samedi 31 décembre 2022

Paris la nuit, les plus beaux clichés du photographe Brassaï

Un soir d’hiver de 1932, Brassaï, alors âgé de 33 ans, convainc celle qui fait office de concierge de Notre-Dame de l’enfermer dans l’une des tours. Après une ascension dans l’obscurité la plus totale, il réalise cette vue de Paris.
Estate Brassaï Succession/Philippe Ribeyrolles


"LE PARISIEN WEEK-END. Dès son arrivée dans la capitale, en 1924, le photographe hongrois en saisit l’élégance et l’effervescence. À l’occasion de la sortie du nouvel album de Reporters sans frontières, hommage à ce maître du noir et blanc.

« C’est pour saisir la nuit de Paris que je suis devenu photographe », a dit Brassaï. Le Hongrois a immortalisé mieux que quiconque le côté obscur de la Ville Lumière. C’est à cet infatigable explorateur du pavé parisien que Reporters sans frontières rend hommage dans son nouvel album, paru en novembre. L’ONG publie des clichés inédits, piochés dans les archives familiales de Gyula Halasz, qui a choisi son pseudonyme en hommage à son village natal de Brasso, dans les Carpates.

L’occasion d’admirer des tirages rares, signés d’un monstre sacré du noir et blanc, qui a fixé pour l’éternité le Paris des maisons closes et des bals musettes. Des folles soirées du Montparnasse des années 1930 et des allumeurs de becs de gaz. Des colonnes Morris et des « forts », ces manutentionnaires qui s’escrimaient aux Halles pendant que le bon peuple dormait encore." La suite sur leparisien.fr

Aissa Laïdouni meilleur joueur de l’année en Hongrie

"Tunisie Tribune (Aissa Laïdouni)- L’international tunisien de Ferencváros TC, Aissa Laïdouni, a été choisi joueur de l’année 2022 en championnat hongrois.

Il a obtenu le plus de voix lors d’un vote en ligne réalisé par le site  CSKAFOCI.

Laïdouni a réalisé une saison pleine avec Ferencváros TC qui a décroché le doublé lors de la saison 2021-2022." Source : tunisie-tribune.com

vendredi 30 décembre 2022

Les capitales européennes de la Culture 2023 sont Timisoara, Veszprem et Eleusis

"Trois villes bénéficieront du label de capitale européenne de la Culture du 1er janvier au 31 décembre 2023 : Eleusis en Grèce, Timisoara en Roumanie et Veszprem en Hongrie.

L’Europe, ce n’est pas que Bruxelles ou Strasbourg. Grâce au label de capitale européenne de la Culture, on peut découvrir de nouvelles villes chaque année où se déroule tout un programme d’événements et de performances artistiques.

En 2023, trois cités européennes auront ce titre : Veszprem pour la Hongrie, la cosmopolite Timisoara en Roumanie et Eleusis (ou Elefsina) près d’Athènes en Grèce. Elles remplacent la luxembourgeoise Esch-sur-Alzette, la lituanienne Kaunas et la serbe Novi Sad, capitales européennes de la Culture 2022.

Veszprem, la culture sur le lac Balaton en Hongrie

Situé dans l’ouest de la Hongrie, Veszprem se trouve à quelques kilomètres au nord du lac Balaton, le plus grand d’Europe centrale. Région connue pour sa gastronomie et son vin, cette commune de 60 000 habitants s’élève sur cinq collines et offre à ses visiteurs des ballades le long de la rivière sinueuse de la Sed, de son vieux château en pierre ou de son centre-ville du XVIIIe siècle.

Les festivités pour le titre de capitale européenne de la culture commencent le 21 janvier par un grand spectacle et auront pour point d’orgue plusieurs festivals de musique classique, de jazz ou de musique de rue." La suite sur ouest-france.fr

András Schiff, au service de Bach

 

András Schiff. ©NadjaSjöström

PORTRAIT - Le grand pianiste hongrois reprend le répertoire du maître allemand sur l’instrument méconnu qu’est le clavicorde. Un festival pour les oreilles.

A en écouter certains, sir András Schiff n’aurait pas encore fait la conquête de la France. De fait, le pianiste hongrois, installé à Florence, a souvent été rare par chez nous. Jusqu’à récemment, à Paris, où il a magnifiquement donné les deux livres du Clavier bien tempéré de Bach, puis un récital dont il a le secret sur la belle et intime scène de la Fondation Louis Vuitton, ainsi que les concertos pour clavier de Bach, toujours, avec sa Cappella Andrea Barca à la Philharmonie, où il repassera le 26 février prochain pour un récital Mozart-Schubert. Auparavant, il aura publié sur le label ECM un magnifique recueil d’œuvres de Jean-Sébastien Bach, encore et toujours lui, au clavicorde.

Cet ancêtre à cordes frappées du piano-forte, lui-même prédécesseur du piano, et clavier préféré du cantor, est assez inhabituel dans la discographie de cet adepte des instruments modernes, mais porte bien la démarche du musicien: «J’aime découvrir tous les instruments d’époque. Je voudrais enregistrer les..." La suite sur lefigaro.fr (article payant)

Europe centrale : comment vit-on une guerre dans la durée ?

A l'Est du nouveau : entre accueil des réfugiés, fourniture d’armes, soutien matériel et stratégique à l’Ukraine, la guerre fait bouger les lignes dans la partie orientale du continent européen. Comment la Pologne, la République tchèque et la Hongrie vivent-elles cette guerre dans la durée ?
Avec
  • Paul Gradvohl Historien, professeur à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, spécialiste de la Hongrie
  • Andrzej Leder Philosophe et psychanalyste
  • Jérôme Heurtaux politiste, ancien directeur du CEFRES à Prague, maître de conférences en science politique à l'Université Paris-Dauphine 

Dix mois après l’invasion russe en Ukraine, le président Volodymyr Zelensky est sorti pour la première fois de son pays, pour une visite à Washington la semaine dernière. Au retour il a fait UNE escale, et une seule : en Pologne.

Pologne, République tchèque, Slovaquie, Hongrie, les 4 pays du groupe de Visegrad, occupent une place centrale dans ce conflit. D’abord parce que trois d’entre eux partagent une frontière avec l’Ukraine, avec les risques que cela comporte. Parce qu’ils ont reçu des millions de réfugiés ukrainiens et soutiennent Kiev militairement. Et parce que cette guerre oblige l’Union européenne à regarder sur son flanc est. Comment les équilibres ont-ils changé ces derniers mois ? Quelle influence la Russie garde-t-elle en Europe centrale ? Le centre de gravité européen est-il en train de bouger ? Quelles conséquences sur les politiques intérieures ?

Comment vit-on une guerre dans la durée ?

Pour en débattre, Cécile Bidault reçoit Paul Gradvohl, historien, maître de conférences à l'université de Lorraine, spécialiste de l'Europe centrale ; Jérôme Heurtaux, politiste, ancien directeur du CEFRES - Centre français de recherche en sciences sociales - à Prague, Maître de conférences à l'Université Paris-Dauphine ; Andrzej Leder, philosophe et psychanalyste de l'Institut de la Philosophie et Sociologie de l'Académie des Sciences polonaise.

