le mardi 16 août 2022
à partir de 20 h
2, rue Danton 75006 Paris
Métro Saint-Michel
le mardi 16 août 2022
à partir de 20 h
Souvent, nous vous présentons des petites cabanes ou tiny houses situées aux Etats-Unis ou en Australie car elles y sont particulièrement présentes… Cette fois c’est en Hongrie, pays d’Europe de l’Est, que nous vous emmenons pour découvrir un complexe de six cabanes en forme de monolithes ou blocs rocheux. Le complexe s’appelle Rock Cabins, il est l’œuvre du studio d’architecture Hello Wood et se situe près de la ville de Kapolcs, une région assez rurale de Hongrie. Cachées dans un bosquet verdoyant, les six cabines polygonales sont indépendantes et offrent aux visiteurs, une parenthèse inattendue dans un cadre bucolique. Découverte !
Des petites cabanes absolument ravissantesLe cabinet d’architecture a choisi ces formes de blocs rocheux qui rappellent parfaitement la topographie de la région. Lorsqu’on les découvre, on hésite entre des cabanes ancestrales ou sorties d’un film de science-fiction ! Ces petites maisons qui peuvent chacune accueillir deux personnes se fondent dans le paysage et semblent créer un lien entre le naturel et l’artificiel… Une Rock Cabin ressemble à un énorme bloc de pierre qui aurait été posé là par hasard, avec ses façades aigües irrégulières, ses angles saillants et ses sommets pointus fabriqués dans un bois gris foncé. Les ouvertures ont été réduites au minimum, accentuant la sensation de monolithe et préservant l’intimité des occupants. Contrairement aux autres tiny houses, ici, on ne recherche pas la luminosité extrême mais plutôt des vues étonnantes…" La suite sur neozone.org
On pourra penser ce que l’on veut de Coca-Cola : les conséquences de cette boisson pétillante (la plus populaire au monde !) sur notre santé, ses méthodes de fabrication si secrètes que cela en deviendrait presque douteux, son impact sur l’environnement (on a tous déjà vu une canette rouillée quelque part, sur une plage)… Là n’est pas le sujet.
« Love is Love ». En Hongrie, dans les rues
de Budapest, la compagnie a récemment lancé une nouvelle campagne de
publicité pro-LGBT (voir capture d’écran ci-dessous) à l’occasion d’un
partenariat avec le festival Sziget, l’un des événements les plus
rassembleurs de ce mois d’août. « Zéro sucre, zéro préjugé »
peut-on lire sur les quelques affiches montrant des personnes
d’orientation homosexuelle accompagnée de leur conjoint.e et en train de
consommer leur boisson fraîche." La suite sur rollingstone.fr
"Dans un discours haineux prononcé en Roumanie fin juillet, Viktor Orbán s’est éloigné encore un peu plus des valeurs européennes. Se rapprochant de Poutine et de la Russie, le dirigeant hongrois joue à un jeu dangereux, tant la Hongrie dépend économiquement de l’Europe.
La Hongrie a décidé de s'écarter de toutes les décisions communes de l’Union européenne, même si elle est complètement seule dans l’UE. Elle a rompu avec le groupe de Visegrad d’Europe centrale - Pologne, République tchèque et Slovaquie. Elle se rapproche à vitesse “grand V” de la Russie. Jusqu'où ? Au “Hungaroexit” peut-être ? Un problème quand on sait que l'économie hongroise est complètement intégrée à l’Union européenne.
Fin juillet, Viktor Orbán s'est rendu à Baile Tusnad, une ville orientale de la Roumanie au cœur de la Transylvanie, en plein pays Sicule (une ancienne région où une partie importante de la population parle la langue magyare). Devenue roumaine en 1918, Transylvanie a longtemps été hongroise le Royaume de Hongrie et de l’Empire Austro-Hongrois. Dans cette région, Viktor Orbán se sent chez lui. Il a donné des passeports hongrois à toutes les minorités magyares de la Transylvanie roumaines, mais aussi en Voïvodine serbe, en Prékmurie slovène, en Ukraine subcarpatique, et dans les régions slovaques près la frontière magyare." La suite sur radiofrance.fr
Le visage souriant, franc et fatigué, à en croire
l’écran de l’ordinateur à travers lequel la biochimiste répond aux
questions (celles portant sur un possible vaccin pancorona, sur la
production de vaccins dans le monde et sur une éventuelle levée de
brevets ont été déclinées), depuis sa maison des environs de
Philadelphie (Pennsylvanie). Elle se dit d’ailleurs un peu surprise de toute cette attention médiatique.
Des prix, des distinctions, des doctorats honoris causa, des centaines
de demandes d’interview, du monde entier, elle qui menait une vie
discrète jusqu’à la pandémie. Senior vice-présidente de la start-up allemande BioNTech, depuis 2013, elle reste mordue de recherche.
Certes, la découverte de l’ARN messager demeure une aventure
collective, mais le procédé doit beaucoup à la pugnacité et la
résilience de cette chercheuse née en Hongrie, il y a 67 ans, dans une
petite ville près de Kisújszállás, où son père est boucher, sa mère,
comptable. Tôt prise de passion pour les sciences, et surtout décidée,
Katalin Karikó choisit le terrain aride de la biochimie et plus
particulièrement de l’ARN. La jeune chercheuse rêve d’en percer les secrets. La tâche est laborieuse." La suite sur levif.be (article payant)
"Les témoignages de patients et les données médicales recueillis par
l'organisation humanitaire Médecins Sans Frontières (MSF) révèlent un
recours alarmant et répété à la violence de la part des forces de
sécurité hongroises, à l'encontre des personnes traversant la frontière
entre la Serbie et la Hongrie. Ces éléments indiquent que les coups de
ceinture, de bâton, de pied, de poing, les diverses formes
d'humiliation, l'utilisation de gaz poivré et de gaz lacrymogène sont
des pratiques dissuasives courantes, précédant les refoulements et le
refus de prêter assistance.
Depuis plus de huit ans, les médecins et les infirmiers de MSF déployés le long de cette frontière de l'Union européenne continuent d’apporter des soins et d'enregistrer des témoignages de personnes exilées en quête de sécurité, systématiquement battues, humiliées et maltraitées.
