samedi 31 octobre 2015

Rétrospective Miklós Jancsó à la Cinémathèque - Programme du 31 octobre 2015

Voici le programme d'aujourd'hui à La Cinémathèque :
15h - Cantate, premier long-métrage de Miklós Jancsó
Hongrie / 1962 / 93 min
Avec Zoltán Latinovits, Andor Ajtay, Gyula Bodrogi.
http://www.cinematheque.fr/film/40950.html

19h30 - Rouges et Blancs (Miklós Jancsó)
Sélection officielle du Festival de Cannes, 1968
Hongrie / 1967 / 87 min
Avec Jozsef Madaras, Tibor Molnár, András Kozák
http://www.cinematheque.fr/film/40953.html

21h45 - Silence et Cri (Miklós Jancsó)
Hongrie / 1967 / 75 min
Avec Mari Töröcsik, Jozsef Madaras, Zoltán Latinovits.
http://www.cinematheque.fr/film/40956.html

L'Europe a été "trahie" par une "conspiration"

"Le Premier ministre hongrois Viktor Orban, partisan d'une ligne dure face à la crise des migrants, a affirmé vendredi que l'Europe avait été "trahie" à cet égard par une conspiration menée par de puissants financiers, la gauche et des responsables non élus.
"L'Europe a été trahie, si nous ne défendons pas (ses intérêts), le continent n'appartiendra plus aux citoyens qui vivent ici", a déclaré M. Orban lors d'une conférence à Budapest." La suite sur 7sur7.be

Golden Life, série 100% hongroise de HBO Europe

"Golden Life est la nouvelle série lancée par HBO en Hongrie, qui narre les déboires d’une famille issue de la haute-société hongroise.
La chaîne de télévision américaine payante HBO a déployé depuis une vingtaine d’années une stratégie qui vise à produire des séries TV originales en Europe centrale et orientale. Installée en Hongrie en 1991, elle n’a cessé de s‘étendre depuis dans la région. HBO Europe existe aujourd’hui dans une quinzaine de pays. L’idée est notamment d’encourager la création locale.
Aussi la série Golden Life est-elle réalisée par deux Hongrois." La suite sur euronews.com

Migrations: la Hongrie veut un "contrôle" des frontières grecques

"Le ministre hongrois des Affaires étrangères, Peter Szijjarto, a de nouveau appelé vendredi à Athènes à un contrôle des frontières grecques pour ne pas laisser l'Europe "sans défense" face à l'afflux de migrants, tout en se défendant de "dénigrer" le pays.
"L'Europe doit retrouver sa capacité à contrôler ses frontières", a déclaré le ministre hongrois, dont le pays a multiplié ces dernières semaines les critiques contre la Grèce, accusée de ne rien faire pour ralentir les arrivées de réfugiés et migrants poursuivant leur route vers l'Europe centrale et du nord." La suite sur leparisien.fr

La Hongrie s'intéresse à élargir sa coopération économique avec l'Azerbaïdjan

"Bakou, 30 octobre, AZERTAC
Chahin Moustafayev, ministre de l'Economie et de l'Industrie, coprésident de la commission mixte sur la coopération économique entre le gouvernement de la République d'Azerbaïdjan et le gouvernement de la République de Hongrie, s'est entretenu avec Szolt Chutora, secrétaire d'Etat adjoint au Ministère des Affaires étrangères de Hongrie." La suite sur azertag.az

Migrants et sans-abris : tous dans le même bateau à Budapest

"Jusqu'à présent, plus de 306.000 migrants ont atteint la Hongrie - pour une majorité d'entre eux Budapest n'est qu'une escale. Beaucoup de soignants empressés, mais aussi et surtout des défenseurs politiques les y attendaient. On pouvait alors entendre dire qu'on leur donnait ce qui aurait dû revenir aux Hongrois et qu'ils entraient en concurrence avec les sans-abris. Est-ce vrai ?
La gare de Keleti est maintenant déserte - du moins il n'y a plus de migrants, ceux qui avaient fait escale dans la capitale hongroise, en provenance de Serbie et de Croatie, avec pour objectif d'atteindre l'Europe de l'Ouest par la suite. Le siège de l'organisation non gouvernementale Migration Aid semble abandonné. On peut encore apercevoir le service de nettoyage à travers les fenêtres mais cela s'arrête là." La suite sur cafebabel.fr

Simon Hantaï se redéplie

"La galerie parisienne Jean Fournier expose une dizaine des fameuses «Tabulas» de l'artiste français d'origine hongroise, des pliages et quadrillages réalisés entre 1972 et 1982 et presque jamais montrés en France.
Après une formidable rétrospective au centre Pompidou en 2013, on pensait tout connaître de l’œuvre du grand Simon Hantaï (né en 1922 à Bia, en Hongrie, et mort en 2008 à Paris). A tort. La galerie parisienne Jean Fournier le met à nouveau à l’honneur, cet automne, en déployant quelques peintures issues de la série des Tabulas, jamais ou très peu montrées en France et toutes réalisées entre 1972 et 1982. A l'exemple de ces deux œuvres exceptionnelles et monumentales, uniquement aperçues lors de la rétrospective au musée Ludwig de Budapest en 2014 − la Tabula jaune et la polychrome." La suite sur liberation.fr

vendredi 30 octobre 2015

Saint-Gobain cède des activités en Hongrie et République tchèque

"PARIS, 30 octobre (Reuters) - Saint-Gobain annonce vendredi la cession de ses activités de distribution dans le bâtiment en République tchèque et en Hongrie, dans le cadre de son recentrage stratégiques sur les métiers de l'habitat." La suite sur lesechos.fr

Qui êtes-vous Miklós Jancsó ?

"Naissance 27 septembre 1921 à Vác (Hongrie)
Décès 31 janvier 2014 à Budapest Hongrie)
Liens familiaux
Miklós Jancsó a été marié trois fois. Avec sa première femme, il a eu un fils, Nyika (né en 1952). Il épouse ensuite la réalisatrice et scénariste hongroise Márta Mészáros, dont il adopte le fils, Zoltán. Sa troisième femme est la monteuse Zsuzsa Csákány. Miklós Jancsó a également partagé la vie de Giovanna Gagliardo, scénariste et réalisatrice, qui a assuré l'écriture de ses films italiens. Il a eu deux autres enfants : Katalin et David." La suite sur cinema.encyclopedie.personnalites.bifi.fr

Rétrospective Miklós Jancsó à la Cinémathèque française du 28 octobre au 30 novembre 2015

La Hongrie soutient la construction d'un hôpital d'oncologie à Can Tho

"La Hongrie promet d'assister la ville de Can Tho (Sud) dans la construction d'un hôpital ​d'oncologie, a déclaré le consul général hongrois à Ho Chi Minh-Ville, Baloghdi Tibor, lors d'une séance de travail le 28 octobre avec le président du Comité populaire municipal Le Hung Dung.
Bien qu'elle soit la principale ville du Nam Bo occidental, Can Tho ne parvient pas à répondre aux besoins de traitement des patients atteints d'un cancer en raison ​d'infrastructures médicales limitées, a déclaré Le Hung Dung." La suite sur vietnamplus.vn

JO 2024 - « L’Agenda 2020 nous donne une chance de gagner »

