lundi 30 novembre 2020

Promenade dans Budapest à l’heure du couvre-feu

"Muni d’une attestation et de sa carte de presse, Daniel Psenny a déambulé dans les lieux emblématiques de la capitale hongroise figés par le couvre-feu sanitaire.

En ce vendredi 27 novembre, la brume s’accroche au Danube et le brouillard enveloppe doucement Budapest. Il est 20 heures. L’heure du début du couvre-feu qui doit être levé à 5 heures le lendemain. A la lueur des réverbères, les dernières ombres se faufilent sans se presser. Quelques voitures circulent encore. Seuls, les vélos et les scooters de livraisons de nourriture, tels des escargots avec leur cargaison sur le dos, foncent pour déposer leurs commandes.

Pas de policiers à l’horizon, ni de barrages. Quelques gyrophares bleus strient bien la nuit, mais ce sont des ambulances qui circulent à toute vitesse, sans sirènes. Dans les bus et les tramways, seules quelques personnes sont assises et regardent distraitement par la fenêtre. Où vont-elles ? Certains bus sont même vides. Devant les hôtels, les rares employé(e)s qui assurent le maintien et la sécurité grillent une cigarette dans le froid." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr

Le commissaire Laszlo, héros du WTCR, célébré par la FIA

"Attila László, qui a officié en tant que commissaire lors de la WTCR Race of Hungary dans le passé, a reçu le trophée Outstanding Official of the Year de la FIA.L'organe directeur du sport automobile a profité du week-end des volontaires et des officiels de la FIA pour rendre hommage à certains des hommes et des femmes les plus dévoués qui travaillent sans relâche pour que les événements de sport automobile aient lieu.

"Je félicite tous les bénévoles qui consacrent généreusement leur temps et leur énergie à assurer la sécurité et le succès de chaque événement de sport automobile de la FIA", a déclaré le président de la FIA, Jean Todt. "Sans eux, nous ne pourrions pas courir. En cette période sans précédent, je rends un hommage particulier aux bénévoles médicaux qui jouent un rôle essentiel dans la lutte contre la COVID-19".

L'histoire inspirante de László, qui a fait preuve d'un dévouement et d'un engagement inébranlables envers le sport après une blessure qui a changé sa vie, a été honorée." La suite sur eurosport.fr

Palabres centre-européennes du Centre tchèque, en vidéoconférence - mardi 8 décembre 2020 à partir de 19 h 30

 

Le Centre tchèque vous invite à la séance animée par Roman Krakovsky, historien de l’Europe centrale et orientale
Ces Palabres auront lieu par Zoom : connectez-vous à https://unige.zoom.us/j/96234405143
Nº de réunion : 962 3440 5143
Au programme de ces Palabres, consacrées aux publications en sciences humaines:
- Pierre Monnet, Charles IV. Un empereur en Europe, Paris, Fayard, 2020. Présenté par l’auteur.
- André Lorant, Vers l'innommable: L'antisémitisme institutionnel en Hongrie, 1920-1944, Paris, L’Harmattan, 2020. Présenté par l’auteur.
- Katell Berthelot, Audrey Kichelewski, Pierre Savy (dir.), Histoire des Juifs. Un voyage en 80 dates de l'Antiquité à nos jours, Paris, PUF, 2020. Présenté par Audrey Kichelewski et Pierre Savy, co-auteurs.
- Agnes Heller, La Valeur du hasard. Ma vie, Paris, Rivages, 2020. Présenté par Guillaume Métayer, traducteur, spécialiste de littératures française et centre-européenne.

Centre tchèque
18, rue Bonaparte, 75006 Paris, tel. 01 53 73 00 22
sur l’initiative du CIRCE (Centre Interdisciplinaire de Recherches Centre-Européennes), Faculté des Lettres de Sorbonne Université, au sein de l’Unité Cultures et sociétés d’Europe orientale, balkanique et médiane (UMR Eur’ORBEM)
Programmation et coordination : Malgorzata Smorag-Goldberg, Sorbonne Université et CIRCE,
Organisation et renseignements : Aurélie Rouget-Garma, Sorbonne Université et CIRCE.
 
Inscriptions sur : Facebook

Scandale hongrois : un commissaire du gouvernement compare les libéraux aux nazis et Soros à Hitler

"Un article du directeur du très prestigieux Musée Littéraire Petőfi comparant George Soros à Adolf Hitler et les libéraux aux nazis provoque un scandale en Hongrie . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Démission d’un député hongrois au Parlement européen

"Le député hongrois au Parlement européen Jozsef Szajer, membre du Fidesz de Viktor Orban et du PPE (centre-droit), a annoncé dimanche sa démission et son retrait de la vie politique pour raisons personnelles, en pleine crise entre Bruxelles et Budapest.

Le député hongrois au Parlement européen Jozsef Szajer, membre du Fidesz de Viktor Orban et du PPE (centre-droit), a annoncé dimanche sa démission et son retrait de la vie politique pour raisons personnelles, en pleine crise entre Bruxelles et Budapest." La suite sur mediapart.fr (article payant)

Spoutnik V: pour les vaccins aussi, la Hongrie fait bande à part

 "C'est devant les caméras que l'Aeroflot porteur de doses de Spoutnik V s'est posé il y a quelques jours à Budapest: la Hongrie fait le pari du vaccin russe et le fait savoir, malgré des critiques à domicile et à Bruxelles.

"Nous sommes le premier pays de l'Union européenne (UE) à recevoir un tel échantillon", s'est félicité le ministre des Affaires étrangères, Peter Szijjarto.

La Hongrie rejoint ainsi le Bélarus, l'Inde ou les Emirats arabes unis dans la liste des pays testant ce vaccin, dont Moscou vante l'efficacité à 95%, tout en se disant aussi ouverte aux vaccins européens et américains.

Après ces dix premières doses, si les autorités donnent leur feu vert, des livraisons à plus grande échelle sont prévues avant une potentielle production par un fabricant hongrois l'an prochain." La suite sur france24.com

dimanche 29 novembre 2020

Le Premier ministre hongrois dit qu’il décidera des règles du COVID de Noël dans environ 10 jours

 "Le gouvernement hongrois décidera dans environ 8 à 10 jours des restrictions à appliquer pendant les vacances de Noël pour lutter contre les infections à coronavirus, a déclaré vendredi le Premier ministre Viktor Orban à la radio d’État.

Orban a déclaré que deux semaines après l’introduction d’un couvre-feu nocturne et des restrictions, les données sur l’infection «n’ont pas montré de changement significatif» et le nombre de patients hospitalisés COVID atteindrait bientôt 10 000, ce qui signifiait que le système de santé était «sous une pression énorme».

Orban a déclaré que les Hongrois ne devraient pas réserver de vacances de ski à l’étranger car ils devraient faire face à une très sérieuse obligation de quarantaine à leur retour." La suite sur ecopeco.org

Magda Szabo, Audur Ava Olafsdottir : la chronique « poches » de Véronique Ovaldé

"L’œuvre de Magda Szabo est marquée par la sauvagerie. Le Faon en est la magistrale expression. Ce roman dit l’inconsolable peine du déclassement (Eszter est la fille d’aristocrates intellectuels déchus qui rêve de « cuisine parfumée au saindoux »), il dit la compromission (enfant, elle supporte les caresses de sa tante « comme une petite putain »), il dit l’amour fou et vandale, il dit surtout la redoutable immortalité de la jalousie. Parce que Eszter est, depuis toujours, consumée par la jalousie. Même maintenant qu’elle est une comédienne adulée, elle nourrit pour Angela une haine sans pareille. Elles se connaissent depuis l’enfance. Angela n’est que fragilité, beauté et innocence. Ce qui est une protection exemplaire contre le désarroi et la peur. Tout le monde aime Angela, « on écartait jusqu’aux cailloux sur son chemin ». Elle s’occupe des orphelins en ces temps d’avènement d’un monde de brigands – le communisme hongrois des années 1950. Et surtout elle est l’épouse de l’amant d’Eszter. Le Faon est un grand récit d’expiation, une confession pleine de rage et de détresse, admirable d’exigence et de lucidité : « J’ai ri du monstre que j’étais. » Ce sont les allers-retours d’une pensée de la destruction : le frottement passé-présent crée des étincelles et tout pourrait bien cramer. En lisant Le Faon, je pense à Magda Szabo elle-même, qui décida de ne jamais avoir d’enfant pour ne pas risquer de donner prise à l’oppresseur. Je suis impressionnée par sa radicalité. C’était peut-être le genre de femme, comme Eszter, à aimer mieux le cadavre de l’autre plutôt que son absence." La suite sur lemonde.fr (article payant)

samedi 28 novembre 2020

Vera Szekely par Daniel Léger

 

Après une formation de graphiste en Hongrie, la plasticienne Vera Székely (1919-1994), membre du collectif de céramistes Székely-Borderie, s’est confrontée au travail de la terre, du métal, du bois, du verre pour arriver à son épanouissement par le textile. Dès lors, Vera Székely avoue « nager et danser dans l’espace pour y laisser une trace » avec ses installations éphémères de feutre ployé, ses structures de toile tendue, « voiles armées » qui seront exposées dans le monde entier, notamment à la Biennale internationale de la tapisserie, Lausanne (1981) au musée national d’art moderne, centre Georges Pompidou (1982), au musée d’art moderne de la ville de Paris (1985), au Lunds Konsthall, Suède (1988)…

Date de parution : 08/10/2020
Editeur : Norma
Format : 23cm x 31cm
Nombre de pages : 288
Prix : 65 €

Racontez l'Art ! De la Renaissance à l'Art nouveau, Adam Biro, Karine Douplitzky


Résumé:
Cette histoire de l’art originale, remplie d’anecdotes, peut se lire à la maison, à l’école comme au musée. Racontez l’art ! invite jeunes parents, grands-parents et enseignants à entrer dans la grande histoire de l’art par le petit bout de la lorgnette. Anecdotes et analyses sont centrées autour d’un artiste, d’un mouvement ou d’un événement, classés chronologiquement et géographiquement, exactement comme au musée.
Une frise chronologique permet de situer le contexte historique des œuvres et une liste des œuvres, classées par musée, permet d’organiser sa visite.
Racontez l’art ! est l’ouvrage essentiel qu’il faut avoir en main pour transmettre aux plus jeunes le savoir, mais aussi le plaisir que procure la découverte des œuvres.

