mercredi 31 octobre 2018

«Ils m'ont violée l'un après l'autre»

"Un présumé proxénète comparaît depuis lundi devant la justice bâloise. Il est accusé d'avoir participé à l'enlèvement et au viol d'une prostituée, au printemps 2016.
Ce sont des accusations particulièrement lourdes auxquelles doit faire face un Hongrois de 37 ans. Il comparaît depuis lundi devant le Tribunal pénal de Bâle-Ville pour séquestration, enlèvement, violation de la loi sur les armes et viol en groupe.
En pleurs, la victime présumée, une Hongroise de 24 ans, a livré aux juges sa version des faits, remontant au printemps 2016 à Bâle. La jeune femme affirme avoir été enlevée et violée par trois hommes, dont l'accusé principal. Elle pense qu'il s'agit d'un acte de vengeance. Elle explique avoir dû les fuir, il y a quelques années, parce qu'ils l'obligeaient à se prostituer à Bâle et qu'ils gardaient tout son argent." La suite sur 20min.ch

Les travailleurs hongrois dans le viseur des nationalistes en Autriche

"Le gouvernement autrichien songe à réduire les allocations familiales pour les travailleurs étrangers des pays voisins, notamment hongrois et slovaques. Une mesure xénophobe vendue de surcroît à coup de propagande islamophobe. C'est ce que l'on appelle un coup de couteau dans le dos. Le parti nationaliste autrichien ami du Fidesz hongrois, en coalition au pouvoir à Vienne, le FPÖ . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Hongrie : la journaliste qui avait frappé des migrants finalement relaxée

"L’incident s’était produit début septembre 2015, au pic de la crise migratoire en Europe.
La vidéo avait fait le tour de monde. En septembre 2015, une journaliste hongroise, caméra à l’épaule, avait fait des croche-pieds pour empêcher des migrants d’échapper à la police. Elle en avait aussi frappé certains. Petra Laszo a été acquittée mardi par la Cour suprême qui a annulé les condamnations des instances précédentes.
« La vidéaste a été relaxée en l’absence d’infraction », a déclaré la Cour suprême dans un communiqué. La haute juridiction a estimé que le tribunal et la cour d’appel qui avaient condamné cette journaliste n’avaient pas retenu le bon chef d’inculpation à son encontre." La suite sur leparisien.fr

mardi 30 octobre 2018

Fin de règne pour Angela Merkel : les réactions en Pologne et en Hongrie

"L'annonce d'Angela Merkel de se retirer de la vie politique en 2021 a suscité de nombreuses réactions en Pologne et en Hongrie, deux pays fermement opposés à sa politique européenne vis-à-vis des réfugiés. La chancelière allemande a annoncé lundi 29 octobre qu'elle ne se représenterait pas à la présidence de l’Union chrétienne démocrate (CDU) lors de son congrès les 7 et 8 décembre . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Peter Eötvös, la voie de la sagesse

"CHRONIQUE - Le compositeur et chef d'orchestre hongrois, qui a fêté ses 75 ans à la Philharmonie de Paris, apparaît moins radical qu'autrefois.
Le concert que l'Orchestre de Paris a consacré la semaine dernière à Peter Eötvös, pour fêter avec un peu d'avance ses 75 ans, était l'occasion de retrouvailles émouvantes avec un des musiciens les plus attachants de notre époque. Suivant l'exemple de Pierre Boulez, qui lui avait confié voici quarante ans le concert inaugural et de l'Ircam, avant de faire de lui le directeur musical de l'Ensemble intercontemporain entre 1978 et 1992, il est un des rares à mener avec autant de succès un parcours de compositeur et une carrière de chef d'orchestre. Tout comme il est un des rares compositeurs de notre temps à s'être imposé continuellement à l'opéra, depuis le triomphe de Trois Sœurs en 1998, avec ce sens du théâtre qui fait défaut à tant de ses congénères.
L'autre soir, c'était le versant orchestral de sa production qui était à l'honneur, avec deux œuvres très différentes. Sa dernière en date, Alle vittime senza nome (Aux victimes anonymes), est un poème symphonique ..." La suite sur lefigaro.fr (article payant)

Un nuage de poussière en feu enveloppe la Terre (image)

"Un nuage composé de poussière enflammée entourant la planète bleue a été détecté par des scientifiques hongrois. Cette nouvelle découverte fait enfin toute la lumière sur l’existence des nuages de Kordylewski, en perçant ainsi un secret qui intrigue la science depuis 60 ans.
Des scientifiques hongrois de l'Université de Loránd Eötvös ont fait une découverte inattendue en étudiant les nuages de Kordylewski, qui sont de grandes concentrations de poussière qui pourraient exister aux points de Lagrange L4 et L5 du système Terre-Lune, rapporte le portail Sciencealert." La suite sur sputniknews.com

Plongée dans les abysses de Budapest

"Pour Laora Tuominen, le nec plus ultra de la plongée ne se trouve ni au large de la Méditerranée, ni dans un atoll des Caraïbes, mais sous le vacarme de la ville, dans les profondeurs de Budapest.
Les bains centenaires de la capitale hongroise attirent des millions de touristes qui se prélassent dans ses eaux brûlantes. Leurs entrailles, où coulent les sources thermales, sont désormais un site d'exploration prisé des plongeurs du monde entier.
Depuis l'ouverture en 2015 d'un centre de plongée souterraine, les plus expérimentés peuvent explorer un labyrinthe de sept kilomètres de grottes immergées situées sous la ville, un site protégé depuis 1982 et unique en Europe." La suite sur lepoint.fr

lundi 29 octobre 2018

Hongrie : des tribunaux torpillent la loi contre les sans-abri

"Le tribunal de Kaposvár a refusé de condamner un sans-abri et conteste devant la Cour constitutionnelle la législation qui bannit les personnes sans domicile des espaces publics en Hongrie depuis le 15 octobre . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Mendelssohn de retour sur la scène hongroise: Elias au Palais des Arts de Budapest (Műpa)

Par Pierre Waline
"S´il revenait aujourd’hui parmi nous, Mendelssohn serait bien surpris d´entendre sa marche nuptiale résonner dans quasiment toutes les mairies du monde. Autre hit parade qui a connu un temps son heure de gloire: la symphonie italienne. Les plus avertis retiendront encore ses Romances sans parole, son concerto de violon et sa symphonie écossaise. Et, pour les encore plus avertis, quelques pièces de musique de chambre (trios). Guère plus. Point à la ligne. Et pourtant….
Parmi les plus beaux chefs d´oeuvre que Felix Mendelssohn nous aura laissés, figure sans aucun doute sa musique d´inspiration biblique: psaumes, motets, et surtout ses deux grands oratorios que sont Paulus et Elias. Comme l´on sait, c´est à lui, chef d´orchestre renommé, que nous devons la redécouverte des grands ensembles vocaux de Bach et Haendel, alors tombés dans l´oubli. Oeuvres qu´il eut le courage d´inscrire au programme de ses concerts, contribuant ainsi à leur popularité. Des oeuvres (tel le Messie) qui l´inspirèrent profondément, sans pour autant rien compromettre de son originalité.
Mendelssohn nous avait valu par le passé quelques belles soirées sur la scène de Budapest, notamment avec un Paulus sous la baguette inspirée de Philippe Herreweghe et un Songe d’une Nuit d’été fabuleux dirigé par un Iván Fischer survolté. Cette fois-ci, c´est son oratorio Elias qui était inscrit au programme de la soirée, le plus réussi des deux, véritable chef d´oeuvre. De plus, dans l´interprétation d´un ensemble qui nous est particulièrement cher: l´orchestre Orfeo (sur instruments anciens) accompagné du choeur Purcell." La suite sur francianyelv.hu

Des juifs commémorent en Hongrie les victimes de Pittsburgh

"La principale organisation juive de Hongrie a commémoré dimanche soir les onze victimes de l'attentat antisémite qui a eu lieu samedi dans la synagogue Tree of Life de Pittsburgh, aux Etats-Unis. L'Association des communautés juives de Hongrie, le Mazsihisz, a organisé une commémoration dimanche soir dans la synagogue de la rue Frankel Leó, dans le deuxième arrondissement de Budapest . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Párniczky Quartet - Bartók Electrified

"András Párniczky (g), Péter Bede (as, tárogató), Ernő Hock (b), István Baló (dms)
Label / Distribution : BMC Records UVM Distribution 

Formé en 2016 à Budapest, le Párniczky quartet explore de façon personnelle un jazz mêlé de musique contemporaine et de folk hongroise. Avec ce premier album, le groupe revisite le répertoire de Béla Bartók qu’il électrise. Une démarche qui n’est pas sans précédent dans le jazz, puisque Keith Jarrett, Chick Corea ou encore Lee Konitz se sont déjà prêtés à l’exercice. Mais ce quartet fondé précisément pour l’occasion apporte une touche nouvelle et très intéressante au répertoire du compositeur hongrois." La suite sur citizenjazz.com

 

dimanche 28 octobre 2018

Masters WTA de Singapour : Kristina Mladenovic s'impose en double avec Timea Babos

"Kristina Mladenovic a achevé sa saison sur une bonne note, dimanche à Singapour, en remportant avec Timea Babos la finale du double au Masters.
Elles avaient débuté l'année en s'imposant à Melbourne, elles la terminent par un nouveau sacre majeur à Singapour : Kristina Mladenovic et Timea Babos ont remporté dimanche la finale du double au Masters, contre Barbora Krejcikova et Katerina Siniakova (6-4, 7-5)." La suite sur lequipe.fr

L’Autriche indexe les allocations familiales sur le pays d’origine des travailleurs

