vendredi 31 mai 2019

Naufrage en Hongrie : une rescapée attend anxieusement des nouvelles de son frère

"NONSAN/INCHEON/YEOSU, 30 mai (Yonhap) -- Une employée de 31 ans d'une boutique d'artisanat en Corée du Sud a pris des vacances pour partir en Hongrie avec son frère.
Son frère de 28 ans était heureux de partir pour la première fois à l'étranger, un voyage qui avait pour but de lui changer les idées après qu'il a quitté son travail.
Trente-trois personnes et deux membres d'équipage étaient à bord du bateau de tourisme qui a coulé dans le Danube à Budapest mercredi soir. Le navire a coulé après avoir été percuté par un bateau de croisière." La suite sur yna.co.kr

Européennes - Orban conditionne son soutien au PPE

"BUDAPEST, 31 mai (Reuters) - Le Fidesz n'exclut pas de rejoindre un nouveau groupe politique au Parlement européen s'il s'avérait que le Parti populaire européen (PPE), coalition européenne de centre droit, allait à l'encontre des intérêts nationaux de la Hongrie, a déclaré vendredi le Premier ministre Viktor Orban.
"Actuellement, nous sommes membres du PPE et nous allons voir dans quelle direction va le PPE, si nous pouvons l'influencer et s'il est compatible avec les intérêts de la Hongrie et du peuple hongrois", a-t-il dit lors d'un entretien accord à la radio publique.
"Si c'est le cas, alors nous resterons, si ce n'est pas le cas, nous rejoindrons une nouvelle formation", a-t-il ajouté sans préciser laquelle." La suite sur boursorama.com

«C'était une visite touristique de routine»

"Naufrage sur le Danube - Un bateau de touristes sud-coréens est entré en collision avec une autre embarcation à Budapest. On déplore 7 morts et 21 disparus.
Le naufrage mercredi soir d'un bateau transportant des touristes sud-coréens sur le Danube à Budapest a fait 7 morts et 21 disparus selon les autorités et les recherches se poursuivaient jeudi dans le fleuve gonflé par les pluies.Cet accident est survenu mercredi vers 21h15 sur le Danube près du Parlement au coeur de Budapest, ville prisée des touristes du monde entier. L'hypothèse d'une collision avec un autre bateau de croisière a été évoquée par les autorités hongroises.
Les autorités hongroises et sud-coréennes ont annoncé le décès de sept passagers du bateau." La suite sur tdg.ch

Hongrie : coup d’arrêt à une réforme judiciaire décriée

"Le gouvernement hongrois a annoncé jeudi renoncer à mettre en place en l’état de nouvelles cours administratives, accusées de porter atteinte au principe de la séparation des pouvoirs.
« Le gouvernement a décidé de suspendre pour une période indéfinie l’introduction du système des cours administratives », a annoncé Gergely Gulyas, le porte-parole du gouvernement hongrois.
Gergely Gulyas a justifié cette décision en constatant que ce projet « se trouve au centre de querelles européennes et internationales »." La suite sur euractiv.fr

Les juifs de Budapest créent leur propre service de sécurité

"Un groupe de volontaires patrouillera dans le quartier juif de la capitale hongroise où des touristes éméchés ont lancé de insultes aux juifs locaux.
Mercredi, une organisation juive hongroise qui surveille et lutte contre l’antisémitisme a déclaré qu’elle allait mettre en place son propre service de sécurité pour patrouiller dans le quartier historique de la capitale Budapest.
« Afin d’empêcher des atrocités antisémites, la Fondation pour l’Action et la Défense a décidé de créer une sorte de ‘service de sécurité auto-géré' », a annoncé l’organisation sur sa page Facebook." La suite sur timesofisrael.com

Un des bateaux accidentés à Budapest naviguait sous pavillon suisse

"Le bateau impliqué dans une collision qui a fait au moins sept morts mercredi soir à Budapest naviguait sous pavillon suisse. L'embarcation appartient à la société Viking Cruises dont le siège est à Bâle.
Le Viking Sigyn est visible, à quai, sur les photos de Keystone-ATS. La compagnie de croisière bâloise Viking Cruises a confirmé jeudi à Keystone-ATS qu'un de ses navires se trouvait, vers 21h00 mercredi, à proximité d'une embarcation hongroise transportant des touristes quand une collision est survenue.
Les passagers et l'équipage du Viking Sigyn sont indemnes, précise la compagnie helvétique. Cette dernière coopère avec les autorités dans le cadre de l'enquête, a-t-elle ajouté dans un bref courriel." La suite sur laliberte.ch