Ce premier volume est consacré à l’art de la Renaissance à l’Art nouveau.

Dimensions:14,6 x 23,6 cm
288 pages
24,90 €

Flammarion

La Hongrie a choisi le vaccin russe Spoutnik V

"Le chef de la diplomatie hongroise met en avant "la volonté d'offrir à la population un vaccin sûr le plus rapidement possible".

C'est devant les caméras que l'Aeroflot porteur de doses de Spoutnik V s'est posé il y a quelques jours à Budapest: la Hongrie fait le pari du vaccin russe et le fait savoir, malgré des critiques à domicile et à Bruxelles. "Nous sommes le premier pays de l'Union européenne (UE) à recevoir un tel échantillon", s'est félicité le ministre des Affaires étrangères, Peter Szijjarto. La Hongrie rejoint ainsi le Bélarus, l'Inde ou les Emirats arabes unis dans la liste des pays testant ce vaccin, dont Moscou vante l'efficacité à 95%, tout en se disant aussi ouverte aux vaccins européens et américains." La suite sur capital.fr

Des experts hongrois seront autorisés à visiter les sites de production du vaccin russe anti-Covid

"Des spécialistes hongrois viendront en Russie pour examiner la production d’un vaccin contre le coronavirus, ont déclaré les parties russe et hongroise. Budapest a en outre reçu une documentation sur le vaccin russe anti-Covid.

Des experts hongrois viendront en Russie la semaine prochaine pour évaluer la production d'un vaccin contre le coronavirus, ont confirmé le ministre de la Santé russe, Mikhaïl Mourachko, et le ministre hongrois des Affaires étrangères, Peter Szijjarto.

Une annonce qui fait suite à celle du ministre russe de l'Industrie et du commerce, Denis Mantourov, qui avait déclaré le 13 novembre que la Hongrie recevrait les premiers échantillons du vaccin russe Spoutnik V dans le courant du mois." La suite sur sputniknews.com

Manfred Weber comparé à la Gestapo par un eurodéputé hongrois

"Sur fond de tensions concernant l'État de droit, Tamas Deutsch, un député du Fidesz de Viktor Orban, a attaqué le président du groupe PPE… dont il fait partie.

Ça chauffe chez les chrétiens-démocrates à Bruxelles ! Un député du Fidesz de Viktor Orban, membre du Parti populaire européen (PPE), a accusé l'Allemand Manfred Weber, le président du groupe PPE au Parlement européen, de reprendre les slogans de la Gestapo à l'encontre de la Hongrie… L'eurodéputé hongrois Tamas Deutsch l'a aussi comparé à la police politique staliniste. Le point Godwin est largement dépassé ! Les tensions entre le Fidesz et le PPE ne sont pas nouvelles, mais le refus de Viktor Orban d'approuver le mécanisme sur l'État de droit et le blocage consécutif du plan de relance et du budget européen reposent la question du maintien des troupes d'Orban au sein de la famille des démocrates-chrétiens." La suite sur lepoint.fr

vendredi 27 novembre 2020

Histoire - Ces Hongrois qui ont fait Hollywood

"Début du XXe siècle – États-Unis.Adolph Zukor et Vilmos Fuchs ont révolutionné l’industrie du septième art en créant la Paramount et la 20th Century Fox. Coup de projecteur sur leur parcours à l’occasion de la parution de leurs biographies traduites en magyar.

“Il ne suffit pas d’être hongrois, mais ça peut aider.” Voilà ce qu’on pouvait lire, d’après la légende, dans le bureau du magnat hollywoodien d’origine magyare Adolph Zukor. Avec son compatriote Vilmos Fuchs, plus connu sous le nom de William Fox, ont quitté Ricse et Tolcsva, dans le nord-est de la Hongrie, pour poser les jalons de leur fabuleuse carrière en Amérique. Associés à la naissance de deux studios mondialement célèbres, la Paramount Pictures et la Twentieth Century Fox, les deux hommes assumaient fièrement leurs origines. La littérature américaine spécialisée les considère comme les pères fondateurs d’Hollywood.

Le parcours d’Adolph Zukor est digne d’un roman 

Zukor a produit le premier long-métrage américain (Le Prisonnier de Zenda, un film muet de 1913) tandis que Fox a acquis sa notoriété en tant que géant du cinéma parlant. Le parcours d’Adolph Zukor est digne d’un roman. En 1888, après la mort de ses parents, il émigre seul aux États-Unis. Il n’a que 15 ans. Au début, il gagne sa vie comme apprenti dans un magasin de fourrure puis s’associe à une affaire de machines, les Penny Arcades, où l’on peut voir de petits films de trois minutes pour un penny. C’est là, en 1904, qu’il se découvre une passion pour le cinéma et entrevoit immédiatement les possibilités de ce média." La suite sur courrierinternational.com (article payant)

 

Gábor Káli dirigera l'Orchestre du Capitole pour un nouveau concert en live samedi 28 novembre sur Facebook

"Partenariat - En direct sur les pages Facebook de l'ONCT et de France 3 Occitanie, suivez le concert en live de l’Orchestre national du Capitole de Toulouse, ce samedi 28 novembre à 18h.

France 3 Occitanie renouvelle son soutien à l’Orchestre national du Capitole de Toulouse en partageant cette nouvelle représentation musicale sur sa page Facebook ce samedi 28 novembre à 18h." La suite sur france3-regions.francetvinfo.fr

La page Facebook de l'événement 

Budapest et Varsovie proposent de repousser les discussions sur l'Etat de droit

"Les dirigeants hongrois et polonais se sont rencontrés hier pour mieux affirmer leur refus d'accepter une conditionnalité entre l'aide européenne et le respect de l'Etat de droit. Ils demandent à leurs partenaires, pourtant largement majoritaires, de renoncer à leur projet et de remettre à plus tard les discussions sur cette nouvelle règle du jeu.

Loin de céder à la pression de l'immense majorité de leurs partenaires européens, les dirigeants hongrois et polonais se sont retrouvés jeudi à Budapest pour refuser une nouvelle fois de voir lier l'attribution des aides européennes au respect de l'Etat de droit.

Le Premier ministre hongrois et son homologue polonais, Tadeusz Morawiecki qui bloquent depuis le 16 novembre l'adoption d'un paquet financier de 1.800 milliards d'euros attendus avec impatience par les Etats pour financer la sortie de la crise sanitaire, proposent pour sortir de la crise qu'ils ont provoquée, de remettre à plus tard les discussions sur un éventuel mécanisme de conditionnalité. Ils proposent à leur partenaire de renoncer à cette nouvelle règle. Ainsi, indique leur communiqué « l'adoption rapide du paquet financier européen serait facilitée »" La suite sur lesechos.fr

 

Vu de Hongrie.Le droit de veto garantit l’égalité entre les pays de l’UE

"Cet outil employé par Budapest afin de bloquer le budget et le plan de relance européens n’a rien de maléfique, il permet de défendre les intérêts respectifs des États membres, avance cet économiste hongrois, membre du premier gouvernement Orbán entre 1998 et 2002.

Le 16 novembre, les gouvernements hongrois et polonais déclaraient que, dans les conditions actuelles, ils ne pouvaient approuver ni le budget 2021-2027 ni le crédit commun de 750 milliards d’euros consacré au plan de relance. Les deux gouvernements ont justifié leur veto par le fait qu’ils refusaient et refusent toujours un budget dont la distribution serait conditionnée subjectivement aux critères non définis de l’État de droit.

Les modalités acceptées à l’unanimité lors du sommet de la mi-juillet ne prévoyaient aucune contrainte spécifique quant aux fonds eux-mêmes, mais lièrent par la suite leur attribution au respect de cette prérogative sans l’accord des concernés.

L’opinion publique hongroise est orientée de sorte à considérer le veto comme une monstruosité, une destruction des valeurs. Balivernes. Le veto est une pierre angulaire juridique de la coopération entre pays membres, qu’un État peut utiliser lorsqu’il estime qu’une mesure, quelle qu’elle soit, porte gravement atteinte à ses intérêts nationaux." La suite sur courrierinternational.com (article payant)

Hongrie : Les sans-abri privés de soupes populaires en raison de l’épidémie

"En raison de l'interdiction des rassemblements, les organisations humanitaires ne savent pas comment s'y prendre pour faire leurs distributions de nourriture aux nécessiteux . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Manifestation à Bruxelles en soutien à la communauté LGBT+ en Hongrie

 "(Belga) Une cinquantaine de personnes, selon les organisateurs, ont manifesté jeudi soir à partir de 18h00 devant l'ambassade de Hongrie en région bruxelloise, située avenue du Vert Chasseur à Uccle, en soutien aux citoyens hongrois LGBT+ (lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres et autres) dont les droits sont menacés par un projet d'amendements de la constitution.

Le sigle LGBT+ a été écrit sur le sol avec des bougies. Les manifestants ont scandé des slogans comme "LGBT égalité". Dans la foule figuraient notamment le sénateur Orry Van de Wauwer, la députée fédérale Sophie Rohonyi et le défenseur de la communauté LGBT+ Rémy Bonny. "Lors du premier confinement, le parlement a adopté l'article 33, qui interdit toute reconnaissance légale des personnes transgenres", a relevé ce dernier dans un discours. "Cette fois, le parlement veut aller plus loin en modifiant la Constitution et donc en déclarant officiellement toutes les personnes LGBT+ comme des citoyens de seconde zone". C'est le droit d'adopter qui pourrait être retiré aux couples homosexuels si le projet visant à spécifier dans la constitution hongroise que la mère est une femme et le père un homme était adopté." La suite sur rtl.be

Hongrie : l'adoption pour les couples homosexuels mise en cause

"En Hongrie, les couples homosexuels s'inquiètent d'un projet de modification de la constitution qui les priverait du droit d'adopter.

