"La fête nationale du 23 octobre, commémorant l'insurrection hongroise de
1956, a encore une fois donné lieu à de multiples célébrations par le
gouvernement et les partis politiques d'opposition. Réunis sur Bem tér,
les partis de gauche ont affiché une unité rare.
"Il est important
que les fêtes nationales soient célébrées comme des fêtes communes, et
je ne pense pas que ce soit une bonne chose qu'elles se soient
transformées depuis les années 90 en rassemblements de partis
politiques". Ces mots de l'ancien ministre aux affaires étrangères
Géza Jeszenszky résument bien l'état d'esprit dans lequel les Hongrois
ont commémoré cet après-midi le 62e anniversaire de l'insurrection de
Budapest. Comme à l'accoutumée, le pouvoir et l'opposition ont tenu à
célébrer séparément les "héros de 1956", chaque camp cherchant à en
capter l'héritage. Faits marquants s'ils en sont : la guerre que se sont
livrés à distance le Jobbik et le nouveau parti d'extrême-droite "Mi
Hazánk", ainsi que l'attelage inédit de la manifestation de . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
mercredi 24 octobre 2018
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