« L’utilisation indiscriminée de la violence sur les exilés à la frontière entre la Hongrie et la Serbie est régulière, constante. Chaque semaine, nous voyons plusieurs personnes, dont certains enfants, présentant de graves contusions, des blessures et coupures profondes, des luxations et des fractures, souvent sur les jambes, les bras et parfois sur la tête, témoigne Andjela Marcetic, médecin MSF en Serbie. Les blessures que nous traitons lors de ces consultations médicales correspondent aux témoignages de ces personnes qui décrivent des passages à tabac violents aux mains de la police hongroise avant les refoulements vers la Serbie. Si nous pouvons traiter certaines de ces blessures, nous sommes également préoccupés par les répercussions à long terme d'un tel traumatisme sur leur santé mentale. » " La suite sur msf.fr
"Les Hongrois affectionnent tout particulièrement les feux d'artifice et cette année, pour célébrer l'anniversaire de la fondation de l'Etat hongrois en l'an 1000, le gouvernement de Viktor Orban a vu les choses en grand.
Le 20 août prochain, selon le responsable de la communication du gouvernement, Budapest sera le théâtre du plus grand spectacle pyrotechnique mis en scène en Europe.
Plus de 4 millions d'euros de fusées ont été achetées.
Un budget bien trop important aux yeux de l'opposition qui a lancé une pétition." La suite sur euronews.com
"Clap de cinéma, « Action ! », « Ça tourne » : ces formules n’ont pas le même coût à Hollywood et à Budapest. En Hongrie, l’industrie du cinéma attire les productions du monde entier. Des plateaux de tournage aux bureaux des sociétés de production, on découvre une offre à bas coût pour des conditions de travail presque idéales.
Scène 27, prise 892 : une fourmilière en « Action ! ». Sur un tournage de cinéma, chacun a son rôle et sait ce qu’il doit faire, tout est assez organisé. La petite ville de Sopron, dans l’extrême nord-ouest de la Hongrie, accueille, en partie, la réalisation de l’un des « plus grands films hongrois jamais réalisés » selon son réalisateur Balázs Lóth. Au détour d’une rue pavée du bourg de 60 000 âmes, un petit immeuble au vert déteint par le temps sort du lot. Le bâtiment, abandonné pendant plusieurs années, a été remis au goût de 1848. Une fois le perron de l’immeuble passé, la centaine de fourmis présentes – acteurs, techniciens, maquilleurs et autres petites mains du tournage – sont plongées au milieu du XIXe siècle. Et chaque détail compte pour ce retour dans le passé : de l’effet brumeux dans une pièce par la vaporisation d’une fumée au positionnement d’une pomme sur la table déplacée par l’équipe du chef décorateur. Chaque minute et chaque plan a également son importance : une minute dans le film peut prendre plusieurs heures de tournage. Cet été, l’équipe filmera des scènes à grands moyens aux alentours de la capitale, Budapest. 6 000 figurants seront mobilisés. Ils gagnent de « bons salaires » selon Balázs Lóth, le réalisateur. Au minimum, 10 000 forints, la monnaie locale, soit 25 euros par jour. Comme les autres équipes derrière la caméra, ils sont payés par les productions hongroises au même niveau que les étrangers, « sinon, ils vont chez les Américains » analyse le réalisateur de l’épopée hongroise." La suite sur magyarpart.cfjlab.fr
"Le premier ministre hongrois Viktor Orban a invité jeudi 4 août lors d'un déplacement au Texas les conservateurs américains à «unir leurs forces» dans le combat qu'il entend mener contre les «progressistes de gauche». «Nous devons coordonner le mouvement de nos troupes, parce que nous faisons face au même défi», a lancé le dirigeant nationaliste, invité à la grand-messe des conservateurs américains à Dallas, où Donald Trump doit aussi s'exprimer.
«Les progressistes d'aujourd'hui tentent de séparer la civilisation occidentale de ses racines chrétiennes», a accusé le dirigeant assurant que «les
horreurs du nazisme et du communisme se sont produites parce que
certains Etats occidentaux avaient abandonné leurs valeurs chrétiennes»." La suite sur lefigaro.fr
"C'est l'heure du départ. Pour la dixième fois, une bande d'autoproclamés "pirates du plastique" pagaient le long de la rivière Tisza en Hongrie. Comme des pirates, ils s'approprient tous les trésors sur leur passage pour les hisser sur le pont de leurs bateaux en matériaux recyclés. Mais dans leur butin, barils de rhum et bijoux sont remplacés par des bouteilles en plastique, des semelles usées et des emballages de gâteaux.
Ils participent à la PET CUP, une course annuelle en Hongrie, le long de la rivière Tisza. Le nom fait référence au polyéthylène téréphtalate (PET) la matériau plastique qui sert pour la majorité des emballages depuis les années 90, et qui compose les "cups", les gobelets en plastique. La "PET CUP" peut donc vouloir dire "le gobelet plastique" ou "la compétition du plastique".
12
bateaux et un peloton de canoës se sont élancés pour l'édition 2022.
Cette année, la distance est plus importante. Les pirates vont assainir
86 kilomètres de rivière entre Cigand et Tiszadada. L'eau basse rend la
course plus difficile, donc cette année seuls les plus expérimentés ont
pu s'inscrire." La suite et vidéo sur euronews.com
"Reportage - Derrière ses discours nationalistes, depuis quelques mois, le premier ministre, Viktor Orban, a ouvert les portes de son pays à des milliers de « travailleurs invités » venus d’Asie.
De mémoire d’ouvriers, à Kistelek, jamais on n’avait encore vu arriver de nouveaux collègues d’aussi loin. Fin mai, pour la première fois de l’histoire de cette petite commune de 7 000 habitants du sud de la Hongrie, une vingtaine d’Indonésiens ont débarqué pour aider les 200 ouvriers de l’usine de câbles électriques, actuellement débordée par les commandes. « Nous avons expliqué à nos travailleurs hongrois que nous étions tellement à court de bras que la production risquait d’être bloquée ou qu’ils ne pourraient pas partir en vacances », expose Marton Balog, directeur de la production de cette usine appartenant à la multinationale italienne Prysmian.
Ce lundi 18 juillet, les ouvriers indonésiens sont encore en phase d’apprentissage, mais l’entreprise italienne espère qu’ils pourront être totalement autonomes dans les prochaines semaines. « Je connaissais la Hongrie uniquement par la coupe du monde de football », avoue sans difficulté Muhamad Firdaus, jovial ouvrier de 22 ans, venu de Padang, sur l’île de Sumatra, pour assembler des câbles douze heures par jour dans ce coin reculé de l’Europe centrale. « J’aime la Hongrie, les gens sont très gentils avec moi », poursuit ce diplômé en mécanique, qui s’est même mis à l’apprentissage de la si difficile langue magyare." La suite sur lemonde.fr (article payant)
"Andrea Róna sera responsable de la poursuite de l'expansion et du développement de Danubius Hotels, qui fête ses 50 ans cette année, en rejoignant l'équipe de direction.