Andrew, 4 ans, a deux pères adoptifs Adam et Martin. Ces derniers souhaiteraient un second enfant mais cela semble compromis en raison d'un projet d'amendement de la Constitution défendu par le gouvernement conservateur de Viktor Orban, en Hongrie. "Il y a déjà beaucoup de débat sur le sujet. Chaque fois que vous allumez la télévision, vous entendez que nous ne sommes pas une bonne famille, et que nous ne méritons pas de vivre heureux comme nous le faisons maintenant", explique Adam.

L'amendement entend inscrire dans la Constitution que "la mère est une femme et le père un homme". C'est la ministre de la justice Judit Varga qui a présenté le projet au Parlement. Il va sérieusement compliquer l'adoption par les couples homosexuels." La suite sur euronews.com

Comment la plupart des médias hongrois ont contribué à la discrimination des minorités

 "Les observateurs du secteur dénoncent le déclin du pluralisme médiatique dans la Hongrie de Viktor Orbán. Euractiv s’est penché sur l’évolution de la discrimination envers les minorités ethniques et sociales dans le pays et sur le rôle joué par les médias.

« Depuis 2010, le gouvernement hongrois a systématiquement démantelé l’indépendance, la liberté et le pluralisme des médias, faussé le marché des médias et divisé la communauté journalistique du pays, parvenant à un degré de contrôle des médias sans précédent dans un État membre de l’UE », relève un rapport publié l’an dernier par sept organisations de surveillance des médias.

Le peu d’espace laissé aux voix indépendantes se reflète dans la couverture des questions liées aux minorités, tandis que des piles de preuves de discrimination ont été mises en évidence dans les médias étatiques et pro-gouvernementaux." La suite sur euractiv.fr

jeudi 26 novembre 2020

Plan de relance: rencontre Hongrie-Pologne jeudi, Orban suggère de distribuer l’argent vite

"Le Premier ministre hongrois propose de remettre à plus tard les discussions sur l’Etat de droit et de « donner vite l’argent » aux pays en souffrance, à la veille d’une rencontre de coordination à Budapest avec son homologue polonais.

Le Premier ministre hongrois propose de remettre à plus tard les discussions sur l’Etat de droit et de « donner vite l’argent » aux pays en souffrance, à la veille d’une rencontre de coordination à Budapest avec son homologue polonais." La suite sur mediapart.fr (article payant)

Plan de relance de l’UE: le Premier ministre polonais attendu jeudi à Budapest

"Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, va rencontrer son homologue polonais, Mateusz Morawiecki, jeudi à Budapest, pour « coordonner la position » des deux pays, engagés dans un bras de fer avec Bruxelles sur le budget.

Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, va rencontrer son homologue polonais, Mateusz Morawiecki, jeudi à Budapest, pour « coordonner la position » des deux pays, engagés dans un bras de fer avec Bruxelles sur le budget." La suite sur mediapart.fr (article payant)

Ursula von der Leyen dénonce les “mensonges” de la Pologne et son véto “irresponsable”

"Alors que la Pologne et la Hongrie bloquent pour l'heure le lancement du plan européen de relance massif de l'économie, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen nie que Bruxelles tente de s'ingérer dans la politique anti-avortement de Varsovie, comme cette dernière le prétend.

Alors que les vetos de la Pologne et de la Hongrie bloquent pour l'heure le coup d'envoi au plan de relance massif de l'économie de l'UE, Ursula von der Leyen tire à boulets rouges sur Varsovie et Budapest. Ces vétos sont "simplement irresponsables", juge la présidente de la Commission européenne, qui a dénoncé les "mensonges" affirmant par exemple que Bruxelles tentait de s'ingérer dans la politique anti-avortement de Varsovie. La Hongrie et la Pologne ont mis leur veto la semaine dernière au budget pluriannuel et au plan de relance européens pour s'opposer à un mécanisme permettant de les priver de fonds en cas de violations de l'Etat de droit (justice indépendante, politique anticorruption...) ayant un impact financier." La suite sur capital.fr

Viktor Orbán publie un brûlot contre le « criminel économique » George Soros

"Après que George Soros a appelé l'Union européenne à ne pas céder face à Budapest et Varsovie sur la question de l’État de droit, Viktor Orbán a répliqué en qualifiant Soros de « criminel économique » et de « plus grande menace pour les États de l'Union européenne . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Budget de l'UE: Von der Leyen invite Varsovie et Budapest à saisir la justice

"BRUXELLES (Reuters) - La présidente de la commission européenne a invité mercredi la Pologne et la Hongrie à contester la clause qui conditionne l'accès aux fonds du plan de relance post-COVID des "Vingt-Sept" au respect de l'état de droit, plutôt qu'à s'opposer à l'adoption du budget commun.

Hostile à cette clause, Varsovie et Budapest, qui font l'objet de procédures d'infraction pour des atteintes à l'indépendance de la justice ou des médias et au droit d'asile, ont opposé leur veto à la mi-novembre au projet de budget de 1.100 milliards d'euros pour la période 2021-2027 et au plan de relance de 750 milliards. Ni l'un ni l'autre ne peuvent être débloqués sans l'accord unanime des Etats membres et du Parlement européen.

"Il n'est question ici que des violations de l'état de droit qui menacent le budget de l'UE et seulement de cela", a souligné Ursula von Der Leyen devant le Parlement européen. "Il est très difficile d'imaginer que quiconque en Europe puisse avoir quoi que ce soit contre ce principe." La suite sur usinenouvelle.com

 

mercredi 25 novembre 2020

OMMA de Josef Nadj

 photo Sophie Carles

"Ils sont huit, en vestes et pantalons noirs, clin d’œil à l’intemporelle silhouette de Josef Nadj. En leur prêtant son costume de scène, celui-ci engage chaque danseur non pas à marcher sur ses pas, mais au contraire à révéler sa propre singularité. OMMA est avant tout une histoire de partage et de transmission.

Dans cette nouvelle création, le chorégraphe d’origine hongroise a constitué un groupe de huit interprètes originaires du Mali, du Sénégal, de Côte d’Ivoire, du Burkina Faso, du Congo Brazzaville et de la République Démocratique du Congo : ce sont autant d’influences, de mouvements, de cultures et d‘histoires qui imprègnent cette pièce. Ensemble ils composent un seul corps – noir ou fekete, comme ils le proclament…en hongrois. Un corps pluriel dans lequel chacun affirme son propre langage, son identité, sa danse : va-et-vient saisissant entre le groupe et l’individu qui nous renvoie irrésistiblement à l’universalité de l’être humain." La suite sur sceneweb.fr

Budget de l'UE: Réunion jeudi entre Hongrie et Pologne

 "VARSOVIE (Reuters) - Le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki rencontrera jeudi à Budapest son homologue hongrois Viktor Orban pour discuter du veto que les deux pays ont opposé à l’adoption du projet de budget de l’Union européenne pour la période 2021-2027, a déclaré mardi un porte-parole à Varsovie.

Pologne et Hongrie ont bloqué plus tôt ce mois-ci l’adoption du projet de budget pluriannuel de l’UE et du plan de relance destiné à aider les pays du bloc à se remettre des effets de la crise sanitaire du coronavirus, en raison du conditionnement de l’aide au respect de l’état de droit." La suite sur reuters.com

Les maires de Budapest et de Varsovie se révoltent contre les gouvernements hongrois et polonais, demandent à l’UE de leur envoyer de l’argent directement

"Les gouvernements hongrois et polonais ont été critiqués pour avoir fait dérailler le budget de l’UE et le fonds de relance de Covid-19 par les maires de Budapest et de Varsovie, qui ont écrit à Bruxelles pour l’exhorter à travailler directement avec les autorités régionales.

Le Premier ministre hongrois Viktor Orban et le vice-Premier ministre polonais Jaroslaw Kaczynski ont prouvé qu’ils étaient prêts à prendre des risques, «Une crise politique à l’échelle de l’UE» et quitter le bloc sans un stimulus indispensable, juste pour protéger leurs propres «Intérêts politiques égoïstes», les maires ont dit dans leur lettre." La suite sur news-24.fr

La musique classique, une affaire de gens sérieux? Soyons sérieux! (Petit plaidoyer pour la musique)

Par Pierre Waline 

"Dans la langue hongroise, la musique classique est généralement désignée sous le terme de „musique sérieuse” (komolyzene). Par opposition à la musique de variété. Rien n´est plus faux. Tout d´abord parce que, prise dans son sens large, la musique dite „de variété” peut parfois se révéler sérieuse. Un préjugé qui a la vie dure. Il est vrai que la musique dite „classique” comporte une majeure part d´oeuvre dites „sérieuses”. Encore faudrait-il savoir ce que l´on entend par là. Malgré tout, il faut se garder de généraliser. A celles et ceux qui en douteraient, je conseillerais d´écouter Rossini, à commencer par son Barbier de Séville ou encore L´Italienne à Alger. Remontants imparables pour qui souffrirait de spleen ou de déprime. Mais Rossini n´était pas le seul, loin de là." La suite sur francianyelv.h

Le concept du moment - L’État de droit, c’est quoi?

 "L’Union européenne est le théâtre d’un bras de fer. Alors que le plan de relance européen de 750 milliards d’euros, constitué pour aider les économies nationales à surmonter la crise sanitaire, est soumis au vote des États membres, deux d’entre eux y opposent un véto ferme : la Hongrie et la Pologne. En cause, la clause de conditionnalité de cette aide de l’Europe au respect de l’État de droit – une clause qui vise directement ces deux pays. 

