lundi 31 décembre 2018

Eszter Forrai - Exposition collective de peintures du 8 au 19 janvier 2019 Galerie La Capitale

Vernissage le 8 janvier 2019
La Capitale Galerie
18 rue du Roule
75001 Paris
Tél. 01 42 21 19 31
info@lacapitalegalerie.com

dimanche 30 décembre 2018

Deux trafiquants de chiens en route vers la Belgique arrêtés en Allemagne: ils voyageaient dans des conditions déplorables !

"La police a intercepté un convoi de 37 chiots en route vers la Belgique lors d'un contrôle sur l'A6 à Waidhaus (Bavière, sud). Les occupants du véhicule, deux Hongrois de 43 et 41 ans, ont été interpellés, a indiqué la police fédérale allemande, citée par le site d'information BR24. Les animaux - des huskys, carlins, terriers du Yorkshire, bichons havanais et maltais, ainsi que des bulldogs anglais et français - voyageaient dans des conditions déplorables, coincés dans des cages à hamster, des boîtes et des casiers. Ils étaient arrivés en Allemagne depuis la Hongrie, via la Tchéquie." La suite sur dhnet.be

Des monuments et des hommes Hongrie : la synagogue Dohany de Budapest

"En prolongement de la collection "Monuments sacrés", cette série documentaire nous entraîne à la découverte de quinze édifices religieux exceptionnels. À Budapest, capitale hongroise née de la fusion de trois villes, l’influente communauté juive a érigé la deuxième plus vaste synagogue au monde.
À l’intérieur sont conservées les Torah sacrées, sources de toute la liturgie juive. Zsuzsanna Toronyi, la conservatrice en chef du musée Dohány, dévoile les trésors de la collection d’objets sacrés entreposée dans les salles des archives. Ivan Fischer, chef d’orchestre, pianiste et figure éminente de la culture juive hongroise, nous invite ensuite à la répétition de son prochain concert."
26 min
Disponible le 16/01 à 5:00
Disponible en direct : oui
Prochaine diffusion le mercredi 23 janvier à 17:35

A voir sur arte.tv

samedi 29 décembre 2018

La statue d'Imre Nagy à Budapest quelques heures avant son déplacement - Photo Edit Dávid

Photo copyright : Edit Dávid

"J'ai réalisé cette photo hier [jeudi 28 décembre 2018], je ne savais pas que ce serait l'ultime instant." Edit Dávid
Tegnap készítettem.... nem tudtam, hogy az utolsó pillanat – à Budapest.

Présentation de livre - László et Nathalie Gara : Saint-Boniface et ses habitants 23 janvier 2019 à 19h30 Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

En 1942, à Saint-Boniface, petit village français de la zone libre, se produit un événement unique, une invasion de citadines. L’arrivée dans ce village modeste, déjà divisé entre catholiques et protestants, apporte naturellement d’importantes perturbations. Il en résulte des situations d’une cocasserie extrême, parfois aussi des drames éclatent. Saint-Boniface et ses habitants est une satire magistrale de la vie de tous les jours, à une époque tourmentée, tracassière et cruelle où l’arbitraire des événements a jeté des ours et des sauterelles dans une même creuset. Les auteurs, Nathalie et Ladislas Gara, journalistes et traducteurs dans le Paris des années 1930, sont allés se cacher, après diverses étapes, au coeur de la montagne ardéchoise et protestante, non loin du plateau du Chambon-sur Lignon où Camus, au même moment, commence à écrire La Peste. Ils rédigent, depuis leur refuge secret, ce livre nourri de leurs expériences. Publié dès 1946 sous le titre Saint-Boniface et ses juifs, le livre peut être lu comme un témoignage de première main sur la vie dans la zone non occupée au cours de l’été 1942. Mais il est d’abord et surtout un grand roman, un morceau de cette comédie humaine, grouillante, ridicule, touchante, que les périodes de crise révèlent si crûment.

Intervenants : Anna Tüskés, Claire Gara-Meljac, Olivia Farkas, André Farkas, Christophe Dauphin
Entrée libre

Cinéma - Sindbad, réalisé par Zoltán Huszárik 22 janvier 2019 à 19h30 Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Littérature et cinéma en Hongrie (1949-2000) : Passages, résonances, surgissements
Szindbád, 1971, 90min, VOSTFR
Ce cycle vise à questionner l’adaptation cinématographique d’œuvres littéraires en Hongrie à partir de 1949 et jusqu’au début des années 2000. Explorant trois périodes historiques (empire austro-hongrois, Seconde Guerre mondiale, période communiste), les films proposés cette année donnent l’occasion d’interroger l’enjeu du temps historique au cinéma. Dans quelle mesure, à partir de récits littéraires, les cinéastes poétisent-ils l’Histoire, entremêlant dans le présent du film le temps d’avant et le « temps d’après » (J. Rancière) ? Cycle conçu et animé par Mario Adobati, Damien Marguet et Mathieu Lericq.
Szinbád, sur son lit de mort, se remémore ses amours passées et tous les cœurs qu’il a brisés. Il confesse alors une vie de faussaire hédoniste, hantée par la haine de soi, obsédée par les plaisirs du corps et de la table.
Séance présentée par Mario Adobati.
Entrée libre

Concours de traduction de l’Institut hongrois Remise des prix 29 janvier 2019 à 19h30

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Remise des prix aux lauréats sélectionnés par le jury composé de Catherine Fay, traductrice littéraire et András Kányádi, maître de conférences à l’INALCO. Pour la cinquième édition du concours, les candidats étaient invités à traduire en français des extraits du roman A dögelatakarító de Zoltán Danyi (Magvető, Budapest, 2015).
Entrée libre

Hongrie: la seconde mort d´Imre Nagy. (Récit d´une exécution posthume)

Par Pierre Waline

"C´était l'un des monuments les plus photographiés de Budapest. La statue d´Imre Nagy, appuyé au parapet d´un pont en bronze face au Parlement, faisait la joie des touristes. Mais voilà qui est bien fini. Ceux qui, sur les conseils de leur guide, viendront l´y chercher, ne la trouveront plus: elle a été démontée dans la nuit du 28 décembre pour se voir reléguée loin de là dans un square isolé.

Pourquoi donc? Selon la version officielle: restituer aux abords du Parlement leur aspect d´avant-guerre. Autre explication, celle-ci non officielle: l´hostilité affichée par Viktor Orbán et ses proches vis-à-vis d´Imre Nagy. Taxé d´avoir été „un communiste pur et dur, suppôt de la Russie stalinienne” (!). Or, Imre Nagy, exécuté en 1958 est considéré comme le héros de la Révolution de 1956. Membre du Parti communiste, certes, voire Président du Conseil, mais qui se rallia aux revendications des insurgés face à l´occupant soviétique. Au point que, sous sa conduite, le pays connut quelques jours de liberté avec le départ des tanks russes. Tanks qui devaient revenir la nuit du 4 novembre pour occuper la capitale et écraser la Révolution. A la suite de combats qui devaient encore durer une dizaine de jours, sous la conduite d´Imre Nagy en personne. Une fois la révolution matée, Imre Nagy fut arrêté pour être jugé et pendu en juin 1958. Une personnalité dont la mémoire est depuis honorée dans le monde entier, toutes tendances politiques confondues. Sauf, apparemment, par Viktor Orbán et sa cour…" La suite sur francianyelv.hu

vendredi 28 décembre 2018

Hongrie. Viktor Orban fait enlever la statue du héros national Imre Nagy à Budapest