"Cette mesure vise les travailleurs transfrontaliers issus de l’ancien bloc soviétique ayant laissé leur famille dans leur pays d’origine.
Pendant la campagne, il avait promis de mettre fin au « tourisme social » : le chancelier conservateur autrichien Sebastian Kurz (ÖVP, Parti populaire), qui a formé en décembre 2017 une coalition avec l’extrême droite (FPÖ, Parti de la liberté), a tenu parole. Mercredi 24 octobre, alors que Vienne préside le Conseil de l’Union européenne jusqu’en décembre, le Parlement autrichien a voté une loi qui indexe, à partir du 1er janvier 2019, les allocations familiales sur le niveau de vie du pays d’origine des personnes employées en Autriche, lorsque ces dernières ont laissé leurs enfants derrière elles à l’étranger.
Immédiatement, la Commission européenne a annoncé qu’elle pourrait enclencher une procédure d’infraction, « l’indexation étant interdite en droit européen » selon Christian Wigand, un porte-parole : « Lorsqu’un employé verse des cotisations, il est en droit de bénéficier des mêmes allocations que les autres. »" La suite sur lemonde.fr

Les centre-Européens ne veulent plus de l’heure d‘hiver

"Est-ce la dernière fois que l’on passe à l’heure d’hiver ? La commission européenne semble bien décidée à abolir le changement d’heure et, en Europe centrale où le soleil de se couche plus tôt, l’on soutient cette idée encore plus qu’ailleurs. « Le changement d’heure sera aboli ». Voici ce qu’a promis à la fin de l‘été Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Le mangalitza, frisé comme un mouton, est assez proche du sanglier


"Laurent Cabrol : Quel cochon !
Le mangalitza, frisé comme un mouton, est assez proche du sanglier. Originaire de Hongrie, on en trouve désormais en France, où il a été introduit récemment.

On se croirait dans le nord de l’Europe.
Pourtant, nous sommes dans le Tarn, non loin de Mazamet et de Castres, précisément au Rialet, une commune peuplée d’une quarantaine d’habitants et entourée de milliers de sapins.
Si vous parcourez ces immenses forêts, vous risquez de tomber « nez à groin » avec d’étranges bêtes." La suite sur francedimanche.fr

Rassemblement à Budapest en faveur de l'université fondée par Soros


"BUDAPEST, 27 octobre (Reuters) - Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées vendredi à Budapest en soutien à l'Université d'Europe centrale (UEC) fondée dans la capitale hongroise par le milliardaire américain d'origine hongroise George Soros, alors que le gouvernement nationaliste de Viktor Orban veut que l'UEC quitte le pays.
L'UEC a annoncé jeudi dans un communiqué qu'elle allait inscrire ses nouveaux étudiants à Vienne, en Autriche, à partir de 2019 si le gouvernement hongrois ne garantit pas sa liberté académique d'ici au 1er décembre.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban accuse George Soros et les groupes qu'il soutient de chercher à "détruire les nations et la culture chrétienne" de l'Europe en prônant une immigration de masse." La suite sur zonebourse.com

samedi 27 octobre 2018

Hongrie - Le Danube à son niveau le plus bas

"En Hongrie, le Danube est au plus bas. La situation est particulièrement critique à Paks où le niveau du fleuve est trente centimètres en-dessous de la normale. Résultat : la navigation commerciale est en difficulté. Près d'un million et demi de tonnes de céréales restent entreposés en attendant d'être acheminées. Les conséquences pour l'économie hongroise risquent d'être lourdes." La suite sur euronews.com

Hongrie: la loi anti-SDF est anticonstitutionnelle, selon un tribunal

"Un tribunal hongrois a jugé contraire à la Constitution une loi récente interdisant aux personnes sans domicile fixe (SDF) de vivre dans les espaces publics et saisi vendredi la Cour Constitutionnelle."Le tribunal de Kaposvar a demandé un processus de contrôle de la part de la Cour Constitutionnelle concernant la loi +anti-SDF+ entrée en vigueur le 15 octobre", a indiqué le tribunal de Kaposvar dans un communiqué. La loi interdisant aux SDF de vivre dans les espaces publics en Hongrie, promulguée par le gouvernement du Premier ministre Viktor Orban, a été qualifiée de "cruelle" par une rapporteuse de l'ONU sur le logement." La suite sur lalibre.be

Tibor Egervari, survivant de l’Holocauste, mais pas que…

"À 80 ans, Tibor Egervari fait partie des derniers survivants de l'Holocauste. Mais n'allez pas trop vite lui agiter cette étiquette sous le nez : il refuse qu'on le réduise à ce pan sombre de son histoire. Il préfère de loin aborder la question sous un angle plus historique que victimaire, pour comprendre comment cela a pu arriver.
Un texte d’André Dalencour pour Les malins
Tibor Egervari a vu le jour en Hongrie, en 1938, dans une famille juive. Il affirme que ces derniers étaient tout à fait assimilés et qu’ils ne parlaient que le hongrois chez eux.
Pourtant, bien qu’il était encore enfant lors de la Seconde Guerre mondiale, le Gatinois d'adoption a su très tôt ce qu’était l'antisémitisme, une idéologie très répandue en Europe à l’époque, rappelle-t-il." La suite sur ici.radio-canada.ca

Macron accuse les dirigeants de Hongrie et Pologne de "mentir à leur peuple"

"En visite en Slovaquie, Emmanuel Macron est passé de la critique mesurée à la colère contre les dirigeants de Hongrie et de Pologne, des "esprits fous" qui selon lui "mentent à leur peuple" par leurs positions anti-européennes.
Lors d'une "consultation citoyenne" sur l'Europe à Bratislava, devant un public pro-européen, il a laissé éclater sa colère contre les gouvernements des deux pays de l'est, à sept mois des élections européennes qu'il voit comme un affrontement entre nationalistes et progressistes pro-européens.
"En Hongrie et en Pologne, certains dirigeants ont joué avec une idée inacceptable. Quand je les écoute comparer Bruxelles et Moscou d'avant (de l'époque soviétique, ndlr), c'est fou et inacceptable. Ils mentent à leur peuple", a-t-il lancé avec force, en anglais." La suite sur romandie.com

vendredi 26 octobre 2018

The Brief from Brussels : la Hongrie assure agir dans son bon droit avec l’Ukraine

"La récente loi ukrainienne sur l’enseignement vise en particulier les langues minoritaires comme le hongrois et le russe. La Hongrie conteste cette mesure. Elle bloque les projets ukrainiens d'adhésion à l'Union européenne et à l'Otan. Budapest accorde aussi des passeports aux Ukrainiens d'origine hongroise dans un pays où la double nationalité est interdite." La suite sur euronews.com

L'homme à abattre Qui est George Soros, et pourquoi est-il devenu la bête noire de l’extrême droite et des complotistes ?

"Voilà des années que ce milliardaire devenu philanthrope est la cible des complotistes et de plusieurs mouvements politiques d’extrême droite. Lundi 22 octobre, George Soros recevait à son domicile un colis piégé, énième preuve de la haine nourrie à son égard. Mais pourquoi est-il si dénigré ?
À l’instar de Barack Obama, Hillary Clinton, des bureaux new-yorkais de CNN et de la femme politique Maxine Waters, George Soros a lui aussi été visé par un colis piégé, envoyé le 22 octobre à son domicile du comté de Westchester. Leur point commun ? Tous sont démocrates. Si Obama et Clinton n’ont plus besoin d’être présentés, George Soros, lui, reste encore un parfait inconnu pour une majeure partie de la population. Pourtant, il cristallise depuis des années la tension politique constante qui règne entre les démocrates et l’extrême droite américain, de par son soutien financier à diverses causes libérales, aux États-Unis comme ailleurs.
Les dents longues...
George Soros, né György Schwartz, voit le jour le 12 août 1930 à Budapest. Il n’a que 13 ans quand la Hongrie est envahie par l’Allemagne nazie, et n’échappe à la déportation que grâce à la protection d’un employé du ministère, qui le fait passer pour son filleul. Soros fuit l’occupation soviétique en 1947 lorsqu’il émigre au Royaume-Uni et entreprend des études d’économie." La suite sur vanityfair.fr

"Nous ne commettons aucune faute" contre l’Ukraine

"Les relations entre l'Ukraine et la Hongrie connaissent des difficultés. Kiev a adopté une nouvelle loi sur l'enseignement qui vise en particulier les langues minoritaires comme le hongrois et le russe. En réponse Budapest bloque les projets ukrainiens d'adhésion à l'Union européenne et à l'Otan. De plus, le gouvernement hongrois accorde des passeports aux Ukrainiens d'origine hongroise dans un pays où la double nationalité est interdite. Euronews a interrogé le ministre hongrois des Affaires étrangères, Péter Szijjártó, sur cette question.
Euronews :
"N’êtes-vous pas en train de soutenir des personnes à violer les lois ukrainiennes?" La suite sur euronews.com

La CEU adresse un ultimatum au gouvernement hongrois

"L’Université d’Europe centrale transférera ses cursus de Budapest à Vienne à la rentrée scolaire 2019, si le gouvernement hongrois ne signe pas l’accord nécessaire à son maintien en Hongrie avant le 1er décembre.Ce jeudi à 12h45, Michael Ignatieff, le recteur de l’emblématique Central European University (CEU) a rassemblé ses étudiants dans l’auditorium principal pour annoncer qu’il lance un ultimatum au gouvernement de Viktor Orbán. Celui-ci a juqu’au 1er décembre pour signer un accord avec l’Etat de New York, où se trouve son siège social.
Cet accord est nécessaire au maintien de l’Université américaine en Hongrie, en vertu d’une loi adoptée au printemps 2017, destinée selon le gouvernement à placer la CEU sur un pied d’égalité avec les autres Universités du pays, mais selon ses détracteurs à la pousser au départ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr

jeudi 25 octobre 2018

HONGRIE Un trésor trouvé dans le Danube asséché

"Des pièces d’or et d’argent ont été découvertes à bord d’une épave gisant au fond du Danube et révélées par le niveau exceptionnellement bas des eaux du fleuve.
Des archéologues ont découvert un trésor de quelque 2 000 pièces d’or et d’argent à bord d’une épave gisant au fond du Danube depuis le 18e siècle et révélée par le niveau exceptionnellement bas des eaux du fleuve.
"Environ 2 000 pièces de monnaie ont été trouvées, ainsi que des armes, piques, boulets de canon, épées et autres sabres", a confié Katalin Kovacs, archéologue au Centre du musée Ferenczy de Szentendre, près de Budapest.
La découverte s’est produite cette semaine à Erd, au sud de Budapest, où les archéologues travaillaient jeudi d’arrache-pied pour extraire un maximum d’éléments avant une imminente remontée des eaux." La suite sur ledauphine.com