A écouter sur radiofrance.fr (38 MIN)

BÚÉK ou l’économie du souhait !


"Nous autres francophones avons certainement déjà entendu ce vocable quand nos amis hongrois nous souhaitent une bonne année.

C’est vrai, nous avons la chance de pouvoir dire : bon réveillon de Noël pour le 24 et Joyeux Noël, le lendemain. Il en est de même pour le « bon réveillon de la Saint Sylvestre » et de crier enfin Booooonnne annéeeee à minuit tapantes.

Il est vrai également que l’usage du « bonnes fêtes de fin d’année » est de plus en plus courant : on aurait pu penser que cela existe par souci d’économie d’un Joyeux Noël et Bonne Année dans une seule et même phrase :  que nenni, cela existe surtout car le multiculturel s’est imposé à nous, tout naturellement, comprenez : l’on n’est pas sensé savoir qui est chrétien, juif, musulman ou tout simplement athée. Cette année, par un heureux hasard du calendrier grégorien et hébraïque, la fête de Hanouka tombe aussi dans la période de Noël : du 18 au 26 décembre (il parait qu’il existe déjà la formule : « Boldog Hanukarácsony »). Cependant, l’année prochaine c’est du 7 au 15 décembre 2023. Pour les retardataires, on peut encore le fêter Noël le 7 janvier prochain avec nos amis orthodoxes qui respectent le calendrier julien." La suite sur jfb.hu

mercredi 28 décembre 2022

L'entreprise hongroise Richter s'attend à payer 74,44 millions de dollars d'impôts exceptionnels en 2022

"Le fabricant hongrois de médicaments Richter s'attend à payer environ 28 milliards de forints (74,44 millions de dollars) d'impôts supplémentaires cette année, a-t-il déclaré mardi, frappé par des hausses d'impôts sur les grandes entreprises pour combler les trous budgétaires.

Le gouvernement du Premier ministre Viktor Orban a annoncé vendredi qu'une taxe exceptionnelle imposée aux producteurs de médicaments sur la base des revenus nets en 2022 et 2023 augmenterait progressivement, pour atteindre 8 % sur les revenus nets dépassant 150 milliards de forints (398 millions de dollars).

La taxe prélevée en 2022 représente quelque 14 % du bénéfice net de Richter pour les neuf premiers mois de l'année, qui a plus que doublé par rapport à la même période de l'année précédente, grâce à des effets de change favorables." La suite sur zonebourse.com

L’inflation galopante ronge le porte-monnaie des Hongrois

"Direction la Hongrie, championne d’Europe de l’inflation. La hausse des prix était de 23% en novembre, 25% prévu pour décembre. C’est le taux le plus élevé de toute l’Union européenne, où la hausse des prix est en moyenne de 10%. Certains Hongrois sont obligés de prendre un deuxième, voire un troisième emploi.

Sur les marchés de Budapest, c’est l’affluence. Erzsébet fait ses courses, à l’affût des promotions, car les prix alimentaires ont augmenté de 44% depuis l’année dernière. Le prix des œufs et du pain a même doublé. « Tout est beaucoup plus cher ! Au moins 40% de plus ! La viande, le pain… Ah, le pain est inabordable ! Beaucoup de gens apprennent à faire le pain à la maison. Manger sainement, c’est devenu un luxe », témoigne-t-elle. 

Pour lutter contre l’inflation, le gouvernement hongrois a gelé les prix de certains aliments : la farine, le lait demi-écrémé, certains morceaux de porc et de poulet… Ce gel des prix vient d’être prolongé jusqu’en avril prochain. Mais Erzsébet ne voit pas vraiment la différence dans son porte-monnaie : « Les gens se précipitent sur ces produits dont le prix est plafonné, décrit-elle. Du coup, les étagères sont vides, et si on veut du lait, il ne reste que le plus cher. Ce gel des prix, je ne vois pas en quoi il nous aide vraiment. » " La suite sur rfi.fr

Kiev reproche à Orbán son «mépris pathologique» pour l’Ukraine qui suit le plan de négociation de la Russie

"Des responsables ukrainiens ont déclaré mardi que les derniers propos du Premier ministre hongrois Viktor Orbán en faveur d'un cessez-le-feu et d'un dialogue entre Kiev et Moscou sont une manière "détournée" d'appeler à la victoire de la Russie dans la guerre, ainsi qu'un signe de son "mépris pathologique" pour l'Ukraine.

"Les déclarations du Premier ministre hongrois témoignent d'un mépris pathologique pour l'Ukraine et le peuple ukrainien, qui résiste à l'agression russe, ainsi que de sa propre myopie politique", a déclaré le ministère ukrainien des Affaires étrangères dans un communiqué bref mais percutant." La suite sur msn.com

La Hongrie relève son objectif de déficit pour 2023 de 3,5 % à 3,9 % du PIB - conseil budgétaire

"Le déficit budgétaire de la Hongrie passera à 3,9 % de la production économique dans le budget 2023 modifié, contre un objectif de 3,5 % fixé dans la loi budgétaire initiale, a déclaré mardi le Conseil budgétaire de surveillance dans son avis sur le projet d'amendement." La suite sur zonebourse.com

dimanche 25 décembre 2022

Prochaine rencontre des Mardis hongrois de Paris le 3 janvier 2023 à partir de 20 h à la brasserie Le Lutèce

Prochaine rencontre

le mardi 3 janvier 2023
à partir de 20 h 

à la brasserie Le Lutèce
8, boulevard Saint-Michel 75006 Paris
Métro Saint-Michel
 

 Kedves Mardis hongrois-látogatók,

A legközelebbi összejövetel
2023 január 3.
este 8-kor kezdődik
Le Lutèce kávéházban
8, boulevard Saint-Michel 75006 Paris
Métro Saint-Michel








A Budapest, s'intégrer à l'école comme par magie

"Les visages s'éclairent et les rires fusent: dans un quartier populaire de Budapest, un magicien fait des miracles pour faciliter l'intégration des enfants d'immigrés grâce à ses tours déliant les langues.

Dans la maternelle Viragkoszoru ("guirlande de fleurs"), les élèves viennent d'univers très divers. A la fois de la communauté rom, de familles venues d'Asie, du Moyen-Orient et d'Afrique pour répondre à la pénurie de main-d'oeuvre, ou encore de la classe moyenne hongroise.

La mairie, désireuse de préserver cette mixité, a décidé de miser sur l'originalité. Elle a donc fait appel à Botond Kelle, qui rode sa méthode pédagogique depuis dix ans." La suite sur tv5monde.com

La Hongrie intéressée par le maintien de relations économiques avec la Russie (Orban)

"La Hongrie soutient l’Ukraine, mais est également intéressée par le maintien de relations économiques avec la Russie. C’est ce qu’a déclaré le premier ministre hongrois Viktor Orban dans une interview publiée ce samedi par le journal Magyar Nemzet.