"Personne n’attendait vraiment Budapest dans la course aux Jeux d’été en 2024. Mais la capitale hongroise, longtemps seulement velléitaire dans ses ambitions olympiques, a finalement décidé de se lancer. Son début de campagne s’avère encore discret, mais son projet ne manque pas d’arguments. Fürjes Balazs (notre photo), le patron du comité de candidature, présent à Washington DC pour l’assemblée générale de l’ACNO, les a expliqués à FrancsJeux." La suite sur francsjeux.com

jeudi 29 octobre 2015

Improvisations d'@mérique d'Otto Fenyvesi

texte de Otto FENYVESI
illustré par Otto FENYVESI

Traduction : Judit Kovács
Éditeur : Éditions SOC & FOC


Prix : 12 €

Résumé : Improvisations d’@mérique, kaléidoscope d’un Nouveau Monde entre liberté et ecchymoses. Improvisations d’@mérique, griserie psychédélique dans les premières lueurs de l’aube, quand les élans de la chair font vibrer le crépuscule des rêves. Entre spiritueux et spirituel, sexe et revendications d’une société sans interdit. Improvisations d’@mérique, volutes hongroises qui jazzent les phrases, mêlant les notes légères du violoncelle aux sons saturés d’une guitare Rock’n roll. Il s'agit d'une première traduction en français de cet auteur hongrois.

Vidéo de Attila Sohar - Soirée des Mardis hongrois du 27 octobre 2015 - Rencontre avec le directeur de l'Institut hongrois János Havasi

 
Mardi Hongrois du 27 Octobre 2015 from Attila Sohar on Vimeo.

Vidéo - Soirée des Mardis hongrois du 27 octobre 2015 - Rencontre avec János Havasi, directeur de l'Institut hongrois

Vidéo de Peter Gabor

Liban - Le dossier des réfugiés syriens au cœur d’une visite du ministre hongrois des AE à Beyrouth

"Peter Szijjarto a mis en garde, dans une conférence de presse hier au palais Bustros, contre les dangers qui pèsent sur les chrétiens du Moyen-Orient.
Le ministre hongrois des Affaires étrangères, Peter Szijjarto, a effectué une visite de 24 heures au Liban au cours de laquelle il s'est entretenu avec le Premier ministre, Tammam Salam, le président de la Chambre, Nabih Berry, ainsi que son homologue libanais, Gebran Bassil.
C'est le dossier des réfugiés syriens, qui entrent tous les jours par milliers en Europe, qui a été notamment discuté.
À l'issue de la réunion avec M. Bassil, une conférence de presse conjointe s'est tenue au palais Bustros." La suite sur lorientlejour.com

Bond de la cote du Premier ministre hongrois Viktor Orban

"BUDAPEST, 28 octobre (Reuters) - La cote de popularité du Premier ministre hongrois Viktor Orban a fortement progressé entre avril et octobre, en grande partie en raison de sa gestion de la crise migratoire, selon un sondage publié par l'institut Nezopont, favorable au gouvernement.
La Hongrie est devenue un point de passage important pour les migrants qui veulent entrer dans l'Union européenne via les Balkans. Les migrants, qui fuient la guerre et la pauvreté en Afrique et au Proche-Orient, s'installent dans des camps de fortune, dans les gares et dorment même dans la rue, y compris à Budapest, la capitale." La suite sur boursorama.com

Visite guidée dans l’univers du réalisateur hongrois Miklós Jancsó

"Aujourd’hui [28 octobre 2015] s’ouvre à Paris une rétrospective des films de Miklós Jancsó, mort l’an passé. Multipliant les instruments d’approche, un petit livre d’Émile Breton montre le travail du cinéaste sur son matériau. Idéal pour accompagner les projections proposées par la Cinémathèque française.
Au milieu des années 1960 – entre les échos de la nouvelle vague et les signes avant-coureurs de mai 1968 – critique et public occidentaux font la découverte d’un cinéaste hongrois, Miklós Jancsó, avec des titres comme les Sans-Espoir, Rouges et Blancs, Silence et Cri, Ah, ça ira !" La suite sur humanite.fr

L’automobile, un secteur-clé de l‘économie hongroise

"Budapest accueille cette semaine un salon dédié à l’automobile, un secteur-clé de l‘économie hongroise. Plus de 300 exposants y ont leur stand. Il s’agit pour la plupart de sous-traitants, issus de divers pays, mais également de constructeurs de renom comme Mercedes-Benz, Suzuki, Opel ou Audi, tous implantés en Hongrie. Un marché stratégique comme l’explique Péter Lőre, le directeur de la communication de Audi Hongrie : “La Hongrie a une situation géographique idéale, au centre de l’Europe. Les routes sont bonnes, nous pouvons atteindre rapidement nos marchés et nos fournisseurs sont proches.” La suite sur euronews.com

Bons baisers de Budapest : la scène européenne des start-ups

"Dans les années 90, l'entrepreneur budapestois était un personnage louche qui tenait fermement une malette à l'arrière d'une Mercedes noire et qui faisait des affaires uniquement parce qu'il connaissait « les bonnes personnes ». Pourtant, aujourd'hui à Budapest, plein de jeunes gens vivent, travaillent et s'autoproclament entrepreneurs. Ce qui donne un tout nouveau sens à ce terme.
Choisis ta vie. Choisis de ne pas avoir de travail. Choisis d'être co-fondateur, manager, designer, chef des ventes, responsable du service après-vente ou tout cela à la fois. Ne choisis pas entre les amis ou la famille, au moins pas pour les prochaines années. Choisis de travailler tôt le matin et tard le soir, d'avaler ton dîner dans des boîtes en plastique et de travailler dans un espace de travail respectueux de l'environnement. Choisis des posters qui te motivent, un vélo à pignon fixe et une tasse à café « Do What You Love »." La suite sur cafebabel.fr

Soirée des Mardis hongrois de Paris du 27 octobre 2015 - Rencontre avec János Havasi directeur de l'Institut hongrois




















mercredi 28 octobre 2015

Les Sans-espoir un film de Miklós Jancsó - Ce soir, 28 octobre 2015 à 20 h à la Cinémathèque française

Ouverture ce soir de notre cycle Miklos Jancso avec en avant-première la ressortie du magnifique "Les Sans-espoir" en version numérique restaurée ! Il reste quelques places, on vous attend à 20h !

Sondage: l'Europe de l'est contre l'accueil des réfugiés

"D'après les résultats d'un nouveau sondage "Sputnik. Opinions", organisé aux USA et en Europe par la société de recherches Populus pour l'agence informatique internationale Sputnik, la majorité des personnes interrogées (51%) ont déclaré que leur pays ne devrait pas accueillir de réfugiés. "Pensez-vous que le gouvernement de votre pays devrait accueillir des réfugiés?", telle était la question soumise aux répondants.
Les habitants de la Hongrie, de la Bulgarie, de la République tchèque et de la Pologne, pays faisant partie de l'itinéraire emprunté par les réfugiés aspirant à se rendre en Europe occidentale, sont majoritairement (62%) persuadés que les autorités de leurs pays ne devraient pas accueillir de réfugiés." La suite sur sputniknews.com