"La statue d’un héros national a été enlevée ce vendredi matin dans la capitale hongroise. À la place, sera érigé un monument pour les « victimes de la terreur rouge » de 1919.
Dans la nuit de jeudi à vendredi 28 décembre, les autorités hongroises ont procédé au démontage de la statue d’Imre Nagy qui se tenait jusqu’à présent face au Parlement. Celle-ci sera placée dans un square isolé. Officiellement, il s’agit de rendre à la place son aspect d´avant-guerre.
Cette statue est pourtant mise en avant par les guides touristiques parlant de Budapest. Il s’agit d’une des statues les plus photographiées de Budapest, installée depuis 1996 sur un pont en bronze de la place Kossuth, explique le site du Courrier de l’Europe centrale. Imre Nagy est en effet considéré comme un héros national en Hongrie. Il était un des chefs du soulèvement hongrois de 1956, qui fut écrasé par l’armée rouge. Imre Nagy a été emprisonné et exécuté en 1958." La suite sur ouest-france.fr

Sur la place du Parlement, le pouvoir hongrois efface la mémoire de l’insurrection de 1956

"L'iconique statue d'Imre Nagy, exécuté par le pouvoir communiste en 1958 et martyr de l'insurrection de Budapest, va être transférée des abords du Parlement sur Jászai Mari tér. La place Kossuth retrouvera ainsi son aspect de l'entre-deux-guerres.
Il s'agit d'une des statues les plus photographiées de Budapest. Installée depuis 1996 sur un pont en bronze au sud-est de la place Kossuth, la ronde-bosse de l'ancien chef de gouvernement hongrois Imre Nagy, martyr de l'insurrection de 1956 exécuté par le pouvoir communiste en 1958, devrait bientôt perdre sa vue sur le Parlement hongrois. Le conseil des lieux de mémoire nationaux d'exception (KNEB) a donné son feu vert vendredi pour son déménagement sur Jászai Mari tér, le jardin public situé aux abords du pont Marguerite . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

SZIGET FESTIVAL 2019 - Les premiers noms sont annoncés !

Après une 26ème édition fêtée en grande pompe, le plus grand festival open air d’Europe revient du 7 au 13 août pour une édition 2019 qui s’annonce des plus fameuses. La recette reste inchangée : des centaines de concerts, des artistes de tous les calibres et de tous styles, un public qui vient du monde entier, une île et beaucoup de liberté… Ce savant cocktail alliant musique, tourisme et activité diverses s’apprête à accueillir à nouveau près de 500 000 festivaliers cette année.
Et voici les premiers noms annoncés pour cette édition 2019 :
Foo Fighters, Ed Sheeran, Florence + The Machine, Twenty One Pilots, The 1975, Martin Garrix, Richard Ashcroft, Catfish & The Bottlemen, Chvrches, Jungle, Kodaline, The Blaze, Maribou State, IDLES, Frank Turner & The Sleeping, Souls, Pale Waves, Parcels, Of Mice & Men, Superorganism, Boy Pablo, Frank Carter & The Rattlesnakes, Gang Of Youths, Alma, Yungblud, Tamino. 
Le Sziget Festival 2019 se déroulera du 7 au 13 août à Budapest en Hongrie.

Infos & tickets sur www.szigetfestival.com
Un festival NRJ, Hit Music Only !
Source : nrj.be

Un Belge, «agent du réseau Soros», menacé de huit ans de prison en Hongrie

"Doctorant à l’Université d’Europe centrale à Budapest financée par George Soros, le Belge Adrien Beauduin risque de deux à huit ans de prison. Lors d’une manifestation en décembre, il a été arrêté pour violence en groupe contre l’autorité publique. Une accusation que nie celui que les médias gouvernements présentent comme un « agent du réseau Soros »." La suite sur lesoir.be (article payant)

jeudi 27 décembre 2018

New Year's Party au Bogibar lundi 31 décembre 2018 de 19 h à 2 h

BOGIBAR
54, rue Guy Moquet, Paris, 75017 Paris

Métro : Guy Moquet

Soirée Nouvel An !
Au menu : spécialités hongroises et à minuit, un plat spécial Nouvel An !
Derrière les platines : DJ Blondino de Budapest ! Nous allons danser jusqu'à l'aube sur des tubes cultes des années 2000 jusqu'à nos jours ! En plus, il y aura une SURPRISE ! :)

Bonne année, bonne santé à Toutes et à Tous !

Tánc hajnalig DJ Blondinoval, a budapesti fenegyerekkel, ő pörgeti majd a lemezeket. Ismert slágerek spéci válogatásban! És egy meglepetésre is számíthatnak a kedves vendégek! :)

Sok szerettel várunk Titeket!
És Minden Kedves Vendégünknek Nagyon Boldog Új Évet Kívánunk!

Viktor Orban essaie de stopper la dénatalité en Hongrie

"La population vieillit et diminue. L'État, toujours hostile à l'immigration, multiplie les aides pour aider les familles.
«J'aimerais établir un accord avec les femmes hongroises sur vingt à trente ans, pour que l'avenir hongrois leur offre des perspectives stables, car la démographie dépend crucialement d'elles, c'est leur décision.» Ainsi parlait Viktor Orban, à la suite de sa réélection en avril dernier à la tête de l'exécutif hongrois. «Avoir des enfants, c'est une affaire très personnelle mais c'est important pour la communauté. C'est au gouvernement de faire en sorte que, si les femmes ont envie d'avoir des enfants et qu'elles souhaitent donner leur point de vue, qu'elles soient écoutées et comprises», poursuivait le premier ministre.
Avec moins de 1,5 enfant par femme en moyenne, la Hongrie continue de voir sa population décliner depuis 1980. Chose promise, chose due. Depuis novembre, une nouvelle consultation nationale sur le soutien aux familles a été envoyée à près de 8 millions de Hongrois sur une population de moins de 10 millions. Ils avaient jusqu'au 21 décembre pour la ..." La suite sur lefigaro.fr (article payant)

mercredi 26 décembre 2018

Voyage. Une promenade à flanc de coteau à Somló, le plus petit vignoble de Hongrie

"Terre de vignes et de roches basaltiques, cette région de l’Ouest hongrois est dominée par un mont qui offre un panorama unique sur les paysages alentour. Un bonheur pour les amateurs de vin et de marche.
Dans d’autres régions viticoles, il faudrait une journée de promenade pour apprécier tout un monde de rochers et de forêts, découvrir les ruines d’un château, puis se reposer sur un belvédère ou à l’ombre des vignes. Ici, dans le plus petit des vignobles de Hongrie, ces sensations sont accessibles en deux petites heures.
Le lieu est idéal pour les néophytes comme pour les marcheurs chevronnés. La singularité de Somló ne réside pas tant dans ses roches et ses chapelles, mais dans un environnement extraordinaire où se mêlent des curiosités uniques et inégalables pour qui prend la peine d’y regarder de plus près.