Si, à la lumière de cette crise, la notion d’État de droit apparaît comme le socle du projet de construction européenne, elle ne semble pas même faire consensus en France. Certains entonnent la rengaine selon laquelle l’État de droit nous empêcherait aujourd’hui de prendre à bras le corps la menace terroriste, tandis que d’autres s’inquiètent, au contraire, de son escamotage à petit feu par des états d’urgence successifs. 

La notion d’État de droit est-elle vouée aujourd’hui à servir des discours politiques, ou est-il encore possible d’en avoir une définition étayée ? Xavier Dupré de Boulois, professeur de droit public à l’université Paris-1-Panthéon-Sorbonne, nous apporte son éclairage sur cette notion qui est au cœur de l’histoire et de la culture politique européenne. 

L’État de droit, au carrefour de deux conceptions"

La suite sur philomag.com

La Hongrie s'en prend à George Clooney pour avoir critiqué Orban

 "George Clooney est la cible de ministres hongrois après avoir critiqué le régime de Viktor Orban dans une interview.

La Hongrie a reproché mardi à George Clooney une connaissance trop "limitée" selon elle, de l'histoire et de la politique, après que l'acteur américain a décrit le Premier ministre de droite souverainiste Viktor Orban comme un exemple de "haine et de colère" dans le monde.

"Nous aimons l'acteur George Clooney... (mais sa) connaissance de l'histoire et de la politique semble assez limitée", a écrit le ministre hongrois des Affaires étrangères Peter Szijjarto sur sa page Facebook." La suite sur bfmtv.com

Guillaume Métayer : la traduction, « écho du texte source » et non « armure guindée » (A comme Babel)


"Guillaume Métayer, poète et traducteur littéraire du hongrois et de l’allemand, nous invite dans son dernier livre A comme Babel, à entrer dans son atelier de traducteur qu’il appelle sa « cuisine ». On y observe le traducteur à l’œuvre, aux prises avec les difficultés, les défis, les enjeux de la traduction poétique. Le livre traite de ce qui est au cœur de l’activité du traducteur, la lecture et l’écriture. L’auteur aborde la traduction comme « une écriture à deux », nous conduisant à travers tous les chemins de lecture-interprétation, changements, pertes, enrichissement, dialogue entre les langues, les sonorités, les rythmes, les références culturelles, les processus de création et recréation textuelle poétique.

Guillaume Métayer a traduit Attila József, Sándor Petőfi, István Kemény, János Garay, du hongrois et les œuvres poétiques de Nietzsche de l’allemand, et, avec Mathias Rambaud, co-traduit du slovène le poète Aleš Šteger. Il a cordonné les numéros 170 et 171, Europe, centrale.1, Europe, centrale.2  de la revue PO&SIE. Dans A comme Babel, l’auteur développe sa propre poétique de la traduction, à travers une forme de dialogue, interpellant le lecteur de façon très vivante, ce qui fait aussi l’originalité de ce livre. Le processus de traduction est celui d’une œuvre in progress d’artisan penché sur son œuvre avec délicatesse, finesse et savoir-faire. A comme Babel déploie une réflexion originale sur la traduction de la poésie en montrant au lecteur la fabrique de l’œuvre en cours de traduction dans toute sa complexité.  Il s’adresse au lecteur comme un interlocuteur tout au long d’une conversation littéraire et scientifique mené sur le ton de l’intimité." La suite sur diacritik.com

mardi 24 novembre 2020

Plan de relance européen : « Il existe des moyens de contourner le veto polono-hongrois et d’adopter ce plan entre les 25 autres Etats membres »

"Le juriste Sébastien Platon observe, dans une tribune au « Monde », qu’il existe assez d’arguments de droit pour passer outre au refus polono-hongrois.

Tribune. La presse européenne a abondamment titré ces derniers jours sur le fait que la Pologne et la Hongrie ont opposé leur veto au plan de relance post-coronavirus de 750 milliards d’euros (dont ils seraient eux-mêmes largement bénéficiaires) en raison de leur opposition au mécanisme permettant de suspendre les fonds européens en cas d’atteinte à l’Etat de droit (dit « mécanisme de conditionnalité Etat de droit »). Il faut cependant préciser que ce veto n’est ni définitif ni insurmontable.

Revenons un instant sur la pomme de discorde. Le mécanisme de conditionnalité Etat de droit permet au Conseil de l’Union européenne (UE), qui regroupe les gouvernements des Etats membres, de suspendre, à la majorité qualifiée, le versement de certains fonds européens à un Etat membre en cas d’atteinte au principe de l’Etat de droit. Précisons que dans l’hypothèse d’une telle suspension, les intérêts des bénéficiaires des fonds seraient préservés puisque les Etats concernés auraient quand même l’obligation de verser les sommes promises, mais sur leur budget national propre plutôt que sur fonds européens.

Les gouvernements hongrois et polonais, qui ont entamé depuis plusieurs années une entreprise de déconstruction démocratique systématique, s’opposent sans surprise à ce mécanisme. Le gouvernement hongrois affirme notamment que ce mécanisme permettra de « punir » les gouvernements ayant une position ferme sur l’immigration.

Pas pour l’heure de veto « officiel »

C’est là un mensonge éhonté. Une simple lecture du texte nous informe que la suspension n’est possible qu’en cas de violation des principes de l’Etat de droit affectant ou risquant sérieusement d’affecter la bonne gestion financière du budget de l’UE ou la protection des intérêts financiers de l’Union d’une manière suffisamment directe. Il s’agit notamment d’assurer que les juges et autorités chargés de contrôler l’utilisation de ces fonds, financés par le contribuable européen, sont indépendants du gouvernement qu’ils doivent contrôler. Rien à voir, donc, avec la politique migratoire." La suite sur lemonde.fr (article payant)

En Hongrie, l'engouement pour les chiens en cette période de pandémie

 "Qui l'eût cru. En Hongrie, les refuges pour chiens sont devenus un lieu très couru en ces temps de pandémie. De plus en plus de visiteurs viennent pour adopter un compagnon, soit parce que le télétravail leur laisse davantage de temps pour s'en occuper, soit - et c'est plus problématique - parce que c'est un bon prétexte pour sortir le soir. Le gouvernement autorise en effet les propriétaires de chiens à sortir pour une promenade malgré le couvre-feu. Alors dans le refuge pour animaux « Noé », on a pris des dispositions :

« Les personnes qui souhaitent adopter doivent nous envoyer des photos ou des vidéos de leur domicile, de l'environnement dans lequel elles vivent, explique Kinga Schneider, la responsable. Nous leur demandons de se présenter dans une lettre, nous discutons avec elles au téléphone et nous leur demandons de venir au moins deux fois par semaine pour faire la connaissance de l'animal, pour qu'un lien commence à se tisser. »" La suite sur euronews.com

“Soros” rate une occasion : un mauvais film sur le milliardaire juif hongrois

"Le documentaire, sorti vendredi dans des cinémas virtuels et en salle aux États-Unis, est une publicité univoque pour George Soros, moins précise que sa page Wikipédia.

NEW YORK – À un moment donné au cours des cinq dernières années, j’ai pris une profonde inspiration et je me suis dit : « Soit ! Je vais chercher George Soros sur Wikipedia. »

Bien sûr, j’avais entendu parler de lui. C’est un investisseur milliardaire qui a fait fortune en bourse, ce recoin étrange de l’univers dont j’ai accepté depuis longtemps que je n’y comprendrai jamais rien. (La roulette me semble être un jeu bien plus honnête, mais tout le monde n’est pas d’accord.) Bref ; quelle qu’en soit la raison, ce milliardaire particulier a fâché beaucoup de gens. De la part de l’extrême gauche, par méfiance naturelle à l’égard de quiconque dispose de tant d’argent, mais les rumeurs d’un infâme marionnettiste international ont émané de la droite très encline aux théories du complot. Soros était juif, donc les accusations sonnaient comme une vieille rengaine familière, mais d’autres le traitaient de collaborateur nazi. Quelque chose était clairement inhabituel chez ce type." La suite sur timesofisrael.com

 

lundi 23 novembre 2020

La Hongrie réaffirme son ferme attachement au règlement pacifique de la situation dans la région du Sahara (MAE)

 "La Hongrie a réaffirmé son ferme attachement au règlement pacifique de la situation dans la région du Sahara, dans le cadre des efforts onusiens, comme le reflète la politique menée par le Royaume du Maroc." La suite sur maroc-diplomatique.net

Musique - Mónika Lakatos porte haut la voix des Tsiganes en Hongrie

 La chanteuse hongroise Mónika Lakatos. CAPTURE D’ÉCRAN YOUTUBE

"Récompensée fin octobre par un prestigieux prix international, cette artiste rom se distingue par son parcours inhabituel pour une femme dans la musique tsigane. Le magazine de référence hongrois HVG l’a rencontrée.

Issue de la minorité oláh, une communauté venue de Roumanie au XIXe siècle et installée autour du village de Nagyecsed, dans le nord-est de la Hongrie, Mónika Lakatos évoque dans les pages du dernier numéro de l’hebdomadaire HVG son style profond, qui se distingue des standards tsiganes plus festifs. “Explorer les profondeurs de l’esprit constitue une composante importante de l’existence tsigane. Je défends et transmets un répertoire intimiste que notre communauté tend à oublier”, explique cette artiste, qui a été récompensée fin octobre par le prix Womex, dans la catégorie musiques du monde." La suite sur courrierinternational.com

dimanche 22 novembre 2020

Lobbying : à Bruxelles, la France et la Hongrie rechignent sur la transparence

"Depuis 2016, les institutions européennes cherchent un accord pour réglementer les contacts entre officiels et lobbyistes en les conditionnant à l’inscription au « registre de transparence » de l’Union. 