« Nous soutenons et aidons l’Ukraine, et nous sommes intéressés par la préservation d’une Ukraine souveraine », a-t-il noté. « Nous sommes également intéressés par le fait que la Russie ne constitue pas une menace pour la sécurité de l’Europe, mais nous ne sommes pas intéressés par l’abandon de toutes les relations économiques avec la Russie. Nous examinons ces questions du point de vue des intérêts hongrois, et non des intérêts de quelqu’un d’autre. » La suite sur 237online.com

En Hongrie, une lycéenne crache son slam au visage de Viktor Orban dans un poème devenu culte

"Lili Pankotai, 18 ans, s’est mis à dos les soutiens du premier ministre hongrois en déclamant un texte au cours d’une importante manifestation à Budapest. Elle a exprimé toute la colère de la jeunesse contre un système éducatif verrouillé par le pouvoir. 

Pouvait-elle trouver un meilleur titre à son texte ? Avenir. Comme celui qu’elle et les milliers de lycéens qui descendent depuis des semaines dans les rues de Hongrie contre le premier ministre nationaliste Viktor Orban rêvent d’incarner. « Que tu le croies ou pas/Je suis et nous sommes le présent/Ainsi que ce putain d’avenir », scande Lili Pankotai, 18 ans, dans le slam qui l’a rendue célèbre après avoir été déclamé à la tribune d’une des plus imposantes manifestations du ­mouvement qui secoue actuellement le pays pour réclamer davantage de liberté dans le système éducatif.

C’était à Budapest, le 23 octobre, à l’occasion de la commémoration de l’insurrection antisoviétique de 1956, transformée ce jour-là en vaste protestation afin de soutenir des professeurs brutalement licenciés par le pouvoir pour avoir fait grève. Prononcés avec détermination, ces quelques vers lus sur son téléphone portable résument toutes les dérives du premier ministre qui dirige la Hongrie d’une main de fer depuis 2010 : « Douze ans d’amitié avec Poutine pourraient aller à la poubelle/Mais les prix de l’énergie sont plus importants que l’Europe » ; « Cela me fait mal de voir que les jeunes d’aujourd’hui/Qui se battent pour eux-mêmes et leurs professeurs/Qu’on dise d’eux qu’ils sont des putains de libéraux » ; « Tu penses/Que vous pouvez effacer la pensée/Mon cul »

Ce texte désormais culte, elle l’a écrit « en une heure », un soir de mars dernier, sous le coup de la rage, en rentrant du lycée, raconte-t-elle en ce début décembre, dans un café de Budapest. Après la réaction du chef de son établissement du sud de la Hongrie, où elle était interne, elle a en effet préféré déménager dans la capitale. Au lendemain du discours, le proviseur s’est désolidarisé publiquement de son élève. « Nous rejetons dans les termes les plus forts tout le contenu de [ce slam] qui est incompatible avec les valeurs chrétiennes », a posté sur Facebook le proviseur de ce lycée privé catholique. Se sentant « poussée à partir », l’adolescente aux longs cheveux blonds est désormais inscrite dans un établissement plus progressiste.

Cible d’attaques multiples

Dans son texte, Lili égratignait certes ce lycée « chrétien conservateur », « papa est un homme, maman est une femme », qui cherchait à lui inculquer fidèlement les messages homophobes du pouvoir. Mais ce qui a visiblement le plus ulcéré le système, c’est qu’une jeune femme ose s’attaquer à Viktor Orban en employant une familiarité crue, conformément aux codes du slam, cet art de la poésie déclamée et engagée. « Enfant soldat de la gauche », « Greta Thunberg hongroise » [ce n’est pas un compliment chez les Magyars], qui « mériterait deux grosses claques »… les nombreux médias aux mains du pouvoir se sont déchaînés contre cette jeune fille qui n’a même pas encore son baccalauréat." La suite sur lemonde.fr (article payant)

Crise ukrainienne: « si les Américains voulaient la paix, on aurait la paix » – Viktor Orban

"Le Premier ministre hongrois Viktor Orban dans une interview au journal Magyar Nemzet, a évoqué la guerre en Ukraine et a clairement souligné que la paix en Ukraine dépend des États-Unis, car les Ukrainiens ne seront en mesure de combattre qu’aussi longtemps que les Américains leur offriront leur soutien militaire et financier.

« L’Ukraine ne pourra combattre qu’aussi longtemps que les États-Unis la soutiendront en argent et en armes. Si les Américains voulaient la paix, on aurait la paix », a lancé Viktor Orban. Interrogé sur si Kiev pourrait renoncer à une partie du territoire « au nom de la paix, de la sécurité énergétique et de la prospérité de l’Europe », il a souligné que « l’Ukraine est un État souverain, et la décision sur les objectifs des combats appartient aux Ukrainiens »." La suite sur actucameroun.com

samedi 24 décembre 2022

Zsuzsanna Varkonyi Mardi 7 février 2023, 20h30 Studio de l’Ermitage

 


Studio de l’Ermitage 8 rue de l’Ermitage 75020 Paris
Tarif plein 18€ / Prévente 15€
Au carrefour de plusieurs musiques et de plusieurs langues, Zsuzsanna Varkonyi explore un univers à la fois très personnel et universel, scandé par sa voix envoûtante.
Chanteuse et musicienne (l’accordéon étant son instrument de prédilection), Zsuzsanna – qui pratique également l’art de la comédie – incarne sa musique avec une rare intensité expressive. Nimbée d’un halo de mélancolie, cette musique à la beauté ardente évoque une forme de folk apatride ou de blues nomade.Vagabonde (céleste) dans l’âme, elle a constitué au fil du temps un ample répertoire, dans lequel se mêlent compositions originales et airs traditionnels. Elle revient aujourd’hui avec un nouvel album, « A Place Called Love » d’une grande force émotionnelle. accompagnée par ces fidèles musiciens.
Zsuzsanna Varkonyi : chant, piano, accordéon
Csaba Palotaï : guitare
Frédéric Norel : violon
Sébastien Gastine : contrebasse
Steve Argüelles : batterie
Stan Grimbert : vibraphone

La Commission européenne pourrait retenir une aide de plusieurs milliards d'euros pour la Hongrie

"BRUXELLES (dpa-AFX) - La Commission européenne pourrait retenir des milliards d'euros d'aide à la Hongrie au titre du budget communautaire européen en raison de préoccupations liées à l'Etat de droit. Un porte-parole des autorités bruxelloises a confirmé vendredi que les conditions pour le versement de 22 milliards d'euros jusqu'en 2027 du fonds de cohésion destiné à soutenir les régions structurellement faibles ne sont actuellement pas remplies. Il s'agit de s'assurer que la mise en œuvre des programmes nationaux est conforme à la Charte des droits fondamentaux de l'UE. En raison de l'insuffisance de la lutte contre la corruption en Hongrie, les États membres de l'UE viennent de geler 6,3 milliards d'euros de fonds de cohésion pour ce pays.