Hongrie : nouvelle appli de partitions numériques

Dans le répertoire musical interprété par Misi Boros, jeune prodige du piano âgé de 11 ans, figure une valse de Chopin, qui ne pèse désormais que quelques centaines d’octets.
L‘éditeur hongrois Könemann Music, basé à Budapest, a créé une application qui permet de se procurer des quantités de partitions des plus grands compositeurs, gratuitement! De quoi ravir ce concertiste : “Mon sac à dos pèse 5 kilos et je dois le porter tous les jours. J’ai 4 leçons de piano par semaine. Cela me fatigue. Avec cette application, ce sera beaucoup plus facile. Toutes les partitions sont sur mon portable, dans ma poche. Le téléphone intelligent pèse juste quelques grammes. J’ai beaucoup réfléchi à l’idée de connecter une clé USB avec les partitions numériques au piano. Mais avec cette application, ça revient au même.” La suite sur euronews.com

Amnesty demande de cesser les renvois vers la Hongrie

"Crise des réfugiés
Des ONG estiment que la Suisse et les autres pays européens ne doivent plus renvoyer les requérants d'asile en Hongrie.
La Suisse accélère les renvois, traitant prioritairement les cas Dublin, dénonce Amnesty International. La politique d'asile de la Suisse bafoue les droits des réfugiés en refoulant des personnes vers des pays comme l'Italie, la Grèce ou la Hongrie, estiment des ONG.
Face à cette évolution, Amnesty International (AI), l'Organisation suisse d'aide aux réfugiés, le Centre social protestant, Solidarité sans frontières, le service d'assistance juridique Copera et le mouvement citoyen Collectif R tirent la sonnette d'alarme." La suite sur 24heures.ch

Le futur stade du MTK Budapest a un nouveau rendu et un entrepreneur !

"
Datant de novembre 2014, les premiers rendus du nouveau stade du MTK Budapest ont été modifiés ce mois-ci.
Si la conception reste du cabinet Bord Építész Stúdió, les modifications restent minimes.
Le futur Nándor Hidegkuti Stadion aura une capacité de 5 322 places, contre 5 500 pour la première conception, et sera doté de 41 loges VIP." La suite sur stadesandco.wix.com

Données personnelles : rappel des critères l'application du droit national

"La Cour de justice de l'Union européenne vient de rappeler les critères d'application des lois nationales de protection des données à caractère personnel, ainsi que les pouvoirs de chaque autorité nationale de protection.
Cet arrêt du 1er octobre a été largement éclipsé par la décision du 6 octobre de la même Cour relative au Safe Harbor américain (notre actualité du 9 octobre). Il n'en demeure pas moins qu'il revêt une certaine importance en ce qu'il rappelle et confirme des analyses bien connues des juristes puisqu'elles découlent logiquement des règles mentionnées dans la directive 95/46/CE sur la protection de ces données." La suite sur les-infostrateges.com

“Home Guards”, un regard hongrois sur le racisme et la manipulation

“Home Guards” est un film hongrois qui s’intéresse à l’itinéraire de deux frères désoeuvrés Sans travail ni perspectives, ils vont intégrer un groupe paramilitaire, sous l‘égide d’un chef de la police. L’histoire se déroule dans une petite ville où s’exprime un sentiment xénophobe à l‘égard des Roms.
“Au départ, c’est une sorte de curiosité psychologique qui m’a amenée là vers ce film, explique la réalisatrice Krisztina Goda. Avec le personnage du chef de la police, qui, au début, est adorable, charismatique, qui peut être une idole pour les garçons, comme un père, je voulais montrer comment tout cela peut se transformer en quelque chose de totalement différent.” La suite sur euronews.com

mardi 27 octobre 2015

Rétrospective DOKEST89 "Les communismes racontés par eux mêmes" Cinéma Le Méliès Montreuil du 3 au 7 novembre 2015

Cinéma Le Méliès 12, place Jean Jaurès, 93100 Montreuil

La rétrospective DokEst89 invite non seulement à découvrir un pan du cinéma documentaire européen méconnu, souvent même inédit sur les écrans français, mais également à discuter avec des cinéastes (Andrei Ujica, Želimir Žilnik, Marcel Łoziński, Zsigmond Gábor Papp, Marta Popivoda, Ringo Rösener, Youlian Tabakov), des critiques de cinéma et historiens.
La programmation dessine des liens à partir de thématiques en résonance avec le présent — parmi lesquelles: la vie clandestine des dissidents, la fabrication et l’usage des données par les polices d’État, la place des femmes et des homosexuel.le.s, la porosité entre vies publique et privée —, sans nier les contrastes de chaque contexte.

POUR VOIR EN DÉTAIL LA PROGRAMMATION RDV sur : dokest89.wordpress.com

LE FILS DE SAUL - Mardi 3 novembre à 20h15 - en avant-première au cinéma UGC Ciné Cité Les Halles en présence de Laszlo NEMES

Plus d'information sur ugc.fr

Histoires de Pythie par Flora

Nous assistons à un début de chambardement planétaire, avec des mouvements de populations de plus en plus amples. Notre petit globe bientôt trop exigu pour satisfaire tout le monde en eau, en nourriture et en énergie, souffre de la pollution, de la surexploitation de ses ressources... Nous vivons avec ces funestes présages anxiogènes qui nous empêchent de profiter du présent encore relativement vivable.
Certains esprits chagrins présentent l'homme comme un prédateur abject, dangereux, nuisible non seulement pour la nature mais aussi suicidaire à petit feu. Et ceci en oubliant, dans un aveuglement partial, toutes les créations humaines, matérielles ou spirituelles, dont nous sommes les héritiers depuis des millénaires. Car elles sont aussi œuvres de l'homme. Effarés devant les dégâts causés par la boulimie profiteuse de l'argent, dégoûtés de l'individualisme forcené des puissants de ce monde (qui oublient au passage notre finitude commune, en dépit de leurs rêves de congélations et d'éternité), nous sommes forcés de reconnaître que l'argent - les commandes des riches et puissants - a généré des chefs-d'œuvre. Nous sommes en admiration devant le Taj Mahal, les peintures de Vélasquez, le château de Versailles ou la Grande Muraille de Chine et tant d'autres encore. La Révolution française en a démoli beaucoup, les identifiant aux pouvoirs qu'ils représentaient. Des chefs-d'œuvre passent à la trappe pour des raisons idéologiques ou obscurantistes, aujourd'hui comme par le passé. Heureusement qu'on a inventé les musées pour les mettre à la portée de tous, du moins le temps de les admirer. 
Je tente de nuancer mes propos, me hisser à la hauteur d’une réflexion objective, dénuée d’émotionnel. Pourtant, à la vue des ruines de Palmyre, je me sens dépouillée d'un héritage tout personnel.
Je ne crois pas à la lutte des forces mystérieuses et abstraites du Bien et du Mal. Les deux font partie intime de l'homme. Plus encore, je ne pense pas que l'on puisse porter un jugement sur l'Homme. Il n'existe que des humains, dans leur abjection ou leur magnificence.
Meden Agan!” - disait le message quelque peu énigmatique de la pythie de Delphes: “Rien de trop”. Autrement dit: observons de la mesure en toute chose. Cela vaut aussi bien pour nos jugements que pour nos actes.
Je ne suis pas très optimiste, c'est vrai. L'air du temps est maussade, frisquet même. Il conviendrait pourtant de ne pas plomber le moral de tous les visiteurs de ce blog dont l'administrateur m'invite si gentiment à égayer ses pages!... La prochaine fois, j'essaierai d'être plus conviviale, promis. 
Rozsa Tatar
 