Les négociations entre la Commission, le Parlement et le Conseil de l’Union européenne pour rendre plus transparentes les interactions entre officiels et lobbyistes piétinent depuis des années. Paris n’est pas étranger à cet état de fait.

Le 10 novembre, lors d’une réunion d’un groupe de travail sur les « affaires générales » du Conseil (l’institution qui représente les 27 Etats membres), la France, de concert avec la Hongrie, a émis des réserves sur un projet de déclaration politique qui verrait les Etats européens s’engager à conditionner les rendez-vous entre ambassadeurs et lobbyistes à l’inscription de ces derniers au registre de transparence de l’Union européenne – et ce, uniquement pendant la durée de « leur » présidence tournante du Conseil de l’UE et de la présidence précédente. Soit une période d’un an.

« La France retarde ainsi la discussion à un niveau plus politique », regrette un diplomate. Le texte en débat fait pourtant déjà l’objet de vives critiques pour son manque d’ambition. Aux yeux de Vitor Teixeira, de l’ONG Transparency International, il est « d’une ampleur si minime que c’en est presque une blague ».

Plusieurs tentatives infructueuses

Les tractations entre institutions ont malgré tout repris de la vigueur depuis que la présidence allemande en a fait un objectif prioritaire. Elles font suite à plusieurs tentatives infructueuses. En 2016, lorsque la Commission propose que des règles communes aux trois institutions soient adoptées – grâce à un accord interinstitutionnel – pour rendre obligatoire l’inscription des représentants d’intérêts sur le registre de la transparence, elle se fonde sur sa propre pratique." La suite sur lemonde.fr (article payant)

Le Ministre des affaires étrangères chinois salue les efforts conjoints déployés avec les PECO contre la pandémie de COVID-19

"Le mécanisme de coopération entre la Chine et les pays d'Europe centrale et orientale (PECO) a joué un rôle positif dans leurs efforts conjoints déployés contre la pandémie de COVID-19, a déclaré vendredi le conseiller d'Etat chinois et ministre des Affaires étrangères Wang Yi.

Lors d'une conversation téléphonique avec le ministre hongrois des Affaires étrangères et du Commerce, Peter Szijjarto, M. Wang a indiqué que les relations sino-hongroises avaient maintenu une dynamique de développement solide.

Sous la direction stratégique des deux dirigeants, la confiance réciproque entre les deux pays a été continuellement consolidée et la coopération dans divers domaines s'est déroulée stablement, a-t-il ajouté." La suite sur china.org.cn

samedi 21 novembre 2020

Pourquoi dit-on "allô" quand on répond au téléphone ?

"Dans l'émission d'Europe 1 "Historiquement vôtre", Stéphane Bern se penche sur les racines d'une expression du quotidien. Vendredi, l'animateur revient sur l'interjection "allô", que nous disons par réflexe en décrochant notre téléphone, mais dont on ignore souvent l'origine.

Stéphane Bern propose chaque jour, dans Historiquement vôtre avec Matthieu Noël, de partir à la découverte de ces expressions que l'on utilise au quotidien sans forcément connaître leur origine. Vendredi, l'animateur nous explique celle de "allô", cette expression téléphonique vraisemblablement venue de Hongrie." La suite sur europe1.fr

En Hongrie, les sans-abri redoutent davantage l'hiver que la Covid

"20 heures en Hongrie, l'heure du couvre-feu anti-Covid. Mais que faire lorsque l'on est sans-abri ? Ils sont 15 000 SDF dans le pays, dont un tiers environ dort dans la rue.

Parmi eux, Istvan, sans-abri depuis une dizaine d'années. Selon lui, les policiers font preuve de compréhension à leur égard. "A 20 heures, la police m'a demandé où j'allais. J'ai répondu que j'allais dormir. Je ne pouvais pas dire que je rentrais chez moi, je n'ai pas de maison. Finalement, ils m'ont dit dépêche-toi et bonne nuit", raconte-t-il." La suite sur euronews.com

L’Egypte et la Hongrie discutent de coopération dans les TIC

"(Agence Ecofin) - L’Egypte et la Hongrie veulent apprendre davantage l’une de l’autre dans les technologies de l’information et de la communication. Le 17 novembre, Amr Talaat le ministre égyptien des TIC et András Kovács, l'ambassadeur de Hongrie en Egypte, ont échangé à cet effet.

Le 17 novembre 2020, le ministre égyptien des Communications et des Technologies de l'Information Amr Talaat et András Kovács, l'ambassadeur de Hongrie en Egypte, ont abordé la question de la promotion de la coopération entre leurs pays dans le domaine des technologies de l’information et de la communication." La suite sur agenceecofin.com

Judit Polgar, la meilleure joueuse d’échecs du monde, confronte son expérience à la série "Le Jeu de la dame"

"Face au succès de la série sur Netflix, la championne hongroise d’échecs est sollicitée par les médias pour commenter la crédibilité des scènes de jeu. Mais contrairement à ce que montre la série, les échecs ne sont d'après elle pas suffisamment ouverts aux femmes, et les joueurs pas toujours très élégants.

La série cartonne depuis un mois sur Netflix : Le Jeu de la dame,  (The Queen’s Gambit en version originale), l’histoire d’une orpheline qui apprend à jouer aux échecs et dont on suit le parcours brillant. L'adolescente parvient à se faire une place dans les tournois internationaux. C’est une fiction, tirée d’un livre, qui se déroule dans les années 1960, à une époque où en réalité, il n’y a jamais eu de championne d’échecs.

Il a fallu attendre la fin des années 1980 pour voir arriver une femme dans les tournois internationaux : en l’occurrence, Judit Polgar, championne qui a pris sa retraite en 2014 et qui depuis quelques jours refait la Une. Le New York Times et CNN l’ont interviewée. Ici en France, L’Equipe lui a consacré un portrait. On la sollicite pour savoir ce qu’elle pense de la série. Est-ce réaliste ? Les parties, les attitudes, sont-elles crédibles ? De quoi faire sourire Judit Polgar, elle qui n’est pas arrivée devant un échiquier par hasard mais a été élevée, entraînée, formatée pour gagner." La suite sur francetvinfo.fr

Hongrie : Orban attaque les droits des femmes

"Les droits reproductifs sont dans le viseur du Fidesz alors que le gouvernement intensifie sa rhétorique conservatrice, établissant des parallèles avec la dernière tentative de la Pologne de limiter l’avortement. 

Stigmatisation et atteintes aux droits fondamentaux
Fin octobre, les droits des femmes hongroises ont été soudainement attaqués lorsque le gouvernement du Premier ministre Viktor Orban a signé une déclaration anti-avortement imprégnée d’un langage «pro-famille» et d’un discours conservateur. Dans la Déclaration du consensus de Genève, l’idée maîtresse de ce document est un déni clair du droit international à l’avortement sous prétexte de promouvoir la santé des femmes." La suite sur eurasiatimes.org

Ligue des nations : les buts de Hongrie-Turquie en vidéo

"Découvrez les buts inscrits ce mercredi durant le match Hongrie-Turquie (2-0), lors de la 6e journée de Ligue des nations.

Ce mercredi, lors de la 6e journée du groupe 3 de la Ligue des nations B, la Hongrie s'est imposée 2-0 face à la Turquie grâce à l'ouverture du score du milieu de terrain de Ferencvaros David Siger (57e) et à la réalisation de Kevin Varga (90e+4). Découvrez les buts de la rencontre en vidéo." A voir sur lequipe.fr

Budget européen: Orban prône la poursuite du dialogue

"BUDAPEST (Reuters) - Il faut poursuivre le dialogue sur le budget européen et sur les fonds de soutien à la relance, a déclaré vendredi le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, à la radio publique.

Selon le chef de gouvernement, plusieurs pistes sont possibles pour sortir les Vingt-Sept de l'impasse créée par le refus de Budapest et Varsovie d'approuver le budget pluriannuel pour 2021-2027 et un accord finira par être trouvé.

"Il pourrait y avoir plusieurs solutions (...) pour lesquelles ce sont les aspects légaux qui prévalent et non une majorité politique et qui seraient acceptables par la Hongrie et la Pologne", a dit Viktor Orban sans plus de précisions." La suite sur easybourse.com

vendredi 20 novembre 2020

Rassurer Varsovie et Budapest sur la compétence finale de la CJUE

 "(Belga) La crise autour du blocage du budget à long terme de l'UE et de son instrument de relance pourrait-elle être résolue en offrant à Budapest et Varsovie suffisamment de garanties quant au rôle final de la Cour de Justice de l'UE sur d'éventuelles violations de l'État de droit? C'est une possibilité avancée jeudi par plusieurs diplomates, à quelques heures d'une réunion virtuelle des dirigeants des 27 (à partir de 18h00), qui ne pourront pas ne pas aborder le dossier.

Le chef de groupe du PPE au Parlement européen, l'Allemand Manfred Weber, partage cet avis. La CJUE, installée à Luxembourg, devra être "le lieu où la décision finale sera prise" s'il y a désaccord sur de supposées violations des principes fondamentaux en lien avec le budget, estime-t-il. On ne s'attend pas à un déblocage de la situation jeudi, d'autant plus qu'une vidéoconférence ne permet pas les mêmes apartés qu'un sommet physique." La suite sur rtl.be

George Soros: "L’Europe doit tenir tête à la Hongrie et à la Pologne"

 "Pour George Soros, l'Union européenne ne peut se permettre de céder du terrain concernant les règles de l’État de droit.