Budapest sans pareil - Un guide touristique d'un nouveau style


Description

Au gré de ses marches à travers Budapest et d‘expériences personnelles, l’auteur et « explorateur urbain » Duncan J. D. Smith ouvre sur la capitale hongroise des perspectives nouvelles et peu ordinaires. Il révèle un Budapest fait de musées excentriques, de cours intérieures et de cimetières oubliés, à la découverte du chemin de fer des enfants, de l’Île aux Lapins et des bars dans les ruines, de l’Hôpital dans le rocher et du tombeau de Gül Baba. Accompagné de ce guide, lancez-vous dans votre propre odyssée à travers une des villes les plus fascinantes d’Europe.
www.onlyinguides.com

Dans la presse

 “Nous voilà en possession d’un étrange ouvrage, à la fois livre d’histoire, guide touristique et tout cela parfaitement écrit. Au fond voici un guide à mettre dans toutes les mains, celles des simples touristes et celles des Budapestois. Car leur ville regorge de tant d’endroits magnifiques. Il est fort probable qu’ils n’en connaissent pas plus de la moitié.”

Le Journal Francophone de Budapest

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Brexit : BlackRock reste à Londres et choisit Budapest, Amsterdam et un peu Paris

"Le leader mondial de la gestion d'actifs, qui emploie 3.000 personnes à la City, implantera aux Pays-Bas son entité juridique pour l'Union européenne et la Hongrie sera son principal bureau, avec 450 personnes. A Paris, les effectifs du géant américain, actuellement de 40 personnes, devraient doubler.
Paris n'aura pas su convaincre le leader mondial de la gestion d'actifs. Le poids lourd américain, avec plus de 6.400 milliards de dollars sous gestion, a choisi de maintenir sa principale implantation européenne à Londres, où la firme emploie 3.000 personnes, selon une note interne dont Reuters a pris connaissance. Les transferts et délocalisations seront limitées. Après le Brexit, qui sera effectif le 29 mars 2019, c'est à Budapest que se trouvera son plus important bureau, avec 450 personnes occupées essentiellement à des tâches d'informatique et de back-office. En tout, la firme emploie environ un millier de personnes en Europe hors Royaume-Uni." La suite sur latribune.fr

Un hommage des plus grands jazzmen américains à leur bienfaitrice, amie et confidente : Pannonica de Rotschild

"Pannonica, a tribute to Pannonica" : un album qui est aussi le témoignage amoureux de tous ces musiciens qu’elle aimait tant.
C’est l’histoire d’une baronne anglaise, qui invente la disruption au sortir de la Seconde Guerre mondiale.
C’est l’histoire d’un prénom chelou, Pannonica, du à son entomologiste de père, qui préférait de loin les insectes aux stock options, ce qui la fout mal pour un Rotschild, et qui découvrant un nouveau spécimen de papillon en Hongrie, baptisa le papillon et sa fille du nom latin de la Hongrie, Pannonica.
C’est l’histoire d’une artiste, ou d’une artisto, enfin un mélange d’aristo et d’artiste quoi, de ceux qui passaient leur temps à sillonner les meilleurs spots de la planète en inventant l’alpinisme à Chamonix, le ski nautique à Nice, et l’archéologie à Louxor..." La suite sur franceinter.fr

mercredi 24 octobre 2018

Budapest propose à Kiev un « pacte » pour protéger la minorité hongroise de Subcarpatie

"Après des semaines de dialogues de sourds, la Hongrie et l'Ukraine semblent enfin disposées à régler leurs différends. Budapest propose à Kiev un "pacte" pour garantir les droits linguistiques de la minorité hongroise de Subcarpatie.
Selon la proposition, les deux gouvernements s'abstiendraient de toute politique susceptible d'aboutir à l'assimilation d'une communauté nationale ou à la modification de la composition ethnique d'un territoire. Budapest veut arracher à Kiev des garanties au sujet des droits linguistiques de la minorité hongroise de Subcarpatie (Transcarpatie), composée d'une centaine de milliers de membres autour de Berehove . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

À travers ses clichés documentaires, Peter Puklus explore la notion d’intimité

"Le photographe Peter Puklus a tiré le portrait de ses proches.
Peter Puklus est un artiste hongrois pluridisciplinaire jonglant entre sculptures, design, peintures, installations vidéo et photographie. Et ce sont précisément ces dernières qui nous intéressent aujourd’hui.
En effet, l’artiste a récemment réalisé une série intitulée One and a Half Meter, ou "un mètre et demi en français". Cette distance désigne le rayon d’espace vital que possède chaque individu et permet de déterminer le degré d’intimité entre les êtres puisque seules les personnes qui nous sont proches ont accès à ce précieux espace.
Curieux d’interroger cette distance, l’artiste a décidé de photographier certains de ses proches qui, justement, ont accès à cette intimité. La série présente également des objets du quotidien qui, eux aussi, gravitent dans ce périmètre restreint. Le photographe raconte..." La suite sur konbini.com

Blog • La nation roumaine dans le miroir hongrois

"Non, les rapports entre les Hongrois et les Roumains n’ont pas été toujours ce qu’ils sont maintenant, c’est-à-dire pas très bons, et il n’y a pas de raison qu’ils restent ainsi à l’avenir, semble vouloir faire comprendre Béla Borsi-Kálmán aux lecteurs de ses « essais pour servir à l’histoire des rapports hungaro-roumains aux XIXe et XXe siècles » qui viennent d’être traduits en français.
A vrai dire, ces rapports ne devaient pas être pires il y a un siècle, à la veille de l’union de la Transylvanie avec le royaume roumain, célébrée en Roumanie cette année, et du traité de Trianon de 1920 qui fera l’objet d’évocations d’une tout autre nature en Hongrie et parmi les membres de la minorité hongroise de Roumanie. On aurait en revanche plus de mal à dire comment se présentaient ces rapports deux siècles auparavant, à moins de prendre pour argent comptant les considérations de ces intellectuels avant la lettre de l’Ecole transylvaine qui, inspirés par l’Aufklärung allemand, formulaient dès la fin du XVIIIe siècle les arguments du mouvement national roumain à venir. Tout au plus peut-on se faire une idée des rancœurs qui devaient s’accumuler parmi ces mystérieux Valaques, les futurs Roumains, longtemps ignorés par les grands de ce monde mais dont la présence avait fini par être ressentie comme quelque peu menaçante. Un écrivain français d’ascendance souabe, Mathias Menegoz, a récemment mis en scène les tensions qui couvaient en ce temps. L’action de son roman, Karpathia , se déroule aux alentours de 1830." La suite sur courrierdesbalkans.fr

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A noter que Béla Borsi-Kálmán fera une présentation de son essai "Au berceau de la nation roumaine moderne / dans le miroir hongrois" le 26 octobre 2018 à 19 h 30 à l'Institut hongrois de Paris

Élections européennes : les faux semblants du clivage Macron-Orbán

"Après avoir consolidé son pouvoir à domicile suite à sa troisième victoire électorale consécutive en avril dernier, Viktor Orbán cherche désormais à s’imposer dans le débat public européen. Son meilleur allié est aussi son adversaire auto-proclamé : le président français Emmanuel Macron.En Hongrie, la domination du Fidesz est forte et incontestée. Le parti populiste de droite a gagné les dernières élections législatives d’avril avec une « super majorité » des deux tiers, ce qui lui donne la possibilité de modifier la constitution à sa guise. En mai dernier, lors de son discours inaugural devant les députés, Viktor Orbán a déclaré qu’il avait des idées et des projets jusqu’à au moins 2030. Rester au pouvoir douze années de plus ne lui paraît donc pas inenvisageable, à raison : son opposition est fragmentée et truffée de politiciens médiocres, les freins et contrepoids démocratiques en Hongrie sont limités et le vacarme orchestré par la propagande gouvernementale sur la question migratoire ôte toute rationalité au débat public." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr

A Budapest, des commémorations à couteaux tirés entre le pouvoir et l’opposition

"La fête nationale du 23 octobre, commémorant l'insurrection hongroise de 1956, a encore une fois donné lieu à de multiples célébrations par le gouvernement et les partis politiques d'opposition. Réunis sur Bem tér, les partis de gauche ont affiché une unité rare.
"Il est important que les fêtes nationales soient célébrées comme des fêtes communes, et je ne pense pas que ce soit une bonne chose qu'elles se soient transformées depuis les années 90 en rassemblements de partis politiques". Ces mots de l'ancien ministre aux affaires étrangères Géza Jeszenszky résument bien l'état d'esprit dans lequel les Hongrois ont commémoré cet après-midi le 62e anniversaire de l'insurrection de Budapest. Comme à l'accoutumée, le pouvoir et l'opposition ont tenu à célébrer séparément les "héros de 1956", chaque camp cherchant à en capter l'héritage. Faits marquants s'ils en sont : la guerre que se sont livrés à distance le Jobbik et le nouveau parti d'extrême-droite "Mi Hazánk", ainsi que l'attelage inédit de la manifestation de . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

mardi 23 octobre 2018

Un explosif retrouvé chez George Soros

"Un engin explosif a été retrouvé hier dans une boîte aux lettres au domicile du milliardaire George Soros à Katonah, dans l'Etat de New York, rapporte le New York Times. "Un employé de la résidence a ouvert un colis qui s'est avéré être un engin explosif", dit un communiqué de la police, cité par la quotidien new yorkais." La suite sur lefigaro.fr