Rozsa Millet

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Le fils de Saül, au cœur de l’enfer

"Une histoire lumineuse éclaire nos plus sombres pages d’histoire.
Parmi les morts qu'il charrie hors de la chambre à gaz, Saül, membre du Sonderkommando du camp d’Auschwitz-Birkenau, croit reconnaître son fils. Et décide qu'il lui offrira une sépulture décente dans cet enfer où la fumée et la cendre vouent les corps à l'oubli. Grand Prix au festival de Cannes, Le fils de Saül (qui s’inspire en partie du livre-témoignage Des voix sous la cendre) se regarde comme un grand film d’histoire et de cinéma, d’une intelligence et d’une humilité totale." La suite sur moustique.be

En salles à partir du 4 novembre 2015

Polonais, Hongrois, deux frères

"Ci-dessous, le résumé d’une thèse de doctorat en Histoire du Moyen Âge consacrée aux relations hungaro-polonaises. Elle a été réalisée en co-tutelle aux Universités Blaise Pascal et de Debrecen et soutenue le 18 décembre 2010 à Clermont-Ferrand par Adrien Quéret-Podesta. La thèse entière est téléchargeable en bas de page.
« POLONAIS, HONGROIS, DEUX FRÈRES »
(POLAK, WEGIER, DWA BRATANKI,…MAGYAR, LENGYEL, KÉT JÓ BARÁT…)
La représentation des plus anciennes relations polono-hongroises dans l’historiographie du Moyen Âge à nos jours et la question des origines médiévales du mythe de l’amitié polono-hongroise."
La suite sur hu-lala.org

Les Roms en Hongrie, des terroristes en devenir ?

"Ce n’est pas ce qu’a dit le ministre hongrois de la Justice, mais celui-ci a tout de même lié la question de l’intégration des Roms hongrois à celle du radicalisme islamiste. 
Les Roms sont décidément des victimes collatérales du climat de xénophobie imposé en Hongrie depuis le début de l’été par le gouvernement Fidesz-Kdnp en réponse à la crise migratoire. Budapest explique ainsi à ses partenaires européens ne pas pouvoir accueillir de réfugiés car la Hongrie doit déjà composer avec le « fardeau » représenté par la minorité rom." La suite sur hu-lala.org

Le Womex, 21ème édition à Budapest

"Pour sa 21ème édition, le Womex a mis le cap sur l’Europe centrale.
Le Salon international des musiques du monde s’est installé en Hongrie, à Budapest. Plus de 90 pays y sont représentés.
Parmi les groupes à découvrir, Kleztory, une mosaïque des cultures russe, québecoise et moldave, ou Cymbalumduo, réunion de deux virtuoses du cymbalum, grande cithare reposant sur une caisse à la façon d’un piano, et instrument phare dans la musique traditionnelle hongroise." La suite sur euronews.com

lundi 26 octobre 2015

Cinéastes de l’archive, archéologues de la mémoire

Cinéma
28-29 novembre 2015

Auditorium du musée du Louvre | rue de Rivoli 75001 Paris

Films amateurs, archives privées ou images d’actualité, parents pauvres du cinéma, deviennent, entre les mains de ces « archéologues de la mémoire » que sont les cinéastes de l’archive, des témoins essentiels du passé. En offrant une seconde vie à ce corpus déshérité, ils posent non seulement la question de la mémoire des images mais aussi celle du sens de l’histoire et de sa représentation.
À l’occasion de l’exposition qui fait référence à l’essai de Jacques Attali, « Brève histoire de l’avenir », le musée du Louvre a invité deux des cinéastes les plus inspirés de leur génération, le hongrois Péter Forgács et l’américain Bill Morrison, à présenter certains de leurs films, pour la plupart inédits en France, et à débattre avec des spécialistes sur ces questions.
28 novembre, à partir de 14h30 : Péter Forgács
29 novembre, à partir de 14h30 : Bill Morrison

Autour du théâtre hongrois contemporain les 24 et 25 novembre 2015

Le théâtre hongrois contemporain, en dépit de sa vitalité, reste peu connu en France. Les traductions consacrées à la nouvelle génération qui anime les scènes de Budapest sont peu nombreuses. Après les cycles consacrés aux dramaturgies finlandaises, tchèques, suédoises, tunisiennes et palestiniennes, l'Association Écritures du Monde consacre cette année deux soirées au théâtre hongrois en partenariat avec le Théâtre Ouvert de Paris, l’Institut hongrois et l’INALCO. Écritures du monde a sollicité des spécialistes pour qu'ils esquissent un tableau représentatif de la production actuelle en Hongrie. Le choix étant difficile, une œuvre de Csaba Mikó, jeune auteur jamais traduit en français, lauréat de plusieurs prix importants de littérature dramatique, intitulée Pénurie des corps, a été retenue. La pièce est conçue comme une symphonie de souvenirs incarnés par trois personnages qui évoquent parallèlement leurs drames. L’intrigue se dessine progressivement à travers des monologues fragmentés ou juxtaposés qui évoquent les passions vécues par chacun. Le style minimaliste de l’auteur porte une réelle charge poétique et contribue à donner de multiples dimensions à l’histoire d’un meurtre fatal.
Théâtre
24 novembre 2015 à 19h

Théâtre Ouvert | 4 Bis Cité Véron, 75018 Paris
Pénurie des corps de Csaba Mikó
Une compagnie professionnelle met en espace le texte de Csaba Mikó. La lecture sera suivie d’un débat avec l’auteur et l’équipe artistique.
Entrée : 5/3€

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Table-ronde 25 novembre à 19h
Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Table-ronde autour du théâtre hongrois contemporain
La soirée consacrée au théâtre hongrois sera animée par des chercheurs, et notamment par Ilona Kovács, universitaire hongroise et traductrice littéraire, Csaba Mikó, écrivain et auteur dramatique, Mohamed Kacimi, écrivain, auteur dramatique et traducteur, Thomas Szende, professeur (INALCO). Au cours de cette soirée, de larges extraits de pièces contemporaines seront donnés en lecture.
Entrée libre

« Moi, je ne suis pas syrien, alors… »

"…alors je peux aller me faire voir. C’était ce que semblait vouloir dire Masoud l’Afghan. C’était au début du mois de septembre à la gare Keleti de Budapest.
Il n’y en a que pour les Syriens dans les médias. Le Syrien est la Rolls du réfugié. Il suffisait de se promener sur le parvis de la gare de l’est à Budapest cet été pour voir comment les choses se passent. « Where are you from ? Wich country ? Your country ? Country ? Syria ? », commence par demander le journaliste aux migrants qui végètent en attendant d’embarquer dans un train qui ne vient pas depuis des jours." La suite sur hu-lala.org