Diplômée d’un Bachelor en Administration et Management Hôtelier puis d’un Master en Relations Internationales à la Budapest Business School, Andrea Róna entame sa carrière professionnelle au sein du groupe Hilton en tant que Responsable des réunions.
En 2002, elle intègre Corinthia Hotel en qualité de Responsable du commerce et du marketing des voyages avant de prendre la direction du Pólus Palace Thermal Golf Club Hotel un an plus tard. Elle réintègre Corinthia Hotel en 2006 et occupe le poste d’Assistante de direction dans le domaine des ventes et du marketing." La suite sur hospitality-on.com
"(Boursier.com) — Travailler à distance, que ce soit de chez soi ou
depuis l'étranger, a plus que jamais le vent en poupe : Les Pays-Bas
figurent même parmi les pays qui sont allés jusqu'à légiférer pour
favoriser le télétravail et attirer les nouveaux talents en provenance
de tous les horizons. MoneyTransfers.com
s'est penché à cette occasion sur les dernières recherches concernant
l'attitude des télétravailleurs à l'égard de leur situation personnelle
et professionnelle, ainsi que sur les lieux les plus propices au
télétravail." La suite sur boursier.com
"La Banque nationale de Hongrie (NBH) a décidé mardi de relever son taux d’intérêt de base de 100 points de base pour le porter à 10,75 %, faisant passer le coût des emprunts dans la zone à deux chiffres pour la première fois depuis 2008, dans un contexte de progression continue de l’inflation, rapporte Reuters.
Face à une inflation galopante et à une monnaie en chute libre, les
autorités du pays voisin se débattent en parallèle avec la Commission
européenne, pour obtenir 7,2 milliards d’euros de subventions dans le cadre du plan de relance débloqué.
Selon la source citée, la dépréciation du forint, qui complique la tâche
de la NBH en matière de maintien de la stabilité des prix, a contraint
l’institution à entamer le cycle de resserrement de la politique
monétaire le plus marqué depuis la chute du communisme, la Banque
nationale de Hongrie ayant relevé son taux de base de 485 points de base
depuis le 28 juin. " La suite sur theinquirer.fr
"Un modèle pour les républicains
"Cette semaine, 7 milliards de voisins vous emmène dans ses valises à la découverte de villes du monde. Urbanisme, société, transports, loisirs : d'Islamabad à Tunis en passant par Rio de Janeiro, les correspondants de RFI et nos invités présentent la vie quotidienne de nos voisins.
Deuxième escale de notre série à Budapest, la capitale hongroise. Née de la fusion de 2 villes : Buda (Obuda = sur la rive droite) / Pest (sur la rive gauche du Danube), auparavant indépendantes, Budapest est coupée en deux par le Danube. Le fleuve est au coeur de l'expansion économique de Budapest, le port de la ville permet d'accueillir les cargos de fret international. La ville compte aussi des dizaines de sources d'eau thermale. Construits notamment par les Turcs, qui ont occupé le pays pendant près de 150 ans, les bains constituent une des principales attractions touristiques de la « perle du Danube ».
Avec :
Florence La Bruyère, journaliste, correspondante de RFI à Budapest en Hongrie." A écouter (48:30) sur rfi.fr
"La “plus grande des grandes dames” de Budapest a été complètement rénovée et vaut clairement le détour.
Pourquoi réserver au Matild Palace ?Pour replonger dans la splendeur de la Belle Époque de Budapest, intelligemment remise au goût du jour.
Le décorDes portes en fer forgé pleine hauteur délimitent un vaste hall d'entrée, où les clients en costume et en bottes passent du bord du Danube au salon, évitant les gourmands curieux du Spago, le nouveau restaurant de Wolfgang Puck. Une récente restauration - plus longue que la durée de construction originale du bâtiment - a permis de parsemer l'édifice de dorures et de couleurs tape-à-l'œil destinés à imiter les toits de la ville, d'œuvres d'art traditionnelles en métal et d'un respect pour le patrimoine du Palace." La suite sur gqmagazine.fr
"Le ministre hongrois des Affaires étrangères et de l'Économie, Péter Szijjártó, et le vice-président européen de NIO, Zhang Hui, ont conjointement annoncé le 29 juillet à Budapest, en Hongrie, que NIO allait investir dans la construction de sa première usine à l'étranger en Hongrie, qui devrait être mise en service en septembre. Le projet, nommé NIO Energy Europe Factory, est situé dans la ville de Biatorbágy et couvre une superficie d'environ 10000 mètres carrés.
M.
Szijjártó a déclaré lors d'une conférence de presse le même jour que la
construction automobile était un pilier de l'économie hongroise,
représentant près d'un tiers de la production manufacturière du pays,
ajoutant qu’il était donc crucial d'attirer autant d'investissements que
possible liés à l'électrification automobile." Source : china.org.cn
"La présidente de la Commission européenne a indiqué ce samedi que "la discrimination raciale" était contraire aux valeurs de l'UE après les propos du dirigeant hongrois contre le "mélange des races".
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a souligné ce samedi que la "discrimination raciale" était contraire aux valeurs de l'UE, en réponse à une question sur les propos du Premier ministre Viktor Orban contre "le mélange des races".
Sans
condamner explicitement ces déclarations du dirigeant nationaliste
hongrois, qui ont suscité l'indignation de Washington notamment, la
présidente de la Commission européenne a rappelé que "tous les Etats
membres de l'UE, y compris la Hongrie, ont souscrit à des valeurs
communes" universelles qui ne sont "pas négociables", dans une interview
au site d'informations slovaque aktuality.sk." La suite sur bfmtv.com
"AA / Budapest
Selon le PM hongrois, Viktor Orban, "la paix ne sera atteinte que si la stratégie" de l'Union européenne face à la guerre en Ukraine est modifiée.
Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a déclaré que les pays de l'Union européenne (UE) devaient "changer de stratégie" vis-à-vis de la guerre russo-ukrainienne.
"La paix ne sera pas atteinte si la stratégie ne change pas. Nous ne pouvons résoudre aucun problème sans la paix", a déclaré Orban, lors d'une conférence de presse avec le Chancelier autrichien, Karl Nehammer, à Vienne.
Orban a ajouté que l'Ukraine combat la Russie avec le soutien de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN), considérant que la guerre ne peut pas être gagnée de cette manière.
Selon le Premier ministre hongrois, à moins que des mesures ne soient prises en vue d'établir la paix, l'UE pourrait être confrontée à une économie de guerre (prendre des mesures pour mettre son économie au service d'une économie de guerre)." La suite sur aa.com.tr
"VIDEO. Lors d’un discours prononcé samedi 23 juillet en Transylvanie roumaine, le Premier ministre hongrois s’est dit opposé au « mélange des races ». L’historienne Marie-Anne Matard-Bonucci décortique.
