« Comme sous le régime soviétique, les événements politiques sont interdits pour des raisons politiques », déclare, le même jour, en soupirant, l’élu sans étiquette de Zuglo, le 14e arrondissement de Budapest, en jean et veste de costume sombre, au milieu de tables vides dans l’arrière-salle d’un café de la capitale. Fatigué, il se rassure en se disant que ce énième obstacle prouve que le parti au pouvoir serait « dérangé » par sa désobéissance civile hebdomadaire, insiste-t-il. « Je vais continuer. » La suite sur lemonde.fr (article payant)