La Commission européenne a trouvé un accord de principe avec la Hongrie sur l'utilisation de l'argent de la cohésion, comme elle l'avait déjà annoncé jeudi. Mais certaines conditions doivent d'abord être remplies. Les investissements ne peuvent avoir d'effet "que si le cadre institutionnel et juridique est adéquat et s'ils sont réalisés conformément aux règles et aux valeurs de l'UE", a déclaré la commissaire européenne responsable Elisa Ferreira. Le commissaire aux affaires sociales, Nicolas Schmit, a déclaré : "Nous travaillerons en étroite collaboration avec le pays pour veiller à ce que les Hongrois bénéficient de cette aide importante de l'UE, tout en respectant pleinement la Charte des droits fondamentaux de l'UE". " La suite sur zonebourse.com

Lamballe : immersion en Hongrie pour 18 élèves du lycée Saint-Joseph

"18 élèves de première et deux enseignantes du lycée Saint-Joseph, à Lamballe, ont eu l’opportunité de découvrir la Hongrie, ses villes et monuments, du 11 au 17 décembre.

Du 11 au 17 décembre, 18 élèves de première et deux enseignantes du lycée Saint-Joseph ont découvert la Hongrie dans le cadre d’un échange scolaire avec le lycée de Dabas. L’occasion pour les jeunes lycéens qui étaient hébergés chez leurs correspondants de découvrir une autre culture, un système scolaire différent et de perfectionner leur anglais." La suite sur letelegramme.fr

Le premier ministre hongrois propose de dissoudre le Parlement européen

"Le premier ministre hongrois Viktor Orban a proposé de dissoudre le Parlement européen suite à un scandale de corruption et d’élire ses députés sur la base de nouvelles conditions. Le premier ministre a déclaré jeudi que c’était le seul moyen de refaire confiance au parlement.

« Le scandale actuel au Parlement européen est révélateur », a écrit M. Orban sur sa page Twitter. Les garanties de lutte contre la corruption du parlement se sont avérées totalement inefficaces. Si nous voulons rétablir la confiance des citoyens, il est temps de dissoudre le Parlement européen." La suite sur 237online.com

vendredi 23 décembre 2022

Interview Ramona Horvath : « Je vis pour la musique, c’est la chose la plus importante de ma vie, en fait c’est ma vie ! »


"C’est grâce à son passage au Café Laurent que j’ai décidé de solliciter une interview à la pianiste franco-roumaine Ramona Horvath. En plus, la présence à cette soirée de son ancienne professeure d’anglais a été un cadeau inattendu. Madame Irina Margareta Nistor possède une notoriété nationale dans son pays, étant la plus importante critique de cinéma en Roumanie, réalisatrice TV, Radio, productrice de festivals de films, surnommée aussi « la voix » (elle a doublé plus de 5000 films). C’est d’ailleurs grâce à elle que Ramona a eu la chance de passer une audition pour le directeur de la cinémathèque roumaine qui cherchait un pianiste pour accompagner un film muet. Encore étudiante au Conservatoire, Ramona a été choisie, le spectacle a été un grand succès et toutes les deux ont été invitées à présenter le même film avec l’accompagnement « live » au piano, au Festival du film européen à Strasbourg. Dans un sens, c’est elle qui l’a propulsée en France …

Bonsoir chère Ramona, et merci d’avoir accepté de répondre à mes questions. Comme vous le savez, ma revue accorde une grande importance au dialogue culturel franco-roumain. Je ne pouvais donc pas ne pas vous inviter à nous parler de votre brillant parcours musical entre Paris et Bucarest. S’il fallait vous présenter brièvement aux lecteurs de Lettres Capitales, que leur diriez-vous ?


Bonsoir cher Dan et merci beaucoup d’avoir initié ce dialogue. Je suis née à Bucarest, d’une mère roumaine et d’un père hongrois, dans une famille de musiciens. J’avais commencé le piano, si on peut dire « commencer », à l’oreille, vers 3-4 ans, en essayant de reproduire au piano les airs que j’entendais à la radio ou sur nos disques. Il faut dire que chez nous à la maison, j’ai eu la grande chance d’être exposée à la musique en tout genre presque non-stop. On écoutait de la musique classique, du jazz, ma mère adorait (et elle aime toujours) les tangos argentins, les boléros cubains et les chansons françaises … Bien évidemment les musiques traditionnelles roumaines, hongroises ou gitanes me sont aussi passées par les oreilles…

De mon côté, je me rappelle dans mon enfance d’être plutôt attirée par les musiques américaines, au départ les musiques issues de comédies musicales (ce qu’on appelle dans le jazz « les standards ») et par les musiciens de jazz comme par exemple Erroll Garner, Duke Ellington, Oscar Peterson, Nat Cole, Ella Fitzgerald, Sarah Vaughan, Stéphane Grappelli… qui sont les premiers que j’ai écoutés sur des disques à la maison quand j’étais toute petite. Plus tard, je me suis aussi intéressée à la musique de l’époque Motown, le pop, r&b …

Aujourd’hui je ne peux pas imaginer un cadeau plus riche pour un enfant que cet environnement musical varié ! " La suite sur lettrescapitales.com

Sanctionné à Bruxelles, Viktor Orban poursuit sa rhétorique antieuropéenne en Hongrie

"Isolé au sein de l’UE, notamment pour sa proximité avec Poutine, le premier ministre hongrois dénonce la « magyarophobie » de Bruxelles. 

S’inspirant d’un rituel instauré par Vladimir Poutine, dont il reste proche malgré la guerre en Ukraine, Viktor Orban organise, une fois par an, une conférence de presse dont la longueur est censée compenser la rareté. Cet exercice s’est tenu, mercredi 21 décembre, dans un sombre contexte pour le premier ministre nationaliste hongrois. L’économie hongroise est confrontée à la pire inflation de toute l’Europe (+23,1 % en novembre), l’Union européenne (UE) vient de décider de geler plus de dix milliards de fonds en raison des dérives antidémocratiques du gouvernement et un sondage, publié le 21 décembre, montre que les deux tiers des dix millions de Hongrois considèrent désormais que leur pays « va dans la mauvaise direction ».

« 2022 a été probablement l’année la plus difficile pour la Hongrie depuis la chute du communisme », a d’ailleurs reconnu en ouverture M. Orban. Mais il a immédiatement assuré que son pays avait « obtenu des résultats exceptionnels », blâmant, pour les points négatifs, « Bruxelles », les « sanctions » contre la Russie ou « la banque centrale hongroise ». Cette dernière a dû relever ses taux au niveau record de 13 % pour freiner la chute du forint, la monnaie nationale.

« S’il n’y avait pas de sanctions sur l’énergie, l’inflation hongroise pourrait baisser de moitié », a martelé M. Orban, pour expliquer la gravité relative de la situation économique par rapport à celle de ses voisins d’Europe centrale. En réalité, le pays bénéficie d’une exemption sur l’embargo européen sur le pétrole russe, entré en vigueur en décembre, et il n’y a toujours aucune sanction sur le gaz.