La Hongrie et la Pologne ont opposé leur veto à la proposition de budget de l’Union européenne pour un montant de 1.150 milliards d'euros sur sept ans, ainsi qu’au fonds de relance européen de 750 milliards. Bien que ces deux pays soient les plus grands bénéficiaires de ce budget, leurs gouvernements refusent catégoriquement que l’accès aux fonds soit conditionné au respect de l’État de droit, une exigence imposée par l’UE à la demande du Parlement européen. Ils sont en effet conscients de violer l’État de droit à plusieurs égards scandaleux, et refusent d’en payer les conséquences." La suite sur lecho.be

Accord maroco-hongrois dans le secteur des semences

 "L’Association marocaine des multiplicateurs de semences (AMMS) et l’Association hongroise des semences (VSZT) ont signé, jeudi par visioconférence, un mémorandum de coopération visant à promouvoir les échanges dans le secteur des semences.

Conclut entre le président de l’AMMS, Khalid Benslimane et le président de la VSZT, Pólgar Gàbor, en présence de l’ambassadeur de la Hongrie à Rabat, Miklós Tromler, cette convention se veut également un cadre pour créer les conditions propices au développement du secteur des semences." La suite sur infomediaire.net

PM roumain: le blocage hongrois et polonais « affecte négativement l’ensemble de l’UE »

"Le blocage du plan de relance européen par la Hongrie et la Pologne « affecte négativement l’ensemble de l’UE », a déploré jeudi le Premier ministre libéral roumain Ludovic Orban dans une interview à l’AFP, à quelques heures d’un sommet des Vingt-Sept.

Le blocage du plan de relance européen par la Hongrie et la Pologne « affecte négativement l’ensemble de l’UE », a déploré jeudi le Premier ministre libéral roumain Ludovic Orban dans une interview à l’AFP, à quelques heures d’un sommet des Vingt-Sept." La suite sur mediapart.fr (article payant)

jeudi 19 novembre 2020

Le pianiste suisse d’origine hongroise Béla Siki s’est éteint à 97 ans

"Né à Budapest, le pianiste Béla Siki a vécu deux décennies à Genève avant de poursuivre sa carrière internationale aux Etats-Unis. Il aura joué avec les plus grands orchestres et les chefs les plus réputés. Père de la journaliste Muriel Siki, il est décédé fin octobre à Seattle.

Béla Siki, pianiste suisse d’origine hongroise avait vécu deux décennies à Genève avant de partir pour les Etats-Unis. Il est décédé à Seattle à l’âge de 97 ans. A trois ans seulement de son centenaire, le musicien s’est éteint après avoir affronté tardivement la maladie d’Alzheimer. Sa carrière internationale de soliste et d’enseignant a connu aux Etats-Unis, où il était parti s’installer en 1965, une ampleur qui a marqué plusieurs générations." La suite sur letemps.ch

La Hongrie étend son confinement partiel jusqu'au 8 février

"La Hongrie a étendu jusqu'au 8 février l'état d'urgence, selon un décret gouvernemental. Les restrictions, qui comprennent un couvre-feu entre 20 heures et 5 heures, l'interdiction des rassemblements et la mise en place de cours en ligne pour les lycées et les universités devaient initialement prendre fin le 10 décembre. Elles peuvent désormais être prolongées de deux mois supplémentaires." Source : leparisien.fr

Plan de relance: la Slovénie soutient la Hongrie et la Pologne

"Le Premier ministre slovène a apporté son soutien à la Hongrie et à la Pologne dans le bras-de-fer qui les oppose à l'UE, dénonçant à son tour le mécanisme liant le versement des fonds au respect de l'État de droit." La suite sur lefigaro.fr

UE : le non-sens politique de la Pologne et de la Hongrie

"Editorial du « Monde ». Jusqu’où iront la Pologne et la Hongrie dans leur rébellion contre l’Union européenne ? En mettant à exécution leur menace de bloquer le plan de relance européen s’il reste conditionné à l’application de l’Etat de droit, les gouvernements de Varsovie et de Budapest s’enferrent dans une posture indéfendable, qui met en danger les économies de vingt-cinq autres Etats membres. De quoi s’agit-il, au fond ? Les gouvernements nationalistes au pouvoir dans ces deux pays, contrôlés par le PiS (Droit et justice) de Jaroslaw Kaczynski et la Fidesz (Union civique hongroise) de Viktor Orban, sont en conflit depuis plusieurs années avec Bruxelles sur leur traitement de l’indépendance de la justice et des médias ; ce traitement, aux yeux de la Commission européenne et du Parlement européen, contrevient aux valeurs démocratiques sur lesquelles est fondée l’UE." La suite sur lemonde.fr

L'agent de Szoboszlai annonce un départ "à venir" du Red Bull Salzbourg

"L'homme qui est le principal représentant légal du Hongrois a admis qu'il devenait trop grand pour son club actuel.

Le milieu de terrain lié à Arsenal, au PSG, au Real Madrid, ou encore à l'AC Milan, Dominik Szoboszlai, se rapproche de "plus" en plus d'un départ du Red Bull Salzbourg, selon son agent. Szoboszlai est devenu l'un des jeunes joueurs les plus excitants d'Europe depuis qu'il a rejoint Salzbourg en provenance de Liefering en janvier 2018. Le joueur de 20 ans a depuis marqué 22 buts en 74 matchs pour le club autrichien, tout en réalisant un impressionnant total de 33 passes décisives." La suite sur goal.com

mercredi 18 novembre 2020

Offre de Bourses d’Etude en Hongrie au titre de l’année Universitaire 2021-2022

 "Le gouvernement Hongrois offre, au titre de l’année universitaire 2021-2022, 200 des bourses d’étude au profit des étudiants tunisiens pour poursuivre leurs études supérieures en Hongrie. Et ce dans le cadre du programme de coopération dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique entre la République Tunisienne et la Hongrie pour les années 2020, 2021 et 2022.

Ces études portent sur plusieurs domaines :

  • Les domaines des sciences de l’ingénieur;
  • Sciences agricoles;
  • Sciences naturelles;
  • Informatique et technologie de l’information;
  • Sciences humaines et sociales;
  • Sciences de l’environnement." 

La suite sur leconomistemaghrebin.com

 

Il va investir dans une biotech belge: qui est George Soros, l’homme qui attire tous les complots?

"A l’âge de 90 ans, on peut réellement dire que George Soros est un génie de la finance. Ce milliardaire philanthrope serait sur le point d’investir dans la société de biotech belge Univercells.

Cette entreprise située à Gosselies impliquée dans le développement d’un vaccin contre le Covid-19. Si ce généreux investissement est le bienvenu, de nombreuses théories complotistes gravitent autour de George Soros depuis des années.

Survivant de l’holocauste

George Soros, de son vrai nom György Schwartz est un Hongrois né 12 août 1930 à Budapest. De confession juive, sa famille prend peur lors de l’envahissement de la Hongrie par l’Allemagne nazie en mars 1944.

Tivadar, le père avocat, va réussir à obtenir des faux papiers chrétiens pour sa famille ainsi qu’une planque où se cacher. Tivadar apprend à son fils l’art de la survie, tout en sauvant des dizaines d’autres Juifs. La famille s’en sortira finalement.

Mais depuis près de 20 ans tourne une légende urbaine selon laquelle George Soros aurait été un SS." La suite sur rtbf.be

 

Le forint hongrois en baisse après le rendez-vous de la MNB

" (AOF) - La Banque centrale de Hongrie (MNB) a décidé mardi de maintenir son principal taux d'intérêt à 0,60%. Cette décision était attendue par les économistes. L’institution n’a pas eu besoin de resserrer sa politique monétaire alors que l’inflation a ralenti en octobre pour se rapprocher de l’objectif officiel des 3%. Elle s’établit ainsi à 3,2 % en données « core » et à 3 % en données publiées. Cependant, la MNB continuera à surveiller de près l’évolution de cet indicateur dans le futur." La suite sur capital.fr

En Hongrie, le théâtre survit grâce à la diffusion en ligne

 "Comme beaucoup d'institutions culturelles en Europe, les théâtres hongrois sont fermés au public en raison de la pandémie de coronavirus. Mais certains, comme le théâtre Latinovits Zoltán situé en périphérie de Budapest, diffusent leurs spectacles sur Internet ce qui permet de les maintenir à flot.

Les salles de spectacles robustes financièrement peuvent investir dans des caméras et des équipements techniques dernier cri, leur permettant de gérer elles-mêmes leurs services de diffusion. Mais les autres utilisent des services de fournisseurs récents, qui vendent des billets, enregistrent et diffusent les spectacles comme Theatre TV.com.

D'après Dániel Berzsenyi, directeur du théâtre Latinovits Zoltán, ces diffusions payantes en ligne ont permis "d'éviter littéralement la mort" de son établissement." La suite sur euronews.com

La Hongrie commande deux KC-390

"La Hongrie devient le deuxième pays européen à opter pour l’avion-ravitailleur multirôle KC-390 Millenium d’Embraer. Il devrait entrer en service sous couleurs de l’armée de l’air hongroise en 2023-2024.

Le KC-390 Millenium destiné aux forces de défense hongroises sera le premier au monde à être équipé de l’unité de soins intensifs, une capacité essentielle pour effectuer des missions humanitaires, affirme Embraer. Les forces de défense hongroises le destinent à différents types de missions militaires et civiles, y compris le soutien humanitaire, l’évacuation médicale, la recherche et le sauvetage, le transport de fret et de troupes, le largage de fret de précision, les opérations de parachutage et le ravitaillement en vol. Ces KC-390 sont entièrement compatibles avec l’OTAN. Ils pourront ravitailler le JAS 39 Gripen qui équipe les forces aériennes hongroises." La suite sur aerobuzz.fr

Le Conseil de l’Europe juge « insatisfaisante » la lutte en Hongrie contre la corruption politique

 "Il n’y a pas eu de progrès dans la lutte contre la corruption par le gouvernement de Viktor Orban, juge mardi le GRECO, une instance du Conseil de l’Europe.

Les actions menées par les autorités hongroises pour lutter contre la corruption des parlementaires, juges et procureurs restent « globalement insatisfaisantes », a averti l’un des organes du Conseil de l’Europe dans un rapport très critique rendu public mardi 17 novembre 2020.