Première mission économique hongroise au Togo

"Un forum économique Togo-Hongrie se déroulera le 23 octobre à Lomé.
‘Le marché togolais semble intéressant. Il y a beaucoup de choses à faire et nos entreprises peuvent y trouver leur compte’, a déclaré Gyoäryi souah, le chef  de la délégation des entrepreneurs hongrois.
Après un ralentissement de la croissance du PIB en 2016, l’économie hongroise est repartie en 2017 grâce à la reprise des débours de fonds européens (après le ralentissement de 2016), une solide consommation des ménages (augmentation de 4,1% sur l’année en 2017), des exportations stables ainsi que des politiques monétaires et fiscales expansionnistes." La suite sur republicoftogo.com

En Hongrie, les SDF sont traqués

"En Hongrie, les sans-abris n'ont plus le droit de dormir dans la rue. Ils étaient déjà passibles d'une amende de 500 euros. Désormais, après trois avertissements, ils pourront faire l'objet d'une peine d'emprisonnement." Vidéo sur arte.tv

lundi 22 octobre 2018

Marché de gâteaux à l'Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris

Budapest la Douce a le plaisir de vous proposer ses délicieux gâteaux hongrois le premier et le troisième samedi du mois de 15 h à 19 h à l’Institut Hongrois de Paris.
Venez retrouver les grandes classiques de la pâtisserie hongroise : beiglis aux pavots et aux noix, gerbeauds, strudels aux griottes, boules de coco, biscuits linzer, gâteaux aux pommes à la cannelle, flodnis, mignons et petits pogatchas au fromage.
Dégustation sur place ou à emporter. N’hésitez pas à commander vos gâteaux, vos tartes ou vos plats préférés jusqu’à jeudi midi (un minimum de commande est requis) par texto au +33 6 19 17 74 47 ou par e-mail au budapestladouce@gmail.com ou par messenger sur Budapest la Douce.

Budapest la Douce örömmel jelenti be, hogy ismét elhozza nektek a fenséges magyar süteményeit minden hónap első és harmadik szombatján délután 3 és 7 óra között a Párizsi Magyar Intézetbe. Anica ezúttal is a klasszikus magyar házi sütik legjobbjaiból készíti el válogatását : mákos és diós bejgli, meggyes rétes, zserbó, mézes krémes, kókuszgolyó, linzer, almás pite, flódni, minyon és sajtos pogácsa amit elfogyaszthattok a helyszínen vagy kérhetitek elvitelre is. Ha a kedvenc süteményedet, tortádat vagy ételedet szeretnéd megrendelni, kérlek fordulj Anicához a rendeléseddel legkésőbb csütörtök délig a 06.19.17.74.47.-es telefonszámon, e-mailben a budapestladouce@gmail.com címen vagy messengeren a Facebook oldalunkon keresztül.

Hongrie : le reportage de France 2 qui fait les choux gras d’Orbán

"Un reportage diffusé sur France Télévisions dans l'émission « Complément d'enquête » présentant les parcours de Français émigrant en Hongrie a immédiatement été mis au service de la propagande xénophobe du gouvernement hongrois. Le dirigeant hongrois Viktor Orbán n’ambitionne rien de moins que faire de la Hongrie l'un des cinq pays européens où l'on vit le mieux à l'horizon . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Théâtre : Imitation of life ou le langage universel de la vérité

"En Hongrie, pays en proie aux vieux démons du passé, un -presque banal- fait divers donne corps à Imitation of life, la création donnée par le CDN à Orléans mercredi et jeudi. Banal car le meurtre d’un jeune garçon dans un bus, par-delà son caractère dramatique, relèverait sans doute de la rubrique des chiens écrasés de nos quotidiens.
Mais que la victime soit d’origine tzigane et qu’elle soit assassinée par un jeune du même âge qu’elle et membre d’un parti d’extrême droite donne le sel de cette création pensée et mise en scène par le cinéaste hongrois Kornél Mundruczó. Certes, le propos est hongrois et vise une société rongée par les persécutions des Roms et par une politique, celle du gouvernement de Viktor Orban, qui fleure de plus avec le populisme d’extrême droite le plus rance. Mais le propos de Kornél Mundruczó et de la troupe Proton Théâtre ne se contente pas de cette seule lecture politique. Certes on peut y voir une critique de nos sociétés occidentales qui veulent lisser les différences, briser les minorités, imposer un mode de pensée univoque. Le message -même si le créateur refuse d’en voir un- est d’abord universel : la pièce en hongrois mais sous-titrée en français est d’une limpidité totale." La suite sur magcentre.fr

Un Hongrois marque un coup-franc de sa moitié de terrain

"Gros coup de folie dans l'élite hongroise.
Hier, le leader invaincu, Ferencvaros, se déplaçait sur le terrain du Puskas Academy FC.
Les locaux ont créé une grosse surprise en s’imposant 1-0.
Janos Hegedus a inscrit un but exceptionnel en marquant un coup-franc depuis le rond central. Il fallait oser avant tout." Source et vidéo sur onefootball.com

dimanche 21 octobre 2018

PORTRAIT. À Quimper, Eva traduit la justice en cinq langues

"Gardes à vue, prison, perquisitions, tribunal… Expert judiciaire pour la Cour d’appel de Rennes, Eva Couppé-Deák traduit et interprète en hongrois, roumain, moldave, anglais et français.
Eva Couppé-Deák est traductrice et interprète en cinq langues : hongrois, roumain, moldave, anglais et français. Installée chez elle à Pluguffan (Finistère) elle s’est spécialisée dans la justice. À Quimper, et partout en France, elle travaille en garde à vue, perquisitions, reconstitutions de crimes, audiences au tribunal, dans le bureau du procureur, à la demande d’un juge d’instruction…" La suite sur ouest-france.fr

Europe: quelles politiques économiques pour les gouvernements d’extrême-droite?

"En Europe, l'extrême-droite ne cesse de marquer des points. L'Union européenne fut jadis fondée pour consolider les acquis démocratiques de l'après deuxième guerre mondiale. Mais aujourd'hui, de nombreux gouvernements de cette Union Européenne s'inscrivent à rebours des traditions sociale-démocrate, démocrate-chrétienne ou libérale. L'Italie est le dernier en date de ces exemples, et nous en avons déjà parlé ici.
Mais la Hongrie, la Pologne, l'Autriche ont précédé les Italiens. Dans ces trois pays d'Europe centrale, l'extrême-droite est au pouvoir, ou y est associée. La détestation de l'étranger y est érigée en principe politique de base. Cela s'appelle racisme, xénophobie, antisémitisme. Pourtant, pour graves que soient ces atteintes aux valeurs humanistes et démocratiques qui fondent l'Europe, on ne peut en rester là. A Vienne, Budapest et Varsovie, il y a aussi des politiques économiques. Quelles sont-elles ? Sont-elles, elles aussi, marquées du sceau de la discrimination et des privilèges ? Affaiblissent-elles, elles aussi, le pacte démocratique ? Menacent-elles la croissance économique ? Telles sont les questions auxquelles répondent les trois invités de Jean-Pierre Boris." La suite sur rfi.fr

Hongrie: la recette Victor Orbán en cinq étapes

"Il y a 30 ans, le premier ministre hongrois Victor Orbán était un jeune révolutionnaire athée. Aujourd’hui, il est devenu l’homme fort, le «Viktator», le féroce défenseur de l’identité chrétienne de l’Europe. Et ses méthodes autoritaires font rêver l’extrême droite de tout le continent. Le mois dernier, le Parlement européen a fait mine de le punir. Mais personne ne s’attend à ce que des sanctions soient vraiment imposées. Victor Orbán peut dormir tranquille. «[Avant], nous pensions que l’Europe était notre avenir. Aujourd’hui, nous avons le sentiment que nous sommes l’avenir de l’Europe», dit-il. Un aperçu de la recette Orbán en cinq leçons.
1. Répéter «C’est la faute de l’Europe», pour mieux y rester" La suite sur lesoleil.com

samedi 20 octobre 2018

Des propositions choc pour combattre le tabagisme en Hongrie

"Le député du Fidesz János Lázár ne veut rien de moins que faire de la Hongrie le premier pays au monde sans tabac. Pour y parvenir, beaucoup d’interdictions en perspective. Après l'interdiction du sans-abrisme, l'interdiction de la cigarette en Hongrie ? Le député du Fidesz János Lázár, l’ancien bras droit de Viktor Orbán a émis une série de propositions choc . . ." La suite sur  courrierdeuropecentrale.fr

vendredi 19 octobre 2018

Zsófia Pesovár a créé trois spectacles jeune Public

Zsófia Pesovár, ethnomusicologue hongroise, invite les tout-petits et leurs parents à un voyage musical à travers le monde...

Une bien belle balade pour percevoir la sonorité des langues, la cadence des rythmes et découvrir quelques instruments de musique, tout cela à travers chansons, comptines et contes avec convivialité, humour et interactivité.