Les Romains faisaient déjà l’éloge des vignes de Somló
Vieux de 3,5 millions d’années, le mont Somló [431 mètres] est l’un des plus majestueux représentants du relief basaltique de la Transdanubie." La suite sur courrierinternational.com (article payant)

mardi 25 décembre 2018

Pour enfants - Présentation du livre Hiver de Laposa Julcsi 19 janvier 2019 à 16h Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Photo : László Perger, 2017

HIVER : nuances sonores et visuelles de la musique traditionnelle hongroise / Album de coloriages accompagné de chants pour enfants
Le dernier album de coloriages de Julia Laposa (musicienne et médiatrice spécialiste de la musique traditionnelle hongroise, lauréate du prix Junior Prima) est enfin disponible à Paris. La présentation de l’album dont le texte et les coloriages permettent aux petits et aux grands de découvrir la musique et les couleurs de la culture traditionnelle hongroise sera agrémentée de diverses activités interactives.
« Venez découvrir les costumes traditionnels de l’hiver, les broderies, les coutumes locales et les chansons folkloriques dans la région des Carpates tout en écoutant le CD qui accompagne l’album.
C’est parti ! chantez, coloriez, jouez ! »
Entrée libre

Marché de gâteaux 19 janvier 2019 de 15h à 19h Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Budapest la Douce a le plaisir de vous proposer ses délicieux gâteaux hongrois le premier et le troisième samedi du mois de 15h à 19h à l’Institut Hongrois de Paris.
Venez retrouver les grandes classiques de la pâtisserie hongroise : beiglis aux pavots et aux noix, gerbeauds, strudels aux griottes, boules de coco, biscuits linzer, gâteaux aux pommes à la cannelle, flodnis, mignons et petits pogatchas au fromage. Dégustation sur place ou à emporter.
N’hésitez pas à commander vos gâteaux, vos tartes ou vos plats préférés jusqu’à jeudi midi (un minimum de commande est requis) par message au +33 6 19 17 74 47 ou par e-mail au
budapestladouce@gmail.com ou par messenger sur notre page Facebook.

Politique - L’illibéralisme n’est pas franchement social

"Le pouvoir hongrois s’est d’abord attaqué aux journalistes et aux juges, avant de s’en prendre aux droits des salariés. Un grand classique.
Viktor Orban est un chantre de l’illibéralisme, qu’il met en œuvre en Hongrie. Pour lui, cette notion de liberté, qui est au cœur des démocraties occidentales, doit être relativisée, au profit d’une souveraineté populaire qui défende les intérêts nationaux.
C’est ainsi que le pouvoir en place dans ce pays a commencé par limiter le droit à une information et à une justice indépendantes. C’est au nom de la protection de l’identité hongroise qu’il refuse toute immigration, mais aussi l’accueil de réfugiés, malgré les conventions internationales..." La suite sur lavoixdunord.fr (article payant)

lundi 24 décembre 2018

Paris est une fête (de Noël) (un peu cheloue)

"Cette semaine, l’Agenda du Loisirs français a posé ses valises à Paris, plus belle ville d’Île-de-france, où Noël se fête de mille façons. Grosse folie des pop-up stores qui essaiment dans la capitale durant la période de Noël –sans compter toutes les boutiques rendues éphémères malgré elles depuis le mouvement des «gilets jaunes».
Ne manquez pas notre sélection de soirées de Noël dépaysantes et chaleureuses au coeur de la capitale: du réveillon de Noël festin hongrois et musiques d’Afrique au Bogibar au réveillon raclette et karaoké casher dans le 12e en passant par celui des «gilets jaunes»." La suite sur slate.fr

Activistes, députés et simples citoyens furieux: l’opposition en Hongrie

"Va-t-on vers une révolution « paprika » en Hongrie ? « Paprika » pour le nom de l’épice nationale. En tout cas plusieurs milliers, parfois jusqu’à 20 000 Hongrois sont dans les rues depuis plusieurs semaines. A l’origine de la colère, une réforme du Code du travail qui autorise l’employeur à porter les heures supplémentaires jusqu’à 400 par an et à ne les payer qu’au bout de trois ans. Une contestation qui s’est élargie à d’autres thèmes." A écouter sur rfi.fr

En Hongrie, la contestation anti-Orban prévue pour durer

"Pour la sixième fois en moins de deux semaines, des milliers de Hongrois ont pris la rue à Budapest et en province ce week-end des 22 et 23 décembre contre la loi travail promulguée jeudi 20 décembre et le « régime de Viktor Orban ». La contestation doit se poursuivre après les fêtes.
Bonnets sur la tête, Jakab et Laszlo (prénom modifié) scandent « sale Fidesz », parti du premier ministre hongrois, face à la résidence du président de la République hongroise. Ce dernier avait ratifié la veille une loi autorisant quatre cents heures supplémentaires par an, et une autre disposition instaurant un nouveau système de tribunaux administratifs, placé sous la coupe du ministère de la justice. Ils sont plusieurs milliers à avoir fait le déplacement ce vendredi 21 décembre jusqu’à la colline du château de Budapest pour manifester leur mécontentement.« Ce gouvernement cynique se permet tout », affirme Laszlo, 18 ans qui passera son bac l’an prochain. « L’équipe en place ne consulte personne et ne rend plus aucun compte aux citoyens », continue le lycéen...." La suite sur la-croix.com (article payant)

dimanche 23 décembre 2018

Exposition - Lajos Szalay : La ligne maîtresse du 18 janvier au 27 mars 2019 Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Information : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Cargando muerte, 1947

Vernissage le 17 janvier à 19h
Originaire de Hongrie, dans une Europe Centrale prospère grâce à sa position de carrefour économique et historique, Lajos Szalay fréquente l’École des Beaux-arts de Budapest. En 1946, grâce à une bourse d’études, il quitte son pays natal pour rejoindre Paris. Il y passera deux ans avant de s’installer en Argentine où il enseignera pendant plus de dix ans et formera toute une génération d’artistes. Le travail de Szalay se caractérise par la maîtrise de la ligne ; il révèle tout un univers de ressources et de techniques. Dans ses dessins la ligne anime l’espace, le spectateur est invité à suivre sa trajectoire, à percevoir la structure d’une forme implicite et en perpétuel devenir.
Évoquant son talent, Pablo Picasso a affirmé : « Après moi, l’artiste hongrois Lajos Szalay est probablement le plus grand dessinateur du monde. » Réunis au sein d’une Fondation pour la reconnaissance de son art, médiateurs, héritiers et artistes actuels offrent une vision exceptionnelle de son œuvre qui s’inscrit, de l’Occident à l’Orient, entre tradition et modernité.

Conférence Mythe et réalité: la reine Elisabeth (Sissi) en Hongrie 15 janvier 2019 à 19h30 Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Mihály Zichy: La reine Elisabeth au catafalque de Ferenc Deák

Conférence donnée par Eszter Virág Vér
L’image d'Elisabeth (Sissi) véhiculée aujourd’hui trouve sa source à l’époque de la monarchie austro-hongroise et s’inspire des traditions et des mythes propres à la culture hongroise. L’interprétation donnée par Romy Schneider dans le film biographique l’a toutefois sensiblement transformée.
À l’occasion de sa conférence, l'historienne Eszter Virág Vér (enseignante-chercheuse au département des sciences annexes de l’histoire à Université Eötvös Loránd) propose de clarifier le contexte qui a permis le développement de ce culte.
Elle révélera certains détails de la vie d’Elisabeth, notamment ses liens avec la Hongrie, sa pratique de la langue, ou encore les moments remarquables que représentaient ses visites en Hongrie. Elle abordera également son engagement politique éventuel au travers de son rôle dans le compromis autro-hongrois.
Entrée libre