Les Hongrois détruisent tous les champs de maïs OGM de Monsanto

"N’oubliez pas que L’Union européenne (UE) a ouvert la porte à la culture des organismes génétiquement modifiés (OGM).
La Hongrie a adopté une courageuse position contre le géant de la biotechnologie Monsanto et ses modifications génétiques en détruisant 400 hectares d’un maïs reconnu produit par des graines génétiquement modifiées, selon Lajos Bognar, secrétaire adjoint au ministère du développement rural.
À l’inverse de nombreux pays européens, les graines génétiquement modifiées sont interdites en Hongrie. Avec une position similaire contre les OGM, le Pérou a également fait passer une interdiction de 10 ans sur les aliments OGM." La suite sur sain-et-naturel.com

dimanche 25 octobre 2015

Actualité éditoriale de Gyula Krúdy

La rentrée de cet automne 2015 a vu une riche actualité littéraire autour du grand maître de la prose hongroise, Gyula Krúdy, avec trois ouvrages parus.
Deux livres sont parus aux Éditions des Syrtes avec une réflexion sur l'oeuvre de l'auteur intitulée "L'univers de Gyula Krúdy" et une édition originale avec une traduction de Gabrielle Watrin du roman "Sept hiboux". Par ailleurs, les Éditions LaBaconnière ont fait paraître, dans la collection d'Ibolya Virag une réédition (mais pas que) de la traduction de Juliette Clancier de "Sindbad ou la nostalgie" initialement parue en 1988 chez Actes Sud. Cette nouvelle édition revue et corrigée est augmentée de sept nouvelles inédites, dont l'une est traduite par François Gachot et six par Ibolya Virag.
Résumé:

Parmi les grands auteurs classiques hongrois, Gyula Krúdy (1878-1933) a de quoi étonner son lecteur.
Aîné d'une famille originaire du nord-est magyar, ayant pour père un hobereau qui ne décide d'épouser la servante qu'après leur dixième enfant, doté d'une taille de géant dont la force prodigieuse impose le respect, il passe aussi pour l'écrivain le plus prolifique qui ait le moins retouché ses textes. Si ces détails contribuent à une légende dorée formée du vivant de l'auteur et véhiculée longtemps après son décès, l'oeuvre, elle, connaît des soubresauts que l'histoire de la littérature ne saurait prévoir. En effet, qui aurait cru que cet écrivain dont la gloire éphémère remonte à l'époque de la Grande Guerre et qui fut d'abord décrié par les nationalistes, puis stigmatisé décadent par les communistes, allait devenir un nom incontournable du canon littéraire national, voire européen ? Et pourtant, sa notoriété ne cesse d'accroître depuis des décennies, la troisième tentative de l'édition de ses écrits complets est bel et bien en route.
Salué comme le maître de la prose moderne, ce « Maupassant magyar », ou « Proust hongrois » figure au nombre restreint d'auteurs « de l'est » de la première moitié du XXe siècle qui continuent à intéresser le lecteur étranger.
Sans prétendre à une biographie sur Krúdy, sans doute prématurée, le présent volume propose, en se fondant sur le colloque organisé en 2013 par l'Inalco et intitulé « La Hongrie engloutie », une réflexion sur l'oeuvre de l'auteur. Au-delà de l'analyse de la plupart des oeuvres accessibles déjà en traduction, ce recueil universitaire a pour but d'orienter le lecteur français dans l'univers « krúdien », très riche et très particulier. Grâce à ce travail d'équipe franco-hongroise, les francophones pourront découvrir les divers aspects de la création de l'écrivain magyar.
Les études du volume s'articulent autour de trois grandes parties qui, tout en permettant des méthodes d'analyse variées, circonscrivent les principaux centres d'intérêt de l'auteur. La première, placée sous le signe d'une topographie littéraire, s'intéresse à ses rapports avec l'espace ; ceux-ci reflètent une opposition entre la périphérie et le centre.
La philosophie de Krúdy, deuxième partie de notre volume, aborde les thèmes de l'auteur qui relèvent de ses connaissances profondes de la nature humaine ainsi que d'une phénoménologie de l'existence. En premier lieu, l'approche de la féminité : la belle juive apparaît comme fantaisie éthique et la misogynie a tout d'une stratégie éducative. Dans les rapports du soi à l'autre, la représentation des nationalités de la Hongrie historique constitue un élément essentiel, et l'intérêt de l'auteur porté à l'égard des Slovaques reste édifiant aussi dans une perspective interculturelle.
Enfin, la dernière partie du recueil tente de fixer quelques repères de la poétique krúdienne. D'un côté, la pratique de l'écriture : éclatement de la prose traditionnelle par l'autofiction et par la dispersion des voix narratives, portée testimoniale de l'écriture, diverses techniques stylistiques, propres à une prose lyrique. D'un autre côté, pratique de la lecture et de l'intertextualité : influence des contes arabes des Mille et une nuits, traces des romanciers du réel, Zola et Maupassant, ou encore, emprunts aux grands auteurs anglais, Shakespeare et Dickens. 
  • Date de parution :
  • Editeur : Syrtes
  • EAN : 9782940523283
  • Nombre de pages : 260
  • Prix : 20 €

"Editions des Syrtes, 2105
Paru le 15 octobre 2015
Traduit par Gabrielle Watrin
Prix : 23 €

Sept hiboux, c’est le roman de la capitale hongroise au moment de sa transition, c’est-à-dire l’époque fin-de-siècle. Budapest, née de l’alliance de trois villes réunies (Pest, Buda et Óbuda), devient une métropole moderne. Ses espaces représentatifs – rues, squares, restaurants, casinos, bordels, sans oublier l’hippodrome – participent à la narration à tel point qu’on se demande parfois si le véritable protagoniste n’est pas la ville an-thropomorphisée.

C’est aussi le roman de la vie littéraire dans cette ville cosmopolite où chacun veut devenir écrivain. Des cafés mondains et d’ambitieuses rédactions des journaux se disputent des personnages cocasses, souvent déjantés, entraînés dans la folle course de la réussite littéraire et évoqués avec beaucoup d’humour et de compassion." La suite sur litteraturehongroise.fr



Traduction : Juliette Clancier
Éditions LaBaconniere - Ibolya Virag
14 Octobre 2015
Littératures Européennes Rares
320 pages, 20 X 14 cm, 335 grammes
Prix : 18.00 €

Gyula Krúdy a trente-trois ans lorsqu’il entreprend de conter les aventures d'un alter ego nommé Sindbad, marin merveilleux et séducteur hors pair parti à la recherche de ses anciennes connaissances féminines.

Ce Sindbad hongrois rêveur, sensuel, cynique, tendre et cruel, déambule à travers les ruelles de Buda et les quartiers animés de Pest, parcourt la province hongroise en calèche ou en train et rencontre ses amies partout où il va : sur les rives du Danube, sous une fenêtre dans un bourg de Haute-Hongrie, près d'une église ou dans un cimetière où Eros et Thanatos sont au rendez-vous.

De son propre aveu, Sindbad ne vit et n’a vécu que pour les femmes et dans chaque relation évoquée, comme dans un rêve, il scrute la réalité de l'amour.
Extase lyrique, humour, ironie et malice, un mélange unique de sensibilité, d’amertume désenchantée et de grande lucidité caractérisent ces nouvelles soutenues par une écriture imagée et musicale qui, à travers un tourbillon de métaphores, racontent avec sensualité la Hongrie.

« Sindbad ou la nostalgie » est le livre le plus célèbre et toujours populaire de Gyula Krúdy (1878-1933) considéré comme l’un des plus grands écrivains novateurs de la littérature hongroise moderne. Sándor Márai, dont N.N. a été le livre favori, avait noté dans son journal : « Sur l'aloès, poussent des fleurs une fois tous les cents ans. L'œuvre de Krúdy est la fleur d'aloès, mystérieuse et magnifique, de la littérature hongroise.
»

editions-baconniere.ch

Handball : deux duels franco-hongrois en Ligue des Champions

Par Grégory Sabadel

Cette année, en Ligue des Champions, il y a un nouveau système de poules hautes et de poules basses.

