes passionnés de cuisine aimeraient sans doute avoir." La suite sur creapills.com

samedi 6 novembre 2021

5 choses que vous ne saviez (peut-être) pas sur Vasarely

"Les couleurs de Vasarely sont la « bande-image » des Trente Glorieuses et ses formes épurées intrinsèquement associées à l’idée de modernité. On les a vues partout : sur des posters, dans le design, la mode, sur les plateaux télé, au cinéma… Peut-être trop. Le parcours de cet homme, que certains reconnaissent être le père de l’art numérique et dont la réussite fulgurante a fait grincer des dents, révèle quelques surprises.

1. Il aurait pu être médecin

En 1925, Victor Vasarely (1906–1997) commence des études de médecine à l’université de Budapest. Il n’y restera pas plus de deux ans avant de bifurquer en 1927 à l’Académie Poldini-Volkmann, puis à l’Académie Muhëly d’Alexandre Bortnyik, le « Bauhaus de Budapest ». Mais ce premier choix traduit un intérêt de l’artiste pour les sciences, qui sera fondamental dans la dimension optique et visuelle de l’art cinétique dont il établira les fondements. Une approche qui guidera aussi la création de son alphabet plastique, sortes de pixels avant l’heure. Il a d’ailleurs travaillé en 1968 avec IBM pour imaginer des tableaux qui pourraient être générés par l’intelligence artificielle à partir de ces unités plastiques, à l’infini. Le projet n’a pas abouti car trop coûteux." La suite sur beaux-arts.com

jeudi 17 septembre 2020

10 choses à savoir sur Yona Friedman

© portrait Marianne Polonsky-Friedman

"Architecte, artiste, penseur et auteur prolifique disparu en février 2020, il a laissé son empreinte dans des nombreux domaines. Son manifeste « L’Architecture mobile », recueil d’articles et de théories architecturales mais aussi urbanistes et sociales, vient d’être publié dans son intégralité. Voici 10 choses à savoir sur Yona Friedman.

1. Ses premières théories architecturales sont nées dans un camp de réfugiés

Yona Friedman naît en Hongrie en 1923 dans une famille juive laïque et étudie l’architecture à l'université royale polytechnique de Budapest. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il s’engage dans la résistance et est arrêté sur dénonciation dans la rue. C’est dans le camp de réfugiés où il se trouve avec ses parents en Roumanie en 1945 qu’il met au point la technique des « Panel Chains », un système permettant aux occupants de façonner leur espace grâce à des panneaux pliants. L’architecture devait en effet procurer un toit et un abri aux survivants et loger au plus vite un afflux de personnes dans des infrastructures limitées. L’idée de Yona Friedman était de trouver un moyen de partager un espace limité. Sa technique : diviser temporairement des espaces réduits dans un contexte de survie." La suite sur admagazine.fr

 

mardi 3 décembre 2019

Renault, le logo Vasarely

"Si le losange Renault est apparu en 1925 avec le lancement de la 40 cv, c’est l’artiste peintre hongrois Victor Vasarely qui en a réalisé sa version la plus reconnue.
Ce fut sur la R5 que pour la première fois le logo Vasarely fut posé, en 1972. Un logo synonyme alors de modernité, graphiquement épuré et suggérant le dynamisme qu’un constructeur automobile se doit d’avoir. Si le gris et le noir s’assimile à la perfection sur la face avant du véhicule, un fond de couleur est associé pour les autres utilisations (comme sur le volant). Le jaune (historique) pour le réseau commercial automobile, le rouge pour les camions et le vert pour les engins agricoles." La suite sur autosphere.fr

lundi 19 août 2019

Ateliers Bauhaus 10 septembre 2019 à 10h - Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation indispensable : reservations@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Fondée en 2018, l’Agence hongroise de la mode et du design (MDDÜ) a pour objectif d’apporter, conjointement avec les acteurs nationaux et internationaux, une aide efficace et structurée à toutes les branches du design hongrois. Soucieuse de faire connaître largement le potentiel des designers hongrois, la MDDÜ organise des ateliers d’informations afin de présenter, en collaboration avec les créateurs, les influences toujours vivantes du Bauhaus dans le design contemporain.
András Húnfalvi et Ferenc Laufer, les fondateurs du studio-boutique Flying Objects, proposent, au travers d’exemples internationaux et hongrois ainsi que de leurs propres produits primés Red Dot Design, une plongée dans le processus de création en mettant l’accent sur les éléments inspirés de la philosophie du Bauhaus.
Le rôle révolutionnaire du Bauhaus trouve ses racines dans ses réformes en matière de pédagogie. Dans leur présentation, Péter Pozsár et Dávid Ráday, membres du studio de design et d’architecture mondialement reconnu Hello Wood, analysent « l’effet Bauhaus » dans les modèles éducatifs contemporains et donnent un aperçu du programme de formation mis en place par Hello Wood, baptisé « The Builders Society ».
Les interventions se dérouleront en langue anglaise.
Entrée libre