Spectacle proposé aux enfants de 6 mois à 10 ans

Durée du spectacle en fonction de la classe d’âge (entre 25 minutes et 45 minutes)
C o m p t i n e s m é t i s s é e s

Son Site Internet avec les propositions de spectacles participatifs et interactifs autour des cultures et musiques du monde. Ces balades musicales avec des chansons et des comptines permettent de découvrir les langues et les instruments de musique.

https://zsofiapesovarsite.wordpress.com/

Zsófia Pesovár a créé trois spectacles Jeune Public adressés aux enfants (à partir de 6 mois) tout en touchant leurs parents.
  • - Comptines métissées
  • - Les hirondelles reviennent au printemps
  • - Raconte-moi une histoire

La présentation de Comptines métissées avec un teaser à l’adresse suivante :

https://zsofiapesovarsite.wordpress.com/spectacles/comptines-metissees/

Voici un nouvel teaser réalisé au TNT.

Comptines métissées (TNT) from Zsòfia Pesovàr on Vimeo.

La présentation du spectacle Les hirondelles reviennent au printemps :

https://zsofiapesovarsite.wordpress.com/spectacles/les-hirondelles-reviennent-au-printemps/

N'hésitez pas me contacter par mail ou par téléphone.

Nous pouvons éventuellement en discuter lors d'une réunion.

L’adresse mail et numéro de téléphone en bas de ce mail.

Bien à vous

Zsófia Pesovár
zsofia.pesovar(AT)free.fr
06 87 35 34 54
https://zsofiapesovarsite.wordpress.com/

Le sort de Viktor Orban agite de nouveau le PPE

"Alexander Stubb s’est attaqué aux « factions illibérales » au sein de son parti (PPE), visant le Fidesz d’Orbán. Le dirigeant hongrois a campé sur ses position lors du pré-sommet à Bruxelles.
Dans son discours de lancement de campagne à Bruxelles, Alexander Stubb a rappelé que le Parti populaire européen était « pro-européen » et qu’en tant que tel, il devrait s’élever contre l’illibéralisme dans la société.
Interrogé sur les mesures que pourrait prendre le PPE pour régler le problème du programme du Fidesz,  le parti au pouvoir en Hongrie taxé d’autoritarisme, le candidat à l’investiture du PPE pour la présidence de la Commission européenne Alexander Stubb a déclaré qu’il avait une « tolérance zéro » envers le rejet de ce qu’il nomme « les valeurs du PPE »." La suite sur euractiv.fr

À Budapest, les basses eaux du Danube révèlent une importante pollution aux produits toxiques

"Le site d'information Index a révélé des concentrations très élevées de produits toxiques dans le Danube à Budapest. Cette pollution est due à des eaux de ruissellement industrielles émanant du site de l'ancienne usine à gaz de Óbuda, pour lequel les plans d'assainissement du sol n'ont jamais été mis en œuvre.
Des mesures effectuées par le site d'information Index et Greenpeace Hongrie ont révélé un niveau de pollution chimique très important dans le Danube à Budapest. Des concentrations anormalement élevées de produits toxiques et cancérogènes ont été constatées au niveau de l'ancienne usine à gaz d'Óbuda, en aval du pont ferroviaire d'Újpest . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

JONCTION / István Nayg – Karl Menzen – Danielle Loisel du 16 au 28 octobre la Galerie du Génie


Du 16 au 28 octobre la Galerie du Génie accueille l’exposition JONCTION de 3 artistes européens.
Un sculpteur allemand, deux peintres, un hongrois, et une française se retrouvent dans une Exposition commune à l’heure d’une Europe inquiète pour évoquer leur lien dans une Communauté Artistique accueillante.
Le Génie de la Bastille
126, rue de Charonne – 75011 Paris
coordinateurgeniebastille@gmail.com
Ouvert du mardi au dimanche de 14h à 20h
09 51 30 99 63 - 06 26 57 28 36
legeniedelabastille.com

VIDEO. Hongrie : la terre promise

"Ils ne supportent plus de vivre dans une France multiraciale. Certains s’exilent, d’autres veulent lutter de l’intérieur contre ce qu’ils appellent "l’islamisation de la France".  "Complément d’enquête" sur des patriotes de l’extrême…
Ils sont réceptionniste, conseiller financier, géomètre, et ne supportent plus de vivre dans une France multiraciale. Leur terre promise ? La Hongrie de Viktor Orbán où ces expats viennent chercher ce qui leur manque tant : "l’homogénéité culturelle et ethnique". "Complément d’enquête" sur ces patriotes de l’extrême qui se voient comme des "résistants"." La suite et vidéo (21' 19") sur francetvinfo.fr

La Hongrie gère la crise du logement en envoyant ses SDF en prison

"Vivre dans la rue est désormais un délit passible de prison ferme dans l’ensemble du pays.
En quelques jours, les bouches de métro des places Nyugati, Blaha, Kálvin et Deák abritant une bonne partie des SDF de la capitale se sont dépeuplées comme si un cyclone venait de déferler sur Budapest. L’ouragan baptisé «criminalisation du sans-abrisme» et voté le 20 juillet est entré en vigueur ce lundi 15 octobre. D’après la loi, toute personne sans-logis avertie trois fois en moins de trois mois par la police car refusant de quitter son emplacement peut se voir interpellée au quatrième avertissement. Si elle décline une place en abri d'urgence ou le travail d'intérêt général proposés comme alternatives par le juge, elle sera envoyée derrière les barreaux –après confiscation de ses biens." La suite sur slate.fr

VIDEO. Quand des Français fuient les étrangers... en émigrant en Hongrie

"Budapest, une ville sans migrants, où le métissage n'existe pas vraiment. La Hongrie "illibérale" de Viktor Orbán attire de plus en plus d'Allemands, Belges, Hollandais, quelques dizaines de Français... qui s'y installent pour des raisons identitaires. Extrait d'un reportage de "Complément d'enquête" sur ces patriotes en exil.
Elsa est arrivée à Budapest il y a deux ans. Cette enfant de la banlieue parisienne préfère garder l'anonymat, pour sa sécurité, dit-elle. Pourquoi a-t-elle quitté la France ? Pourquoi avoir choisi la Hongrie "illibérale" de Viktor Orbán ? La réponse est "très simple" : elle a fait ce choix, explique-t-elle, après avoir subi trois agressions où elle s'est fait voler son sac et son portable." La suite sur francetvinfo.fr

jeudi 18 octobre 2018

La droite européenne écarte toute sanction contre Viktor Orban

"Réunis à Bruxelles, les chefs de file du PPE n’ont pas voulu exclure le premier ministre hongrois, accusé de dérives autoritaires.
« Pas d’exclusion, pas de sanction, rien du tout. » Antonio López-Istúriz, le secrétaire général du Parti populaire européen (PPE), a été très clair mercredi 17 octobre : Viktor Orban, le premier ministre hongrois ultraconservateur, sera autorisé à rester dans la grande formation des conservateurs européens. Critiqué pour ses atteintes à l’indépendance de la justice, à la liberté des ONG ou des universités, l’homme fort de Budapest, adulé par l’extrême droite de tout le Vieux Continent, va pouvoir faire campagne pour les élections européennes sous l’étiquette du PPE." La suite sur lemonde.fr

mercredi 17 octobre 2018

Manche : l'artiste Akos Szabo expose ses œuvres à Coutances

"Le musée Quesnel-Morinière de Coutances (Manche) accueille à partir du vendredi 19 octobre 2018 une exposition qui retrace la carrière du peintre Akos Szabo.Avec plus de 50 ans de carrière derrière lui, le peintre Akos Szabo fait partie des figures artistiques installées en Normandie les plus éminentes. Né en 1936 à Budapest (Hongrie), il s'installe à Paris en 1965 puis à Gavray (Manche) en 1986. Il n'a plus quitté le territoire depuis lors. Exposé entre autres au Musée d'art moderne de Paris, au musée Hermès et au musée des Beaux-Arts de Budapest, Akos Szabo va être célébré au musée Quesnel-Morinière de Coutances (Manche) du vendredi 19 octobre 2018 au dimanche 13 janvier 2019." La suite sur lamanchelibre.fr

La Hongrie veut la peau des ONG d’aide aux migrants

"En guerre contre les ONG portant assistance aux migrants, la Hongrie a réclamé – en vain – la fin des subventions européennes qui leur sont accordées lors d’une réunion à Bruxelles.
Lors d’une réunion des ministres européens des Affaires étrangères ce mardi 15 octobre à Luxembourg, la Hongrie a appelé l’UE à cesser de financer les ONG qui, selon elle  contribuent à l’immigration illégale.
Elle a également  appelé au boycott financier des ONG portant atteinte à la souveraineté de pays voisins comme Israël ou l’Égypte. Cette demande lève le voile sur l’alliance entre le Premier ministre hongrois Viktor Orbán et Benyamin Netanyahou (Israël) et Abdel Fattah el-Sisi (Égypte), qui tentent de museler les ONG critiques à l’égard de leur politique." La suite sur euractiv.fr

En Hongrie, les sans-abri n'ont plus le droit de dormir dans la rue

"Jusqu'à présent, les personnes sans domicile fixe étaient passibles d'une amende de 500 euros. Désormais, après trois avertissements, ils pourront faire l'objet d'une peine d'emprisonnement.
Parmi les interdictions de la constitution hongroise: le trafic d'êtres humains, les actes de terrorisme... et désormais dormir dans les espaces publics. Une loi interdisant aux personnes sans domicile fixe (SDF) de dormir dans les espaces publics en Hongrie est entrée en vigueur ce lundi 15 octobre.
Cette loi, jugée «cruelle» par une rapporteuse de l'ONU sur le logement, a été promulguée par le gouvernement du premier ministre hongrois Viktor Orban. Un amendement constitutionnel approuvé par le parlement hongrois le 20 juin interdit la «résidence habituelle dans un espace public»." La suite sur lefigaro.fr

mardi 16 octobre 2018

Ségrégation scolaire : des écoliers roms font condamner l’État hongrois en première instance