Le PSG et Veszprém se sont retrouvés dans la même poule haute . C’est un groupe très relevé. Cela n’a pas empêché Veszprém d’en prendre la tête. Avant le match entre les deux clubs, les Hongrois étaient leaders avec 9 points et les Parisiens deuxièmes avec 8 points.

Le PSG a retrouvé son bourreau des deux dernières saisons ce dimanche 25 octobre à 17 heures dans la halle Carpentier. Veszprém comptait deux absents de marque dans ses rangs : László Nagy et Momir Ilics. Veszprém a fait un bon début de saison, et pourtant, les dirigeants ont décidé en septembre de changer d’entraineur.

Quant au PSG, c’est à l’intersaison qu’il a changé de coach et s’est renforcé cette année avec l’arrivée des frères Karabatic. Mais en fait, c’est surtout le Danois Mikkel Hansen qui a mis le PSG sur orbite avec ses onze buts. Paris a vaincu sa bête noire 29 à 27 et attend de se mesurer désormais à Kiel. Ils joueront contre les Allemands en tant que leaders.

Si le duel des champions a tourné à l’avantage des Français, cela n’a pas été le cas du duel des dauphins dans l’autre poule haute le samedi 22 : le deuxième du dernier championnat de Hongrie a en effet battu d’un but le deuxième du dernier championnat de France, Montpellier. (28 à 27).

Ces deux clubs sont dans le ventre mou de la poule B : les Héraultais sont sixièmes et les Magyars cinquièmes. Avant le match, ils étaient à égalité. Les Français ont ainsi fait une mauvaise opération en perdant chez un concurrent direct. L’homme du match a été le Slovène de Szeged, Dean Bombac, avec huit réalisations. Il n’y a alors pas lieu de trop s’inquiéter pour la compétitivité du hand hongrois.

Herman Van Rompuy: "On a aussi besoin de Viktor Orban pour un consensus"

"À la veille du mini-sommet européen convoqué ce dimanche 25 octobre pour tenter de répondre à la situation d’urgence des réfugiés dans les Balkans, Herman Van Rompuy est ce samedi 24 octobre l’invité du Grand oral RTBF-Le Soir sur La Première." La suite sur rtbf.be

samedi 24 octobre 2015

Prochaine soirée des Mardis hongrois de Paris le 27 octobre 2015 à partir de 20 h 30 Rencontre avec János Havasi, nouveau directeur de l'Institut hongrois au Café Bords de Seine

János Havasi
Prochaine soirée
Rencontre amicale autour d'un verre avec le nouveau directeur de l'Institut hongrois de Paris, János Havasi. Chacun pourra se présenter et évoquer ses projets, ses espoirs...

le mardi 27 octobre 2015
 à partir de 20 h30
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro Châtelet-Les Halles
Kedves Mardis Hongrois-látogatók,
A legközelebbi összejövetel oktober 27. este 8 óra 30 kor kezdődik
Találkozó Havasi János a Magyar intézet új igazgatójával
A Bords de Seine kávéházban
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro Châtelet-Les Halles


©photos peter gabor
©photos peter gabor
©photo et vidéo peter gabor  
Les Mardis hongrois sur Youtube
Les Mardis hongrois sur France 2 émission Télématin
Les Mardis hongrois de Paris sur France Inter

Louh reçoit l’ambassadeur de Hongrie : Consolidation des relations bilatérales

"Le renforcement de la coopération juridique et judiciaire a été abordé, jeudi dernier à Alger, par le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh et l'ambassadeur de la Hongrie, Mme Katalina Pritz Helga, indique un communiqué du ministère." La suite sur elmoudjahid.com

Danseuses étoiles à Budapest : une création photographique

"Lorsqu’une ville aussi spectaculaire que la capitale de la Hongrie rencontre des danseuses étoiles, le résultat est magique.
“Project Ballerina” (“le projet ballerine”) est une idée originale de Dane Shitagi, un photographe basé à New-York. Nous y découvrons les mouvements des danseuses et, en arrière-plan, les bâtiments classiques et paysages gothiques de Budapest, ou dans des décors inhabituels pour des danseuses de ballet tels des rames de métro ou un stade de football." La suite et photos sur euronews.com

vendredi 23 octobre 2015

23 octobre 2015 - 59ème anniversaire de la révolution hongroise de 1956

Photographie d'Erich Lessing chez Biro éditeur
LE SANG DES HONGROIS  par Albert Camus (octobre, 1957, Paris)
Je ne suis pas de ceux qui souhaitent que le peuple hongrois prenne, à nouveau les armes dans une insurrection vouée à l’écrasement, sous les yeux d’une société internationale qui ne lui ménagera ni applaudissements, ni larmes vertueuses, mais qui retournera ensuite à ses pantoufles comme font les sportifs de gradins, le dimanche soir, après un match de coupe.
Il y a déjà trop de morts dans le stade et nous ne pouvons être généreux que de notre propre sang. Le sang hongrois s’est relevé trop précieux à l’Europe et à la liberté pour que nous n’en soyons pas avares jusqu’à la moindre goutte.
Mais je ne suis pas de ceux qui pensent qu’il peut y avoir un accommodement, même résigné, même provisoire, avec un régime de terreur qui a autant de droit à s’appeler socialiste que les bourreaux de l’Inquisition en avaient à s’appeler chrétiens.
Et, dans ce jour anniversaire de la liberté, je souhaite de toutes mes forces que la résistance muette du peuple hongrois se maintienne, se renforce, et répercutée par toutes les voix que nous pourrons lui donner, obtienne de l’opinion internationale unanime le boycott de ses oppresseurs.
Et si cette opinion est trop veule ou égoïste pour rendre justice à un peuple martyr, si nos voix aussi sont trop faibles, je souhaite que la résistance hongroise se maintienne encore jusqu’à ce que l’État contre-révolutionnaire s’écroule partout à l’est sous le poids de ses mensonges et de ses contradictions.
La Hongrie vaincue et enchainée a plus fait pour la liberté et la justice qu’aucun peuple depuis vingt ans. Mais, pour que cette leçon atteigne et persuade en Occident ceux qui se bouchaient les oreilles et les yeux, il a fallu et nous ne pourrons nous en consoler, que le peuple hongrois versât à flots un sang qui sèche delà dans lés mémoires.
Dans la solitude où se trouve aujourd’hui l’Europe, nous n’avons qu’un moyen (d’être fidèles à la Hongrie), et qui est de ne jamais trahir, chez nous et ailleurs, ce pour quoi les combattants hongrois sont morts, de ne jamais justifier, chez nous et ailleurs, fût-ce indirectement, ce qui les a tués.
Nous aurons bien du mal à être dignes de tant de sacrifices. Mais nous devons l’essayer, dans une Europe enfin unie, en oubliant nos querelles, en faisant justice de nos propres fautes, en multipliant nos créations et notre solidarité.
Notre foi est qu’il y a en marche dans le monde, parallèlement à la force de contrainte et de mort qui obscurcit l’histoire, une force de persuasion et de vie, un immense mouvement d’émancipation qui s’appelle la culture et qui se fait en même temps par la création libre et le travail libre.
Ces ouvriers et ces intellectuels hongrois, auprès desquels nous nous tenons aujourd’hui avec tant de chagrin impuissant, ont compris cela et nous l’ont fait mieux comprendre. C’est pourquoi si leur malheur est le nôtre, leur espoir nous appartient aussi. Malgré leur misère, leurs chaines, leur exil, ils nous ont laissé un royal héritage que nous avons à mériter: la liberté, qu’ils n’ont pas seulement choisie, mais qu’en un seul jour ils nous ont rendue!