Rien ne va dans le discours qu’a prononcé Viktor Orban en Roumanie, samedi 23 juillet. En s’adressant à une foule au nom du peuple hongrois, le Premier ministre a exprimé avec virulence son rejet d’une société « multiethnique ».
« Nous
ne voulons pas être une race mixte qui se mélangerait avec des non
Européens. Les pays où des peuples européens et extra-européens
cohabitent ne sont plus des nations. Ces pays ne sont rien d’autre que
des conglomérats de peuples », a-t-il lancé avant de critiquer le plan européen du gaz, en ironisant sur les chambres à gaz du régime nazi." La suite et vidéo sur nouvelobs.com
"Vienne - Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a défendu jeudi "un point de vue culturel" hongrois après son virulent discours le week-end dernier contre "le mélange des races", s'attirant les foudres des Etats-Unis.
"Il arrive parfois que je parle d'une manière qui peut être mal comprise, mais j'ai demandé au chancelier (autrichien Karl Nehammer) de bien vouloir placer les informations dans un contexte culturel", a-t-il déclaré à Vienne, où il effectuait une visite. "En Hongrie, ces expressions et ces phrases représentent un point de vue culturel, civilisationnel".
Une "rhétorique de cette nature est inexcusable" plus de "75 ans après l'Holocauste", a estimé le même jour le porte-parole du département d'Etat américain Ned Price, citant un communiqué de Deborah Lipstadt, la représentante spéciale de Washington sur les questions d'antisémitisme.
Cette dernière a également déclaré qu'elle était "profondément alarmée" par un discours recourant à "une rhétorique qui évoque clairement l'idéologie raciale nazie"." La suite sur lexpress.fr
"Le Premier ministre hongrois a tenu des propos racistes qui ont "horrifiés" et indignés en Europe.
Des provocations, des propos choquants, du rejet de l’autre, Viktor Orban est
un habitué. Depuis qu’il a pris le pouvoir en Hongrie, le populiste ne
cache pas sa haine des étrangers et son dégoût des sociétés "multi-ethniques".
Mais le week-end dernier, il est allé encore plus loin. En déplacement en Transylvanie roumaine, il a déclaré : "Nous ne voulons pas être une race mixte" qui se mélangerait avec des "non-Européens". Quand des "peuples européens et extra-européens cohabitent", ce n’est plus une "nation" mais un "conglomérat de peuples". Le dirigeant nationaliste fait également allusion aux chambres à gaz, ironisant dangereusement sur le fait qu’il existe "un savoir-faire allemand" en la matière.
Démission d’une proche conseillèreFait très rare sous l’ère Orban, un de ses proches conseillères a démissionné. Zsuzsa Hegedüs, sociologue, était pourtant une fidèle d’Orban, l’accompagnant depuis 20 ans. Mais les termes employés par le Premier ministre sont allés trop loin, surtout le mot "race", qu’Orban n’avait jusqu’à présent pas utilisé. C’est une "position honteuse" pour la conseillère qui dénonce un "pur texte nazi digne de Goebbels", l’ancien chef de la propagande de l’Allemagne nazi.
L’opposition hongroise fustige une prise de paroles "hors de propos indigne d’un homme d’Etat européen". Le Comité international d’Auschwitz parle d’un discours "stupide et dangereux". Et la Commission européenne, elle, n’a pas fermement réagi, se contentant de dire qu’elle "ne commentait pas les propos tenus par des responsables politiques européens"." La suite sur francetvinfo.fr
"Le Premier ministre hongrois a maintenu ses propos sur le «mélange des races» à l’occasion d’une visite officielle en Autriche.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban, en visite dans l’Autriche voisine, a défendu jeudi un point de vue culturel
hongrois après son virulent discours le week-end dernier contre « le mélange des races »
.
Il arrive parfois que je parle d’une manière qui peut être
mal comprise, mais j’ai demandé au chancelier (Karl Nehammer) de bien
vouloir placer les informations dans un contexte culturel
, a-t-il déclaré à Vienne. En Hongrie, ces expressions et phrases représentent un point de vue culturel, civilisationnel
.
Le dirigeant nationaliste de 59 ans, farouchement anti-migrants, avait rejeté samedi la vision d’une société multiethnique
.
Nous ne voulons pas être une race mixte
, qui se mélangerait avec des non-Européens
,
avait-il dit, avant de faire une apparente allusion aux chambres à gaz
du régime nazi, ce qui lui avait valu de vives critiques de survivants
de l’Holocauste et de la communauté juive." La suite sur ouest-france.fr
Festival de musique hongrois les plus
célèbres d’Europe sur l’Ile d’Obuda à Budapest, la première édition du
SZIGET a eu lieu en 1993. Chaque année, le festival réunit les plus
grands noms de la musique et accueille plus de 1 000 spectacles pendant
six jours avec plus de 50 scènes. Des concerts et des spectacles ont lieu tous les jours dès le début de l’après-midi et durent jusqu’à l’aube. Plus de 500 000 personnes sont présentes chaque année sur le festival." La suite sur virginradio.fr
"À l’est de la capitale hongroise, plusieurs milliers de travailleurs étrangers venus d’Europe de l’Est ou de Turquie sont employés par le géant de l’industrie pétrochimique du pays. Pour pallier le manque de main d’œuvre hongroise, le gouvernement nationaliste de Viktor Orbán délivre des permis de travail en masse..." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
"Connue depuis la décennie 1990 en Europe pour son industrie pornographique, la capitale hongroise accueille chaque année des centaines de jeunes acteurs et actrices qui cherchent à faire décoller leur carrière naissante.
Irina* et Alberto, 25 et 28 ans, sont assis sur le canapé de la suite luxueuse d'un hôtel du VIIe arrondissement de Budapest. Blottis l'un contre l'autre, les mains entremêlées, ils ont les yeux rivés sur Instagram. À côté d'eux, Alexandra*, une rousse à la silhouette élancée, se fait maquiller. Le tournage va commencer. Ils sont tous acteurs porno et travaillent dans la capitale hongroise depuis quelques mois.
«On a toujours été très actifs sexuellement. Baiser, on adore ça. On a commencé il y a un an à faire des vidéos que tous les deux et, il y a six mois, on a déménagé ici», raconte Alberto dans son appartement budapestois. Avec Irina, ils se sont rencontrés à Madrid, où ils fréquentaient le même groupe d'amis, et sont tombés amoureux.