Médias à la botte du premier ministre

Mais la réalité compte peu dans une Hongrie où le narratif est dominé par les médias à la botte du premier ministre. Ceux-ci ont lancé il y a peu une croisade contre les derniers titres de presse critiques du pays, qualifiés de « médias du dollar » sous prétexte qu’ils seraient financés depuis les Etats-Unis. Les médias de propagande martèlent le message du pouvoir de manière si efficace qu’un sondage de l’Institut Political Capital publié mi-novembre a montré que 36 % des Hongrois croient que « leur gouvernement n’a pas voté pour les sanctions contre la Russie ». Une proportion qui monte à 50 % chez les électeurs du Fidesz, le parti de M. Orban. Or, Budapest a approuvé tous les paquets adoptés à Bruxelles.

« Nous n’avons pas mis de veto contre les sanctions, mais nous n’en avons soutenu aucune », a acrobatiquement soutenu le dirigeant hongrois mercredi, pour entretenir cette confusion. « Quiconque fournit des armes est impliqué dans cette guerre au moins jusqu’aux chevilles. Quiconque forme les soldats l’est jusqu’aux genoux. Et quiconque finance l’un des belligérants – comme l’UE le fait actuellement à hauteur de 18 milliards d’euros – est impliqué jusqu’au cou », a-t-il ajouté, dans une attaque en règle contre la politique européenne de soutien à l’Ukraine. Puis il a défendu son projet de construction d’une extension de sa centrale nucléaire dotée de deux réacteurs fabriqués par une entreprise russe." La suite sur lemonde.fr (article payant)

Deux heures de gourmandise pour Viktor Orbán face à la presse internationale

"Au cours d’une conférence de presse de deux heures devant les médias hongrois et internationaux, Viktor Orbán a fait le bilan de l’année écoulée en restant droit dans ses bottes sur la guerre en Ukraine, la situation économique et sociale ou sur son avenir.

C’est devenu un rituel. Depuis 2019, quelques jours avant Noël, Viktor Orbán invite les médias hongrois et internationaux à une conférence de presse pour tirer le bilan de l’année écoulée et évoquer les perspectives de celle qui s’ouvre. Un dialogue sans filtre qui – pour une fois – permet d’aborder tous les sujets sans le filet de la propagande.

Nick Thorpe, le correspondant anglais de la BBC à Budapest, qui a bien connu Viktor Orbán il y a de nombreuses années lorsqu’il était dans l’opposition, n’a d’ailleurs pas manqué de rappeler au premier ministre « qu’il ne devait pas avoir peur des médias indépendants et internationaux » et que, « s’il accordait plus d’interviews aux médias, les journalistes n’auraient pas à attendre devant les églises, les couloirs des hôpitaux, des passages frontaliers ou des cafés pour tenter de lui parler… »." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr

Invoquer la magie dans un jardin d’enfants de Budapest – People

"Un quartier du centre-ville de Budapest puise dans l’héritage d’un célèbre magicien né dans la région il y a plus d’un siècle pour aider les enfants immigrés à s’intégrer à la maternelle.

Le huitième arrondissement est l’un des plus pauvres de la capitale hongroise, où vivent des Roms, des Asiatiques qui comblent les pénuries de main-d’œuvre, ainsi que des immigrants du Moyen-Orient et d’Afrique et des familles hongroises de la classe moyenne.

Environ un enfant sur 10 dans les jardins d’enfants de district n’est pas de langue maternelle hongroise – mais les autorités locales ont élaboré un plan pour y remédier.

Leur réponse ? Faire appel au magicien professionnel primé Botond Kelle pour aider à montrer au personnel des trucs simples à enseigner aux enfants de cinq et six ans." La suite sur nouvelles-du-monde.com

Hongrie : le plus grand centre d'accueil pour réfugiés ukrainiens menacé de disparition

"En Hongrie, le plus grand centre de réfugiés ukrainiens de la capitale, Budapest, pourrait mettre la clé sous la porte prochainement à cause du manque de don.

Kristina a dû quitter Kiev bombardée par l'armée russe aux premières heures du conflit. "Quand on vit dans ce contexte de violence on finit par s'habituer à ces choses. On les accepte en un sens. Mais quand vous arrivez dans un endroit sûr, c'est tellement différent. Vous pouvez prévoir des choses une semaine, un mois à l'avance, En Ukraine, c'est impossible de savoir ce que vous ferez ne serait-ce que l'heure suivante. Et ça, ce n'est pas normal." La suite sur euronews.com

Basket: Strasbourg battu pour l’honneur

"Assuré de finir premier du groupe A de Ligue des Champions, Strasbourg s'est incliné 89-71 chez les Hongrois de Szombathely.

C’est un match sans enjeu que Strasbourg est allé disputer ce mercredi en Hongrie, du côté de Szombathely. La SIG était d’ores et déjà assurée de finir en tête du groupe A de la Ligue des Champions grâce à ses quatre victoires sur les cinq premiers matchs, et sa défaite 89-71, face à des Hongrois déjà éliminés, restera donc anecdotique. Cette rencontre a été serrée pendant un peu plus d’une mi-temps, avant que les Alsaciens ne s’écroulent." La suite sur sports.fr

Viktor Orban dénonce la “hongrophobie” de Bruxelles

"Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a dénoncé mercredi la “hongrophobie” régnant selon lui dans les cercles de l’Union européenne, qui bloque des milliards de fonds réservés à Budapest dans l’attente de réformes anti-corruption.

Un compromis a finalement été trouvé mi-décembre quand les Etats membres ont accepté de réduire le montant gelé mais quelque 12 milliards d’euros demeurent suspendus, les mesures déjà prises étant jugées “insuffisantes”.

“Nous avons trouvé un accord avec l’UE, une performance exceptionnelle de notre part alors que nous avons dû combattre la hongrophobie dans un monde gouverné par le libéralisme”, a déclaré le dirigeant nationaliste lors de sa traditionnelle conférence de presse de fin d’année. “Sans cette hongrophobie”, un terme qu’il a utilisé à plusieurs reprises, “il nous aurait fallu un ou deux jours seulement”, a-t-il assuré." La suite sur 7sur7.be

Une banque hongroise au secours du leader bosno-serbe Milorad Dodik

"Le gouvernement hongrois a accordé un prêt de 45 milliards de forints à la Republika Srpska de Bosnie-Herzégovine . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

jeudi 22 décembre 2022

Trio Péter Sárik « X Bartók » mardi 10 janvier 2023 À 20h00 - Institut Liszt Paris


