mardi 30 avril 2019

Nuit de la littérature - La Traversée de Budapest par János Térey 25 mai 2019 à 18:00 - 23:00 Atelier Véron

Présenté par l'Institut hongrois
En langue originale : Átkelés Budapesten
Traduction : Catherine Fay
Année de parution : 2016
Édition : Philippe Barrot - Chronique du Ça et Là
Extraits interprétés par : Guillaume Métayer et Julie Chaize

La 7e édition de la Nuit de la littérature posera ses valises le samedi 25 mai dans le 18e arrondissement de Paris, avec comme point de rassemblement le quartier des Abbesses/Montmartre.
Toute la soirée vous êtes invités à venir déambuler et parcourir ce quartier historique et artistique à la découverte de 17 auteurs étrangers et de leurs écrits (en français ou en traduction française).
Chaque auteur/e invité/e, accompagné/e d’un/e comédien/ne et/ou traducteur(trice), investit un lieu du quartier des Abbesses de 18h à 23h pour une série de 5 lectures-rencontres de 40 minutes, et qui débutent à chaque heure : 18h, 19h, 20h, 21h et 22h. Les lectures se déroulent toutes simultanément, et c’est à vous de composer votre propre parcours.
L’Institut hongrois présente János Térey, auteur du recueil de nouvelles Átkelés Budapesten (La traversée de Budapest, trad. Catherine Fay)
En présence de l’auteur. Avec la participation de Guillaume Métayer (traducteur littéraire, chercheur au CNRS) et Julie Chaize (comédienne)
La Traversée de Budapestest un recueil de quatorze nouvelles en vers, paru en 2014 à Budapest (Libri Kiadó).

Résumé
La Traversée de Budapest est un recueil de quatorze nouvelles en vers, paru en 2014 à Budapest (Libri Kiadó).  
L’auteur lui-même précise son intention dans un avertissement au lecteur : "On nous a maintes fois promis de révéler le visage caché de Budapest et d’en débusquer tous les secrets. Je ne prétends pas y parvenir. Mais cette ville, je l’observe depuis vingt-cinq ans. Parfois même dans des recoins où ne s’aventurent guère les rédacteurs de guides touristiques. Seules les variations de la météo et l’érosion humaine en patinent les rues. Les histoires qui suivent entrouvrent une fenêtre sur l’aimable ville peuplée d’ombres qui existe en dessous ou à côté de nous."
Biographie de l'auteur
Né à Debrecen en Hongrie en 1970, Janos Térey est tout poète. On lui doit sept recueils de poèmes, un roman en vers, une trilogie dramatique, des traductions théâtrales et des livrets d'opéras filmés.
LIEU : Hôtel littéraire Marcel Aymé, 16 rue Tholozé, 75018 Paris
Lectures / rencontres à 18h, 19h, 20h, 21h et 22h

ficep.info

Mettet (Belgique) suspend son jumelage avec Fonyód, une ville hongroise

"La commune de Mettet vient de décider de suspendre pour un an son jumelage avec Fonyód, une ville située en Hongrie. Pas d'échange entre jeunes prévu cet été donc. Les élus ont pris cette décision à l'unanimité pour marquer leur désaccord avec la politique de Viktor Orban, le premier ministre hongrois. "Nous voulions poser un acte fort", explique Yves Delforge, le bourgmestre de Mettet. "Si le politique ne se rend pas en Hongrie à cause des méthodes du gouvernement, il nous a paru évident que les enfants n'y aillent pas non plus". " La suite sur rtbf.be

Triste anniversaire pour la justice hongroise: la séparation des pouvoirs remise en cause

"Il y a 150 ans, le Royaume de Hongrie se dotait d’une législation considérée comme fondatrice pour l’indépendance du système judiciaire hongrois. C’était en 1869 et la Hongrie avait obtenu deux ans plus tôt une large autonomie au sein de l’Empire d’Autriche-Hongrie par le "Compromis" de 1867 établissant une double-monarchie. Cette indépendance de la justice devait prévaloir huit décennies durant… jusqu’à l’arrivée au pouvoir des communistes." La suite sur lalibre.be

Hongrie: le taux de chômage stable à 3,6%

"Le taux de chômage en Hongrie est resté stable à 3,6% entre janvier et mars, son plus bas niveau historique, comme de décembre à février, a annoncé lundi le Bureau central des statistiques KSH. Le taux de chômage ressort en baisse de 0,3 point sur un an.
KSH ne publie pas de chiffres mensuels du chômage, estimant qu'ils sont trop volatils. Selon la norme européenne harmonisée, le taux de chômage s'est établi à 3,5% en janvier, dernier mois disponible." La suite sur lefigaro.fr

Ethnofil : de la scène hongroise à la scène sarrebourgeoise !

"Le centre socioculturel de Sarrebourg accueille une figure de la scène underground hongroise, le mardi 30 avril à 20 h 30. Avec trois albums à son actif et des centaines de concerts depuis 2010, le groupe Ethnofil invite le public dans son univers musical teinté à la fois de jazz, de trip-hop, de folk hongrois ou encore de rock progressif.
Depuis 2016, Ethnofil a effectué quatre tournées en Europe occidentale avec un succès grandissant. Sur scène, le groupe est aussi perfectionniste qu’en studio, et accompagne parfois ses concerts de danses ou de projections vidéo." La suite sur republicain-lorrain.fr

lundi 29 avril 2019

Les Mardis hongrois invitent Amélie Poinssot le 30 avril 2019 à partir de 20 h 30 à la brasserie Le Saint André

Mardi 30 avril 2019 à partir de 20 heures 30, brasserie Le Saint-André 2, rue Danton 75006 Paris
La journaliste de Mediapart Amélie Poinssot sera aux Mardis hongrois de Paris pour présenter son livre "Dans la tête de Viktor Orban", publié chez Actes Sud.

Discussion, vente et dédicace

"À partir d’une enquête approfondie menée à Budapest et d’entretiens avec des conseillers actuels ou passés de Viktor Orbán, Amélie Poinssot nous fait entrer dans la tête de ce dirigeant d’un petit pays de près de 10 millions d’habitants, membre de l’UE depuis 2004.
Comment l’étudiant en droit passionné par Solidarność, comment le fougueux libertaire qui prenait la parole en 1989 devant une foule immense pour exiger le départ des troupes soviétiques, s’est-il métamorphosé en chantre de l’“illibéralisme”, réélu triomphalement en 2018, ami de Poutine, coqueluche d’un Salvini ou d’un Bolsonaro ?
À la différence des extrêmes droites occidentales, Viktor Orbán et son parti, le Fidesz, toujours membre du PPE, le grand parti de droite européen, n’ont jamais entendu se “normaliser” ni se “dédiaboliser” pour accéder ou se maintenir au pouvoir. C’est au contraire en parvenant aux plus hautes fonctions de l’État que leur discours s’est radicalisé et a fait peu à peu tomber toutes les digues du “politiquement correct”.
Farouchement opposé – alors même qu’il n’envisage aucunement de quitter l’UE ni de perdre ses subventions – à toute poli-tique européenne d’accueil des réfugiés, ne manquant jamais une occasion de mettre en avant les racines chrétiennes de son pays, bâtisseur d’un État autoritaire, Viktor Orbán fait sien l’héritage de la droite hongroise nationaliste de l’entre-deux-guerres.
Avec lui au pouvoir, le prix Nobel Imre Kertész craignait le pire et notait déjà en 2001 : “Qu’elle est singulière cette Hongrie chrétienne, nationale, irrédentiste et démocratique ! Elle ne rappelle ni le pays des grands Hongrois du XIXe siècle, ni la démocratie, ni la liberté, mais la pire Hongrie pré-fasciste.”
Amélie Poinssot est journaliste. Elle a été correspondante en Pologne et en Grèce, où elle a travaillé pour La Croix, RFI, l’AFP et Mediapart. En 2014, elle rejoint la rédaction de Mediapart où elle suit, depuis, l’actualité du continent européen.