Dès qu'on les voit, on ne peut s'empêcher de se dire qu'ils ressemblent à des beautés de magazine. Elle, physique de mannequin: yeux de biche, cheveux longs teints en blond, bouche pulpeuse. Lui, gabarit de bodybuilder: muscles saillants, marcel et short de sport. Ils vivent tous les deux dans un joli appartement du centre de la ville avec Leia, leur pitbull nommé ainsi d'après la princesse de Star Wars et adopté en Hongrie à leur arrivée." La suite sur slate.fr
"Sous l’autorisation du président de la République, Nguyên Xuân Phuc, le ministre des Affaires étrangères Bùi Thanh Son a remis mercredi 27 juillet l’Ordre de l’Amitié à l’ambassadeur de Hongrie au Vietnam, Ory Csaba, en reconnaissance de ses contributions aux relations entre les deux pays.
Le ministre des Affaires étrangères Bùi Thanh Son a apprécié les
contributions de l’ambassadeur Ory Csaba au cours des sept dernières
années pour aider à développer le partenariat intégral Vietnam - Hongrie
d’une manière de plus en plus substantielle et efficace dans tous les
domaines, de la politique à la diplomatie, à l’économie, au commerce en
passant par la coopération au développement, la culture, l’éducation et
la santé." La suite sur lecourrier.vn
"Isolé sur la scène européenne, le Premier ministre hongrois a été lâché par sa plus proche conseillère, qui l’accuse de propos teintés de nazisme dans un discours où il a également détaillé sa vision géopolitique très favorable à la Russie. Il réclame la fin des livraisons d’armes à l’Ukraine et des négociations de paix entre Russes et Américains, sans représentants ukrainiens.
«Nous, [les Hongrois] nous ne sommes pas une race mêlée et nous ne voulons pas le devenir.» La phrase est signée Viktor Orbán et depuis que le Premier ministre hongrois l’a prononcée samedi, elle n’en finit pas de faire des vagues. Mardi, Zsuzsa Hegedüs, conseillère de longue date de l’homme fort de Budapest, a démissionné avec fracas. «Vous transformez votre position anti-migrants et anti-européiste en un pur discours nazi digne de Goebbels», accuse-t-elle dans une lettre transmise au magazine HVG, où elle dépeint un «Premier ministre prônant une politique ouvertement raciste, qui contraste fortement avec le Viktor qui m’a embauchée en 2002».
Si les provocations d’Orbán sont allées un cran plus loin qu’à l’accoutumée, blague douteuse sur les chambres à gaz à l’appui, elles ne sont pas pour autant nouvelles. Le Premier ministre est un amateur assumé de la théorie du grand remplacement. Au-delà de considérations sur la démographie, le genre et la migration (les «défis de notre temps»), il a détaillé dans le même long discours sa vision géopolitique, plus que jamais marquée par la défiance vis-à-vis de l’Ukraine et la sympathie à l’égard de la Russie.
«Quatre pneus crevés»
Le choix du lieu, en Transylvanie..." La suite sur liberation.fr (article payant)
"Lors de son discours annuel à l’Université d’été de Tusványos, à Băile
Tușnad en Roumanie, Viktor Orbán a repoussé les limites de son
nationalisme ethnique . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
"(AOF) - Confrontée à un grave problème d'inflation, la Banque de Hongrie
a une nouvelle fois fortement augmenté ses taux. Elle a ainsi relevé de
100 points de base son taux de dépôt à une semaine pour le porter à
10,75% après l’avoir déjà augmenté de 200 points de base au début du
mois. Sur le marché des changes, l'euro grappille 0,16% à 400,16
forints. La Magyar Nemzeti Bank va continuer à resserrer sa politique
monétaire." La suite sur capital.fr
"Les déclarations jugées racistes du Premier ministre hongrois Viktor Orban ne passent décidément pas. Après son discours de samedi 23 juillet contre « le mélange racial », les réactions indignées se sont multipliées en Europe comme au sein de la classe politique nationale. L'une des conseillères les plus anciennes du Premier ministre a même annoncé sa démission.
Voilà vingt ans que Zsuzsa Hegedüs travaillait aux côtés de Viktor Orban. Elle décrit même leur relation comme amicale. Mais dans sa lettre de démission diffusée par les médias hongrois, elle décrit un malaise de moins en moins supportable ces dernières années devant le « virage illibéral » opéré par Viktor Orban.
Ce samedi 23 juillet, l'homme à la tête de la Hongrie depuis douze ans a dépassé les limites de ce que Zsuzsa Hegedüs pouvait supporter sans renoncer à ses valeurs, a-t-elle affirmé." La suite sur rfi.fr"Le discours rappelle aux survivants de la Shoah "les périodes sombres de leur propre exclusion", a réagi Christoph Heubner ; la communauté juive hongroise s'est aussi insurgée.
Le comité international d’Auschwitz s’est dit mardi « horrifié » après les propos du Premier ministre hongrois Viktor Orban contre « les races mixtes », appelant l’Union européenne à « prendre ses distances avec de tels relents racistes ».
Le discours du dirigeant nationaliste, « stupide et dangereux », rappelle aux survivants de l’Holocauste « les périodes sombres de leur propre exclusion et persécution », a réagi Christoph Heubner, vice-président de l’organisation, dans une déclaration transmise à l’AFP.
Il a appelé le chancelier autrichien Karl Nehammer, qui accueille
jeudi M. Orban en visite officielle à Vienne, à se démarquer au nom de
l’UE. Il faut « faire comprendre au monde qu’un Monsieur Orban n’a pas
d’avenir en Europe », dont il « nie sciemment les valeurs »." La suite sur timesofisrael.com
Je n’en crois pas mes yeux encore moins mes oreilles. Quoi ? Comment ? C’est incroyable, révoltant, indigne !
Dire aujourd’hui que les Hongrois sont une race qui ne s’est pas mélangée est non seulement un non-sens, mais ce sont des propos ouvertement fascistes dignes de temps anciens que l’on croyait révolus…
On parle de race de chien ou de chevaux. Qu’on se le dise : il n’y a qu’une race : c’est la race humaine… n’en déplaise à certains, les blacks, les orientaux les pygmées font partie de la même race humaine." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
"Le Giero Pub est l'un des secrets les mieux gardés de la capitale hongroise ; on peut y apprécier de la musique de premier choix et son histoire familiale marquée par la Shoah.
BUDAPEST – Sans les accords de musique tzigane entraînante qui remontent jusqu’à la rue Paulay Ede, il serait facile de passer à coté de la sombre taverne, aux murs de briques, située en sous-sol. Mais ce lieu sans prétention, connu sous le nom de Giero Pub, renferme l’un des secrets les mieux gardés de Budapest : certains des meilleurs musiciens roms que la capitale a à offrir.