Catherine Horel : De l’exotisme à la modernité. Un siècle de voyage français en Hongrie (1818-1910) - 9 janvier 2019 à 19h30 Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Cette étude des écrits des visiteurs français partis à la découverte de la Hongrie du XIXe siècle suit les transformations à la fois des moyens de voyager (depuis les temps pionniers, au lendemain des guerres napoléoniennes, jusqu’à l’époque des trains de luxe) et des perceptions d’une Hongrie qui se débarrasse lentement de la connotation presque orientalisante qui était la sienne, au tournant des Lumières, et qui surmonte peu à peu ses archaïsmes sociétaux. Ingénieurs, savants, journalistes : de nouvelles catégories d’observateurs apparaissent. Après le compromis de 1867 qui octroie enfin l’autonomie politique de la Hongrie et avec le brillant développement urbanistique de Budapest, se déclenche un véritable enthousiasme qui va culminer en 1896, avec les célébrations du Millénaire hongrois.
En présence de l’auteur, Catherine Horel, et de Professeur Nicolas Bourguinat
Entrée libre

Hongrie : le gouvernement discrédite les manifestants

"En Hongrie, le mouvement de protestation contre le gouvernement de Viktor Orban se poursuit. C'est une modification du code du travail, qui porte à 400 le nombre d'heures supplémentaires légales par an qui pousse les Hongrois dans la rue. Le gouvernement tente aujourd'hui de discréditer le mouvement et affirme que les manifestants seraient dirigés par George Soros, milliardaire américain devenu la bête noire du parti au pouvoir. Et cette rhétorique complotiste a trouvé son ennemi idéal." Source et vidéo sur arte.tv

Le doctorant belgo-canadien arrêté à Budapest conteste son inculpation

"Il risque entre deux et huit ans de prison.
Adrien Beauduin, le Belgo-canadien de 32 ans qui a été arrêté le 12 décembre dernier alors qu’il manifestait en compagnie d’autres étudiants à Budapest, conteste son inculpation et «a fait appel des accusations», a-t-il indiqué samedi à l’agence Belga.
Le doctorant à la Central European University (CEU) manifestait dans la capitale «pacifiquement», selon ses dires, contre la loi hongroise assouplissant le temps de travail, une réforme très controversée voulue par le Premier ministre Viktor Orban." La suite sur lesoir.be

samedi 22 décembre 2018

Hongrie : mettre fin à la dérive autocratique de Viktor Orbán

"Depuis déjà une semaine, des milliers de personnes battent de nouveau le pavé à Budapest et ailleurs en Hongrie, bravant le froid, pour s’opposer à une série de nouvelles lois du gouvernement de Viktor Orbán. C’est l’adoption par le Parlement de deux lois en quelques heures à peine qui aura mis le feu aux poudres. Celle qui est surnommée «la loi esclavagiste» permettra aux employeurs d’exiger de leurs employés jusqu’à 400 heures supplémentaires par an, payables jusqu’à trois ans plus tard.
La seconde établit une nouvelle juridiction administrative qui traitera un large éventail de litiges, dont les affaires électorales, les cas de violence policière, l’asile et les marchés publics. A première vue, pas de scandale. Sauf qu’il reviendra au ministre de la Justice, membre de l’exécutif en même temps que membre du Fidesz, d’en nommer tous les juges censés obliger cette même administration dominée par le parti au pouvoir à rendre des comptes. Ce camouflet au principe de séparation des pouvoirs intervient à un moment où le gouvernement Orbán se débat contre de multiples allégations de corruption, de clientélisme et d’irrégularités, y compris quant à l’utilisation de fonds européens." La suite sur hrw.org

Hongrie: des milliers de manifestants contre la réforme du temps de travail

"En Hongrie, plus de 5 000 manifestants ont défilé ce 21 décembre à Budapest au lendemain de la promulgation de la loi hongroise assouplissant le temps de travail, une réforme très controversée qui a déclenché une vague de manifestations depuis dix jours.

Les Hongrois ont défilé dans la bonne humeur ce 21 décembre à Budapest, la capitale. Le Parti satirique hongrois a ouvert la marche avec un discours ironique : « Merci au gouvernement, Grâce à la loi sur les heures supplémentaires, on va enfin pouvoir travailler huit jours sur huit »." La suite sur rfi.fr

Chronique des médias - L’information d’État, de la Russie à la Hongrie

"Aujourd’hui, l’information d’État est à l’œuvre en Hongrie, où les médias proches de Viktor Orban se regroupent dans une fondation et en Russie où le gendarme des télécoms enquête sur les activités russes de la BBC.C’est devenu une règle de réciprocité : il suffit que l’autorité de régulation d’un pays occidental mette en cause un média russe pour que le gendarme des télécoms en Russie, Roskomnadzor, inquiète un média de l’Ouest. En juin, France 24 avait été accusée d’avoir violé la loi russe sur les médias lorsque le CSA avait reproché à RT France, la chaîne de Russia Today, un manquement à l’information sur la Syrie. Cette fois, c’est la chaîne BBC World News qui est dans le collimateur du régulateur russe qui a déclenché hier une enquête à son encontre." La suite sur rfi.fr

Le premier ministre hongrois qualifie d'"hystériques" les manifestants qui s'opposent à sa "loi travail"

"Alors que la loi hongroise assouplissant le temps de travail vient d'être votée, Viktor Orban juge que les opposants "hystériques" véhiculent des "mensonges sans limite".
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a défendu vendredi sa réforme très controversée du temps de travail, une "bonne" loi "pour que ceux qui veulent gagner plus" contestée par des opposants "dont les mensonges n'ont pas de limite", selon lui.
Le dirigeant national conservateur a expliqué lors d'un entretien sur la radio publique que le but de la réforme était de "simplement supprimer les régulations inutiles, pour que ceux qui veulent gagner plus puissent travailler plus"." La suite sur bfmtv.com

Hongrie. La loi sur le temps de travail est validée malgré la contestation

"Une manifestation est prévue ce 21 décembre au soir pour réclamer au président János Áder de revenir sur sa validation, le 20 décembre, du texte sur l’extension du plafond des heures supplémentaires qu’un patron peut demander à ses employés. Cette loi est dénoncée par les Hongrois depuis près de dix jours. Les médias locaux rivalisent de commentaires.
“La modification du Code du travail ne peut être un obstacle à ce que le Noël des salariés soit béni, que la période des fêtes soit paisible et que la nouvelle année soit calme.” Neuf jours après le vote chaotique de l’extension de 250 à 400 du nombre annuel d’heures supplémentaires qu’un patron peut demander à ses employés, le président János Áder officialise en douceur à la fin de son communiqué l’application au 1er janvier de cette mesure controversée, en dépit d’une vague de mécontentement singulière en Hongrie." La suite sur courrierinternational.com (article payant)

Hongrie : des milliers de manifestants dans la rue contre une réforme du droit du travail

"Plusieurs milliers de Hongrois se sont réunis à Budapest vendredi, au lendemain de la promulgation d’une loi très controversée, mais défendue par Viktor Orban.
Plusieurs milliers de manifestants ont défilé vendredi 21 décembre à Budapest au lendemain de la promulgation de la loi hongroise assouplissant le temps de travail, une réforme très controversée qui a déclenché une vague de manifestations depuis son vote au Parlement.
La manifestation de vendredi devrait être la dernière avant les fêtes de fin d’année, mais l’opposition espère maintenir la mobilisation après le 1er janvier 2019. Ce mouvement de protestation a été déclenché le 12 décembre par le vote au Parlement de cette loi qui porte à 400 le nombre des heures supplémentaires annuelles que les employeurs pourront demander à leurs salariés, payables trois ans plus tard." La suite sur lemonde.fr

vendredi 21 décembre 2018

Hongrie - Entretien de Nathalie Loiseau avec Szabolcs Takács (Paris, 19 décembre 2018)