Concert de musique française et hongroise par les virtuoses de la nouvelle génération 31 mai 2019 à 20h Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Adam Szokolay, piano
François Pineau-Benois, violon
Né en 1996, Ádám Szokolay commence sa formation musicale à l'École de musique Ferenc Farkas à l'âge de quatre ans. Il poursuit ensuite son cursus auprès de Tünde Aszalós avant d’entrer, en 2005, à l'école spéciale Franz Liszt de l’Académie de musique de Budapest. Il étudie alors avec Gyöngyi Keveházi, Gábor Eckhardt, Attila Némethy et Dénes Várjon. Depuis 2018, il suit l’enseignement de Grigory Gruzman à la Franz Liszt Hochschule für Musik de Weimar. À 23 ans, Ádám Szokolay est lauréat de nombreuses compétitions internationales, telles que le concours international Chopin de la fondation György Ferenczy à Budapest ou le Concours international de piano de New York de la fondation Stecher & Horowitz. Ádám a été récompensé par prix commémoratif Sári Bíró et a bénéficié de la bourse Fischer Annie.
En 2016, il a obtenu une mention honorable au concours Jeunes artistes Yamaha.
Jeune soliste français de 23 ans, François Pineau-Benois découvre le violon à l’âge de 4 ans et demi. Diplômé du master du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris (CNSMDP) à l’âge de 19 ans, il se perfectionne à l’École Cortot auprès de Régis Pasquier avant d’entamer une carrière internationale de violoniste-concertiste. Il complète sa formation en suivant des masters-classes auprès de grands maîtres du violon tels que Maxime Vengerov, Salvatore Accardo, Michaela Martin.
 En soliste, il joue avec l'Orchestre de chambre de Toulouse, l'orchestre du Festival de Stratford-upon-Avon, l'orchestre du Festival de Jérusalem, l'orchestre philharmonique d'Irkoutsk, l'Orchestre philharmonique d'Ashdod, l'Orchestre philharmonique de St Petersbourg Taurida. Il est lauréat des premiers prix du concours international Glazunov (2017), du grand prix Ciboure de l’académie Ravel (2015), du prix « Young Artist Award » du concours international Léopold Mozart (2013).
Programme :
Franz Liszt : Épithalame (1872)
Claude Debussy : Sonate pour violon et piano (1917)
Béla Bartók : Sonate n°2 pour violon et piano (1922)
Maurice Ravel : Tzigane (1924)
Durée du concert : 50 minutes
Entrée libre

Conférence - Hommage à Tibor Papp 28 mai 2019 à 19h30 Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
 
L'Institut hongrois de Paris, avec la collaboration de l'association « Monographies Numériques » organise une soirée d'hommage à Tibor Papp qui nous a quitté en juillet 2018.
Personnalité exceptionnelle de la scène artistique et littéraire hongroise et française, écrivain, auteur de poésie sonore et numérique, artiste performeur, il est fondateur de la revue d'avant-garde hongroise Magyar Mühely (« Atelier hongrois) qui a influencé des générations d’écrivains hongrois. Il a également co-fondé la revue D’atelier, ainsi que Alire, première à être diffusée sur support électronique.
Il fut l’un des inventeurs de la poésie numérique.
Cette soirée d’hommage sera l’occasion de faire intervenir des personnalités qui ont connu et collaboré avec Tibor Papp, de diffuser plusieurs de ses lectures-performances et de projeter quelques-unes de ses œuvres programmées.
Intervenants : Claude Maillard, Philippe Bootz, Philippe Castellin
Entrée libre

Cinéma - Anna, un jour - Un film de Zsófia Szilágyi - Sortie en salles le 5 juin 2019

Anna a la quarantaine, trois enfants, un mari, un emploi et quelques soucis financiers. Elle passe son temps à courir, entre le travail, la maison et les enfants. Elle aime son mari, mais elle sent qu’elle est en train de le perdre. Submergée par le rythme frénétique de ses journées, elle se retrouve dans cette période fragile, où l’on ne sait comment changer, où l’on réalise qu’il y a des choses que l’on ne pourra pas recommencer. Anna arrivera-t-elle à sauver ce qui est précieux et unique dans sa vie ?
Plus d'information sur allocine.fr

À Dieppe, la fresque de Vasarely veut retrouver ses couleurs

"La fresque géométrique du château d’eau des Vertus, dessinée en 1973 par le père de l’art optique Victor Vasarely, a besoin d’être rénovée.
Peinte sur un château d’eau en 1973 sur les hauteurs de Dieppe, l’œuvre du plasticien hongrois fait grise mine. Les collectivités veulent y remédier." La suite sur leparisien.fr

dimanche 28 avril 2019

Le cardinal Mindszenty (1/4) : un jeune prêtre dans la Hongrie de Miklós Horthy

"Il y a tout juste 70 ans, en 1949, le chef de l'Église hongroise, le cardinal Primat József Mindszenty, était condamné à la prison à vie à l'issue d'un procès politique truqué dans la plus belle tradition des régimes communistes de l'époque. Nous vous proposons de découvrir, sous la plume de Matthieu Boisdron, la première des quatre parties de la chronique que nous consacrons au parcours et à la vie de cet ecclésiastique, célèbre en Hongrie mais relativement oublié hors des frontières de ce pays . . ." la suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Eduardo Rózsa-Flores, le mercenaire qui a voulu tuer Evo Morales

"Cet article de Tristan Ranx, historien, écrivain et journaliste, a été publié originalement sur son blog Ruritanian resistance free press, sous le titre « J’ai retrouvé Eduardo Rózsa-Flores (mais il était déjà mort…) ».
Eduardo Rózsa-Flores dit Chico, journaliste, mercenaire, révolutionnaire, assassin et poète, aura brûlé sa vie de Budapest à la Bolivie, sans jamais se départir d’une totale inconscience. Un homme ou la contradiction trouve sa raison d’être (jusqu’à la mort…)
Les trois corps sans vie sont recouverts de sacs-poubelle noirs et reposent à l’arrière d’un Pick-up Toyota. Deux jeunes sentinelles ahuries sont postées à côté du véhicule avec ordre de garder le précieux gibier du président Evo Morales. Nous sommes en Bolivie, le 16 avril 2009, à Santa Cruz de la Sierra. Sur ces trois hommes de la cellule terroriste, le chef présumé a été abattu dans son sommeil, quant aux deux autres, un Irlandais et un Hongrois de Transylvanie, les corps criblés de balles, ils ont vraisemblablement été tués en tentant une résistance inutile dans leur chambre luxueuse de l’hôtel las Américas." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr

Requiem de Verdi Eglise Saint Louis en l'Île, Paris 1er juin 2019 à 20 h 30 et 2 juin 2019 à 15 h 30

mis en scène par Marie-Christine Forget, Martin Barral

Oeuvre Magistrale de Guiseppe Verdi - Opéra en robe d'ecclésiastique pour double-choeur, orchestre et 4 solistes

Le Requiem de Guiseppe Verdi est une pièce sacrée et un chef d'oeuvre lyrique.

Cette messe, créé en 1874, est une liturgie pour les morts, dans la pure tradition catholique, mais sa structure, son expressivité et ses contrastes la rapprochent de l'opéra : un opéra en robe d'ecclésiastique !

Guiseppe Verdi témoigne dans cette partition de sa parfaite maîtrise de l'écriture vocale et donne naissance à un véritable bijou de l'art lyrique. Le quatuor de solistes, le double-choeur et l'orchestre, y expriment les sentiments les plus intimes et les plus profonds du compositeur alors au sommet de son art.

Le Requiem de Verdi est brillant, contrasté et éclatant; cette oeuvre magistrale est bien une des plus puissantes qu'il ait composées et l'une des plus marquantes du genre tout entier.

Choeur Mare nostrum,
Choeur Darius Milhaud,
Orchestre Symphonique du campus d'Orsay,
Karina Desbordes (soprano)
Klara Csordas (mezzo)
Bruno Robba (ténor)
Jean-louis Serre (basse)

Auteur : Verdi
Artistes : Choeur Mare nostrum, Choeur Darius Milhaud, Orchestre Symphonique du campus d'Orsay, Karina Desbordes, Klara Csordas, Bruno Robba, Jean-louis Serre
Metteur en scène : Marie-Christine Forget, Martin Barral

Réservation : billetreduc.com

«Dans la tête de Viktor Orban» de Amélie Poinssot

"C'est le dirigeant d'un pays, la Hongrie, de moins de 10 millions d'habitants et pourtant un Premier ministre qui fait parler très au-delà de ses frontières. Dans l'ouvrage « Dans la tête de Viktor Orban » publié chez Actes Sud, la journaliste à Médiapart Amélie Poinssot a enquêté sur le parcours du chantre de l'illibéralisme et notamment levé le voile sur ses toutes premières années de militantisme." A écouter sur rfi.fr

Amélie Poinssot sera l'invitée des Mardis hongrois de Paris pour présenter son livre le 30 avril 2019 à partir de 20 h 30

"Routes d'Europe": des salaires très bas et des conditions de travail difficiles, le secret du faible taux de chômage en Hongrie