"Le trio Péter Sárik est l’une des formations les plus populaires et les plus importantes de la scène jazz hongroise. Son succès tient à l’ouverture d’esprit de ses membres qui s’adressent à un public bien plus large que la plupart des jazzmen. Constitué de transcriptions jazz des œuvres du compositeur hongrois, « X Bartók » a été récompensé par le prix Fonogram du meilleur album de jazz hongrois.
Péter Sárik, piano
Tibor Fonay, contrebasse
Attila Gálfi, batterie
« Probablement, aucun autre compositeur n’a autant influencé le jazz actuel que Bartók. La force et le dynamisme incroyables de ses œuvres emportent littéralement l’auditeur, sa musique est pleine de ferveur, de mystère, de profondeur infinie et de pureté. Nous avons créé ces transcriptions dans l’objectif de séduire ceux qui sont réticents à la musique de Bartók. » (Péter Sárik)
Entrée libre
Réservation : reservation@instituthongrois.fr | 01 43 26 06 44

Ákos Kertész, prix Kossuth, nous a quittés à l'âge de 90 ans


Il avait présenté son roman, Makra, lors d'une soirée des Mardis hongrois de Paris le 2 octobre 2007
https://mardishongrois.blogspot.com/2007/10/kos-kertsz-ddicacera-son-roman-makra-le.html




















 

France-Argentine : l’instant raciste du commentaire sportif hongrois

"Le racisme latent du Fidesz s’est une nouvelle fois exprimé à l’occasion de la présence de l’équipe de France en finale de la Coupe du Monde de football.

Comme il y a quatre ans, lors de la victoire de la France contre la Croatie en finale de la Coupe du Monde 2018, lorsque plusieurs représentants du Fidesz avaient soutenu la Croatie, un pays « européen », « blanc » et « chrétien », contre une équipe de France qui représentent à leurs yeux le multiculturalisme et le métissage honnis.

Cette année, en 2022, le député du Fidesz Szilárd Németh s’est réjoui de la victoire de l’Argentine contre la France en ces termes : « Un pays blanc et chrétien représentant les valeurs européennes est devenu champion du monde »." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr

Les 50 ans des Accords de Paix de Paris célébrés en Hongrie

"L'ambassade du Vietnam en Hongrie a organisé mardi 20 décembre à Budapest un événement commémoratif pour le 50e anniversaire de la signature des Accords de Paix de Paris (27 janvier 1973) et le 78e anniversaire de la fondation de l'Armée populaire du Vietnam (22 décembre 1944).

L'ambassadrice du Vietnam en Hongrie, Nguyên Thi Bich Thao, a souligné la signification de la signature des Accords de Paix de Paris il y a près de 50 ans, résultat de la lutte diplomatique la plus longue et la plus difficile de l'histoire de la diplomatie du Vietnam, avec 202 réunions publiques en quatre ans, huit mois et 14 jours (du 13 mai 1968 au 27 janvier 1973)." La suite sur lecourrier.vn

mercredi 21 décembre 2022

99 ANS Bon anniversaire Vera Molnar ! 5 janvier 2023 Galerie Berthet-Aittouarès

 

Au 14 rue de Seine

Rendez-vous jeudi 5 janvier à partir de 18h

Nous fêterons l'anniversaire de Vera Molnar avec une exposition d'œuvres inédites et la signature du livre de Vincent Baby « Entretien avec Vera Molnar », de la collection Prix d’honneur AWARE.

 

Exposition du 5 janvier au 21 janvier 2023

IHG inaugure deux nouveaux hôtels à Budapest


"IHG Hotels & Resorts a conclu deux nouveaux contrats à Budapest avec le groupe BDPST, pour ses marques Vignette Collection et voco, marquant les débuts de ces deux marques en Hongrie.

Les signatures sont Verno House Budapest, Vignette Collection, qui devrait ouvrir à l'été 2023 dans le cadre d'un contrat de franchise, et voco Budapest qui devrait ouvrir à la fin de 2023 dans le cadre d'un contrat de gestion.

Les deux propriétés ont été signées avec le propriétaire BDPST Group, une société d'investissement en capital basée en Hongrie et l'un des plus grands propriétaires et opérateurs hôteliers de Hongrie au sein du marché de l'hospitalité haut de gamme et de luxe." La suite sur hospitality-on.com

Mithra mise à nouveau sur Gedeon Richter pour commercialiser le Donesta

"Mithra a conclu un accord de principe pour la commercialisation du Donesta hors USA avec le groupe pharmaceutique hongrois Gedeon Richter, qui est déjà son partenaire pour la pilule Estelle.

Mithra, la société wallonne spécialisée dans la santé féminine, a annoncé mardi avoir conclu un accord de principe avec la société hongroise Gedeon Richter en vue de commercialiser le Donesta, un traitement hormonal pour soulager des effets néfastes de la ménopause.

La zone géographique concernée par cet accord englobe l'Europe géographique, l'Asie centrale, l'Amérique latine, l'Australie et la Nouvelle-Zélande. Un accord définitif est attendu au cours du premier trimestre 2023, ont indiqué mardi les deux parties. Mais les dernières négociations ne porteront que sur des détails, selon la société liégeoise." La suite sur lecho.be

Le jour où un eurodéputé ultraconservateur qui participait à des orgies gay a été interpellé

"Le scandale de corruption qui éclabousse en ce moment le Parlement européen fait écho à un autre scandale, il y a deux ans : un eurodéputé hongrois retrouvé en pleine partie fine pendant le confinement.

L'histoire paraît complètement invraisemblable. Tout commence à la fin de l'automne 2020, dans la capitale belge, avec une banale (si l'on peut dire) histoire de partie fine. Sauf que cette orgie se déroule avec de hauts dignitaires, en toute illégalité.

Parmi eux, un homme tente de s'enfuir par la fenêtre en escaladant la gouttière. Il s'agit de József Szájer, un parlementaire aux prises de position très tranchées. L'eurodéputé hongrois est connu pour être ultraconservateur et est une cheville ouvrière de la politique anti-homosexuels en Hongrie." La suite sur rtl.fr

 

La Corée du Sud et la Hongrie cherchent à promouvoir le commerce et les investissements bilatéraux

"SEOUL, 20 déc. (Yonhap) -- La Corée du Sud et la Hongrie sont convenues ce mardi de chercher à conclure un cadre bilatéral sur la promotion du commerce et des investissements afin de renforcer la coopération sur les chaînes d'approvisionnement et diverses questions commerciales, a déclaré le ministère du Commerce, de l'Industrie et de l'Energie.

Le ministre du Commerce Ahn Duk-geun et le ministre hongrois des Affaires étrangères et du Commerce Peter Szijjarto ont signé un mémorandum d'entente (MoU) pour lancer le cadre sur la promotion du commerce et des investissements (TIPE) à Séoul, visant à nouer une relation de coopération globale en termes de commerce, industrie, énergie et d'autres domaines connexes, selon le ministère." La suite sur yna.co.kr

La Hongrie veut une analyse de l’impact des sanctions contre la Russie

"Les dirigeants de l’UE et la Commission européenne devraient évaluer l’impact des sanctions européennes contre Moscou sur les différents États membres, notamment dans le contexte de la crise énergétique actuelle. C’est ce qu’a indiqué Balázs Orbán, conseiller principal du Premier ministre hongrois.