Hongrie : les 100 000 citoyens contre la taxe internet récompensés

"Ce jeudi 22 octobre, le Forum civique européen, un regroupement d'associations citoyennes, remet au siège du Conseil de l'Europe ses prix récompensant des actions démocratiques, des personnalités engagées ou l'action de certaines ONG. A notamment été distinguée une mobilisation qui a eu lieu en 2014 en Hongrie. Le gouvernement ultra-conservateur de Viktor Orban souhaitait instaurer une taxe sur l'utilisation d'internet et la mobilisation citoyenne, la plus importante de ces vingt-cinq dernières années en Hongrie , a fait reculer le pouvoir. Un an plus tard, ARTE Journal est retourné à Budapest pour comprendre ce qui s'était passé et savoir si cela avait fait évoluer le débat politique en Hongrie." Vidéo sur arte.tv

Hongrie : "Le plan d'action entre l'UE et la Turquie a finalisé

"Le ministre hongrois des Affaires Etrangères et du Commerce Extérieur, Peter Szijjarto, a appelé à la finalisation d'urgence du plan d‘action entre la Turquie et l’Union européenne (UE) au sujet de la crise des réfugiés.
En visite de travail dans la capitale turque, Szijjarto a répondu aux questions du correspondant de l’AA après sa réunion, mercredi, avec le Premier ministre Ahmet Davutoglu.
Le chef de la diplomatie hongroise a rappelé que son "pays est favorable à l’élargissement de l’Union"." La suite sur trt.net.tr

Budapest appelle les Européens à changer de politique migratoire

"Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a appelé les dirigeants européens à changer leur politique en matière d'immigration affirmant que dans le cas contraire ils risquaient d'être confrontés à une crise politique et à des menaces pour l'ordre démocratique.
Dans une déclaration à la chaîne de télévision m1 mercredi soir, le dirigeant hongrois a jugé que les responsables européens ne disposaient pas d'un mandat les autorisant à laisser des centaines de milliers de migrants entrer dans l'Union européenne sans véritable contrôle." La suite sur capital.fr

Le Chef spirituel des musulmans de Bosnie s’insurge contre les propos islamophobes du Premier ministre hongrois

"L'islam « n'appartient spirituellement pas à l'Europe », ou encore « Il s'agit d'un autre mode d'existence. L'islam est incompatible avec les valeurs chrétiennes », ces paroles peu amènes, et c’est un doux euphémisme, proférées récemment par le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, chantre du souverainisme à l’intérieur de ses frontières et fier de son mur de la honte de 175 km, hérissé de barbelés aux pointes acérées, faisant rempart contre « l’invasion » des  réfugiés, ont profondément heurté les oreilles du Chef spirituel des musulmans de Bosnie-Herzégovine, Efendi Husein Kavazovic." La suite sur oumma.com

Migrants: la Hongrie au secours de la Turquie

"La Hongrie, tenante d'une ligne dure contre les réfugiés, a proposé jeudi aux pays occidentaux de les aider à réacheminer en Turquie les migrants qui n'auraient pas obtenu l'asile.
"Si besoin, nous sommes prêts à laisser passer sur notre territoire des trains transportant les immigrés clandestins depuis l'ouest vers la Grèce ou la Turquie", a annoncé le ministre hongrois de l'Intérieur Sandor Pintér devant des journalistes à la frontière serbo-hongroise. "Nous pourrons même mettre à disposition des trains de la MAV (la société nationale de chemin de fer hongrois, ndlr) à cette fin", a-t-il ajouté." La suite sur lefigaro.fr

Quand Nadine Morano salue le discours du nationaliste hongrois Viktor Orban au Parlement européen

"Par un tweet ce jeudi après-midi, Nadine Morano, éjectée des élections régionales par Les Républicains pour ses propos sur la "France pays de race blanche", a pris la peine de saluer l'intervention de Viktor Orban comme "le meilleur discours" qu'elle ait entendu "pour l'instant au congrès du PPE". Mais est-ce encore de nature à surprendre qui que ce soit ?
@nadine_morano Viktor Orban : le meilleur discours pour l'instant au congrès du PPE"
L'article sur nouvelobs.com

jeudi 22 octobre 2015

« Sindbad ou la nostalgie » de Gyula Krúdy

Si vous avez envie d'extase lyrique, d'humour, d'ironie et de malice, d'un mélange unique de sensibilité, d’amertume désenchantée et de grande lucidité, ces nouvelles contant les aventures de Sindbad, séducteur hors pair parti à la recherche de ses anciennes connaissances féminines, vous attendent.
Éditions : LaBaconnière

« Sur l'aloès, poussent des fleurs une fois tous les cents ans. L'œuvre de Krúdy est la fleur d'aloès, mystérieuse et magnifique, de la littérature hongroise. » Sándor Márai. 



Emprunté aux Mille et une nuits, le Sindbad de Krúdy, - ce Hongrois rêveur et las -, "navigue" à travers les rues de Buda et de Pest, les villes et les bourgs de la province hongroise tantôt dans le rêve, tantôt dans la réalité. Il va où le désir le porte : vers ses amours de jeunesse. Ce sont ces aventures amoureuses qui constituent les véritables étapes de ses voyages. Il est donc aussi un voyageur dans le temps, les souvenirs, les réminiscences, sont des contrées chères à son coeur. Le Sindbad de Krúdy est un aventurier du XXe siècle, un descendant de Don Juan ou de Casanova sans les traits démoniaques ni mondains de ces derniers. Sindbad est tantôt un chevalier romantique et galant, tantôt un vrai bourgeois, tantôt un séducteur pressant et sans coeur. Extase lyrique, ironie et malice, un mélange unique de sentimentalisme, d'amertume désenchantée et de grande lucidité caractérisent ces nouvelles. Sindbad est bien entendu le double de Krúdy, son alter ego principal, dont les histoires évoquent les évènements et les rêves de sa vie.

Free Improvised Music Meeting !! (say just Fimm) dimanche 1er novembre 2015 à 18 h 30 au Chat noir

With
the famous Cyprien Busolini : Viola
the exiting Xavier Camarasa : Piano
the fabulous Niels Mestre : Guitar
the miraculous Yoram Rosilio : Contrabass
the good old András Vigh : Hurdy gurdy

Le Chat Noir* : 76 Rue Jean-Pierre Timbaud, 75011 Paris.
Métro: Couronne/Goncourt/Parmentier/Oberkampf

*Le Chat Noir est un bar/cabaret/restaurant situé dans le 11ème arrondissement de Paris
Au rez-de-chaussée, vous pourrez apprécier la cuisine traditionnelle française du restaurant et ce à un prix abordable (15euros pour un menu entrée+plat+dessert) Au sous sol, ambiance festive assurée avec de nombreux concerts à la programmation essentiellement jazz mais très variée (influences brésiliennes, orientales, latino, impro, etc.).
Une carte aux prix attractifs, une ambiance des plus sympathiques, le Chat Noir à su s'imposer parmi les nombreux bars du quartier...à découvrir!
Pour s'y rendre, on prend le métro ligne 3, arrêt "Parmentier" ou ligne 5, arrêt "Oberkampf".