"Dans le pays, le taux de chômage est seulement de 3,6%. Mais les conditions de travail sont extrêmement difficiles avec notamment des salaires très bas.
C’est un chiffre dont le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, est fier. Seulement 3,6% de taux de chômage en Hongrie, presque une situation de plein-emploi. Pourtant, derrière ce chiffre flatteur, se cache une toute autre réalité. Celle de salaires très bas, et de conditions de travail qui ne cessent de se durcir. Alors que le salaire minimum est de 1520 euros brut en France, il n’est que de 460 euros en Hongrie. Ces derniers mois, des grèves dures ont secoué le pays, du jamais-vu depuis la fin du communisme." La suite sur rmc.bfmtv.com

vendredi 26 avril 2019

"Routes d'Europe": la jeunesse hongroise de plus en plus tentée par l'émigration

"Des reportages à travers différents pays, des rendez-vous quotidiens ou encore des éditions spéciale: afin de mieux comprendre les enjeux, RMC se met à l'heure européenne.Depuis que Viktor Orban est au pouvoir, les conditions de travail des salariés hongrois sont devenues très difficiles. Les droits des syndicats sont réduits, le droit de grève est bafoué, et les salaires n’augmentent pas. Conséquence, les jeunes Hongrois sont de plus en plus nombreux à être tenté par l’émigration. Les chiffres sont là. Depuis 2010, 600.000 jeunes Hongrois ont quitté le pays à la recherche de meilleures conditions de vie et de travail." La suite et vidéo sur bfmtv.com

En Chine, Viktor Orbán loue les nouvelles routes de la soie

"Le premier ministre Viktor Orbán est depuis jeudi à Pékin où il a été reçu par son homologue et par le président chinois Xi Jinping, en amont d'un grand sommet sur les « nouvelles routes de la soie ». Un projet géostratégique auquel la Hongrie adhère sans réserve.
Il y a 70 ans, en 1949, la Hongrie de Mátyás Rákosi et la Chine de Mao établissaient officiellement les relations diplomatiques sino-hongroises et c'est à l'occasion de cet anniversaire que . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Trafic de cigarettes à Roscoff : jusqu'à 6 ans de prison pour cinq ressortissants hongrois

"La juridiction inter-régionale spécialisée de Rennes (JIRS), compétente dans le grand banditisme et les trafic internationaux, a condamné ce lundi 22 avril cinq ressortissants hongrois à des peines allant de 18 mois à 6 ans de prison pour un trafic de cigarettes de contrebande.
Le 7 octobre 2009, les douaniers de Roscoff avaient saisi 6 tonnes de Regal King Size dissimulées derrière des croquettes pour chien. Les 30 000 cartouches de contrebande étaient cachées derrière 503 cartons de croquettes "Big Dog" d'origine hongroise, à destination de l'Angleterre. Le chauffeur de la société de transports basée à Saint-Pol-de-Léon, avait été mis hors de cause après sa garde à vue. Il s'apprêtait à embarquer quand les douaniers ont contrôlé son véhicule." La suite sur francetvinfo.fr

5 raisons de ne pas aller au Sziget

"Le Sziget festival, tout le monde en parle comme de l'eldorado ultime. Là où tout festivalier trouvera la réponse à sa quête de béatitude musicale. D’ailleurs, chaque été, tu retombes sur un riche étalage de stories Insta au son saturé, aux couleurs vives et aux sourires contagieux de cette camarade de promo au sommet de sa hype qui vit sa meilleure vie du côté du bar à pastis de “l’Apéro Camping”. Mais qu’est-ce qui pourrait bien justifier cet engouement pour le festival hongrois ? On a beau chercher, on ne saisit pas. On vous propose donc 5 excellentes raisons de ne PAS aller au plus grand festival d’Europe." La suite sur touslesfestivals.com

Xi Jinping rencontre le Premier ministre hongrois


"BEIJING, 25 avril (Xinhua) -- Le président chinois Xi Jinping a rencontré jeudi le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, qui est à Beijing pour assister au deuxième Forum de "la Ceinture et la Route" pour la coopération internationale.
Notant que la Chine et la Hongrie ont établi un partenariat stratégique global en 2017, M. Xi a indiqué que les relations bilatérales étaient entrées dans une nouvelle phase historique.
Cette année marque le 70e anniversaire des relations diplomatiques entre les deux pays et la Chine espère oeuvrer avec la Hongrie pour porter leur partenariat stratégique global vers de nouveaux sommets, a souligné M. Xi." La suite sur xinhuanet.com

Gard : l'ambassadeur de Hongrie visite le centre d'éducation conductive du Gard

"Il est venu découvrir ce centre qui applique une méthode de rééducation globale pour les enfants handicapés venue de Hongrie.
En déplacement deux jours dans le Gard, l’ambassadeur de Hongrie en France, Georges Karolyi, a commencé par rendre visite, jeudi 25 avril, au Centre d’éducation conductive du Gard (CEC). Une visite qui ne doit rien au hasard puisque ce centre créé en 2015 par le docteur Fanny Grau-Coppieters met en œuvre une méthode de rééducation pour des enfants atteints de handicap moteur imaginée en Hongrie. "C’est vraiment méritoire d’avoir créé ce petit centre", commente Georges Karolyi en découvrant le lieu, le seul du Sud de la France, porté à bout de bras, par l’énergie de sa fondatrice et des bénévoles.
La maire de Clarensac Marjorie Enjelvin qui soutient le projet depuis le début regrette "que cette méthode ne soit toujours pas reconnue en France." Et donc, ne bénéficie pas de financement." La suite sur midilibre.fr

Les couvertures emblématiques de “HVG” chassées des rues de Hongrie

"Depuis la création de HVG, en 1979 sous le communisme, les couvertures provocatrices de l’hebdomadaire magyar de référence peuplaient les colonnes Morris de Budapest et de province à chaque nouveau numéro.
Quarante ans plus tard, les unes ont brutalement été écartées de l’espace public mercredi 17 avril après que la principale agence publicitaire du pays, Mahír, rachetée en janvier par l’oligarque favori de l’exécutif (Lőrinc Mészáros) et détentrice de la quasi-totalité des emplacements jadis occupés, ait décidé de rompre unilatéralement via un fax son contrat avec le magazine." La suite sur courrierinternatinal.com

Les partis français face à Orbán: droites conciliantes, gauches impuissantes

"Mediapart a choisi une dizaine de thématiques que la rédaction passe à la loupe dans les programmes des partis en selle pour les européennes. Aujourd’hui : la question de l’État de droit, et la politique que l’UE doit mener vis-à-vis des gouvernements hongrois et polonais.
Que faire face au cas Orbán – le premier ministre hongrois ? Que faire face au gouvernement « Droit et Justice » (PiS) polonais ? Jusqu’ici, malgré les instruments qu’elle a activés, l’Union européenne s’est montrée impuissante à empêcher les entorses à l’État de droit menées dans ces deux pays." La suite sur mediapart.fr (article payant)

1980 - Rubik's Cube, le jeu qui rend fou

"Trois ans après son invention par Erno Rubik, le Rubik's Cube débarque en France. Depuis, 350 millions d'exemplaires ont été vendus dans le monde dont 500 000 en France.
Dans L'Express du 10 mai 1980 Inventé par un Hongrois, un casse-tête diabolique qui arrive en France.
On lui donnerait, comme on dit, le bon Dieu sans confession, à Erno Rubik, avec son visage bien lisse et son petit complet bleu. Fatale erreur. Ce Hongrois, professeur de design, a inventé un objet qu'il n'ose plus lui-même qualifier de jeu, tant il a fait de ravages dans son pays d'origine. Un objet qui rend fou.
Ça paraît idiotC'est pourtant d'un simple cube qu'il s'agit. Un cube multicolore, formé de petits carrés farouchement indépendants les uns des autres, bleus, blancs, rouges, verts, jaunes, orange. On les fait bouger, en les déplaçant autour de deux axes perpendiculaires. Règle du jeu : rendre unicolore chaque face du cube.
Ça paraît plutôt idiot, au début, quand on n'a pas encore posé le doigt sur la bête. Mais dès qu'on l'effleure, ça y est... Les provisions de torture morale enfermées là-dedans par le pervers inventeur vous tombent dessus." La suite sur lexpress.fr 

Felcsut, le village hongrois symbole du gaspillage de l'argent de l'Europe

"En Hongrie, le premier ministre, Viktor Orban ne cesse de tirer à boulets rouges sur l’Union européenne et pourtant,le pays est l’un des pays les plus subventionnés par l’Europe. Cet argent est-il bien utilisé? Exemple à Felcsut et son petit train déserté." Vidéo sur bfmtv.com

jeudi 25 avril 2019

La Fièvre et autres nouvelles, de Sándor Jászberényi

Mirobole éditions, traduit du hongrois par Joëlle Dufeuilly
Ce recueil de quatorze nouvelles porte le titre de la première d’entre elles (dans la traduction française), « La Fièvre », qui envahit le narrateur et finit aussi par contaminer le lecteur. Comment expliquer autrement que même lorsqu’on déteste les guerres, même lorsqu’on fuit les informations déversées par les chaînes de télévision sur les conflits armés et les massacres dans le monde, et en particulier en Afrique et au Moyen Orient, on ne peut plus lâcher ce livre une fois qu’on l’a ouvert ?