Dans ce rapport, le Groupe d’États contre la corruption (Greco) souligne que la Hongrie n’a absolument pas progressé par rapport à l’an dernier. Ainsi, seules cinq des 18 recommandations qu’il avait formulées en 2015 ont été mises en œuvre de façon satisfaisante. « Des mesures plus franches restent nécessaires pour améliorer le cadre actuel du Parlement (hongrois) en matière d’intégrité », insiste le Greco.

Des allégations de corruption en Hongrie ont notamment conduit les États-Unis à interdire à certains fonctionnaires hongrois l’entrée sur leur territoire ces dernières années." La suite sur ouest-france.fr

 

Le vaccin russe Spoutnik-V arrive en Europe, et il entrera par la Hongrie

 "Viktor Orban, qui entretient des relations chaleureuses avec Vladimir Poutine, s’apprête à importer des doses de vaccin russe anti-Covid-19 encore à l’essai. 

Le ministre hongrois des affaires étrangères, Peter Szijjarto, a confirmé que le pays de Viktor Orban sera le premier de l’Union européenne à obtenir des doses de Spoutnik-V, autour du week-end du 20 novembre. Les premiers échantillons serviront à faire des tests, « avant que des quantités plus importantes soient importées dans la deuxième moitié de janvier », a expliqué M. Szijjarto, ces derniers jours.

Même si le vaccin russe est encore à l’essai, M. Orban, qui entretient des relations chaleureuses avec le président Vladimir Poutine, a lui-même appelé « à ne pas en faire un sujet politique ». Face aux doutes exprimés par certains experts sur la légalité de cette importation sans l’accord de l’Agence européenne du médicament, le premier ministre nationaliste a ainsi défendu la liberté des Hongrois « de décider à quel vaccin ils font le plus confiance », que ce soit « l’approche probusiness d’une entreprise américaine ou le vaccin d’Etat russe ou chinois ».

Alors que le pays a été largement épargné par la première vague de Covid-19 au printemps, grâce aux mesures de confinement prises très tôt, la situation hongroise est désormais bien plus inquiétante face à la deuxième vague. Selon les données du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC), le pays se positionnait en troisième position continentale, lundi 16 novembre, au vu de son taux de mortalité pour 100 000 habitants, derrière la République tchèque et la Belgique. Et si le taux de contamination est plus faible qu’ailleurs, c’est surtout parce qu’il est très difficile de se faire tester en Hongrie. Alors que les pays voisins ont pris des mesures dès octobre, « chez nous, la deuxième vague est arrivée en septembre, mais le gouvernement n’a pris aucune mesure au départ », dénonce ainsi Zoltan Szabad, président de l’Union médicale hongroise, principal syndicat de médecins du pays.

L’état déplorable des hôpitaux"
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La suite sur lemonde.fr (article payant)

mardi 17 novembre 2020

Cinéma. Le palmarès du festival du Film court de Brest - La récompense suprême va à Banality, de Balazs Simonyi,


"La récompense suprême va à Banality, de Balazs Simonyi, grand prix du Film court de la ville de Brest. Un long plan séquence ininterrompu montrant une attaque terroriste dans une journée banale. Un traitement original, « une grande prouesse », loin du pathos et du gore pour un sujet, hélas ô combien, d’actualité.

Ce film a fait l’unanimité auprès des membres du jury. « Je suis bien sûr très heureux. Brest n’est pas une première pour moi, s’enthousiasme le réalisateur – il avait reçu une mention en 2011 pour Finale –, son beau-frère est également breton. Mais aujourd’hui, c’est une grande surprise parce que ce film est vraiment noir et difficile à digérer pour les spectateurs. »

L’idée du scénario lui est venue à partir de sa propre expérience vécue lors de l’attaque du marathon de Boston. La réalisation a été « un désastre complet » qui lui a pris sept ans." Source : ouest-france.fr

 

 

 

 

 

 

 

 

(Re)Voir – « La Lune de Jupiter » : Parabole du réfugié

 ©Pyramide Distribution

"Cette année la sélection officielle a véritablement décidé de jouer avec nos nerfs et nos émotions. Le deuxième film en compétition vu par la rédaction, La Lune de Jupiter, du réalisateur hongrois Kornél Mundruczó, flirte entre le réalisme d’actualité et le mi-fantastique / mi-religieux. Grâce à un scénario intéressant et à la technique du réalisateur, La Lune de Jupiter coupe littéralement le souffle du spectateur.

Le film s’ouvre dans l’obscurité d’un camion conduisant des migrants syriens, prêts à s’embarquer en bateau. Une impression de déjà vu, un miroir de ce qu’il se passe dans le monde. Ils désirent rejoindre l’Europe, cela explique le titre mystérieux du film, Europe étant le nom d’une des lunes de Jupiter." La suite sur maze.fr

A voir sur arte.tv 120 min Disponible du 16/11/2020 au 22/11/2020

Dans une Hongrie raciste et corrompue, un médecin en quête de rédemption prend en charge un jeune clandestin doté d’étranges pouvoirs. Entre thriller et fantastique, une parabole sur la crise des migrants. 

Des migrants syriens tentent de traverser la frontière hongroise, quand une violente opération de police tourne au drame. Nombre d’entre eux périssent noyés, et Laszlo, flic en fin de carrière, n’hésite pas à tirer sur un des clandestins en fuite, Aryan. Grièvement blessé et laissé pour mort, le jeune homme commence alors à léviter et s’élève dans le ciel. Tandis qu’il tente ensuite de se cacher dans un camp de réfugiés, le docteur Stern, hanté par une faute et en quête de rédemption, le recueille, non sans bientôt exploiter ses "dons" pour éponger ses dettes. 
 
Étranger à la perversion 
La lune de Jupiter met en scène la tragédie des migrants au travers d’une parabole empreinte de religiosité. Entre saint et martyr, Aryan, dont le visage à peine sorti de l’enfance exprime l’innocence, se débat dans une vieille Europe à bout de souffle et une Hongrie à l’humidité hostile, claire dénonciation de celle de Viktor Orbán. Dans une société au racisme aigre, rongée par une corruption systémique, le jeune homme, sorte d’E.T. égaré, lévite, comme étranger à la perversion qui l’entoure. Au-delà de la fable politique, qui oscille entre thriller et fantastique, le film s’attache à explorer le duo ambivalent formé par Aryan et ce médecin vieillissant et alcoolique. Car Stern voit autant en lui un super-héros aux pouvoirs spectaculaires, dont il peut tirer profit, qu’un instrument providentiel pour expier ses erreurs. La fibre paternelle qui affleure chez lui, au fil de leur course éperdue dans un Budapest en état d’alerte, finira par le réconcilier avec lui-même.

 

Hongrie - Budapest bloque le budget et le plan de relance européens, un pied de nez anti-Bruxelles

"Budapest refuse que le respect de l’État de droit conditionne le versement de fonds structurels européens. Alors que le pays souffre particulièrement des conséquences économiques de la deuxième vague de Covid-19, ce blocage envenime les rapports déjà tendus avec Bruxelles et fait la une des médias locaux.

La Hongrie a, le 16 novembre, mis son véto au budget 2021-2027 ainsi qu’au plan de relance de 750 milliards d’euros censé atténuer les effets de la crise engendrée par le coronavirus, grippant la mécanique enclenchée depuis le sommet extraordinaire de la mi-juillet. Budapest, comme Varsovie, refuse le mécanisme conditionnant les fonds européens au respect de l’État de droit. Dix jours avant le véto hongrois, la presse propouvoir magyare dénonçait un “chantage” après la validation d’un accord provisoire liant les subsides de Bruxelles à ce principe." La suite sur courrierinternational.com

Covid-19 : la Hongrie veut tester le vaccin de Poutine !

"Le ministre hongrois des Affaires étrangères annonce qu'un échantillon du vaccin russe, Spoutnik V, sera testé et éventuellement fabriqué en Hongrie.

C'est officiel : la Hongrie sera le premier pays à tester le vaccin russe Spoutnik V. L'annonce en a été faite par le ministre des Affaires étrangères, Péter Szijjártó. Un premier échantillon du vaccin russe sera expédié à Budapest « la semaine prochaine ». Les autorités hongroises vont soumettre ce vaccin – dont on ne sait rien – à des tests de laboratoire afin d'en vérifier l'innocuité.

Toutefois, les discussions ont déjà dépassé ce stade expérimental. Péter Szijjártó a également évoqué la possibilité de fabriquer ce vaccin en Hongrie. La documentation nécessaire a été adressée aux autorités hongroises par le ministère russe de l'Industrie et du Commerce." La suite sur lepoint.fr

Le président du PPE veut sanctionner le veto hongrois sur le plan de relance

"Le Polonais Donald Tusk, président du Parti Populaire européen, la première famille politique de l’UE, a réclamé lundi l’exclusion du parti du Premier ministre hongrois Viktor Orban pour sanctionner son veto au plan de relance européen.

Le Polonais Donald Tusk, président du Parti Populaire européen, la première famille politique de l’UE, a réclamé lundi l’exclusion du parti du Premier ministre hongrois Viktor Orban pour sanctionner son veto au plan de relance européen." La suite sur mediapart.fr (article payant)

Nous, les Hongrois de l’Ouest

"La mutation néo-patriarcale et néo-raciste de l’Europe, commencée avec les politiques frontalières de Lesbos et de Calais, se poursuit activement au sein des parlements polonais et hongrois. Cette contre-révolution prospère sur le négationnisme : du climat, du genre et de la colonisation.