À l’intérieur, Gyulane Farkas – que tout le monde surnomme « Tante Gizi » – se faufile entre les tables serrées et distribue des shots de palinka, un schnapps hongrois fort, et des bières pression. Pendant les moments de calme (et il y en a plus d’un), elle s’installe à une petite table équipée de tout le confort nécessaire.
Lors de ces soirées tranquilles, Gizi, un petit bout de femme d’une soixantaine d’années, peut être amenée à partager l’histoire de sa vie, comme elle l’a récemment fait pour le Times of Israel avec l’aide d’un interprète." La suite sur timesofisrael.com
"Dans un discours samedi à l'université d'été de Baile Tusnad, en Transylvanie roumaine, le Premier ministre hongrois a expliqué ne pas vouloir un peuple "multi-ethnique" qui se mélangerait avec "des non-Européens".
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban s'est offert une nouvelle polémique samedi en défendant sa vision d'une "race hongroise non mixte", à l'occasion d'un discours d'été de Baile Tusnad, en Transylvanie roumaine, où réside une importante communauté hongroise.
"Nous déménageons, nous travaillons ailleurs, nous nous
mélangeons au sein de l'Europe", a-t-il déclaré. "Mais nous ne voulons
pas être une race mixte", un peuple "multi-ethnique" qui se mélangerait
avec "des non-Européens", a-t-il notamment dit." La suite sur bfmtv.com
"Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a été vivement critiqué pour ses déclarations lors d'un discours en Roumanie.
Samedi, lors d'un discours dans la ville roumaine de Băile Tușnad, Viktor Orbán a déclaré que les "Hongrois n'étaient pas une race mixte et qu'ils ne voulaient pas le devenir". Pour le Premier ministre hongrois, les pays où les Européens et les non-Européens se mélangent "ne sont plus des nations".
Des propos qui ont fait bondir l'opposition. Katalin Cseh, députée européenne du parti Momentum a ainsi exprimé son soutien aux "métis d'Hongrie" sur Twitter face à ce "racisme insensé": "Votre couleur de peau peut être différente, vous pouvez être d'Europe ou d'ailleurs, mais vous êtes l'un des nôtres. Nous sommes fiers de vous", a-t-elle clamé. "La diversité renforce la nation, elle ne l'affaiblit pas". Une position que défend également le député roumain Alin Mituța du mouvement Renew Europe: "Parler de 'pureté' raciale ou ethnique, en particulier dans une région aussi mixte que l'Europe centrale et orientale, est totalement illusoire et dangereux. Tout comme l'est M. Orban", argumente-t-il. "Grande nouvelle: nous avons TOUS des origines raciales et culturelles mixtes. C'est un des grands traits distinctifs des Européens", pointe le politicien." La suite sur lalibre.be
le mardi 2 août 2022
à partir de 20 h
"Viktor Orban était en Roumanie pour s'adresser directement à l'importante communauté hongroise.
Le Premier ministre hongrois a participé ce samedi à la traditionnelle université d'été de Baile Tusnad, en Transylvanie roumaine. Chaque année des milliers de Hongrois participent à cette réunion annuelle.
Dans son discours très attendu, le dirigeant nationaliste et ultra-conservateur a exposé sa vision sur les défis auxquels son pays est confronté.
"Il
y a une guerre, une crise énergétique et une inflation galopante, et
tout cela participe à nous détourner des vrais sujets sur l'immigration
et la question du genre. C'est la grande bataille historique que nous
menons : à savoir la démographie, la question des migrations et celle du
genre. C'est précisément l'enjeu de la lutte entre la gauche et la
droite", explique Viktor Orban devant des centaines de personnes acquises à sa cause." La suite sur euronews.com
"Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a appelé samedi à des négociations entre Washington et Moscou pour mettre fin à la guerre en Ukraine, fustigeant une nouvelle fois des sanctions inefficaces et la stratégie de l’Union européenne.
Viktor Orban a appelé ce samedi à des pourparlers entre les États-Unis et la Russie pour trouver une issue à la guerre en Ukraine. « Nous sommes assis dans une voiture dont les quatre pneus sont crevés », a-t-il lancé au sujet du conflit, jugeant qu’il « n’aurait jamais éclaté si Donald Trump était encore à la tête des États-Unis et Angela Merkel chancelière allemande ».
Les
sanctions, à l’impact économique dévastateur, « ne modifieront pas la
donne » et « les Ukrainiens ne sortiront pas victorieux », a estimé M.
Orban. Idem pour les livraisons de matériel militaire : « plus l’Occident envoie des armes puissantes, plus la guerre s’éternise »." La suite sur leparisien.fr
"BUDAPEST (Reuters) - L'Union européenne doit adopter une nouvelle stratégie au sujet du conflit en Ukraine car les sanctions contre la Russie sont un échec, a déclaré samedi le Premier ministre hongrois, Viktor Orban.
"Une nouvelle stratégie est nécessaire qui devrait se concentrer sur des négociations de paix et l'élaboration d'une bonne proposition de paix (...) au lieu de vouloir gagner la guerre", a dit Viktor Orban dans un discours prononcé en Roumanie.
Le Premier ministre hongrois, réélu en avril pour un quatrième mandat consécutif, a détaillé ce qui constitue selon lui les quatre hypothèses fondant la stratégie occidentale: que l'Ukraine peut gagner la guerre contre la Russie avec des armes fournies par l'Otan, que des sanctions affaibliraient la Russie et déstabiliseraient ses dirigeants, que des sanctions affecteraient davantage la Russie que l'Europe, et que le monde soutiendrait l'Europe.
Pour Viktor Orban, cette stratégie a échoué car les gouvernements en Europe s'effondrent "comme des dominos" et les prix de l'énergie se sont envolés." La suite sur investing.com
"Budapest - Plusieurs milliers de Hongrois ont défilé samedi à Budapest pour défendre les droits des LGBT+, un an après l'entrée en vigueur d'une loi jugée discriminatoire.
Coeur géant, drapeaux et ombrelles aux couleurs de l'arc-en-ciel, la manifestation s'est déroulée en toute légalité le long du Danube par une chaleur caniculaire.
Les participants, parmi lesquels des diplomates étrangers, ont condamné le texte adopté l'été 2021 qui interdit "la représentation ou la promotion" de l'homosexualité et du changement de sexe auprès des mineurs.
"C'est un outil pour diviser les gens et les monter les uns contre les autres", selon Armin, expert en marketing, qui n'a pas voulu donner son nom de famille." La suite sur lexpress.fr
"L'équipe de France conclut les Mondiaux du Caire ce samedi avec la médaille d'argent décrochée par les sabreuses, battues par la Hongrie en finale (45-40). Le clan français repart du Caire en tant que première nation au classement des médailles, avec huit podiums dont quatre titres.