Sándor Jászberényi, né en 1980, photographe et correspondant de guerre hongrois en Afrique et au Moyen orient pour des journaux hongrois mais aussi le New York Times et l’Egypt Independent, a publié ce recueil en 2012 en Hongrie. Après avoir été traduit en plusieurs langues, le livre paraît enfin en français aux éditions Mirobole, dans la traduction juste et précise de Joëlle Dufeuilly. Dès le début de la lecture, il apparait que s’il a choisi cette écriture et ce mode de récit, c’est pour transmettre autre chose que des chroniques de journaliste de presse. Sur les fronts les plus dangereux, en plein conflits armés, révolutions ou guerres civiles, au Darfour, dans la bande de Gaza, au Yémen, en Libye, au Nigeria, au Caire, il s’est exposé en partageant le quotidien des combattants et des populations, risquant sa vie et témoin de la mort, sans chercher en permanence refuge dans les lieux abrités ou les hôtels réservés aux journalistes. Il ne relate pas que des faits de guerre, mais aussi des rencontres avec des militaires et des civils, des femmes, d’autres journalistes, des êtres humains de tous bords. Sans doute a-t-il éprouvé la nécessité d’atteindre un autre niveau d’expression, et recherché une écriture qui parvienne à communiquer, à travers ces nouvelles, ce mouvement puissant qui entraîne le lecteur aux côtés du narrateur, au-delà des résistances et des évitements. Les circonstances historiques et chronologiques ne sont pas sa priorité. C’est au lecteur, s’il le souhaite de reconstituer le contexte géopolitique des récits, qui mêlent, on le suppose, souvenirs et fiction. Mais il est clair que l’expérience de l’auteur est au cœur de ces aventures, qu’il a modelées pour en faire œuvre littéraire. Pour donner forme, et non pas sens, à ce qu’il n’a pas pu oublier : « Pour ce qui est de m’habituer, c’est vrai : je me suis habitué, mais je n’ai pas oublié. On n’oublie jamais la première fois.» (La première fois)
Du sens, Sándor Jászberényi ne semble pas en chercher. De l’origine des conflits et guerres qu’il couvre, de leur finalité, il n’est pas question ici. « Tous les conflits se ressemblent, le paysage change, mais on passe toujours son temps à attendre : c’est ça la guerre. Tu attends qu’il se passe quelque chose. Tu attends dans une chambre d’hôtel, un café, sur la ligne de front, près d’un feu de camp, et tu fais comme si tu avais une chance de comprendre ce qui se passe. Alors que tu n’en as aucune…/… Ton travail consiste à vendre l’enfer que vivent les autres comme si tu le comprenais, ou qu’il te concernait directement.» (Quelque part à la frontière). Il ne poursuit pas non plus la gloire ou la célébrité médiatique, contrairement à d’autres journalistes. S’il est sur ce terrain que tant d’autres fuient, c’est qu’il y trouve sa place à ce moment-là de sa vie. Le narrateur nous le laisse entendre dans la nouvelle « Profession photoreporter » : « C’était seulement là, au milieu de la guerre, qu’il se sentait libre ; le monde devenait simple : oui ou non, le bien ou le mal, la vie ou la mort. » Et plus loin, il fait dire à une amie photographe : « Ma mort est sans intérêt. Comme la tienne. Tu n’as pas de famille, pas de foyer, tu n’as même pas peur. Tu n’as que ton appareil photo, et ton travail. Tu es déjà mort. C’est juste que tu ne t’en es pas aperçu.» (Die toten reiten schnell )
Ici, dans ce livre, loin des organes de presse, il ne « vend » pas l’enfer, il le partage ! On est saisis par ces événements tragiques racontés avec une fausse distance, une résignation apparente démentie par le fait même qu’il écrive, de cette manière à la fois froide, sensible et précise. Pas un mot n’est inutile. Il rend compte de faits de guerre et d’exécutions, sans nous épargner les détails, dans un style objectif et sans émotion, sans indiquer la moindre implication personnelle, si ce n’est sa « pâleur » ou son absence d’appétit, à la fin d’un chapitre, qui témoignent discrètement de son amertume et de son profond désarroi. La conclusion de chaque nouvelle, d’un trait, donne sens à l’histoire, en venant s’inscrire en contrepoint, et fait surgir en un instant saisissant tout ce qui n’est pas dit, qui sous-tend en négatif, le récit. Il est vrai que ce type de procédé convient à la nouvelle, à un récit bref, et on peut le rapprocher d’autres auteurs, comme Krisztina Tóth dans Code-barres. Mais ici, le contraste est encore plus grand, entre le fait de guerre, sans doute réel, et la position d’extériorité du journaliste étranger. C’est un regard sur le regard, un reportage sur le reportage, qui nous fait regarder au deuxième ou au troisième degré, sans pouvoir détourner les yeux, ce que voit le photoreporter et que nous décrit le narrateur. Le journaliste ne pourrait pas écrire dans sa chronique, ce que l’auteur fait dire à son guide : «Patientons, le restau nous attendra », pendant qu’on exécute sous leurs yeux des prisonniers civils à N’Djamena. (La première fois). Ni la prière inventée par un photoreporter : « Notre père qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne arrive, et qu’on en fasse de beaux clichés. Donne-nous chaque jour nos combats quotidiens, mais ne nous tire pas dessus avec un calibre cinquante, car nos gilets n’y pourront rien. » Et le narrateur de poursuivre : « J’hésitai : allai-je porter un toast au sens de l’humour de Dieu, ou à la mort stupide ? A la mort stupide ! .../… Boire me fit du bien. J’aime boire. C’est bon de boire, avant une guerre, pendant une guerre, après une guerre. C’est bon de boire avec ses amis. A la mort de ses amis, aux naissances, aux morts des enfants, aux fiançailles, aux ruptures de fiançailles, aux trahisons, aux arrêts du cœur, à l’amour. C’est toujours bon de boire. » (Prendre Trinidad)
Dans la très belle dernière nouvelle, Le bout du monde, où il rejoint le souvenir d’Arthur Rimbaud à Aden, surgit sa Hongrie natale, d’une manière inattendue et déplorable à ses yeux : « Tu imaginais que dans la bande de Gaza, par exemple, on te parlerait du légendaire footballeur Puskás, de l’Equipe en or, ou du Rubik’s cube. Tu imaginais tout sauf ça. Tu espérais que le jeune soldat du Hamas ne te dirait pas que ce fusil d’assaut automatique était une pure merveille, et que tu étais un mec génial parce que ton pays avait offert au monde un truc formidable pour tuer, auquel on pouvait même adapter une lunette de visée. Tu avais espéré Puskás, l’Equipe en or, ou encore le paprika, mais non. Tu es hongrois, alors c’est l’AMD-65. »
Au travers de cet étrange dépaysement, pour ce jeune Hongrois qui sillonne l’Afrique et le Moyen Orient à la poursuite des guerres et des tueries, alors même qu’il semble « habitué », déserté par la compassion, se recrée devant cet enfer commun, une fraternité, certes réchauffée par l’indispensable alcool, mais authentique, avec des personnes de la population locale qui le reconnaissent comme un proche. L’auteur parvient, dans un même mouvement, à nous faire ressentir l’insupportable cruauté, l’indignité et la grandeur humaine, qui prennent différentes formes selon les civilisations qu’il côtoie. On est au cœur de l‘action, sans barrières de protection, assignés à voir, et si on le supporte, c’est parce que l’auteur reste à nos côtés dans cette action où il nous entraîne. Car s’il garde une distance dans son écriture, il est totalement présent et engagé dans son récit, et par là-même il nous engage avec lui, il nous fait juge de ce qu’il dénonce en l‘écrivant. Contrairement à des écrivains qui se documentent outrageusement pour livrer des récits qui semblent véridiques alors qu’ils leur sont totalement extérieurs, et qui ne sont plus que des documentaires à l’écriture soignée mais dont l’auteur s’exclut, ici nous savons que l’auteur ne cherche pas à nous parler de la guerre, mais de son expérience de la guerre. Il est pénétré par son récit. Et c’est de le sentir aussi présent, avec ce qu’il nous livre pudiquement de lui-même, que nous consentons à le suivre. C’est parce qu’il nous guide et ne nous lâche pas la main, que nous l’accompagnons à travers ces territoires brûlants, et que nous n’avons plus envie à notre tour, de le lâcher.