Tandis que nous sombrons dans la léthargie induite par la gestion politique de la pandémie, se déroulent, non loin de nous, sur le sol européen, certaines des mutations les plus sophistiquées et les plus brutales du néolibéralisme autoritaire contemporain." La suite sur mediapart.fr (article payant)

L’heure de vérité pour la Hongrie et la Pologne qui font blocage au budget et au plan de relance européens

"Au risque de déclencher une grave crise diplomatique, Budapest et Varsovie ont bloqué lundi le prochain budget de l’UE et le plan de relance de l'économie post Covid-19 . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

lundi 16 novembre 2020

La Hongrie et la Pologne bloquent le budget et le plan de relance européens

 "Budapest et Varsovie ont mis leur veto pour s'opposer au mécanisme permettant de priver de fonds européens les pays de l'Union accusés de violer l'État de droit.

Budapest et Varsovie ont bloqué lundi 16 novembre le budget de l'UE et le plan de relance massif laborieusement approuvés par les Vingt-Sept en juillet, ouvrant une crise au sein de l'Union en pleine deuxième vague de la pandémie de Covid-19.

Lors d'une réunion des ambassadeurs des pays de l'UE, la Hongrie et la Pologne ont mis leur veto à ce paquet pour s'opposer à la mise en place d'un mécanisme permettant de priver de fonds européens les pays accusés de violer l'Etat de droit (indépendance de la justice, respect des droits fondamentaux), a-t-on indiqué de sources européennes." La suite sur lefigaro.fr

Football - Frappée par le coronavirus, la Hongrie retient son souffle avant l'Euro

"Longtemps épargnée par le Covid-19, la Hongrie se prépare à décréter un confinement total. De quoi inquiéter en vue de l'Euro 2021, dont elle sera l'un des douze pays hôtes et le deuxième adversaire des Bleus.

"La Hongrie fait partie des douze pays hôtes de l'Euro 2021, où elle sera même le deuxième adversaire de la France, le 19 juin à Budapest. Mais avant cela, elle doit faire face à un autre défi. Depuis l'automne, la courbe de contamination au Covid-19 monte en flèche, et le gouvernement a décrété l'état d'urgence sanitaire. Dans un premier temps, le pays a été placé sous couvre-feu entre minuit et 5 heures du matin. Tout contrevenant s'exposant à une amende de 500 €. Puis, il a été étendu de 20 heures à 5 heures du matin, à compter du 11 novembre. À 19 heures, pour les magasins et commerces." La suite sur lequipe.fr (article payant)

Football - Ligue des nations : La Hongrie tenue en échec par la Serbie

 "Trois jours après sa qualification pour l'Euro 2021, la Hongrie a été accrochée par la Serbie (1-1) ce dimanche, dans le cadre de la 5e journée de la Ligue des nations. Dans le même temps, l'Autriche a renversé l'Irlande du Nord (2-1), alors que la République tchèque s'est imposée contre Israël (1-0).

En Ligue B, trois jours après sa qualification pour l'Euro 2021, la Hongrie a été accrochée par la Serbie (1-1) ce dimanche. Les coéquipiers de Dominik Szoboszlai ont concédé l'ouverture du score, après un but de l'attaquant marseillais Nemanja Radonjic (17e, 0-1). Le Hongrois Zsolt Kalmar a permis aux siens d'égaliser peu avant le retour aux vestiaires (39e, 1-1), mais le score n'a plus évolué. Un match à trois entre la Hongrie, la Turquie et la Russie, lors de la dernière journée de ce groupe 3, permettra de déterminer la sélection qui accédera à l'étage supérieur." La suite sur lequipe.fr

dimanche 15 novembre 2020

En direct : Hongrie - Serbie, Ligue des nations B, 5e journée Ligue B - Gr. 3, Dimanche 15 Novembre 2020

"Bienvenue sur le live de L'Équipe pour suivre ce match de football en direct entre Hongrie et Serbie (Ligue des nations B, 5e journée).
Le coup d'envoi de ce match, qui se déroulera au Puskás Aréna (Budapest) sera donné le dimanche 15 novembre 2020 à 20h45. Les deux équipes se sont déjà rencontrées 1 fois depuis 2020, le dernier match entre les deux formations a été remporté par Hongrie le dimanche 11 octobre 2020 (Ligue des nations B - 3e journée : 1-0).
Le match sera arbitré par Glenn Nyberg.
Vous pouvez aussi retrouver plus d’informations concernant les équipes et effectifs grâce à nos fiches détaillées : Hongrie et Serbie." Source : lequipe.fr

Maintien du marathon de Budapest, en Hongrie, malgré les peurs liées au Coronavirus

"Le Coronavirus n'est pas parvenu à stopper le trente-cinquième marathon de Budapest ! Malgré une participation réduite, il reste toutefois un tiers des trente cinq milles participants habituels qui ont préféré courir dans les rues de la capitale Hongroise plutôt que de s'enfermer sur internet pour exploser les compteurs du meilleur casino en ligne.

Les organisateurs estiment que beaucoup ont préféré changer d'avis à la dernière minute. Ce ne sont pourtant pas moins de 9000 personnes qui ont pris le risque de participer.

Les coureurs, tout comme les organisateurs, devaient suivre des consignes très strictes liées au coronavirus afin de minimiser le risque de propagation. Les participants n'étaient toutefois pas contraints de porter un masque pendant la course. " La suite sur estrieplus.com

La Hongrie maintient les messes publiques pendant le couvre-feu

 «Nous devons agir de manière responsable et prudente», écrit la conférence épiscopale hongroise à l’aune de l’état d’urgence et couvre-feu instauré dans le pays magyar depuis le 11 novembre. Les restrictions annoncées par le gouvernement Orban ne concernent pas les lieux de culte. Ces derniers sont libres de choisir s’ils poursuivent ou non les offices.

90 jours d’état d’urgence, un couvre-feu incluant la fermeture des bars et restaurants, l’enseignement à distance pour les établissements scolaires et universitaires, ou encore la fermeture anticipée de tous les commerces à 19 heures.

Le Premier ministre conservateur Viktor Orban a durci les mesures en Hongrie à compter du mercredi 11 novembre, laissant à la discrétion des cultes la possibilité de maintenir les célébrations, dans le respect des normes sanitaires. Le pays majoritairement catholique, à minorité protestante, maintient donc ses églises ouvertes, et la possibilité d’y célébrer des messes en présence de fidèles." La suite sur vaticannews.va

Restrictions.Orbán débordé par la “corona-panique” en Hongrie

"Selon l’hebdomadaire HVG de cette semaine, le Premier ministre, Viktor Orbán, s’est laissé dépasser par la crise sanitaire, dont il n’a pas pris assez tôt la mesure, alors que la pandémie fait près d’une centaine de morts par jour en Hongrie.

“Les restrictions tardives enrayeront-elles la catastrophe ?” La question est posée sur la couverture de l’hebdomadaire Heti Világgazdaság (HVG) du jeudi 12 novembre, dénonçant les errements de l’exécutif magyar face à la deuxième vague de coronavirus. Pour étayer son propos, l’hebdomadaire métamorphose le Premier ministre, Viktor Orbán, fan invétéré du ballon rond, en gardien de but passoire incapable de contenir une flopée de souches du coronavirus, dont la majorité gît au fond des filets. L’éditorial du magazine explique :" La suite sur courrierinternational.com

samedi 14 novembre 2020

La Hongrie, premier pays d’Europe à produire sur son sol le vaccin russe «Spoutnik V»?

 "La Hongrie pourrait être le premier membre de l’Union européenne à organiser sur son territoire la production du vaccin russe anti-Covid-19 « Spoutnik V », a annoncé le ministère russe de l’Industrie et du Commerce, dont les propos sont relayés par l’agence TASS, suite à des négociations entre le ministre russe Denis Mantourov et le ministre des Affaires étrangères et des Relations économiques extérieures hongrois, Péter Szijjártó.

« Denis Mantourov a confirmé que les premiers échantillons du vaccin arriveront en Hongrie dès la semaine prochaine. Parallèlement, sur le territoire hongrois est menée la préparation d’un site de production approprié », a ainsi déclaré l’institution." La suite sur rbth.com

Bras de fer UE-Hongrie sur les droits des homosexuels

"La Hongrie veut modifier sa Constitution pour bannir le mariage et l'adoption gays au moment où Bruxelles déploie une « stratégie LGBT ».

Est-ce un hasard du calendrier ? Deux jours avant que la Commission ne présente sa stratégie en faveur de la non-discrimination des LGBT en Europe, le gouvernement hongrois a déposé un projet d'amendement à la Constitution hongroise renforçant l'impossibilité pour les couples homosexuels d'élever des enfants.

« La Hongrie protège l'institution du mariage en tant qu'association entre un homme et une femme, et la famille en tant que base de la survie de la nation. Le fondement de la famille est le mariage et la relation parent-enfant. La mère est une femme, le père est un homme », précise le texte" La suite sur lepoint.fr (article payant)

L’échange culturel transylvanien de l’ensemble Prisma


"Après leur premier album Les Saisons sous le même label en 2018, l’ensemble Prisma revient avec un nouveau disque italo-hongrois « Il transilvano ».

La programmation rassemble de nombreuses danses et sonates du recueil hongrois de musique du XVIIᵉ siècle, le Codex Caioni, retrouvé seulement en 1988, et d’autres pièces de musiques traditionnelles, cherchant à témoigner de l’influence hongroise dans la musique baroque italienne, un long amour qui débuta au XVᵉ siècle avec l’union du roi de Hongrie Mathias Corvin Ier et de Béatrice d’Aragon. Même si l’angle d’approche est intéressant, renforcé par les échanges culturels retracés par les musiciens dans la note d’intention, ce n’est pas forcément cela que retient l’auditeur à la fin de l’écoute." La suite sur resmusica.com

Œuvres extraites du Codex Caioni (début du XVIIe siècle) et ballades traditionnelles hongroises. Ensemble Prisma. 1 CD Ambronay. Enregistré en mars 2020 à Jujurieux. Notice bilingue (français et anglais). Durée : 57:55