Cette fois, il n'y a pas eu de miracle. Après leur folle remontée en demi-finales face au Japon
(45-43 après avoir eu dix touches de retard), les sabreuses françaises
se sont inclinées en finale ce samedi contre la Hongrie (45-40)." La suite sur lequipe.fr
"Particulièrement dépendantes de la Russie, la Hongrie, la République
slovaque et la République tchèque connaissent un risque de pénuries
pouvant atteindre 40 % de leur consommation de gaz en cas de coupure
total des robinets par Moscou . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
"Alors que la Commission européenne négocie avec le gouvernement hongrois le versement des fonds européens pour la relance qui sont actuellement bloqués, des experts hongrois mettent en garde contre le fait qu’il pourrait tenter de berner l’Union européenne.
Des subventions provenant de la facilité pour la reprise et la résilience (FRR), d’un montant maximal de 5,8 milliards d’euros, sont réservées à la Hongrie, mais l’argent n’a pas encore été débloqué en raison de problèmes liés à la corruption et à l’État de droit dans le pays.
Ces dernières semaines, toutefois, le gouvernement hongrois a annoncé qu’il était sur le point de conclure un accord avec l’exécutif européen. Les représentants du gouvernement ont déclaré qu’ils avaient accepté plusieurs réformes pour permettre à la Commission de débloquer les fonds.
Selon le ministre d’État hongrois chargé des
Affaires européennes au ministère hongrois de la Justice, János Bóka,
il s’agissait d’« un objectif raisonnable et réalisable […] pour
clore toutes les questions en suspens dans la procédure de
conditionnalité [liée à l’État de droit] d’ici la fin du mois d’août »." La suite sur euractiv.fr
"Ils vont permettre de remplacer les General Dynamics F-16MLU Fighting Falcon danois déployés dans la région depuis début janvier. En date de ce lundi 1er août 2022 quatre chasseurs multirôles Saab JAS 39C Gripen appartenant à la Magyar Légierő seront opérationnels depuis Šiauliai AB en Lituanie. Un tel déploiement représente tout de même un tiers de la capacité effective de combat de l’aviation hongroise. Une participation à une mission de l’OTAN qui doit aussi permettre de faire taire les rumeurs selon lesquelles les forces hongroises seraient idéologiquement proches de Moscou.
En fait l’annonce il y a quelques semaines de la décision de l’alliance Atlantique de confier la relève de la chasse danoise à la chasse hongroise en a surpris plus d’un. Et nous en faisions parties. L’accord sur la présence de la centaine de militaires accompagnée de quatre monoréacteurs Saab JAS 39C Gripen a visiblement été piloté directement par les équipes de Jans Stoltenberg, actuel secrétaire général de l’OTAN, et par celles de Viktor Orban, le président hongrois. C’est au récent sommet de Madrid que tout a été finalisé, permettant ainsi à la Hongrie de revenir dans le concert des nations après avoir été suspectée par plusieurs pays alliés de collusion avec l’ennemi. On reprochait à Orban sa trop grande proximité de conscience et d’idées avec le dictateur Poutine." La suite sur avionslegendaires.net
"De passage à Paris, Budapest, Milan ou même Séoul cet été ? Voici 7 escales à ne surtout pas manquer pour se désaltérer dans un lieu totalement improbable. Followers hyper-jaloux garantis.
Szimpla Kert, à BudapestOuvert il y a dix ans dans un immeuble désaffecté, ce bar est très vite devenu incontournable à Budapest, et pour cause : il fut le pionnier des « ruin bars », ces lieux abandonnés réinvestis par des gérants de cafés pour leur redonner une seconde vie.
Le concept ? On laisse l’endroit « dans son jus », mais on y greffe du mobilier chiné, un zinc, une sono, des plantes et des œuvres de street art. Puis, comme par magie, les clients affluent pour transformer le squat en adresse branchée.
Si on en trouve aujourd’hui quelques dizaines à Budapest, cet iconique Szimpla Kert reste le chouchou des locaux de tous âges, notamment grâce à ses multiples initiatives : pièces de théâtres, ateliers artistiques, boutique design, petit marché bio le dimanche matin, etc. D’abord, hongrois que c’est bizarre, puis non.
14, rue Kazinczy.
szimpla.eu
La suite sur levif.be
"Les clubs de football les plus populaires de Slovaquie et de Hongrie se sont rencontrés dans un stade de Budapest 30 ans après l’un des plus grands affrontements de leur histoire dans une atmosphère houleuse qui a poussé les diplomates slovaques à réagir à des inscriptions anti-slovaques désobligeantes.
Le Slovan Bratislava a remporté mercredi 20 juillet le match d’ouverture du 2e tour préliminaire de l’UEFA au Ferencváros Budapest. Cependant, le match trouve a fait écho sur la scène diplomatique et l’affrontement pourrait se poursuivre.
L’ambiance houleuse s’était déjà manifestée
avant le match lorsque les supporters hongrois ont endommagé le bus de
l’équipe slovaque après l’entraînement de préparation. Bien que personne
n’ait été blessé dans l’incident, seule la couche extérieure de la
vitre a été endommagée, et la police a appréhendé le coupable." La suite sur euractiv.fr
"La Hongrie, le seul membre de l'UE à ne pas avoir reçu les fonds de relance post-Covid, plaide pour une «meilleure coopération» avec la Commission européenne, selon le ministre chargé des négociations, pressé d'aboutir en plein marasme économique.
«Il y a de toute évidence des sujets de désaccords entre Budapest et l'Union européenne à un haut niveau politique», a déclaré Tibor Navracsics, 56 ans, dans un entretien accordé cette semaine à l'AFP dans son fief de Veszprém, non loin du lac Balaton, un site prisé des touristes.
De nombreux différents avec Bruxelles et une inflation galopanteLoi anti-LGBT+, politique migratoire, taxe sur les multinationales... les différends sont nombreux, mais «je pense qu'une bien meilleure coopération est possible dans les échanges techniques du quotidien», a-t-il poursuivi. «C'est une condition sine qua non pour parvenir à un accord sur les fonds», a insisté cette figure modérée du gouvernement, évoquant «un travail continu» sans vouloir se prononcer sur le calendrier." La suite sur lefigaro.fr
"En mars dernier, Katalin Novak a été élue présidente de la Hongrie par les députés. Pourtant, les femmes hongroises occupent peu de place sur la scène politique nationale. La Hongrie est même l'Etat membre dans lequel la part des femmes au parlement et au gouvernement est le plus bas depuis 20 ans.