"Nathalie Loiseau, ministre chargée des affaires européennes, a reçu mercredi 19 décembre le secrétaire d’État hongrois aux affaires européennes, Szabolcs Takács.
Les échanges ont porté sur les questions européennes, en particulier le Brexit, le futur cadre financier pluriannuel, les migrations, les Balkans occidentaux ainsi que le respect de l’État de droit dans l’Union européenne." La suite sur diplomatie.gouv.fr

Hongrie : plusieurs milliers de manifestants contre la loi travail

"Plusieurs milliers de manifestants ont défilé vendredi à Budapest au lendemain de la promulgation de la loi hongroise assouplissant le temps de travail, une réforme très controversée qui a déclenché une vague de manifestations depuis son vote au parlement.
La manifestation de vendredi devrait être la dernière avant les fêtes de fin d'année, mais l'opposition espère maintenir la mobilisation après le 1er janvier 2019.
Le mouvement de protestation a été déclenché le 12 décembre par le vote au parlement de cette loi qui porte à 400 le nombre des heures supplémentaires annuelles que les employeurs pourront demander à leurs salariés, payables trois ans plus tard." La suite sur romandie.com

György Dragomán – Le roi blanc

"Le roi blanc est un livre tellement réussi que ce serait tentant d’écrire seulement « lisez-le » et de m’arrêter là. Mais je vais quand même essayer d’argumenter.
Deuxième roman de l’auteur hongrois György Dragomán, traduit dans une trentaine de langues, Le roi blanc est l’histoire racontée par lui-même de Dzsátá, un garçon de 11 ans. Dzsátá vit seul avec sa mère depuis le départ de son père « en voyage (…) au bord de la mer, dans un centre de recherche, pour une affaire urgente. » Supposé être absent juste une semaine, cela fait plus de six mois que le père est parti lorsque le livre débute, et en ce 17 avril, jour de l’anniversaire de mariage de ses parents, nous écoutons Dzsátá nous raconter comment il a fait la surprise à sa mère de lui offrir dès l’aube un beau bouquet de tulipes.
… puis elle a lissé ses cheveux en arrière et a soupiré, c’est toi mon garçon ?, moi, je suis sorti sans rien dire et je me suis arrêté près de la table, et je lui ai dit que je voulais lui faire une surprise, et je lui ai demandé de ne pas m’en vouloir…
La surprise tourne courte avec la visite menaçante de deux « collègues » du père, qui révèlent au lecteur ce que Dzsátá se refuse tout au long du livre à admettre : que le séjour de recherche d’une semaine du père est un euphémisme pour désigner le camp de travaux forcés du canal du Danube." La suite sur passagealest.wordpress.com

La Hongrie semble bien décidée à enfin tenir tête à Viktor Orbán

"Le mouvement contre la nouvelle loi travail «esclavagiste» et la mise en place de tribunaux administratifs soumis à l’État évolue en vaste contestation du système Fidesz.
Après la réélection triomphale de Viktor Orbán pour un troisième mandat consécutif en avril 2018, la Hongrie semblait définitivement acquise à la cause du leader «illibéral» ferraillant vaillamment contre Bruxelles, l'immigration et tout ce qui touche de près ou de loin au milliardaire honni George Soros.
Comme en 2014, l’opposition morcelée et dévitalisée s’était tiré une balle dans le pied en s’écharpant, au lieu de construire une stratégie commune pour débouter le meilleur élève européen de Poutine.
Huit mois plus tard, l’homme fort de Budapest, dont la suprématie n’a jamais été écornée depuis son retour au pouvoir en 2010, affronte une colère inédite, qui dure et pourrait se prolonger après les fêtes." La suite sur slate.fr

Le président hongrois signe la loi « esclavagiste » et souhaite un « Noël béni pour les employés »

"Le président de la République, János Áder, a signé jeudi après-midi la loi sur les heures supplémentaires qui a jeté des milliers de personnes dans la rue ces derniers jours en Hongrie. Une manifestation est prévue ce vendredi soir dans les principales villes du pays.
Sur le site internet de la présidence, le président justifie sa décision par le fait que la législation n'entre pas en conflit avec la constitution, que des lois similaires sont en vigueur . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Comprendre le mouvement de protestation en Hongrie

"Pourquoi ces manifestations?Elles ont débuté mercredi dernier après le vote par les députés de la loi dite " loi esclavagiste", un amendement à la législation du travail dans le pays.
Ce changement permet aux employeurs de demander à leurs salariés de travailler jusqu'à 400 heures supplémentaires par an. La limite actuelle est fixée à 250 heures.
En outre, les entreprises sont autorisées à repousser jusqu'à trois ans au maximum le paiement des heures supplémentaires.
Y a-t-il autre chose qui met en colère les manifestants ?Oui, le jour même une nouvelle loi a été adoptée. Elle prévoit la création de tribunaux administratifs supervisés directement par le ministre de la Justice.
Les critiques affirment que cela permettra l'ingérence politique dans les affaires judiciaires et minera encore davantage l'État de droit." La suite sur euronews.com

jeudi 20 décembre 2018

Après Babel, 3 par Guillaume Métayer

Le D de Karinthy
Difficile d’éviter la magie du feuilleton. Déjà, au troisième coup, je me rends compte que ce n’est pas moi qui tient ce feuilleton. Non, c’est le feuilleton qui me tient. Par là, je ne veux pas seulement dire que c’est « ma chatte qui se joue de moi » (Montaigne), voire que « c’est pas l’homme qui prend la mer » (Renaud). Il s’agit juste de constater une évidence : j’ai beau vouloir écrire sur la manière de traduire les poèmes de Nietzsche, le jeu des Zoum Zoum et des « A de l’atlantique » m’entraîne dans sa danse alphabétique…
C’est un phénomène qui m’a toujours amusé dans la monumentale, savante et dialectique Histoire de la littérature hongroise dirigée par Tibor Klaniczay [1]. Un phénomène de casse. Oui, vous avez bien lu. De casse." La suite sur revuecatastrophes.wordpress.com

George Soros "personnalité de l'année 2018" pour le Financial Times

"Le milliardaire-philanthrope George Soros a été désigné "personnalité de l'année 2018" par le Financial Times, a annoncé le quotidien britannique mercredi.
"Le choix de la +personnalité de l'année+ par le Financial Times est habituellement un reflet des accomplissements. Dans le cas de M. Soros, cette année, sa sélection est aussi à propos des valeurs qu'il représente", a précisé le journal.
A 88 ans, George Soros y est décrit comme le "père de l'industrie des fonds spéculatifs", mais également comme le "porte-drapeau de la démocratie libérale et d'une société ouverte" qui a "utilisé sa philanthropie pour combattre l'autoritarisme, le racisme, et l'intolérance"." La suite courrierinternational.com

Budapest: Mozart et Beethoven à l´affiche pour terminer l´année en beauté (Académie de Musique)