"Le tribunal d'Eger a condamné cet après-midi l'État hongrois à indemniser soixante jeunes Roms de Gyöngyöspata, victimes à ses yeux de "ségrégation scolaire". C'est la première fois qu'une action collective de cette ampleur est engagée dans une affaire de ce type.
Cela fait plusieurs années que cette affaire traîne en justice. Elle a trouvé un premier dénouement cet après-midi au Tribunal d'Eger avec ce verdict : l'État [hongrois] a été condamné par la cour à verser des dommages et intérêts à des élèves de l'école élémentaire Demeter Necskei de Gyöngyöspata pour "ségrégation scolaire". Le jugement n'est pas encore définitif. L'État est poursuivi en justice par soixante-deux écoliers, parmi lesquels soixante ont en partie voire intégralement obtenu gain de cause..." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Le plastique, une menace pour l’écosystème du Danube

"De tous les cours d’eau de Hongrie, c’est le Danube qui subit le plus de pollution aux microparticules de plastique, selon une récente étude.Rien de très alarmant, écrit le journal Heti világgazdaság qui rapporte l’étude, mais la pollution au plastique pourrait menacer l’écosystème danubien si rien n’est fait pour inverser la tendance.
En effet, une étude menée par Laboratorium.hu pour le compte de WESSLING Hungary Kft. montre que le Danube contient 50 micro-plastiques par mètre cube d’eau, soit bien plus que des cours d’eau comme la Rábá (12) ou encore la rivière Ipoly (2), très préservée du fait qu’elle traverse des espaces protégés." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr

Maison escargot. Une école différente des autres © Le Télégramme

"La Maison escargot, à Plédéliac, est une école unique en son genre. Elle s’occupe d’enfants handicapés. Pour perdurer sur le long terme, elle recherche toujours des financements. Un beau projet pourrait voir le jour en 2019. La Maison escargot ? Un nom qui interpelle. « Un escargot avance lentement mais ne recule jamais ». Mère de trois enfants dont deux handicapés, Cloé et Eliot, Carole Bourdais-Savé, qui ne fait pas les choses comme les autres, crée la Maison escargot, unique en Bretagne, en 2015, à Plédéliac. Une école qui vient en aide aux enfants handicapés par l’éducation conductive. « Pour conduire l’enfant vers l’autonomie ». La méthode Petö est utilisée. Carole Bourdais-Savé, également présidente de l’association, explique : « En Hongrie, la méthode étudie toujours le fonctionnement général et non pas leurs problèmes. C’est une méthode positive avec un travail sur la longueur ». La Hongroise Flora Borcsok, diplômée de l’institut Petö à Budapest, a été recrutée par l’association." La suite sur letelegramme.fr

Vasarely Plasticien, le maître de l'Op Art comme vous ne l'avez encore jamais vu

"A partir du 6 octobre 2018, la Fondation Vasarely vous propose de découvrir le parcours atypique de Victor Vasarely au travers d'une exposition inédite "Vasarely, Plasticien". 

Victor Vasarely,  un artiste multifacette ? 
Comment cet artiste hongrois est-il parvenu à s’imposer en tant que figure incontournable de l’Abstraction et à bouleverser complètement les codes de l’Art du XXème siècle ? C’est ce que nous propose de comprendre la salle des présentoirs via un parcours didactique retraçant les différentes périodes qui ont marqué son travail à travers des œuvres inédites.
Fidèle à ses convictions et à l’enseignement dispensé à l’école d’Art « Mühely » dans laquelle il a étudié, Vasarely souhaitait l’Art fonctionnel et à la portée de tous.  En 1930, alors dessinateur assoiffé de créativité, il quitte Budapest pour Paris, capitale des Arts et de l’avant-garde où il travaille comme graphiste publicitaire pour faire vivre sa famille (Air France, L’Oréal…) " La suite sur frequence-sud.fr

« En Hongrie, on se sert des travailleurs sociaux pour maintenir l’ordre »

"Alors que la loi criminalisant les sans-abri vient d'entrer en vigueur en Hongrie, le sociologue hongrois Balázs Krémer (Université de Debrecen) revient sur l'évolution du métier de travailleur social ces dernières années. Selon lui, la dimension sécuritaire a désormais pris le pas sur l'aide aux plus vulnérables. Entretien.
En Hongrie, ça ne vaut pas vraiment le coût d'être travailleur social, parce que les salaires sont bas mais aussi à cause des conditions de travail. Beaucoup partent d'ailleurs à l'étranger. A l'université de Debrecen, vous enseignez à des personnes qui veulent pourtant exercer dans le secteur social. Ça intéresse qui encore de nos jours ce genre de métier ?
Beaucoup suivent le modèle familial, pour d'autres c'est une manière de régler leurs propres problèmes. Je pense ici aux personnes qui ont directement vécu la pauvreté ou qui ont côtoyé des alcooliques dans leur famille ; du coup c'est ce genre de vécu personnel qui les motive. C'est particulièrement vrai à la campagne . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Rapport Sargentini : la jeunesse hongroise contre Orbán ?

"En septembre dernier, le Parlement Européen a largement voté en faveur du rapport Sargentini qui décrit « un risque clair de violation grave » des valeurs européennes en Hongrie. L’issue de ce vote a clairement fait écho aux reproches déjà portés contre le gouvernement par une partie de la population hongroise, notamment de la part de la jeunesse.
Bence, âgé de 24 ans, est un étudiant en école d’ingénieur à Budapest. Il est fermement opposé au gouvernement de Viktor Orbán. Malgré la faiblesse de l’opposition, il croit en la puissance du vote. Il souhaite « sauver [son] pays des mains du Fidesz qui est en train de l’éloigner des valeurs démocratiques », a-t-il confié. Comme 56% des Hongrois (d’après un sondage réalisé par Euronews et Pulzus sur un échantillon représentatif de 800 personnes), il pense que le vote du Parlement Européen en faveur du rapport de l’eurodéputée néerlandaise, Judith Sargentini, est juste. Il espère que ce vote historique entrainera une réaction de la part de la population hongroise, ainsi que du gouvernement." La suite sur lepetitjournal.com

lundi 15 octobre 2018

Récital de piano avec János Balázs 15 novembre 2018 à 20h Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Photo : Attila Kleb
À tout juste 16 ans, János Balázs a commencé sa carrière musicale en remportant le premier prix du concours Liszt de Pécs. Il gagne sans difficulté plusieurs autres concours internationaux, avant d’entamer des tournées partout en Europe : Rome, Milan, Londres, Berlin, Bucarest, Vienne.
Très vite, il accède à la notoriété internationale et se produit partout dans le monde, notamment au Japon et aux États-Unis. Il joue avec des orchestres de prestige, tels que le Pannon Philharmonic Orchestra, le Symphonic Orchestra de Szeged, le Brussels Philharmonic Orchestra ou encore le Zagreb Radio Symphony Orchestra et de nombreux autres.
En 2011, il est récompensé par le prix Junior Prima, la plus haute distinction qu’un jeune artiste puisse recevoir en Hongrie. Il est également lauréat de la fondation Cziffra de Senlis en 2012. En 2015, János Balázs obtient le prix Liszt Ferenc, la plus prestigieuse récompense nationale décernée aux musiciens par le gouvernement hongrois. À la fin de la même année, il reçoit le Gramofon Award dans la catégorie musique classique hongroise. L’année suivante, il fonde le festival György Cziffra en hommage à son héros, son idole. Ce festival est depuis devenu l’un des événements de musique classique les plus prestigieux de Hongrie. Le répertoire de János Balázs va du baroque à la musique romantique, sans oublier les œuvres contemporaines, et tout particulièrement celles du XXe siècle.
Concert organisé par l’Institut Hongrois et l’Association Musicale Franco Hongroise. Présentation par Isabelle Oehmichen, pianiste et directrice artistique de la Fondation Cziffra.
Au programme les œuvres de Chopin, Liszt et des transcriptions de Cziffra.
Entrée : 10€

Cinéma - Une nuit très morale, réalisé par Károly Makk 14 novembre 2018 à 19h30 Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Littérature et cinéma en République populaire de Hongrie (1949-1989) : passages, résonances, surgissements
Egy erkölcsös éjszaka, adapté du roman de Sándor Hunyady, 1978, 95min, VOSTFR
Ce programme qui se prolongera tout au long de l’année propose de s’intéresser aux enjeux que soulève l’adaptation cinématographique d’œuvres littéraires dans la Hongrie socialiste, de 1949 à 1989. Il présentera dix films emblématiques dans lesquels les textes littéraires initiaux (souvent méconnus) s’ancrent dans un double processus de reconstitution poétique et de prise de distance critique. Programmation conçue par Mario Adobati, Damien Marguet et Mathieu Lericq.
Très populaire lors de sa sortie en salles, Une nuit très morale inscrit pourtant sa trame narrative presque désuète à la fin du XIXe siècle : l'intégration d'un jeune étudiant dans le quotidien d'une maison close bouleverse les habitudes d'un univers féminin ritualisé et marginalisé. Mais c'était sans compter sur la force du scénario de Péter Bacsó et István Örkény, librement adapté d'un roman de Sándor Hunyady. La réussite artistique du film, qui mêle comédie de boulevard et fable morale, tient aussi à l'extraordinaire performance des actrices (Irén Psota, Margit Makay, Carla Romanelli).
Séance présentée par Mathieu Lericq.
Entrée libre

Sur la défensive, la Hongrie appelle à «secouer» Bruxelles sur l'immigration

"VIDÉO - À la suite du vote de l'article 7 par le Parlement européen, Budapest veut se défendre contre «les attaques perpétrés contre le pays». Dans une courte vidéo, le pouvoir hongrois met à nouveau en garde Bruxelles.