Borbála Juhász, historienne des femmes, spécialiste des questions de genre, ancienne présidente du Lobby des femmes hongroises, ancienne vice-présidente du Lobby européen des femmes et Rita Antoni, présidente de l'association féministe "Nőkért Egyesület" nous expliquent ce qui peut expliquer cette quasi-absence des femmes en politique en Hongrie.
Pourquoi la proportion de femmes au gouvernement et au parlement est-elle si faible en Hongrie, et évolue-t-elle si peu ?
Borbála Juhász : Depuis le retour à la démocratie et les premières élections après les années de socialisme d'État en 1990, la part des femmes au parlement plafonne entre 9 et 13 % et ce, quelle que soit la coalition au pouvoir." La suite sur euronews.com
"La Russie va "étudier" la possibilité de livrer du gaz supplémentaire à la Hongrie cette année, a déclaré ce jeudi le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov.
Budapest veut acheter 700 millions de mètres cubes de gaz supplémentaires.
Avant la guerre en Ukraine, la Hongrie se faisait livrer 4,5 milliards de mètres de cubes de gaz.
"Aujourd'hui,
nos collègues ont fait part de l'intérêt du gouvernement hongrois pour
un nouvel achat de gaz naturel cette année. Cette requête sera
immédiatement transmise et étudiée", a déclaré Sergueï Lavrov, chef
de la diplomatie russe, lors d'une conférence de presse, ce jeudi 21
juillet. En effet, le chef de la diplomatie hongroise a effectué une
visite impromptue à Moscou. L’objectif : discuter de l'achat de 700
millions de mètres cubes supplémentaires de gaz qui viendraient
s'ajouter aux 4,5 milliards déjà livrés chaque année à Budapest avant la
guerre en Ukraine." La suite sur tf1info.fr
« Qui connaît l’amitié entre Berlioz et Liszt ?
Qui sait que l’un des premiers lieux filmés par les frères Lumière a été le Pont des Chaînes ?
Qui connaît l’histoire des prisonniers français évadés d’Allemagne et réfugiés en Hongrie pendant la seconde guerre mondiale et qui reçurent en Hongrie un accueil si généreux ? »
Plus d’informations : scolar.hu/a-nagykovet-tollabol
"Au lendemain de l'annonce du plan de Bruxelles de diminuer de 15% la demande européenne de gaz, la visite très officielle de Budapest dans la Russie en guerre est un coup de poignard pour l'UE. Une conférence de presse commune, entre le représentant de la Hongrie et ses homologues russes, a même eu lieu dans l'après-midi. Prise en étau, la Hongrie a annoncé l'achat de 700 millions de mètres cubes de gaz supplémentaires.
C'est un coup de poignard pour l'Union européenne, censée faire front commun pour sanctionner la Russie en guerre en Ukraine. Alors que l'Europe tente de se dégager de sa dépendance au gaz russe en nouant de nouveaux contrats, et que les bombes russes tombent toujours sur son voisin, la Hongrie est en visite officielle ce jeudi à Moscou pour assurer son approvisionnement en gaz. Le chef de la diplomatie hongroise Peter Szijjarto s'est rendu dans la capitale russe pour confirmer l'achat de "700 millions de mètres cubes supplémentaires de gaz naturel en plus des quantités déjà prévues dans les contrats de long terme", écrit le parti Fidesz du Premier ministre hongrois Viktor Orban dans un message posté sur Facebook.
Une conférence de presse entre Peter Szijjarto et son homologue russe s'est même tenue dans l'après-midi, et retransmise sur les chaînes de télévision de l'Etat russe. Celle-ci s'est déroulée de manière très officielle devant les journalistes, pupitres et drapeaux des deux nations l'un à côté de l'autre, avec le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, dont les prises de parole ont jusqu'ici servi à tendre les échanges avec les Occidentaux ou l'Union européenne. Mais sur les écrans, les plans larges de la télévision russe montrent les deux émissaires côte à côte." La suite sur latribune.fr
"La Russie entend développer sa relation "stratégique" avec la Hongrie malgré les sanctions prises contre Moscou par l'Union européenne, dont Budapest est membre, a déclaré jeudi le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov.
"J'apprécie
réellement nos relations. Nos discussions aujourd'hui ont confirmé leur
nature durable et stratégique. Et nous allons les développer de toutes
les façons possibles", a déclaré Sergueï Lavrov lors d'une conférence de presse conjointe à Moscou avec son homologue hongrois Peter Szijjarto. " La suite sur laprovence.com (article payant)
"Analyse
Les préfets seront baptisés « châtelains » et les provinces administratives « comitats », conformément à un projet de loi adopté au Parlement mardi 19 juillet. Ce vernis est posé par Budapest dans un contexte d’inflation galopante, de grogne populaire sur la fiscalité et de pression financière de l’UE.
C’est la onzième fois, depuis le retour de Viktor Orban au pouvoir en
2010, que le premier ministre use de sa super-majorité au Parlement
pour changer la Constitution. Pour parachever sa « révolution conservatrice », il convenait à ses yeux de redonner au découpage territorial sa splendeur d’antan." La suite sur la-croix.com (article payant)
"Les gouvernements portugais et espagnols ont dit mercredi 20 juillet leur opposition au plan proposé par l’exécutif européen le jour même de réduire la demande de gaz pour surmonter la baisse des livraisons russes. Et la Hongrie va négocier ce jeudi avec Moscou pour recevoir plus de gaz.
La solidarité européenne commence à se fissurer
sur le gaz russe. À peine l’annonce par la Commission d’un plan
européen de réduction de 15 % de la consommation de gaz d’ici mars 2023,
Madrid et Lisbonne ont fait savoir leur opposition." La suite sur ouest-france.fr
"Des fonctionnaires hongrois sont à Bruxelles cette semaine pour négocier avec la Commission européenne sur les problèmes de longue date liés à l’État de droit et à la démocratie. Budapest est «optimiste» quant à la possibilité de lever le principal obstacle à l’obtention de milliards d’euros avant la fin de l’été.
« Mon objectif, qui est un objectif raisonnable et réalisable, est de régler toutes les questions en suspens dans la procédure de conditionnalité budgétaire d’ici la fin du mois d’août », a déclaré János Bóka, secrétaire d’État aux affaires européennes au ministère hongrois de la Justice, mardi (19 juillet).
M. Bóka est chargé de trouver une solution
suite à la décision de la Commission de mettre en place un mécanisme de
conditionnalité destiné à limiter le flux de fonds européens vers les
pays présentant des problèmes systémiques d’État de droit." La suite sur euractiv.fr