Yvette Goldberger-Joselzon


« Oui, je suis homo ». Le premier coming out d’un député hongrois

"Le député Péter Ungár a décidé de rendre public son homosexualité. Depuis le premier coming out de sa tante Klára Ungár en 2005, très peu de responsables politiques hongrois ont décidé de sortir du placard.
"Oui, je suis homo". C'est par ces mots que Péter Ungár a rendu aujourd'hui public son homosexualité au cours d'une entrevue avec l'hebdomadaire Magyar Hang à paraître demain. L'homme politique issu du parti écologiste conservateur LMP est le premier parlementaire hongrois en exercice a faire son coming out . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

« Dans la tête de Viktor Orban », ce héraut de l’illibéralisme

"La journaliste Amélie Poinssot dresse le portrait de l’homme fort de Budapest, cherchant à comprendre de quelle manière il est parvenu à incarner les rêves et les peurs des Hongrois.
Livre. Il y a une énigme Viktor Orban. Vainqueur par quatre fois – dont trois consécutives – des élections législatives, le premier ministre hongrois est devenu le symbole même au sein de l’Union européenne de la « démocratie illibérale ». Il fut jadis un jeune dissident libéral.
Son entrée en lice dans l’arène politique remonte à juin 1989, dans les derniers mois d’un régime socialiste aux abois quand, lors de la grande cérémonie de « réenterrement » des martyrs de la révolution de 1956, il prit la parole pour exiger le départ des troupes soviétiques. Le leader du Fidesz fut l’un des espoirs d’un après-communisme réformiste, ouvert sur l’Europe. Mais, revenu au pouvoir après huit ans d’opposition, il s’était mué en autocrate nationaliste et conservateur. –
« La constance de Viktor Orban depuis 2010 invite à penser qu’il y a chez lui une base idéologique », note la journaliste Amélie Poinssot, dans son très éclairant livre sur l’homme fort de Budapest, relevant comment ce dernier a profondément modifié les institutions de son pays, mises en coupe réglée par son parti. Mais elle reconnaît aussi que la question se pose de la sincérité de ses convictions et que l’on peut se demander s’il n’a pas, surtout, « un goût immodéré du pouvoir qui l’amène à embrasser n’importe quelle cause pourvu qu’elle lui rapporte des voix ».

La « magyaritude » avant tout
Ce fils d’une famille relativement modeste a grandi dans une Hongrie provinciale et conservatrice sous un vernis communiste. D’où les thèmes de son engagement : la « magyaritude », c’est-à-dire l’identité hongroise avant tout, et l’hostilité envers une Europe occidentale perçue comme le lieu de toutes les perditions." La suite sur lemonde.fr (article payant)

A noter : Amélie Poinssot sera l'invitée des Mardis hongrois de Paris le 30 avril 2019 à partir de 20h30
Événement Facebook

Européennes 2019 : une journée à Budapest avec Benoît Hamon

"Le "tour d'Europe des libertés" entamé il y a peu par Benoît Hamon a fait escale à Budapest. Au menu : échanges sur la situation de la presse indépendante et des journalistes en Hongrie, immersion dans ce laboratoire de la nouvelle droite ultra-conservatrice en Europe, dirigé par Viktor Orbán et discussions sur le réarmement idéologique et logistique de la gauche sociale et écologiste. Reportage et entretien.
"On n'entre jamais assez dans les termes du débat politique des autres pays européens". Face à plusieurs journaliste hongrois rencontrés dans un café douillet de Budapest, Benoît Hamon semble savourer la discussion. En déplacement de campagne dans la capitale hongroise ce mardi 23 avril, le chef de file du jeune parti Génération-s est venu voir sur pièce la réalité du laboratoire de Viktor Orbán, notamment en matière de libertés publiques et de liberté d'information. "J'ai eu l'occasion de visiter de nombreux pays où la liberté de la presse était gravement endommagée ; j'étais curieuse de comprendre la situation en Hongrie", nous explique de son côté Françoise Sivignon..." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Hongrie : Viktor Orban face à un mouvement social dans le secteur de la santé

"Viktor Orban tente d’éteindre la colère des praticiens et des patients, qui dénoncent un manque de moyens, notamment à l’hôpital.
C’est un mouvement social que le chantre de l’illibéralisme n’avait pas vu venir. Et à quelques semaines des élections européennes du 26 mai, la manière dont le premier ministre Viktor Orban tente de le désamorcer démontre une fois de plus son habileté à maîtriser une situation ayant pris, selon lui, un tournant dangereux.
En Hongrie, pays qu’il dirige depuis bientôt neuf ans, il a accepté d’augmenter de 218 millions les investissements en 2018, sur un budget total de 3,7 milliards d’euros, après des critiques récurrentes sur la faiblesse des moyens octroyés au secteur." La suite sur lemonde.fr (article payant)

mercredi 24 avril 2019

Hongrie : 1 million de signatures pour une Europe forteresse

"Et le Fidesz ne compte pas s'en arrêter là, le parti de Viktor Orbán qui bat la campagne pour véhiculer le message anti-immigration qui lui fait office de programme pour les élections européennes.
« Nekünk Magyarország az első! ». Cette formule, directement inspirée du « America First » qui a fait de Donald Trump le président des États-Unis, a été lancée par Viktor Orbán au mois de février 2018 lors de son discours sur l’État de la nation. Un discours qui devait . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Pourquoi le « V4 » ne veut pas entendre parler d’harmonisation fiscale en Europe

"Le président français Emmanuel Macron a fait de l'harmonisation fiscale un des points-clé de son programme européen. A ce stade, il n'a pas réussi à convaincre les quatre pays du Groupe de Visegrád et il semble fort peu probable qu'il y parvienne, car ceux-ci misent tout sur les investissements étrangers.
La stratégie de La République en Marche (LREM) est double : publiquement, elle joue la confrontation directe avec la menace populiste incarnée par Matteo Salvini à Rome et Viktor Orbán à Budapest. Mais en coulisses . . ." La suite sur courrierdeuropcentrale.fr (article payant)

La construction de la Ceinture et la Route aide à un monde plus rapide

"Faire de Budapest l'un des plus grands centres logistiques en Europe de l'est est un objectif commun avec Nemeth Miklos Ivan, consul de Hongrie dans la municipalité de Chongqing, dans le sud-ouest de la Chine, et Qi Dan.
Qi Dan est à la tête de Yuxinou (Chongqing) Logistics Co., Ltd, qui a exploré la route ferroviaire entre Chongqing et Duisbourg en Allemagne en 2011, début du service de train de fret Chine-Europe.
Chongqing, lieu important de la stratégie de développement occidental de la Chine, est située sur le "point de raccordement" de la Ceinture et la Route et de la Ceinture économique du fleuve Yangtsé, jouant un rôle unique dans le développement régional et l'ouverture de la Chine." La suite sur china.org.cn

Glamour Hongrie accusé de refuser les photos de "mannequins non caucasiens"

"L'édition hongroise du magazine Glamour aurait refusé de publier des images de mannequins noirs ou métisses sur proposition d'une photographe de mode américain, révèle "WWD". Détenteur du titre, le groupe Condé Nast a dû s'expliquer publiquement.
À l’heure où le monde de la mode s'attelle au problème de la représentation et du manque d'inclusivité du secteur, en témoigne l'axe majeur choisi par le CFDA ( conseil des designers américains) à New York lors de la dernière Fashion Week, à savoir la diversité, certains professionnels de l'industrie semblent faire de la résistance.
Selon le magazine américain WWD, la photographe de mode Brenda Nasr se serait heurtée au refus de la chef de rubrique beauté du magazine Glamour Hongrie après avoir proposé au mensuel un édito mode mettant en scène un mannequin métisse. Dans un échange, la journaliste contacté, freelance, a expliqué que "le média n’aurait pas le droit de mettre en avant des modèles non-caucasiens". " la suite sur marieclaire.fr 

Élections européennes : la Hongrie face au « système »

"La formation souverainiste du Fidesz, récemment suspendue du Parti populaire européen (PPE) vient de lancer sa campagne pour les élections européennes qui se tiendront le 26 mai prochain. Un discours anti-migrants et anti-Bruxelles qui rejette les élites traditionnelles et la démocratie libérale.Une droite qui se durcit

Ce lancement de campagne européenne fait écho au virage radical à droite qu’a pris la Hongrie cette année. Le 8 avril 2018, lors des élections législatives, la coalition de droite populiste et nationaliste qui dirige le pays est maintenue au pouvoir par une victoire (48,5%) du Premier ministre Viktor Orban et de son parti le Fidesz. Il devient le seul à remporter trois fois de suite des élections dans le pays en tant que chef de gouvernement." La suite sur lejournalinternational.info

"Routes d'Europe": en Hongrie, les réfugiés font face à l'hostilité de la population

"Face au discours du gouvernement, les réfugiés sont rejetés, et même certaines fois, considérés comme dangereux par la population hongroise qui subit la propagande du gouvernement.Il dit vouloir "protéger son pays". La lutte contre l’immigration, le Premier ministre hongrois, Viktor Orban en a fait sa priorité pour cette campagne pour les élections européennes. Selon lui, les migrants menace l’identité du pays. Dans chaque rue, à chaque carrefour, sont placardées de grandes affiches où apparaissent le drapeau hongrois et ce message: "Avec Viktor Orban, dites stop à l’immigration". " La suite sur bfmtv.com

mardi 23 avril 2019

"Routes d'Europe": en Hongrie, les chrétiens soutiennent Viktor Orban qui "ose dire ce que les autres n’osent pas"