Par Pierre Waline
"Il est d´illustres inconnus dont le nom ne sera passé à la postérité que par le bon vouloir de grands hommes. Tel le violoniste français Kreutzer qui ne daigna même pas jouer la sonate que lui avait dédiée Beethoven. Ou encore un certain Sigmund Haffner, bourgmestre de Salzbourg. Ce dernier avait commandé au jeune Mozart une musique pour célébrer son anoblissement. Mozart, qui lui avait déjà dédié une sérénade, coucha alors sur le papier deux menuets, lui promettant une suite. Mais on en resta là. Ce n´est que trois ans plus tard (1785) que Mozart paracheva sa partition en la modifiant passablement, pour nous donner sa 35ème symphonie en ré majeur (K385) aujourd´hui connue sous le nom de symphonie „Haffner”. L´une des plus belles. Conçue à l´origine sous la forme d´une sérénade, Mozart en fait littéralement exploser le cadre  pour nous offrir une symphonie à part entière, la première de la série des sept „grandes” qui culmineront avec Jupiter." La suite sur francianyelv.hu

Les médias hongrois, cible de l’opposition en colère

"EXPLICATION - Parti de la dénonciation d’une « loi esclavagiste » sur le travail, le mouvement de protestation en Hongrie s’est déplacé contre les chaînes de télévision publiques à la solde du gouvernement.
Dans le pays, c’est la quasi-totalité du paysage médiatique qui se trouve à la main du pouvoir.
En Hongrie, la récente contestation populaire trouve très difficilement écho dans la presse, les radios et les télévisions. De nombreux médias d’opposition, fragilisés par le pouvoir en place, ont récemment disparu, à l’instar de titres de presse emblématiques tels que le Népszabadság, le Magyar Nemzet ou Heti Válasz. Et la totalité des chaînes de télévision publique sont aux mains du gouvernement.Sans relais pour se faire entendre, une douzaine de députés de l’opposition se sont rendus dans les locaux de la télévision publique, la MTVA, pour diffuser leurs revendications dans un communiqué. En vain. Après avoir passé la nuit dans les locaux,..." La suite sur la-croix.com
(article payant)

« En Hongrie, les écarts de revenus et de patrimoine se creusent »

"Entretien avec l'historien Paul Gradvohl
En Hongrie, les actuelles manifestations contre la loi déplafonnant la durée légale du travail sont l’occasion de revenir sur l’histoire singulière de ce pays d’Europe centrale. Presque trente ans après sa sortie du communisme, Budapest a troqué une dictature communiste relativement égalitaire contre le régime Orban, une « démocratie illibérale » de marché qui suscite l’adhésion de la majorité de la population mais fait aussi de nombreux mécontents. L’universitaire spécialiste de l’identité magyare, Paul Gradvohl, nous aide à y voir plus clair.
Causeur. Très critique à l’égard du Premier ministre Viktor Orban, vous soulignez néanmoins la difficulté qu’ont la plupart des Français à comprendre la Hongrie. Comment l’expliquez-vous ?" La suite sur causeur.fr

« Il est possible de ramener Orbán dans le droit chemin », croit-on encore au PPE

"Entre aveuglement et cynisme, le Parti populaire européen continue de soutenir le leader hongrois Viktor Orbán. Une assistante parlementaire française du PPE - qui n’a accepté de témoigner de l’ambiance et des discussions au sein du groupe que sous anonymat - a répondu en coulisse aux questions du Courrier d’Europe centrale . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Hongrie : le pouvoir s’enferme dans le conspirationnisme

"Le parti de Viktor Orbán a fait des théories complotistes de la "fachosphère" sa ligne officielle. Les jeunes Hongrois qui manifestent contre lui ne sont, à ses yeux, que les marionnettes du milliardaire George Soros.
Ce n’est ni la première fronde de la rue à laquelle est confrontée Viktor Orbán, ni la plus massive, mais c’est la première menée avec tant d’intensité. Après un long défilé de plus de dix mille personnes dans Budapest jusque devant le parlement . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

En Hongrie, Viktor Orban face à la contestation

"Des milliers de Hongrois ont manifesté dimanche à Budapest, une quatrième mobilisation contre le gouvernement de Viktor Orban en moins d'une semaine. En cause : une nouvelle loi Travail, jugée esclavagiste par les manifestants. Pour la première fois, tous les partis d'opposition, des Verts à l'extrême-droite en passant par les socialistes et les libéraux, ont défilé sous la même banderole. Comment en est-on arrivé là ? Le Premier ministre Viktor Orban devra-t-il reculer ?" Vidéo (41' 42") débat avec Françoise Pons, Paul Gradvohl, Pierre Verluise, Florence La Bruyère sur france24.com

mercredi 19 décembre 2018

Réveillon de Noël au Bogibar - 24 décembre 2018 de 18 h à minuit -

BOGIBAR
54, rue Guy Moquet, Paris, 75017 Paris

RÉVEILLON DE NOËL AU BOGIBAR

Nous vous proposons un lieu chaleureux pour la soirée de Réveillon de Noël,
Sur la carte le fameux Gulash et Le Gratin de Budapest ( Rakott Krumpli) ainsi qu'un plat du jour traditionnel hongrois le Székely Káposzta. (12,50 euro)

CONCERT DE SORIBA SAKHO & L'Esprit Mandingue (Sénégal, Guinée, France)

Les meilleurs représentants de la musique mandingue tel que Bala Kala au balafon (Mory Kante, Mariama) et Samba Kaba aux percussions. Ils jouent le répertoire traditionnel mandingue (Mali, Sénégal, Guinée…) ainsi que des compositions originales aux influences musicales variées (salsa, reggae, mbalax….). L'orchestre se fera un plaisir de faire bouger son public au son irrésistible des grooves afro-mandingues et des chansons qui vont avec l'ambiance de Noel. 


Réservation obligatoire avant le 22 Décembre.
par e-mail : bogibarparis(AT)gmail.com

Joyeux Noël à toutes et à tous!

Hongrie: sans abri et hors-la-loi

"En Hongrie, la loi interdit désormais aux sans-abri de vivre dans la rue. Malgré neuf comparutions, la mesure, inapplicable dans les faits, n'a pas vraiment changé la vie des sans domicile fixe de la capitale hongroise.
Depuis le 15 octobre, Gabor (prénom modifié), la soixantaine, sans domicile fixe, risque la prison. Son tort ? Il séjourne dans une ruelle du quartier juif de Budapest depuis des années, tout le monde le connaît, même les policiers.
«Comment pourraient-ils m'interpeller? Les foyers infestés de punaises, très peu pour moi ». Et pourtant, Gabor est en infraction. Après un quatrième avertissement de la police pour «séjour illégal dans la rue», une procédure judiciaire doit être lancée à son encontre." La suite sur wort.lu

Soirée des Mardis hongrois de Paris du 18 décembre 2018 - Quelques images

























Pour séduire la jeunesse, Orban fils a fondé son église

"Gaspar Orban, le fils du premier ministre Viktor Orban, est le fondateur de Felhaz (« la maison ») qui propose ses talents de guérisseur aux étudiants. Dans son église, le religieux n’est jamais très loin du politique.
Décontracté sur scène en jeans et chemise, cheveux serrés dans un catogan, Gaspar Orban a hérité des talents de tribun de son père. Dans le contre-jour des projecteurs, l’Akuarium, salle de concert branchée de l’hypercentre de Budapest, est comble. Le jeune homme de 26 ans tend une main au ciel. Ce soir, la foule en extase est venue vivre une expérience spirituelle unique. Au programme : rock chrétien, glorification et guérisons. « Dieu peut agir si tu as un problème de santé ou une maladie », assure le fils du premier ministre. « Dieu guérisseur n’a pas hésité à verser son sang. » L’étudiant en droit prêche dans le mouvement religieux qu’il a lui-même fondé en 2015 : Felhaz, « la maison ». Les appels aux dons, y compris par virement bancaire, sont omniprésents. Devant des jeunes dans la force de l’âge, l’organisation a..." La suite sur la-croix.com