Classement des pays où les études sont les plus chères comparées au salaire moyen des parents

"Un article du site Expert Market, repris par le World Economic Forum, dresse la liste des dix pays où envoyer un enfant à l’université coûte le plus cher aux parents, proportionnellement au salaire de ces derniers. La Hongrie, la Roumanie et l’Estonie forment le trio de tête." La suite sur lefigaro.fr

OTAN/Exercice militaire en Hongrie : un message à la Russie

"L’exercice était prévu de longue date. Mais il a fait office de piqûre de rappel pour les Russes. Mercredi, sous la bannière de l’OTAN, Américains et Hongrois ont cloturé un vaste exercice militaire conjoint baptisé “Le Brave soldat” dans la région de Várpalota, à l’ouest de la Hongrie.
Chaque exercice militaire de ce type envoie toujours un message." La suite sur euronews.com

La chasse aux pauvres est-elle relancée à Budapest ?

"La semaine dernière, les militants du collectif AVM (A város mindenkié) ont formé une chaîne humaine devant un logement situé dans le huitième arrondissement de Budapest. Le but était de freiner le travail de la police venue déloger leurs occupants, mais également d’attirer l’attention des médias et de l’opinion publique sur la situation du logement en Hongrie. En ligne de mire, la politique « anti-pauvres » du maire Fidesz de l’arrondissement, Máté Kocsis." La suite sur hu-lala.org

Soirée des Mardis hongrois de Paris le 27 octobre 2015 à partir de 20 h 30 - Rencontre avec János Havasi, nouveau directeur de l'Institut hongrois

Rencontre amicale autour d'un verre avec le nouveau directeur de l'Institut hongrois de Paris, János Havasi. Chacun pourra se présenter et évoquer ses projets, ses espoirs...

Café brasserie Bords de Seine, 1, place du Châtelet 75001 Paris

mercredi 21 octobre 2015

Daniella Pinkstein invitée des Mardis hongrois le 10 novembre 2015 pour son roman "Que cherchent-ils au Ciel, tous ces aveugles ?"

MEZZA VOCE POUR UNE EUROPE DÉFUNTE

À mi voix, entre cantate polyphonique et roman à la trame labyrinthique, Daniella Pinkstein dresse le constat d’une Europe perdue, sombrée dans l’aveuglement des néons consuméristes et les bavardages nauséeux.

« Le langage qui ne nous sert pas à dire suffisamment ce que chacun de nous voudrait dire révèle par contre et à grands cris, sans que nous le voulions, la condition la plus secrète de la société qui le parle, notait José Ortega y Gasset dans La Révolte des masses.
La jactance contemporaine, entre rhétorique de slogans en artéfact de pensée et histrionismes littéraires en posture post moderne, dit la condition effondrée de notre époque.
Daniella Pinkstein, jeune écrivain, avec Que cherchent-ils au Ciel, tous ces aveugles ?, prenant le relais d’une époque dont le langage n’était pas encore indigent, échappe à cette ambiance délétère.
Ni apatrides comme il se disait chez les captifs d’identités nationales murées ; ni cosmopolites comme les clouait au supplice impérial, le socialisme réel, les Juifs crurent à l’Europe. Ils en furent un levain à plusieurs occasions.
Diderot, déjà, l’anticipait à sa façon : « Il en est d’eux comme des chevilles et des clous qu’on emploie dans un grand édifice, et qui sont nécessaires pour en joindre toutes les parties » (Encyclopédie).
Ils crurent à une Europe de la Culture, nourrie des algorithmes de la connaissance lancés depuis l’Attique et des patterns éthiques venus de Judée. Ils crurent à cette Europe traversée par le vent revivifiant de la Révolution française, et prirent  toute leur part dans l’édification de l’Esprit d’une Europe céleste, passant comme une aurore par dessus ses frontières ethniques et linguistiques. Ils avaient pour noms propres : Benjamin, Kafka, Broch, Roth, Zweig, Svevo, Saba, Proust… Ils se nouèrent aux Mann, Rolland, Istrati, Doblin. Et Camus, Gary, Sebald, etc, etc, en survivance...
Cette Europe fut ravagée et détruite par les tenants d’une Europe de dolichocéphales, sectateurs d’une divinité biologique, qui n’avaient de spiritualité que le culte de la violence. Et pour idéal, la virilité du muscle épais de la Brute rivée, contre la virilité de l’Esprit lucide et autonome. À l’Est comme on sait, question dévastation de la vie de l’Esprit, ce ne fut guère mieux. Du moins, clandestins ou stipendiés, des auteurs de génie Grossman, Chalamov, Soljenitsyne, Kundera, Milosz, Bibo, Pasternak,  et d’autres, fleurirent dans les anfractuosités du bêton gris du stalinisme.
Daniella Pinkstein se raccorde à  l’Europe du langage de tous ceux-là. Elle y plonge ses phrases et y alimente la sève de son écriture poétique, comme des racines à la recherche d’une minéralité nourricière et salvatrice.  C’est pour en réciter l’après désastre.
Bien sûr, elle est de son temps. Et l’accent mis sur des personnages de femmes et d’émigré, s’il trouve, dans l’invocation de Jane Austen, la condition justifiée d’une femme écrivant dans l’ « ourlet » de la littérature d’une époque, consonne néanmoins avec les icones d’un pandémonium victimaire contemporain qui dans l’éclat de sa suffisance meanstream réduit la pensée à un état lacunaire. Mais nul ne nait hors du temps du monde.
Au fil d’un récit labyrinthique d’amours sans passés ni devenirs et de la fracassante désillusion de ses personnages sur l’Occident européen, elle a trouvé le ressort de son propre appel d’auteur. Mais encore, il y a dans les ombres portées, cryptées ou en citations, des Maîtres éblouissants d’une Europe défunte, la montée d’une cantate, peut-être un Cantique, à eux dédié.
Fille de son temps certes, du moins n’en est-elle pas la disciple.

GÉRARD RABINOVITCH, Jerusalem Post


Source : meo-edition.eu

« Sociétés plurielles contemporaines : crises et transferts culturels. Regards sur l’espace euro-méditerranéen» Institut Hongrois de Paris

Institut Hongrois de Paris, 92 rue Bonaparte 75006 Paris
(Mo Luxembourg ou St Sulpice)

Colloque international organisé par
le Centre Interuniversitaire d’Études hongroises et finlandaises (CIEH-CIEFi) de la Sorbonne  Nouvelle - Paris 3
en collaboration avec
La Fédération de recherche Études pluridisciplinaires sur l’Europe intermédiaire (EPEI)
le groupe de travail CODHIL du Département d’Études Françaises de l’Université Eötvös Loránd de Budapest (ELTE)
le Centre d’Études et de Recherches Comparatistes (CERC)
soutenu par
le programme de recherche „Sociétés plurielles” - USPC
l’Institut Hongrois de Paris
les 6 et 7 novembre 2015
Comité scientifique : Nella Arambasin, Philippe Daros, Krisztina Horváth, Judit Maár, Joanna Nowicki, Isabelle di Oliveira, Tiphaine Samoyault, Madalina Vartejanu-Joubert

Plus d'informations sur : fabula.org