"À cinq semaines des élections européennes, première étape de notre série de reportages en Europe. Chaque semaine, gros plan sur un pays, jusqu'à vendredi, nous sommes en Hongrie où Viktor Orban est en tête des sondages. La campagne européenne commence partout en Europe. La Hongrie, près de 10 millions d'habitants, entrée dans l'Union européenne il y a 15 ans.
Le pays dirigé d'une main de fer par son Premier ministre le souverainiste Viktor Orban, qui a placé sa campagne sous le signe de la lutte contre l’immigration. Et le candidat est apprécié dans le pays notamment grâce aux aides financières que l’État accorde à certaines familles." La suite sur bfmtv.com

lundi 22 avril 2019

Magda Szabó – Rue Katalin

"Comme je t’aimais et maintenant, la seule chose qui me lie à toi – pour toujours et irrémédiablement, il est vrai – ce sont nos souvenirs communs de la rue Katalin.
Je n’avais pas lu Magda Szabó depuis quelques temps, mais elle est une auteure incontournable de la littérature hongroise et je voulais bien sûr qu’elle figure aussi dans cette série sur les femmes écrivains d’Europe centrale et orientale que j’ai commencée en mars. Je n’ai eu que l’embarras du choix car Magda Szabó a été l’auteure de nombreux romans souvent traduits en français ; si j’ai choisi Rue Katalin, c’est probablement parce que j’ai lu récemment tant d’articles élogieux à l’occasion de la traduction récente du roman en anglais." La suite sur passagealest.wordpress.com

Journée du film hongrois 30 avril 2019 à 18h et à 20h - Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

A l’occasion de la journée du film hongrois, avec le soutien du Fonds pour le cinéma hongrois, l’Institut hongrois vous propose deux films :
18h
Csaba Vékes, Hetedik alabárdos (Septième hallebardier)

2017, 86 minutes, VOSTFR
Grâce à une proposition inattendue, un acteur de théâtre relégué à d’éternels rôles de figurant se retrouve à la tête de la compagnie. Désormais, il devra se battre tout autant pour ses acteurs que pour ses rêves…
20h
Krisztina Goda, Veszettek (Enragés)

2015, 115 minutes, VOSTFR
Deux garçons de milieu défavorisé adhérent à une organisation de force de l’ordre fondée par un personnage charismatique. Pendant les actions pour rétablir la sécurité dans leur quartier, ils se heurtent à des questions morales. Le film met en lumière des questions sociales brulantes de la Hongrie actuelle.
Entrée libre

"La musique hongroise à travers les siècles" Avant-première de l’Académie-Festival des Arcs 14 mai 2019 à 20h Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Avant-première de la 46ème édition de l’Académie-Festival des Arcs
L’édition 2019 de l’Académie-Festival des Arcs se tiendra du 17 juillet au 2 août prochain. Comme chaque année depuis près d’un demi siècle, plus de 40 concerts seront offerts, interprétés par une soixantaine d’artistes de renommée internationale. La plupart d’entre eux seront également les professeurs de l’Académie qui attire quant à elle quelque 160 jeunes musiciens venus du monde entier se perfectionner aux Arcs.
Ce 46ème opus aura pour thématique « la musique hongroise à travers les siècles ». Si le grand public est familier avec le répertoire de Liszt ou de Bartók, que les mélomanes connaissent bien Kodaly, Kurtag ou Ligeti, que les plus initiés auront entendu parler de Dohnany ou de Rosza, rares sont ceux qui peuvent se targuer d’avoir écouté du Erkel, du Mosonyi, du Weiner ou bien du Veress (pour ne citer que ceux là !).
Au programme les oeuvres de : Dohnányi, Kodály, Bartók
Entrée libre

Festival des Arcs

Récital de piano de János Palojtay 24 mai 2019 à 20h - Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Photo : Zsófia Raffay

Troisième prix du concours international de piano Paloma O´Shea, János Palojtay s’est produit, en soliste ou en chambriste, dans les salles les plus prestigieuses d’Europe (Philharmonie de l’Elbe, Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, Salle Cortot) et des États-Unis (Herbst Theatre, Carnegie Hall). Choisi par András Schiff, il a été l’un des solistes de la série de concerts Building Bridges 2017/2018. Invité par Mitsuko Uchida, il participe au festival de Marlboro depuis 2018.
Programme :
Dohnányi : Quatre rhapsodies pour piano, op. 11
Chopin: Ballade en fa mineur
Pause
Debussy : Images 1ère sérieDebussy : Children's CornerBartók : 15 chants paysans hongrois
Entrée libre

Colloque international et interdisciplinaire - Regards croisés sur les hussards en France, en Pologne et en Hongrie (XVe-XIXe siècles) - Colloque 20-21 mai 2019

Musée de l'armée, Hôtel National des Invalides
129 rue de Grenelle 75007 Paris
Centre scientifique de l'Académie polonaise des sciences
74 rue Lauriston 75116 Paris
Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Le 20 mai 2019 de 10 h à 18 h :
Musée de l’Armée
Hôtel national des Invalides
129 rue de Grenelle, 75007 Paris
Le 21 mai 2019 de 9 h 30 à 12 h :
Institut hongrois
92 rue Bonaparte 75 006
Le 21 mai 2019 de 14 h à 18 h :
Centre scientifique de l’Académie polonaise des sciences
74 rue Lauriston 75116 Paris
Les spécialistes du Centre de recherches en sciences humaines de l’Académie hongroise des sciences en collaboration avec leurs collègues du Centre parisien de l’Académie polonaise des sciences, de l’Institut hongrois de Paris et du musée de l’Armée organisent un colloque scientifique sur le phénomène européen des hussards. Le premier jour du colloque, consacré à l’histoire militaire, aura lieu au musée de l’Armée avec la participation d’experts du sujet. La seconde journée se tiendra à l’Institut hongrois de Paris et s’articulera autour d’interventions sur l’histoire des hussards et sur la révolution hongroise de 1848-49. Cette journée se poursuivra au Centre scientifique de l’Académie polonaise des sciences à Paris où les aspects littéraires, artistiques et culturels seront présentés par des spécialistes du domaine.
Entrée libre (dans la limite des places disponibles)
Pour la journée du 20 mai au musée de l’Armée, la réservation est obligatoire et s’effectue par mail ( histoire@musee-armee.fr) avant le 17 mai 2019.

Nuit des musées - Visites guidées 18 mai 2019 à 20h et à 22h Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Gábor Palotai : Bauhaus 100

L’exposition fait le choix d’explorer l’héritage artistique de l’école dans le domaine de la photo, des arts graphiques et des arts du livre à travers des œuvres de 35 artistes contemporain hongrois et français. L'école du Bauhaus a exercé une forte influence dans le domaine des arts appliqués, à travers les objets qu'elle a façonnés, elle est en plus le précurseur du design contemporain.
Ouverture de l'exposition pendant toute la soirée jusqu'à 24h.Visites guidées à 20h et à 22h.
Entrée libre

Présentation de livre - L’armée austro-hongroise 1867-1918 - 17 mai 2019 à 19h30 Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

L’armée austro-hongroise 1867-1918, Éditions Bernard Giovanangeli, 2017
Héritière de l’armée impériale autrichienne, l’armée austro-hongroise, armée impériale et royale, a existé pendant un demi-siècle, de 1867 à 1918. Cette période coïncide presque parfaitement avec le règne de François-Joseph. Soutien de la dynastie et ciment de l’empire austro-hongrois, cette armée, qui se distingue par son caractère multinational unique en Europe, sera l’objet de tous les soins du souverain. Celui-ci fera reposer plus que jamais sur elle, comme sur son corps d’officiers, la cohésion de cette mosaïque de peuples qu’est toujours restée la Maison des Habsbourg. Elle correspond aussi à la constitution d’une Europe des blocs avant l’heure, celle de deux alliances militaires qui, en s’affrontant, mettront le continent à feu et à sang pendant plus de quatre ans.
La Grande Guerre montrera que la cohésion de cette armée était plus forte qu’on ne pouvait le penser, car elle restera engagée, non sans mérite, jusqu’à la fin du premier conflit mondial, et ne disparaitra qu’avec l’effondrement de la Double monarchie en 1918.
Ce sujet relevant de l’histoire de l’Europe centrale, aucune étude n’avait été réalisée à ce jour en France sur cette armée, et cette publication veut donc combler une lacune de l’histoire militaire récente.
HENRI ORTHOLAN, saint-cyrien, officier du génie, colonel (e.r.), a occupé le poste de conservateur du musée de l’Armée. Docteur en histoire, sa thèse porte sur Le général Séré de Rivières. Elle a été publiée en 2003 chez Bernard Giovanangeli Éditeur. Il a également publié chez le même éditeur plusieurs ouvrages sur la guerre de 1870 et sur la Grande Guerre. Il aussi est l’auteur de plusieurs articles sur les deux guerres mondiales et sur la IIIe République.
En présence de l’auteur, intervenant : Ferenc Tóth, professeur d’université (MTA BTK)
Entrée libre

Bogibar - Anniversaire, Concerts, DJs les 10, 11 et 12 mai 2019

Le BOGIBAR est un nouveau spot parisien, unique dans son genre : un bar qui n'ouvre ses portes qu'en tant que "bar polyvalent"

Pour présenter les possibilités multi-facettes du lieu, ses espaces et sa décoration modulables à la demande, le BOGIBAR organise une fête de 3 jours avec la participation de nombreux artistes internationaux. Et tout par hasard, c’est aussi l’anniversaire de Bogi !