« Les sanctions sont rationnelles si elles font plus de mal à la Russie qu’à l’Europe, […] mais cela ne devrait pas être un automatisme », a déclaré Balázs Orbán (sans lien de parenté avec le Premier ministre Viktor Orbán), lors d’un entretien avec EURACTIV après le sommet européen de la semaine dernière.

« Les dirigeants européens devraient discuter, la Commission européenne devrait réaliser une analyse sur les effets des sanctions », a-t-il ajouté.

La semaine dernière, les États membres se sont mis d’accord sur un neuvième paquet de sanctions à l’encontre de la Russie, qui est considéré par certains comme le moins sévère a avoir été adopté jusqu’à présent." La suite sur euractiv.fr

mardi 20 décembre 2022

Vers l’Europe : la démarche des pistonnés

"Il semblerait que dans les Balkans et le Caucase des régimes qui n’ont pas grand-chose de démocratique aiment à considérer la Hongrie de Viktor Orbán comme une porte d’accès à l’Union européenne, pour leur permettre d’y entrer à leurs propres conditions. On assiste là à une reprise du concept très soviétique de blat (le piston) sur le sol européen.

Quiconque a vécu ne serait-ce que très peu de temps en Union soviétique connaît bien le concept de blat. Selon les linguistes, il aurait vu le jour dans le monde clandestin de la petite délinquance dans l’Empire russe et aurait désigné une personne qui, sans participer à un vol, pouvait fournir des informations ou un accès essentiel pour se procurer les biens convoités. Dans les goulags soviétiques, le sens du mot blat a changé, pour désigner désormais une personne qui, dans le système carcéral, voulait bien fournir un accès à des biens ou à des privilèges interdits aux détenus." La suite sur desk-russie.eu

La compagnie chinoise KBVIP lance la première alliance industrielle photovoltaïque en Hongrie

"La compagnie chinoise Shanghai Kuaibu New Energy Technology (KBVIP) a initié lundi à Budapest la première alliance industrielle en Union européenne dans le domaine de PBCD (système photovoltaïque, centrale de stockage par batterie, recharge rapide à haute puissance et diagnostic de batteries).

La KBVIP est devenue ainsi la première entreprise chinoise de haute technologie à apporter une solution intégrée de centrale électrique intelligente PBCD en Hongrie. Cette alliance signifie que la Hongrie prend la tête de la construction d'un réseau PBCD au sein de l'UE." La suite sur china.org.cn

Attila n’était pas le « fléau de Dieu »: cause possible des attaques contre l’Empire romain révélée

 Une reconstruction d’Attila dans un musée hongrois. Crédit : Wikipédia

"De nouvelles recherches de l’Université de Cambridge suggèrent les causes possibles des « invasions barbares » d’Attila contre l’Empire romain au Ve siècle.

Attila, chef des Huns au Ve siècle après Jésus-Christ, a été dépeint comme l’un des souverains les plus impitoyables et les plus féroces de l’Antiquité, capable de dévaster des territoires et d’anéantir des populations entières après le passage de ses hordes barbares. Ce n’est pas un hasard si l’on pense que la chute de l’Empire romain d’Occident, qui a eu lieu en 476 après JC. C., a été catalysée précisément par les attaques constantes perpétrées par les barbares le long des vastes frontières romaines, qui sont entrées dans l’histoire comme des « invasions barbares ». Une nouvelle étude suggère cependant que ce n’est pas la soif de pouvoir et de conquête qui a déclenché Attila, mais une sécheresse dramatique qui a frappé la région de la Hongrie actuelle et au-delà entre 420 et 450 après JC. Le bassin des Carpates a été particulièrement touché. Le phénomène climatique a été si catastrophique pour les Huns – arrivés en Europe du sud de la Sibérie au IVe siècle – que des communautés entières de nomades et de bergers se sont transformées en maraudeurs pour leur pure survie, prenant d’assaut les riches provinces romaines." La suite sur netcost-security.fr

Handball - Bruna De Paula quittera Metz pour Györ l'été prochain

"La capitaine de Metz Bruna De Paula, qui signe une première moitié de saison exceptionnelle, quittera les championnes de France à l'été 2023 pour le géant hongrois de Györ.

Bruna De Paula va trop vite, pour ses adversaires et parfois même pour ses clubs. La brillantissime arrière gauche brésilienne (1,70 m, 26 ans) va quitter Metz dès l'été prochain, après seulement deux saisons à enchanter les Arènes. Destination : le géant hongrois Györ, le plus puissant club du monde, où elle pourrait remplacer Estelle Nze Minko, en fin de contrat.

De Paula n'avait déjà passé qu'un an à Nantes auparavant (2020-2021), ce qui ne l'avait pas empêchée d'y marquer l'histoire en remportant la Ligue européenne (C2), premier titre de l'histoire du club." La suite sur lequipe.fr

Les experts hongrois doutent du « super accord » azéri sur l’électricité

"En Hongrie, les experts en énergie émettent des doutes quant aux promesses de sécurité d’approvisionnement et d’écologie du nouveau projet de câble électrique en provenance d’Azerbaïdjan, soutenu par Bruxelles.

Samedi (17 décembre), l’Azerbaïdjan a convenu d’approvisionner l’Union européenne en électricité via un câble sous-marin traversant la Géorgie et la Roumanie pour rejoindre la Hongrie. Cet accord a été conclu à Bucarest alors que le bloc cherche à diversifier son approvisionnement énergétique pour mettre fin à sa dépendance envers la Russie.

« Nous construirons la plus longue ligne sous-marine de transport d’électricité du monde, qui fournira de l’énergie verte et bon marché à la Hongrie », a indiqué le Premier ministre hongrois Viktor Orbán sur Facebook. Selon lui, ce projet constitue un « super accord énergétique »." La suite sur euractiv.fr

lundi 19 décembre 2022

Éducation - À Budapest, une école pour former une nouvelle élite “orbanisée”

"Institution privée, le Mathias Corvinus Collegium est financé par l’État hongrois. Il est devenu une pépinière de jeunes conservateurs et un “refuge” pour les membres de la droite radicale européenne et américaine, généreusement rémunérés pour leurs conférences. Reportage de “Jutarnji List”, de Zagreb.

Une citation un peu banale du philosophe conservateur britannique Roger Scruton, “C’est la beauté qui compte, et elle n’est pas subjective”, inscrite tout le long du mur en face de la cafétéria, donne d’emblée le ton. Un peu plus loin, sa photo en noir et blanc suspendue entre les grands poufs de couleur et les fauteuils. Assis à la table, nous distinguons un petit buste de Scruton, qui nous fixe. Incrédules, nous nous retournons pour voir si la tête d’Edmund Burke [homme politique et philosophe irlandais], de Margaret Thatcher ou peut-être de Jordan Peterson va surgir de quelque part.