Manifestations à Budapest : “des vandales à la solde de Soros”

"Des milliers de manifestants ont défilé dans les rues de Budapest et de plusieurs villes de province ce dimanche 16 décembre contre la nouvelle loi travail et le raidissement du pouvoir magyar. Les médias locaux se déchirent sur la portée de ce mouvement inédit.
Depuis le vote de la loi sur l’extension à 400 heures par an du stock annuel d’heures supplémentaires et du texte entérinant la mise en place en 2020 de tribunaux administratifs contrôlés par le ministère de la Justice mercredi 12 décembre, la Hongrie connaît une vague de protestation d’une ampleur rare. Quatre manifestations en cinq jours à Budapest, plusieurs défilés en province et un conflit qui a monté d’un cran dimanche soir lorsqu’une partie des 10 000 personnes rassemblées l’après-midi dans la capitale se sont rendues jusqu’au siège de la télévision publique, où des députés d’opposition ont passé la nuit.
Deux d’entre eux, qui ont tenté de faire lire, en vain à l’antenne, une déclaration en cinq points contre la loi travail, pour..." La suite sur courrierinternational.com (article payant)

Vidéo : une harde exceptionnelle de cervidés

"Une vidéo ahurissante en provenance de Hongrie.
Voici une gigantesque harde de cervidés filmée par drone. Ce phénomène, explique son auteur, a lieu tous les ans. Ces cerfs et biches migrent en quelque sorte le long des lignes Töttös, Bóly, Sátorhely et Udva en Hongrie." Source : chassepassion.net

Les défenseurs de la démocratie se rebellent contre "Viktator"

"La Hongrie se déchire... ou comment la télévision nationale est devenue en quelques heures le symbole d'un pouvoir qui "confisque" la démocratie. C'est ce que disent les manifestants qui tous les soirs désormais se retrouvent devant le siège de MTVA, ce service public qui ne leur donne plus la parole.
Peter Niedermuller, député de l'opposition : "La télévision publique hongroise est clairement la principale chaîne d’information pour les habitants des petits villages ou des petites villes en dehors de Budapest ou des grandes villes. Et nous n'avons aucune possibilité de transmettre notre message sur cette télévision d'État, et c'est la raison pour laquelle nous protestons. Il n'y a pas de liberté des médias ni de pluralisme des médias en Hongrie." La suite sur euronews.com

Hongrie : à Budapest, la rue conspue Orban et les télés aux ordres

"REPORTAGE - La foule, réunie depuis l'adoption mercredi dernier de la réforme du Code du travail, a pris pour cible la télévision publique.
Budapest
Depuis mercredi dernier, et l'adoption d'un amendement au Code du travail permettant jusqu'à 400 heures supplémentaires légales, les manifestations de plusieurs milliers de personnes contre le pouvoir de Viktor Orban s'enchaînent quasi quotidiennement à Budapest.
» LIRE AUSSI - Les Hongrois hostiles à la loi sur les heures supplémentaires
Peter Sipos, 33 ans, agent immobilier dans la capitale, a fait le déplacement ce lundi soir jusque dans la banlieue de Budapest pour manifester face au siège de la télévision publique hongroise, MTVA, protégée par un cordon de policiers casqués. À 21 heures, le thermomètre affiche moins 5° et il n'y a guère que le thé brûlant pour se réchauffer un peu. Péter est venu comme ces centaines d'autres manifestants afficher son mécontentement face à la politique de Viktor Orban. «Je suis énervé depuis longtemps contre le parti au pouvoir, pour lequel je n'ai pas voté aux élections législatives d'avril. Je n'avais jamais manifesté dans ma vie, je n'y voyais pas ..." La suite sur lefigaro.fr (article payant)

Manifestations en Hongrie : le Quai d'Orsay conseille de se tenir à l'écart

"Le Ministère de l'Europe et des Affaires Etrangères informe les voyageurs que des manifestations ont lieu depuis le 8 décembre à Budapest en Hongrie ainsi que dans certaines grandes villes du pays.

"Ces rassemblements sont pacifiques mais peuvent conduire à l’usage de gaz lacrymogènes et à des mouvements de foule" ajoute le Quai d'Orsay qui conseille par mesure de sécurité, "de se tenir à l’écart de ces rassemblements." Source : tourmag.com

Hongrie : la Banque centrale maintient son taux directeur à 0,9%

"La Banque centrale de Hongrie (MNB) a annoncé mardi le maintien de son principal taux directeur au niveau historiquement bas de 0,9%, conformément aux attentes, tout en maintenant la possibilité d'un resserrement monétaire en 2019.La MNB avait abaissé son taux à ce niveau en mai 2016, soulignant vouloir l'y maintenir « aussi longtemps que possible ».
La Banque centrale hongroise conserve par ailleurs depuis mars 2016 un taux négatif pour les dépôts au jour le jour. Celui-ci a été abaissé à -0,15% en septembre 2017." La suite sur cbanque.com

De la Hongrie au RIC (Référendum d’Initiative Citoyenne) : les démocraties européennes sous pression

"Depuis l’adoption mercredi d’une nouvelle loi sur le travail, plusieurs milliers de Hongrois protestent dans les rues de Budapest contre ce texte qualifié de « loi esclavagiste » par ses opposants.
Dimanche, ils étaient quinze mille à manifester dans les rues de la capitale, des Verts à l’extrême droite sous la même banderole. Cette unité des forces d’opposition ne s’était jamais produite depuis le retour au pouvoir de Viktor Orban en 2010. Les manifestants dénoncent la libéralisation du marché du travail, les entorses à l’État de droit et les atteintes à l'indépendance de la justice et des médias. Ces mobilisations pourraient-elles marquer un tournant dans le mandat de Viktor Orban ?
Nous recevons Paul Gradvohl, historien, maître de conférences à l’Université de Lorraine, spécialiste de l’Europe centrale.
Rejoint en deuxième partie d’émission par Dominique Rousseau, professeur de droit constitutionnel à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. " A écouter sur franceculture.fr

En Hongrie, la vague de contestation divise

"Voici le lieu qui symbolise toutes les crispations politiques qui s’enracinent en Hongrie : le siège de la télévision publique à Budapest.
Des députés de l’opposition ont été expulsés manu militari des locaux ce lundi, alors qu’ils souhaitaient s’exprimer sur les ondes de la chaîne.
Depuis mercredi, c’est un véritable vent de fronde qui s’est levé dans le pays, avec l’adoption d’une loi qui assouplit drastiquement le droit du travail. Les employeurs pourront demander jusqu’à 400 heures de travail supplémentaires à leurs salariés par année, soit l'équivalent de 2 mois de travail." La suite et vidéo sur euronews.com

VIDÉO. Des députés hongrois expulsés manu militari des locaux de la télévision publique