PROGRAMME 1er jour

★Henri Gonzo (HUN) : leader du groupe hongrois le plus trendy Fran Palermo
★ Les Frères de la Roucoule (FRA) : fiesta ukulélé déjantée de Nanex Crooner et Poum Chak, musiciens des Touffes Krétiennes ;
★ DJ Palotaï (HUN) : le « Laurent Garnier hongrois ».
PROGRAMME 2ème jour

19h ★Dégustation de chutneys Mester Kamra et de vins de Tokaj Origo -- 10 euro

20h ★Ladell McLin (USA) : meilleur interprète du Chicago Blues de nos temps

22h ★DJ Modul aka Mango (HUN) : producteur incontournable de l’électro underground de Budapest.PROGRAMME 3ème jour

★ Soriba Sakho (SEN) : de douces mélodies mandingue pour clôturer doucement le festival de réouverture.
★DJ BLONDINO (HUN)

★ ★ Pas obligatoire de payer son billet d'entrée pour les concerts mais il est fortement conseillé de participer au chapeau – à prix libre !★

★ ★ ★Pendant tout le festival : exposition de jeunes artistes contemporains hongrois sur les murs.

BOGIBAR

54, rue Guy Moquet, Paris, 75017 Paris
 

dimanche 21 avril 2019

Ramona Horvath et Nicolas Rageau en concert au Sunside le 28 mai 2019 à 21 h


Pour la sortie de l’album “Le Sucrier Velours” chez Black & Blue

Ramona Horvath – piano ; Nicolas Rageau – c.basse ; Jean-Philippe Bordier – guitare ; Antoine Paganotti – batterie

Voici le troisième volet de la collaboration entre la pianiste Ramona Horvath et le contrebassiste Nicolas Rageau. Il émane de ce duo une recherche constante de musicalité et une joie évidente de jouer ensemble. Pour cette sortie de disque ils ont choisi de s'entourer de quelques amis talentueux musiciens. On se laisse happer par le discours joyeux et le swing élégant qui en jaillit. On adore.
Plus d'information et réservation sur sunset-sunside.com

Sunset-Sunside
60, rue des Lombards
Paris 1er arrondissement
INFOLINE +33 (0)1 40 26 46 60

Pierre Vasarely: son combat pour redonner vie à l’œuvre de son grand-père Victor

"Après une rétrospective au Centre Pompidou, à Paris, et la réhabilitation d’une fondation à Aix-en-Provence, le petit-fils du maître de l’art optique souhaite remettre le travail de son aïeul sur le devant de la scène. Une bataille menée contre vents et marées depuis près de trente ans par le descendant du plasticien franco-hongrois.
«Il m’a conditionné dès mon plus jeune âge en disant que je serais le futur président de la fondation», raconte Pierre Vasarely, dans son bureau au sein de la fondation, inaugurée en 1976, qui porte son nom. Il y travaille depuis les années 80 et la préside depuis dix ans. Ce petit-fils que Victor présentait comme son «ombre», supplantant ses deux fils, André et Yvaral, a dû mener, durant près de trente ans, un combat judiciaire, familial, financier pour sauver la fondation du dépôt de bilan, puis d’un arbitrage frauduleux, avant de tenter de récupérer les centaines d’œuvres qui en avaient été soustraites." La suite sur lefigaro.fr

L’Egypte et la Hongrie explorent des partenariats dans le secteur de l’élevage

"NEWSROOM (ADV) – Mona Mehrez, ministre égyptienne adjointe de l’Agriculture, des Ressources animales, de la Pêche et de la Volaille, a discuté lors d’une réunion avec l’ambassadeur de Hongrie au Caire, Peter Kveck, des moyens de renforcer la coopération bilatérale dans le domaine de l’élevage.
Au cours de la réunion, à laquelle ont assisté des représentants du Hunland, la plus grande société hongroise d’importation et d’exportation de bétail, les deux parties ont examiné la possibilité d’accroître les investissements hongrois en Égypte, a annoncé le ministère de l’Agriculture et de la Récupération des Terres dans un communiqué.
Le vice-ministre de l’Agriculture a convenu avec les représentants de la société hongroise d’importer des veaux Holstein de races bovines à double usage, pour les distribuer à de jeunes éleveurs, ce qui pourrait contribuer à augmenter la production animale du pays, a ajouté le communiqué." La suite sur africandailyvoice.com

samedi 20 avril 2019

Bande-annonce du drame Anna, un jour, film de Zsófia Szilágyi.

Bande-annonce d'Anna, un jour, drame visible dans les salles dès le 5 juin prochain.
Un film hongrois de Zsófia Szilágyi.
Un magnifique portrait de femme, juge Variety.
Anna a la quarantaine, trois enfants, un mari, un emploi et quelques soucis financiers. Elle passe son temps à courir, entre le travail, la maison et les enfants. Elle aime son mari, mais elle sent qu’elle est en train de le perdre. Submergée par le rythme frénétique de ses journées, elle se retrouve dans cette période fragile, où l’on ne sait comment changer, où l’on réalise qu’il y a des choses que l’on ne pourra pas recommencer. Anna arrivera-t-elle à sauver ce qui est précieux et unique dans sa vie ?

Source : leblogtvnews.com

 

Le GNL réduit les coûts de transport du hongrois Duvenbeck

"C’est pour économiser 20 % sur ses coûts de transport à travers l’Europe que le transporteur hongrois Duvenbeck Logisztikai a acheté début 2019 quatre Iveco Stralis NP 460 motorisés au gaz naturel liquéfié (GNL).
Avec ces quatre Stralis Natural Power, le transporteur magyar Duvenbeck innove. C’est la première fois qu’il s’essaie au GNL et ce sont les premiers Iveco qu’il intègre dans sa flotte de 140 poids lourds. Mais la maîtrise de la technologie GNL par Iveco, la capacité d’emport des Stralis NP 460 GNL : jusqu’à 18 tonnes de charge pour une autonomie de 1 100 km, ont convaincu le transporteur..." La suite sur flotauto.com

Face à Viktor Orbán, les « mèmes » c’est bien pour relativiser

"On était en colère et on a commencé à faire des mèmes simplement pour évacuer cette frustration, pour mieux la supporter".
Péter est un étudiant hongrois à Budapest. Il est loin d'être d'accord avec le régime de Viktor Orbán et avec la situation politique en Hongrie. Pourtant, comme une grande partie de la population, il ne milite pas au sein d'un parti d'opposition. Il ne tracte pas, ne manifeste pas, est loin de se considérer comme un activiste politique. "Les gens aiment juste rester assis chez eux, et agir comme s'ils savaient. Peut-être que nous sommes paresseux. Oui, on ne va pas manifester parce que, d'une certaine façon, c'est triste de le dire, mais c'est inutile", se justifie-t-il un peu mal à l'aise . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Le "protectionnisme" français dénoncé par quatre pays de l'Union européenne

"La Pologne, la Slovaquie, la Hongrie et la République tchèque qui forment le groupe dit de Visegrad, ont dénoncé "des mesures protectionnistes" qui seraient "préjudiciables" à l'Union européenne.
"Pour nous, la compétitivité est essentielle". Les ministres des Affaires étrangères des quatre pays du groupe dit de Visegrad, qui comprend la Pologne, la Slovaquie, la Hongrie, et la République tchèque, ont dénoncé des "mesures protectionnistes" défendues, selon eux, par la France. Ils rencontraient jeudi 18 avril le ministre des Affaires étrangères français Jean-Yves Le Drian à Bratislava.
Travailleurs détachés, réforme des conditions de travail et de rémunération des chauffeurs routiers à l'international, propositions d'harmonisation fiscale... les points de désaccord entre les pays du groupe de Visegrad et la France sont nombreux." La suite sur boursorama.com

#BusEuropeF24, 4e étape : les slogans anti-immigration de Viktor Orban fleurissent en Hongrie

"À moins de deux mois des élections européennes, France 24 a lancé un "Bus de l’Europe" pour sillonner dix pays européens. Quatre reporters embarqués vont à la rencontre des électeurs. Quatrième escale : Budapest, en Hongrie.
À quelques semaines des élections européennes du 26 mai, des affiches anti-européennes et anti-immigration fleurissent un peu partout en Hongrie. "Le gouvernement dépense des sommes colossales pour alarmer les gens sur l'immigration", commente Daniel, étudiant de 26 ans, au micro de France 24.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban va une nouvelle fois profiter du scrutin européen pour tirer à boulets rouges sur la vision "libérale" des pays de l’ouest de l’Union européenne. "Les Britanniques s'en vont, les migrants arrivent, c'est le bilan de la Commission Juncker", a notamment lancé le leader du Fidesz lors du lancement de la campagne de son parti, début avril." La suite sur france24.com

vendredi 19 avril 2019

Almanach de Peter Nadas

Un écrivain hongrois qui vit à la campagne décrit mois après mois le cours d’une année. Il se demande si c’est la dernière, revisite ses souvenirs, écrit le présent au fil de son passage.
Mêlant l’essentiel au dérisoire, suivant le fil ténu de pensées qui vont et viennent, Péter Nádas livre ici un livre aussi intime que profond.