À l'approche du Conseil des Affaires générales programmé ce mardi à Luxembourg et au cours duquel il sera à nouveau question des atteintes à l'État de droits en Hongrie et en Pologne, Budapest a diffusé une vidéo en fin de semaine dernière. Une vidéo dont le pouvoir hongrois a choisi de faire la publicité dans un communiqué adressé lundi matin aux aurores aux médias basés à Bruxelles.
Alors que le Parlement européen a voté en septembre en faveur du déclenchement de l'article 7 en raison des atteintes répétées de Budapest contre l'État de droit, la ligne de défense développée par cet État membre est toujours la même: si la Hongrie est attaquée par Bruxelles, c'est en raison de la politique anti-immigration qu'elle conduit. «Nous voudrions dire clairement au grand public européen que nous ne voulons pas devenir un pays d'immigration. C'est pourquoi le gouvernement a publié cette vidéo Internet de langue anglaise en réponse aux attaques perpétrées contre notre pays», affirme le pouvoir hongrois dans son courriel, reprenant là les mots répétés depuis des semaines par le premier ministre Viktor Orban.  " La suite sur lefigaro.fr

Des artistes hongrois se mobilisent contre la persécution des sans-abri

Un dessin de presse qui en dit long sur la dernière mesure du gouvernement hongrois contre les SDF, signé Pápai Gábor, pour Népszava.
"Quatre-vingts artistes se sont mobilisés, dimanche après-midi devant le parlement à Budapest, contre une loi qui vise à débarrasser l'espace public des sans-abri en Hongrie. La loi fondamentale stipule désormais qu’il est « interdit de faire de l’espace public un habitat », en vertu d’un amendement à la Constitution approuvé par le Parlement hongrois le 20 juillet et entré en vigueur ce lundi 15 octobre..." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr

A Oslo : Village underground

"Deux jeunes programmateurs de salles de concert de Londres et Budapest mangent ensemble, des pizzas à Oslo. Ils parlent musique. L'un et l'autre réfléchissent aux outils de résistance en Angleterre dans le contexte du brexit et en Hongrie sous Viktor Orban.
Est-ce qu'on pourrait dire qu'il manque aujourd'hui, un soft power européen? Une nouvelle politique culturelle à l'échelle du continent?
Rencontre aujourd'hui avec trois membres de LiveEurope, une sorte d'Erasmus de la culture pour adultes, qui reçoit des fonds européens pour faire émerger des artistes sur le continent et aider des jeunes groupes à tourner dans des salles de toute l'Europe. Mettre en commun leurs savoir faire, leurs réseaux, les talents qu'ils dénichent." La suite et à écouter (38') sur franceinter.fr

Travail, famille, Hongrie : la condition des femmes mise à mal

"Le gouvernement hongrois diffuse des doctrines sexistes à l'école et dans les médias, et pratique une politique qui fragilise la condition des femmes. Grazia a rencontré des chercheuses et militantes qui luttent dans l'un des contextes les plus contraints d'Europe.
"Dans leur manuel de sciences naturelles, les collégiens hongrois apprennent que 'les garçons et les filles (...) n'ont pas les mêmes capacités physiques et aptitudes intellectuelles'". C'est par ces mots que L'Obs sonnait l'alerte sur une inquiétante dérive sexiste, en avril dernier, peu avant les législatives hongroises. Un scrutin remporté par le parti de Viktor Orbán, Premier ministre ultraconservateur, aux manettes du pays depuis 2010 (et que l'Union européenne a accusé en septembre de violation des principes démocratiques et des droits de l'homme). Cette victoire est une mauvaise nouvelle pour les ONG hongroises, en particulier pour celles qui se soucient des droits des femmes. Le gouvernement leur mène la vie dure, en stigmatisant par exemple les financements venus de l'étranger, vitaux pour elles." La suite sur grazia.fr

En Hongrie, les SDF ne pourront plus dormir dans la rue

"La police sera habilitée à déloger les sans-abri et à démanteler les cabanes et les abris de fortune installés dans l'espace public dès lundi. Source AFP
Les sans-abri seront bientôt bannis des rues hongroises. Une loi interdisant aux personnes sans domicile fixe (SDF) de dormir dans les espaces publics a été promulguée par le gouvernement du Premier ministre hongrois, Viktor Orbán. Elle sera en vigueur dès lundi. La mesure a notamment été qualifiée de « cruelle » par une rapporteuse de l'ONU sur le logement.
Un amendement constitutionnel approuvé par le Parlement hongrois le 20 juin interdit la « résidence habituelle dans un espace public ». Cet amendement durcit une loi de 2013 qui en fait un délit passible d'une amende." La suite sur lepoint.fr

dimanche 14 octobre 2018

Comment le stylo-bille a tué l'écriture cursive

"Nos façons d'écrire évoluent avec le temps: elles sont conditionnées par les outils que nous utilisons.
L'entreprise Bic en fait régulièrement un argument de vente: les stylos aident à préserver l'écriture manuscrite, évidence bonne à rappeler. Le stylo à bille pourtant, derrière ses allures démocratiques et traditionnelles, pourrait bien être à l'origine du déclin de l'écriture cursive.
Son usage généralisé est relativement récent dans l'histoire de l'écriture manuscrite. En 1888, un tanneur américain, John Loud, brevète la première version du stylo à bille. Lacunaire, elle devient vite caduque, et d'autres brevets se succèdent à sa suite. Il faudra attendre 1938 pour que le journaliste hongrois László Bíró, aujourd'hui considéré comme l'inventeur du stylo-bille que nous connaissons, dépose son propre brevet." La suite sur slate.fr

Guerre 14-18: en Ukraine, une maison pour 5 pays

"Istvan Petnehazy n’a jamais quitté le village de Kosino où il est né, mais sa maison familiale a changé cinq fois de pays depuis la Première guerre mondiale, illustration des bouleversements territoriaux et politiques engendrés par le conflit.
Ce monsieur affable de 86 ans s’exprime en hongrois, la langue parlée par les siens depuis des générations. Mais son village de Kosino est aujourd’hui situé en Ukraine, en bordure de la frontière avec la Hongrie.
Lorsque son père est né, la commune était incluse dans le vaste empire austro-hongrois qui s’étendait de l’Europe centrale aux Balkans. Lorsque Istvan est né, en 1932, le village était passé à la Tchécoslovaquie, nouvel Etat né du redécoupage de l’empire des Habsbourg après 1918.
Les Hongrois occupèrent brièvement la région de Kosino, à majorité linguistique hongroise, entre 1938 et 1944. Mais c’est l’Union soviétique qui récupéra la zone après 1945 puis l’Ukraine, après la chute de l’URSS, en 1991." La suite sur rtbf.be

samedi 13 octobre 2018

Le groupe de Visegrád divisé sur les sanctions européennes contre la Russie

"Les chefs d'Etat des quatre pays du groupe de Visegrád (V4) sont en Slovaquie depuis jeudi pour une rencontre de deux jours. A Štrbské Pleso, dans le massif des Hautes Tatras, les présidents slovaques et polonais ont défendu les sanctions européennes contre la Russie. S’exprimant lors d’une conférence de presse, le président slovaque Andrej Kiska a déclaré que l’Union européenne ne pouvait rester indifférente à l’annexion de la Crimée en 2014 qui était, selon lui, une violation des lois internationales, et il s’est dit satisfait de l’unité des Etats-membres à l’époque sur la question. Son homologue polonais Andrzej Duda a estimé pour sa part que ces sanctions étaient justifiées." La suite sur radio.cz

Farion traite les Hongrois de Transcarpatie de "débiles" et veut les déporter en Hongrie

"Pas une semaine ne passe depuis le Maïdan, sans que des politiciens ou officiels ukrainiens ne déversent leur haine contre les minorités que contient leur pays. La dernière sortie ignoble en date nous est offerte par la nationaliste ukrainienne, et ex-députée de la Verkhovna Rada, Irina Farion.
Cette dernière a traité les représentants de la minorité hongroise vivant en Transcarpatie de « débiles » qui n'ont pas leur place en Ukraine. Elle l'a déclaré lors d'un forum « Pour la langue ukrainienne ».

Selon elle, le délai de sept ans prévu par la loi sur la langue d’enseignement pour le passage à la langue ukrainienne dans les écoles des minorités nationales est trop long." La suite sur dnipress.fr

Hongrois d’Ukraine: Budapest évoque les «dictatures les plus sinistres»

"Le ministre hongrois des Affaires étrangères Peter Szijjarto estime que la politique de Kiev à l’égard des Hongrois de Transcarpatie a «sombré dans des profondeurs effroyables» qui rappellent les actions des «dictatures les plus sinistres», selon le site du gouvernement hongrois.
Dans une déclaration publiée sur le site du gouvernement hongrois, le ministre des Affaires étrangères Peter Szijjarto a vivement critiqué les actions de Kiev en Transcarpatie qui visent, selon lui, à changer la composition ethnique de la région. Il a également accusé la Rada ukrainienne de «collaborer avec les extrémistes».
«Les décideurs ukrainiens disent des choses qui évoquent les dictatures les plus sinistres lorsqu'ils veulent changer la composition ethnique de Beregovo (Beregszász) et réduire encore davantage le nombre de Hongrois qui y vivent en installant des Ukrainiens dans la ville», a-t-il expliqué." La suite sur sputniknews.com

vendredi 12 octobre 2018

Hongrie. Orban s’attaque aux SDF

"Déjà critiquée en Europe pour ses mesures anti-migrants et anti-ONG, la Hongrie cible désormais les sans-abri, passibles de prison ferme en vertu d’une loi applicable à partir du 15 octobre. De notre correspondant en Hongrie. Jutka Lakatosné fulmine. Volontaire depuis 2010 de l’ONG d’aide aux sans-logis « La Ville est à tous », cette Budapestoise s’oppose à la criminalisation de la mendicité qui entrera en vigueur le 15 octobre, en Hongrie. Le texte, adopté mi-juillet par l’Assemblée, pénalise plus largement le fait de vivre dans la rue. Inscrit dans la Constitution - une première en Europe -, il stipule que tout habitant de la rue averti trois fois par la police en moins de trois mois peut être interpellé au quatrième blâme, puis emprisonné, si le juge devant lequel il doit comparaître en décide ainsi." La suite sur letelegramme.fr