"Des députés ont pénétré lundi dans les locaux de la chaîne de télévision MTVA pour dénoncer le traitement de l’information sur les manifestations de l’opposition la semaine précédente. Deux élus écologistes se sont fait expulser du bâtiment par les services de sécurité. Un troisième parlementaire a dû être hospitalisé.
Les députés d’opposition ont fait lundi à Budapest le siège de la télévision publique hongroise pour tenter d’obtenir la diffusion sur les ondes de leurs doléances, s’estimant censurés au sixième jour d’une fronde contre le Premier ministre Viktor Orban.
En début de journée lundi, deux élus écologistes qui s’étaient introduits dans le bâtiment avaient été expulsés manu militari par des agents de sécurité, dans une action relayée en direct sur les réseaux sociaux et vivement critiquée. Un troisième parlementaire a dû être hospitalisé en cours de journée après avoir été molesté." La suite sur ouest-france.fr

mardi 18 décembre 2018

Violences et intimidations policières: en Hongrie aussi

"Depuis le 12 décembre, les manifestations se succèdent à Budapest et dans plusieurs villes hongroises. De façon inédite depuis qu'Orbán est au pouvoir, cette résistance fait face à l'usage de la force côté police. Des dizaines de manifestants pacifiques ont été placés en garde à vue et certains sont poursuivis pour violences en réunion.
Il a beau se répéter le déroulé des événements, il ne comprend pas la condamnation qui pèse sur lui. Adrien Beauduin, étudiant belgo-canadien à Budapest, a été arrêté par la police hongroise mercredi 12 décembre dans la soirée alors qu'il manifestait pacifiquement aux abords du parlement, dans le centre de la capitale. « Je me trouvais près de la police lorsqu'elle a chargé. Des manifestants avaient allumé un petit feu sur une décoration de Noël. Les gens tombaient, j'étais ballotté à droite à gauche, puis je me suis retrouvé de l'autre côté du cordon policier. C'est à ce moment-là que j'ai été arrêté. »" La suite sur blogs.mediapart.fr

Comprendre la crise politique qui secoue la Hongrie

"Le gouvernement de Viktor Orbán est confronté à un mouvement de contestation depuis une dizaine de jours. Depuis le vote de deux réformes contestées du code du travail et de la justice, les manifestations se déroulent chaque soir dans la capitale, mais aussi dans les principales villes de province.
Quelle est l’ampleur du mouvement ?
Le mouvement a culminé dimanche avec environ 15 000 personnes dans Budapest et quelques milliers à peine à l’échelle des principales villes de provinces. Des manifestation quotidiennes réunissent le soir entre 2000 et 3000 personnes dans la capitale, souvent les mêmes. C’est peu au regard des raisons qui les ont poussés dans la rue et des enjeux pour l’avenir de la démocratie et de la société hongroises et ce qu’il se passe n’est donc pas ce que l’on peut appeler un soulèvement populaire. Mais c’est aussi beaucoup considérant le froid qui sévit, l’information qui est cadenassée par l’hégémonie médiatique du Fidesz et le fait que Viktor Orbán gouverne par la peur et l’intimidation, surtout depuis ce début de troisième mandat. Cela dissuade beaucoup de gens de participer aux rassemblements, à commencer par les fonctionnaires." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr

En Hongrie, la télévision d’État prise pour cible par les opposants à Viktor Orbán

"Depuis dimanche soir, le siège du groupe d'audiovisuel public MTVA est devenu le lieu de rassemblement haut en symbole choisi par la mobilisation anti-gouvernementale. Lundi toute la journée, plusieurs incidents ont émaillé les tentatives de plusieurs députés d'opposition d'accéder à l'antenne afin d'y lire les revendications des manifestants.
Budapest - "Je n'en crois pas mes yeux ; ils nous ont pris et nous ont jetés, violemment. Nous sommes des parlementaires ; nous voulions simplement lire une pétition à l'antenne. Une pétition en cinq points, qui reprend ce que veulent les manifestants". La scène tourne en boucle depuis ce matin sur les réseaux sociaux hongrois. On y voit la députée écologiste Bernadett Szél violemment débarquée des locaux de la télévision d'État MTVA, sous les yeux incrédules du petit comité qui l'attendait dehors. Son collègue Ákos Hadházy, aux côtés duquel elle a mené la campagne du LMP aux dernières législatives, est quant à lui pris violemment à partie par les vigiles, sans que la police ne lève le petit doigt pour intervenir afin de . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

À Budapest, des milliers de personnes dans la rue contre Viktor Orbán

"Une loi favorisant les heures supplémentaires embrase la capitale hongroise. Depuis mercredi dernier, Budapest est le théâtre de manifestation anti-Orbán.
«All I want for Christmas is Democracy». Les rues de Budapest résonnent depuis six jours des slogans anti-Orbán scandés par des milliers de manifestants. Une loi sur les heures supplémentaires votée mercredi dernier a embrasé Budapest qui affiche son opposition au premier ministre, Viktor Orbán. Hier, ils étaient 15 000 à manifester de la place des Héros au Parlement où des orateurs se sont succédés devant la foule. Limité à la capitale, le mouvement se singularise toutefois par la diversité de ses soutiens, issus de tous les bords politiques." La suite sur lefigaro.fr

Onu. Un pacte sur les réfugiés, sans États-Unis et Hongrie

"Il a suscité moins de passions celui sur les migrants : le pacte mondial sur les réfugiés a été adopté lundi sans les États-Unis et la Hongrie.L’Assemblée générale de l’ONU a adopté lundi à une très grande majorité mais sans les États-Unis et la Hongrie un Pacte mondial sur les réfugiés visant à améliorer leur gestion internationale, un texte qui n’a pas suscité les passions ayant entouré le Pacte mondial sur les migrations." La suite sur letelegramme.fr

Hongrie: des députés d’opposition expulsés du siège de la TV publique

"Deux députés hongrois d’opposition ont été expulsés par la force du siège de la télévision publique lundi matin, après avoir y avoir passé la nuit dans l’espoir de faire diffuser un communiqué après une manifestation anti-Orban, selon des images diffusées sur les réseaux sociaux.
Akos Hadhazy et Bernadett Szél, deux députés indépendants issus du parti vert LMP, ont été expulsés manu militari par des gardes de sécurité de la télévision MTVA à Budapest, dans une action vivement critiquée sur la Toile." La suite sur liberation.fr

En Hongrie, la pression monte contre Viktor Orban

"Quelque 2.000 Hongrois se sont de nouveau rassemblés ce soir [17 décembre] devant le siège de la télévision d'Etat à Budapest pour défendre la liberté des médias et l'indépendance de la justice. Organisé par une opposition fragmentée, le mouvement de contestation du Premier ministre nationaliste Viktor Orban a pris de l'ampleur ces derniers jours, culminant dimanche avec une manifestation qui a rassemblé plus de 10.000 personnes dans le centre de la capitale." La suite sur lefigaro.fr

Des Hongrois manifestent leur « ras-le-bol » de Viktor Orban

"Deux nouvelles lois érodant l’état de droit provoquent un mouvement social soutenu par l’ensemble de l’opposition.
D’abord quelques centaines à Budapest, puis des milliers, partout en Hongrie. Une contestation importante est observée dans ce pays d’Europe centrale, membre de l’Union européenne depuis 2004 et qui compte 9,8 millions d’habitants. Provoquée par le vote, mercredi 12 décembre, de deux lois controversées, elle est en train de muter en un mouvement protéiforme d’opposition radicale au pouvoir du premier ministre souverainiste Viktor Orban, aux manettes depuis 2010 et réélu en avril. Le 17 décembre, une manifestation nocturne avait encore lieu dans la capitale. Et des députés occupaient toujours une loge, au siège de la télévision publique." La suite sur lemonde.fr (article payant)