dimanche 16 juin 2019

[Industry Story] La figure du père - Le mariage entre Renault et des Franco-Hongrois

En 1972, Yvaral est au centre du jeu pour dessiner le logo de Renault.
"Artistes, à vos crayons ! Une nouvelle décennie commence et avec elle le renouveau des modèles Renault. La Régie est en quête d’un logo plus moderne, plus stylisé pour ces années 1970, mais reste attachée à son symbole phare, le losange. La place de Paris se presse. Une multitude d’ébauches émanent d’agences de pub et de bureaux de design. Toutes sont rejetées. Le projet tourne en rond.
En 1925, le losange s’imposait et remplaçait définitivement ses prédécesseurs qu’étaient le double R, la face avant d’une voiture au centre d’une roue dentelée, le char léger et enfin les grilles horizontales de l’avertisseur sonore. Le même logo durant quarante ans. Désormais, la simplification prime."La suite sur usinenouvelle.com

lundi 8 avril 2019

Sandra Sonor, la liberté derrière Nanushka

"Le label de la créatrice hongroise Sandra Sandor décline désormais son univers bohème avec des collections masculines.
« J’ai grandi dans la mode, raconte Sandra Sandor, originaire de Budapest. A ma naissance, ma mère a lancé une marque de vêtements pour enfants. Je servais de modèle pour les essayages et les campagnes. Cela m’a beaucoup influencée… Mes parents voulaient que je reprenne la griffe, que j’étudie le commerce pour la développer. » A 17 ans, elle préfère s’inscrire au London College of Fashion pour apprendre le design. La créatrice lance sa propre marque dès son diplôme obtenu, en 2005. Elle s’installe dans un petit atelier proche de la maison familiale et développe une première collection capsule féminine. « Je l’ai appelée Nanushka car c’est le surnom que me donne mon père depuis toujours. »" La suite sur nouvelobs.com

samedi 18 août 2018

En Bretagne, la seconde vie des maisons-bulles

"Cet été, « M » revisite les bâtiments parfois décriés du littoral. Direction Beg Meil, dans le Finistère, où des bulles de béton attirent les vacanciers depuis cinquante ans.
« Les villageois sont venus voir le chantier et se sont écriés : “Mais c’est une architecture lunaire !” Alors que, récemment, les Martiens sont venus et ont dit : “Enfin une architecture humaine !” », racontait avec malice le sculpteur hongrois Pierre Szekely (1923-2001), se remémorant l’ouverture en 1968 du village de vacances Renouveau, dans la petite station de Beg Meil (Finistère). Ces bulles de béton immaculées, cachées entre dunes et pins, à 300 mètres de la plage, ont toujours stimulé l’imagination des visiteurs, entre village esquimau ou cité extraterrestre. Sur ce chantier, Pierre Szekely travaille avec son complice architecte Henri Mouette et son épouse plasticienne, Vera Szekely. Ils œuvrent ici pour Pierre Lainé, fondateur de l’association de tourisme social Renouveau. « En Floride, une station-service en forme de dinosaure a vu le jour et influence Szekely et Mouette », confie Raphaëlle Saint-Pierre, historienne spécialiste des maisons-bulles." La suite sur lemonde.fr

vendredi 24 mars 2017

Exposition Vin et design Sélection des œuvres du concours Cégér - Dégustation du 5 au 12 avril 2017 Institut hongrois

Vernissage : 5 avril à 17 h
Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Le concours lancé par Hybridart Management en 2012 avait pour objectif de mettre en contact jeunes viticulteurs et jeunes designers hongrois. Les candidats devaient donner une nouvelle identité visuelle d’un vin ou une famille de vin. L’exposition itinérante propose une sélection des étiquettes de vin les plus intéressantes. Le vernissage est jumelé avec une dégustation des vins
Entrée sur réservation exclusivement.