Péter Nádas

Né en 1942 à Budapest, Péter Nádas a longtemps été journaliste et surtout photographe, tout en publiant ses premiers livres dès la fin des années 1960. Depuis le milieu des années 1980 et Le Livre des Mémoires, il est considéré comme l’un des plus grands romanciers de son époque, auteur d’une œuvre fascinante et complexe, partiellement traduite en français. 
 
Traduit du hongrois par Marc Martin
Éditions Phébus
Date de parution : 18/04/2019
Format : 14 x 20,5 cm, 336 p., 22,00 EUR €
ISBN 978-2-7529-1149-0
 

Viktor Orbán, un ami qui veut du bien à Laurent Wauquiez

"Le Premier ministre hongrois ne tarit pas d'éloges sur le président du conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes."Laurent Wauquiez, c'est mon ami". Quand il parle de Laurent Wauquiez, Viktor Orbán est laudatif. Dans Le Point de cette semaine, le Premier ministre hongrois - dont la formation, le Fidesz, vient d'être suspendue par le Parti populaire européen (PPE) en raison de ses dérapages diffamatoires et conspirationnistes envers Bruxelles - explique avoir "beaucoup d'amis en France" : Nicolas Sarkozy "bien sûr", Jacques Chirac "qui m'a toujours bien reçu", Valérie Giscard d'Estaing, "une référence que j'essaie de voir chaque fois que je viens à Paris". Et donc aussi le président du conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes." La suite sur lyoncapitale.fr

Portrait d’Européen. Viktória, journaliste hongroise résistante

"Viktória Serdült est journaliste. Cette spécialiste des affaires européennes pour le site de l’hebdomadaire hongrois de référence HVG s’inquiète de l’avenir des médias et des libertés fondamentales sous Viktor Orbán. De notre correspondant en Hongrie.
Assise à la terrasse d’un café proche du Danube et du Pont de la Liberté, Viktória Serdült, jetant un regard vers la foule de la place F?vám Tér, se demande comment diable structurer sa pensée sur la radicalisation politique de Budapest depuis le retour au pouvoir de Viktor Orbán lors des législatives de mai 2010, sa vision de l’Europe et la difficulté croissante d’exercer sa profession en Hongrie, tant elle aurait de quoi dire en quinze années d’expérience coïncidant avec l’entrée de son pays dans l’Union européenne." La suite sur letelegramme.fr

Szeged jadis inondée aide Notre-Dame aujourd'hui brûlée

"140 ans avant le drame de l'île de la Cité, la localité de Szeged fauchée par une inondation fut reconstruite grâce aux dons de nombreuses villes dont Paris, à qui elle vient d'offrir 10.000 euros.
«La catastrophe s'est produite. Szeged est sous les eaux. Les maisons s'écroulent. Les cloches ont sonné à 2h15 du matin. Des milliers de personnes traversent le pont-levant et se ruent vers Újszeged. Le vent colporte les appels au secours. Beaucoup n'ont pu sauver que leur modeste existence. Seuls les alentours du Palánk peuvent être empruntés les pieds au sec. L'eau continue de monter charriant bœufs et chevaux morts. Les soldats portent vers les remparts les gens frigorifiés et évanouis de peur. La synagogue est trempée, les églises et le lycée débordent de rescapés. L'eau aura tout envahi d'ici ce soir.» Le télégramme transmis au Premier ministre Kalmán Tisza est à la mesure du désastre en cours." La suite sur slate.fr

Les entreprises étrangères, plus que jamais choyées sur le sol hongrois

"Le Premier ministre Viktor Orban promettait pourtant de lutter contre le capital étranger.
L’illibéralisme prôné par l’homme fort de Budapest est-il en réalité un ultralibéralisme ? Ces derniers mois, la petite ville de Rajka et sa région, dans le nord-ouest de la Hongrie, ont vu s’installer quantité d’entreprises slovaques. Ou plutôt leurs boîtes aux lettres… Rien que sur le premier trimestre de cette année 2019, ce sont près de deux cents sociétés slovaques qui ont fait le choix de délocaliser leur siège social dans la Hongrie voisine. La Slovaquie a beau être son troisième partenaire commercial, et les relations entre les deux pays meilleures qu’elles ne l’ont jamais été, cela n’explique pas tout. Alors, que vont-elles y chercher ?" La suite sur lalibre.be (article payant)

Dans une barque - sur l'eau - la nuit. Révész.

RÉVÉSZ
 traversée solitaire et nocturne en barque 
Rendez-vous au coucher du soleil. Quelqu’un viendra vous chercher pour vous emmener au bord de l’eau, puis vous guider en barque vers l’autre rive. Sommes-nous au temps des déluges, des catastrophes écologiques ? Sommes-nous au temps d’exode de réfugiés cherchant terre d’accueil ? Sommes-nous au temps d’un régime politique qui atteint nos libertés fondamentales ? Ou sommes-nous tout simplement morts, et il s’agit de Charon qui nous amène sur les terres de Hadès ? 
Comme beaucoup avant vous, vous allez pénétrer dans la Zone. Ce qui y adviendra ne dépend que de vous.  Un voyage à l’intérieur de vous-même autant qu’une traversée dans l’obscurité.

D'après une libre interprétation de « Stalker » d’Andreï Tarkovski.
> vendredi 26 et samedi 27 avril avec L’Atelline au Lac du Salagou (34)
> samedi 1er juin avec La Lisière dans le cadre du festival De jour // De nuit (91)
> mercredi 5, jeudi 6 et vendredi 7 juin au festival Furies (51)
> mercredi 21, jeudi 22, vendredi 23, samedi 24 août au festival d’Aurillac (IN) avec le soutien de la SACD / Auteurs d’Espaces (15)
> vendredi 27 et samedi 28 septembre avec Territoires Imaginaires dans le cadre du festival de L’eau de là (option) (44)
Spectacle pour 1 seul spectateur.
Durée 58 minutes. 
 Jauge très limitée, réservation obligatoire, 30 places par nuit. 

Réservation indispensable.
La frontière entre la fiction et la réalité se brouille. Le spectateur est au coeur de l'action. Sa pudeur est respectée en toute circonstance. Tels sont les fondements du GK Collective.   
Copyright © GK Collective, 2019. All rights reserved.

Distribution
Isabelle Hazaël, comédienne / Rachel Huet-Bayelle, comédienne / Morgane Le Rest, comédienne / Arnaud Lesimple, comédien / Quentin Pradelle, comédien / Julien Prévost, comédien / Guillaume Landron, scénographe / Fabien Lartigue, dramaturge, création sonore / 
Gabriella Cserhati, metteur en scène
Avec le soutien de la SACD / Auteurs d’Espaces, La Région Ile-de-France, l’ADAMI, la Spedidam, Animakt – lieu de création pour les arts de la rue, de la piste et d’ailleurs et le Domaine Départemental de Chamarande (91) dans le cadre du dispositif SACD « Écrire pour la Rue », Le Boulon, CNAREP à Vieux Condé (59), Le Citron Jaune, CNAREP à Port-Saint-Louis du Rhône (13), L’Atelline – lieu d’activation art et espace public (34), Le Palc – pôle national des arts du cirque et de la rue en préfiguration (51) ; projet accueilli en résidence par le POLAU – pôle arts et urbanisme (37) et La Lisière – lieu de résidence pour les arts de la rue et les arts dans l’espace public en Ile-de-France (91).
CONTACTS

Réservation 
Auprès de chaque organisateur.

GK Collective - Laboratoire de Recherche Théâtrale
+33 (0)6 60 71 80 21
contact@gkcollective.org
http://gkcollective.org


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