Deux jours de rencontre pour les présidents du V4 en Slovaquie

"Les chefs d'Etat des quatre pays du groupe de Visegrád (V4) sont en Slovaquie à partir de ce jeudi pour une rencontre de deux jours. Cette année, c'est Andrej Kiska, le président slovaque, qui invite ses homologues polonais, tchèque et hongrois pour cet événement organisé dans la station de Štrbské Pleso, dans le massif des Hautes Tatras.
Au programme des discussions, les quatre hommes devraient parler de la situation en Europe, de l'influence des nouvelles technologies sur la société, du vieillissement de la population ou de politique sociale." La suite sur radio.cz

Juncker et Weber menacent d’exclure le parti de Viktor Orbán du PPE

"Les deux chefs de file du Parti populaire européen ont évoqué pour la première fois une possible exclusion du Fidesz du premier ministre Viktor Orbán. Pour Manfred Weber, la balle est désormais dans le camp du dirigeant hongrois.
Jean-Claude Juncker et Manfred Weber ont tous les deux évoqué aujourd'hui ouvertement l'exclusion du Fidesz du Parti populaire européen (PPE). Dans un entretien paru cet après-midi sur le site Internet du Monde, le président de la Commission européenne a déclaré que "Viktor Orbán [n'avait] plus sa place au PPE", en raison de "beaucoup d’incompatibilités entre ses paroles et les valeurs chrétiennes-démocrates sur lesquelles la famille PPE est fondée." Jean-Claude Juncker a néanmoins laissé la porte ouverte au premier ministre hongrois, en déclarant que sa menace était conditionnée au respect par le Fidesz "[des] valeurs fondamentales et [du] programme électoral du PPE . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Quand Orban remercie les néonazis d’Aube dorée

"Le Premier ministre hongrois a adressé un courrier de remerciement au parti d’extrême droite grec pour avoir soutenu la Hongrie lors de l’ouverture d’une procédure de sanction envers le pays pour manquement grave et systématique de l’Etat de droit. Les dérives autoritaires d’Orban continuent d’embarrasser le Parti populaire européen." La suite sur lesoir.be (article payant)

Menaces de mort contre la minorité hongroise en Ukraine

"Les autorités hongroises ont dénoncé publiquement les agissements de l’Ukraine vis-à-vis de la minorité magyarophone dans l’ouest du pays.
Budapest considère que Kiev ne protège pas assez ses minorités après la publication d'une «liste de la mort», rassemblant les noms de binationaux et la mise en ligne d'une pétition demandant leur «expulsion collective».
«La politique anti-hongroise [de l'Ukraine] a atteint un nouveau niveau», a déclaré Levente Magyar, secrétaire d'État hongrois.
Après les russophones du Donbass, les magyarophones de Transcarpatie… L'Ukraine serait-elle fâchée avec ses minorités? C'est en tout cas l'avis de Levente Magyar. Le ministre d'État aux Affaires parlementaires hongrois a convoqué l'ambassadrice d'Ukraine à Budapest le 10 octobre dernier afin de demander des explications à Kiev sur les récents évènements en Transcarpatie." La suite sur sputniknews.com

jeudi 11 octobre 2018

Hongrie : le gouvernement prépare la privatisation des universités du pays

"Selon des informations de l'hebdomadaire HVG, le gouvernement hongrois prépare une réforme d'ampleur de l'enseignement supérieur dans le pays. Principale disposition : la privatisation pure et simple des universités et un désengagement partiel de l'État dans le financement des études supérieures.
László Palkovics - ministre des "ressources humaines" - l'a annoncé samedi dernier au congrès de la Conférence nationale des assemblées étudiantes : "Je vais accélérer et étendre à l'ensemble de l'enseignement supérieur hongrois le travail entamé à l'Université Corvinus Budapest, afin que [ces établissements] fassent émerger un environnement compétitif", selon des propos rapportés par le site d'information locale Szabad Pécs. Si le gouvernement souhaite faire de Corvinus une université d'élite gouvernée par une fondation à fortes dotations publiques, il veut aussi libéraliser les autres universités hongroises en leur donnant la possibilité d'adopter un modèle managérial et financier entièrement privé . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

A Budapest, les pro-Erdoğan ont pu manifester, eux !

"Un parti d'opposition n'a pas reçu l'autorisation de la police pour manifester contre le président turc Recep Erdoğan, mais les ressortissants turcs ont pu manifester en sa faveur. La nouvelle loi sur la liberté de réunion et de rassemblement en Hongrie, votée cet été et entrée en vigueur au début du mois d'octobre, est en cause, et elle pourrait décidément se révéler bien problématique et poser un vrai problème de démocratie dans les temps à venir . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Concert de l'ensemble musical Musica Nova Hungarica le vendredi 26 octobre 2018 à 18 h 30 à l’Inalco

Concert de l'ensemble musical Musica Nova Hungarica le vendredi 26 octobre 2018 à 18 h 30 à l’Inalco (65 rue des Grands Moulins 75013 Paris), amphi 7.
Les trois musiciens virtuoses combinent la musique électronique avec des instruments médiévaux uniques qu’on a rarement l’occasion d’entendre en France.

Au programme du concert : musique traditionnelle hongroise et musique contemporaine

Entrée libre

Zsolt Kaltenecker • instruments électroniques
Zsolt Szabó • viole de gambe, vièle
Robert Mandel • organistrum, instruments à percussion, violon de fer


A Musica Nova Hungarica együttes koncertje
Historikus magyar zene, ezeréves gyökerektől kezdve, kódexek dokumentumait követve, hiteles előadóktól, régi és különleges hangszereken, elektronikus kompozícióval váltva és ötvözve.
A kortárs részletek Kaltenecker Zsolt művei.
Az egybefüggő mű 65 percig tart.
A trió tagjai:
Zsolt Kaltenecker - elektronikus hangszerek
Zsolt Szabó - viola da gamba, viéle
Robert Mandel - organistrum, ütőhangszerek, violon de fer
2018. október 26-án pénteken 18.30-tól Inalco (65 rue des Grands Moulins 75013 Paris), az Amphi 7-ben

A belépés ingyenes
Nagyszerű zenei élményben lesz részünk. Minden érdeklődőt várunk!

Conférence Nietzsche et la Hongrie 21 novembre 2018 à 19h30 Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

L’auteur d’Ainsi parlait Zarathoustra n’a pas seulement mis en avant ses origines polonaises, probablement imaginaires. La chose est beaucoup moins connue, mais il a aussi eu une grande période hongroise. Dans sa jeunesse, séduit par la musique de Ferenc Liszt, les poèmes de Nikolaus Lenau et de Karl Isidor Beck, ainsi que par les traductions d’œuvres hongroises de Karl-Maria Kertbeny, Nietzsche découvre notamment l’œuvre de Sándor Petőfi dont il met alors en musique les versions allemandes de plusieurs poèmes. Par-delà cette période juvénile d’enthousiasme romantique, quelle a été l’importance de la Hongrie dans la formation de la sensibilité du grand philosophe ? 

Guillaume Métayer, spécialiste de Nietzsche et traducteur de littérature hongroise, mène l’enquête.
Entrée libre

Erdogan se félicite des relations bilatérales avec la Hongrie

"Le chef de l'État turc a rédigé un article dans lequel il a évalué les relations bilatérales en marge de sa visite en Hongrie.
Le président de la République de Turquie, Recep Tayyip Erdogan se félicite des relations bilatérales avec la Hongrie.
Le chef de l'État turc a rédigé un article dans lequel il a évalué les relations bilatérales en marge de sa visite en Hongrie.
Dans l'article partagé sur son compte Twitter, Erdogan a déclaré: «Nous déployons des efforts ensemble, pour renforcer notre coopération avec la Hongrie avec qui nous avons des liens profonds et enracinés. Notre solidarité avec la Hongrie, au sein des organisations internationales dont l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN), le Conseil de l'Europe et l'Union européenne (UE), est exemplaire.»" La suite sur trt.net.tr

Les Républicains : et revoilà Viktor Orban !

"A l’approche des élections européennes, la majorité LREM entend bien utiliser le cas du Premier ministre hongrois pour déstabiliser Les Républicains divisés sur le sujet.Au secours, Orban revient ! Il y a un mois, Les Républicains s’écharpaient et étalaient au grand jour leur division lors du vote d’une résolution au Parlement européen, destinée à sanctionner le Premier ministre hongrois. Désormais, les élus et l’état-major du parti redoutent que le même scénario se reproduise, mais cette fois-ci à… l’Assemblée nationale." La suite sur leparisien.fr

Grande-Bretagne : Les conservateurs accusés de soutenir le gouvernement « antisémite » d’Orbán

"Alors qu’Orbán envoie ses remerciements, les groupes communautaires juifs britanniques condamnent le parti de Theresa May, qui a auparavant toujours lutté contre l’antisémitisme.
LONDRES – Le Parti conservateur britannique a été vivement critiqué par des groupes juifs après qu’il a pris la défense du gouvernement controversé hongrois de droite lors d’un vote décisif au Parlement européen.
Le Conseil des députés des Juifs britanniques a jugé « très préoccupant » le fait que les conservateurs choisissent de soutenir le gouvernement du Premier ministre Viktor Orbán, accusé d’ « éveiller les préjugés » et de déployer « un antisémitisme virulent ».
Il s’agit là d’une rare réprimande envers le parti de la Première ministre Theresa May, qui a acquis une solide réputation pour sa bienveillance envers la communauté juive en Grande-Bretagne et pour sa lutte contre l’antisémitisme." La suite sur timesofisrael.com