Nous sommes à Budapest, à quelques kilomètres du centre-ville, dans le hall cosy du Mathias Corvinus Collegium, une institution privée. Sans ces “autels” dédiés à Roger Scruton, cet intérieur urbain convenable orné de longues étagères et de fauteuils multicolores ressemblerait davantage à un bureau d’une société high-tech ou d’une start-up qu’au quartier général des jeunes conservateurs hongrois, dénommé par ses détracteurs le “camp d’entraînement d’Orbán pour les jeunes de droite”." La suite sur courrierinternational.com

Pilhofer, la belle affaire

"La belle aventure du récréatif hongrois s’arrête en 3e position. Istvan Pilhofer tombe sur le deuxième flip contre Antoine Saout. Le restaurateur réalise un exploit sensationnel et repart à Budapest avec 470 500 €.

Le premier double-up l'avait remis en selle. Le second l'a désarçonné. Auteur d'un parcours improbable, depuis le premier jour jusqu'en table finale, Istvan Pilhofer a vécu le rêve de tout amateur se présentant sur un EPT. Maitrisant l'art du flip à la perfection, le Hongrois tombe finalement sur un 50-50 face à Antoine Saout. Le Français annonce "all-in" avec 22 en SB pour les 20 dernières blindes de Pilhofer, qui snap call après avoir vu son A9. " La suite sur winamax.fr

Coupe du Monde : perdre son premier match 8-3 puis remporter le Mondial, ils l'ont fait !

"On remonte un peu dans le temps... Nous sommes en 1954, et le grandissime favori de la Coupe du Monde est la Hongrie. Avec Puskas (le roi des numéros 10), Bozsic (député au Parlement de Budapest et cerveau de l'équipe), Hidekuti (le vétéran), Czibor et surtout Kocsis (surnommé la tête d'or), on ne voit vraiment pas qui pourrait lutter. D'ailleurs cette équipe a été la première à vaincre les Anglais chez eux 6-3 à Wembley.

En ouverture de cette Coupe du Monde, les Hongrois rencontrent l'Allemagne. Sepp Herberger, sachant ce match perdu d'avance alignera une équipe expérimentale afin de préserver ses joueurs pour le match d'appui contre la Turquie. Pour être expérimental, ce sera vraiment expérimental. Les Allemands vont se prendre une valise 8-3 lors de ce premier de leur Mondial. Ils battront par la suite en match d'appui la Turquie 7-2. J'ai oublié de vous dire, cette Coupe du monde sera dénommée "la foire aux buts"...

Les Hongrois vont parvenir en finale après avoir battu le Brésil puis l'Uruguay, mais on sent une équipe fatiguée, usée et un peu à bout de course et de nerfs. L'autre finaliste, je vous le donne en mille... l'Allemagne. L'entraîneur Sepp Herberger, l'homme du "miracle allemand" a mené son équipe en tacticien averti. L'équipe a atteint sa forme de pointe et est parvenue en finale, en pleine lancée." La suite sur jeunesfooteux.com

dimanche 18 décembre 2022

Finissage de l'exposition « RE-RÉ-RES – Hommage à Vera Molnar » En présence de l’artiste 14 janvier 2023 à 16 h 00 - Institut Liszt

Institut Liszt 92 Rue Bonaparte 75006 Paris 

Pour clôturer en beauté notre exposition « RE-RÉ-RES – Hommage à Vera Molnar » nous vous invitons à une soirée de rencontre musicale autour de l’œuvre de Vera Molnar, en présence de l’artiste. A cette occasion, le pianiste et compositeur Melaine Dalibert donnera un concert exceptionnel où il interprétera une sélection d’œuvres de Philip Glass, György Ligeti, et de ses propres compositions.

 Crédit photo : Antoine Porcher

Melaine Dalibert

Melaine Dalibert est un pianiste et compositeur français né en 1979.

Solidement formé au Conservatoire Supérieur de Paris, il s’engage activement comme interprête de la musique de son temps (il est le dédicataire d’œuvres de Gérard Pesson, Giuliano d’Angiolini, Sébastien Roux, Michael-Vincent Waller…) en soliste ou au sein de l’Ensemble 0.

Depuis 2010, il mène un travail de composition essentiellement centré sur son instrument, qui entremêle la radicalité de processus algorithmiques et une approche plus intuitive, au croisement teinté de minimalisme des cultures savantes et populaires. Il mène de nombreuses collaborations transdisciplinaires avec les artistes visuels Véra Molnar, François Morellet, Jacques Perconte et Marcel Dinahet, et les chorégraphes Olivia Grandville, Dominique Jégou, Jérome Bel et Aurélien Richard.

Ses compositions sont régulièrement interprétées et enregistrées au disque par des pianistes tels que Vanessa Wagner, Nicolas Horvath, Ivan Ilic, François Mardirossian, Stéphane Ginsburgh. Elles sont régulièremet diffusées sur les radios internationales (Radio France, BBC, RTBF, RAI, WSBC, NTS, KEXP…) et distinguées par la critique (The Guardian, The New-Yorker, The Wire, Dusted Magazine, Benzine Magazine, Gonzaï…sa « musique pour le lever du jour » a été classée parmi les 100 meilleurs disques 2018 par France Musique).

Il a enregistré plusieurs albums de sa musique sur les labels Another Timbre (UK), Elsewhere Music (USA), 7K ! (D), Ici d’Ailleurs (FR) et deux nouvelles sorties sont prévues en 2023 sur les labels FLAU (JP) et Sub Rosa (BG).

Ces denières années, il se produit à : festival Musica (Strasbourg), festival Musique Action (NancyVandoeuvre), festival Ravel (Pays Basque), les Transmusicales de Rennes, festival Métamusiques (Cognac), festival Nouvelle(s) Scène(s) de Niort, festival La Route du Rock hiver (Rennes), festival Variations (Nantes), festival Pianoctambule (Le Mans), Studio 106 (Radio France), festival Ars Musica (Bruxelles), festival Baignade interdite (Rivières), Tabakalera (Donostia), festival Autres Mesures (Rennes), café Oto (Londres), Spectrum (New-York), Contemporaries Music Series (Newport), festival FRYM /SID (Malmô), Arsenal de Metz, Palais des congrès (Nantes), La Soufflerie (Rezé), Le Lieu Unique (Nantes), opéra de Rennes, opéra de Nancy, opéra de Lyon, Salle Malraux (Chambéry), festival de la Cité (Lausanne), Fondation Pernod-Ricard, Plateforme 10 (Lausanne), l’Aeronef (Lille)…

Engagé dans la transmission, il est professeur de piano titulaire au Conservatoire à Rayonnement Régional de Rennes et intervenant au Pôle d’Enseignement Supérieur Bretagne – Pays de la Loire.

En 2015, il fonde à Rennes le festival Autres Mesures, musique contemporaine in situ, dont il assure actuellement la co-direction artistique.

Entrée libre dans la mesure des places disponibles 
Réservation : reservation@instituthongrois.fr | 01 43 26 06 44