Budapest: les autorités recherchent l'épave du bateau de tourisme

"Les recherches se poursuivent dans le Danube, à Budapest, pour retrouver l'épave d'un bateau transportant des touristes sud-coréens. Un accident est survenu mercredi soir lorsqu'un bateau de croisière est entré en collision avec le bateau de touristes, faisant 7 morts et 21 disparus. IMAGES" A voir sur boursorama.com

Plus d’espoir de retrouver des survivants du naufrage sur le Danube à Budapest

"Les recherches se poursuivent dans le Danube, mais sans espoir de retrouver des survivants parmi les vingt-et-une personnes portées disparues, en plus des sept personnes décédées, après un naufrage mercredi soir à Budapest.
Il était 21h05 mercredi soir lorsqu’une collision s’est produite entre deux bateaux au niveau du pont Marguerite, à Budapest. Le Viking Sigyn, un navire de croisière de cent trente-cinq mètres de long et mille tonnes . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Arrestation du commandant du second bateau après le naufrage meurtrier de Budapest

"Le naufrage a fait au moins sept morts et 21 personnes sont encore portées disparues.
La police hongroise a annoncé ce jeudi l'arrestation du commandant du bateau de croisière impliqué dans une collision avec une embarcation touristique plus petite la veille sur le Danube, dans Budapest, qui a fait au moins sept morts, des touristes sud-coréens, et 21 disparus.
"Le commandant ukrainien du bateau de croisière a été interrogé en tant que suspect par les enquêteurs", a précisé la police dans un communiqué. "Après son interrogatoire, Iouri C., 64 ans, un habitant d'Odessa, a été placé en détention", a-t-on dit de même source." Source bfmtv.com

jeudi 30 mai 2019

Naufrage en Hongrie : Moon ordonne la formation d'une équipe d'urgence

"SEOUL, 30 mai (Yonhap) -- Le président Moon Jae-in a ordonné ce jeudi de «mobiliser toutes les ressources disponibles» en coopération avec le gouvernement hongrois pour secourir les touristes sud-coréens dont le bateau a chaviré à Budapest, en Hongrie, a annoncé son bureau.
Moon a été débriefé peu après l'incident par Chung Eui-yong, chef du Bureau de la sécurité nationale, selon la porte-parole présidentielle Ko Min-jung.
Le chef de l'Etat a «reporté» un déjeuner de travail avec une vingtaine de fonctionnaires qui avait été programmé à Cheong Wa Dae pour les féliciter de leurs accomplissements." La suite sur yna.co.kr

Le pape François en zone de tensions chez les Hongrois de Transylvanie

"Miercurea Ciuc (Roumanie) (AFP) - Point culminant du voyage du Pape en Roumanie, une messe géante, samedi, dans la campagne de Transylvanie électrise les autorités locales qui perçoivent l'événement comme une reconnaissance de l'identité hongroise de cette région aux velléités autonomistes.
Quelque 200.000 personnes sont attendues sur le sanctuaire verdoyant où François célèbrera un service en plein air, à quelques kilomètres de Miercurea Ciuc, coquette cité du centre-ouest du pays.
Au pied des Carpates, "c'est le plus important lieu de pèlerinage catholique romain du sud-est de l'Europe", où les orthodoxes sont majoritaires, explique à l'AFP le prêtre Ede Csont, l'un des organisateurs de cette étape comprise dans le périple de trois jours de François en Roumanie.
La plupart des fidèles qui viendront écouter le pape seront des Roumains de langue et de culture hongroises, à l'image de nombreux habitants de Transylvanie, un territoire rattaché tardivement à la Roumanie, après le démantèlement de l'empire des Habsbourg en 1918." La suite sur nouvelobs.com

Info Midi Libre : arrêtés dans l'Hérault, les Hongrois volaient des trésors de notre patrimoine

"Trois faux intellectuels hongrois ont été  écroués dans l'Hérault après avoir volé des cartes du XVe et XVIe siècle dans toute la France.
Ils se faisaient passer pour des chercheurs polonais, professeurs d’histoire ou de géographie, et demandaient très respectueusement à consulter des ouvrages datant de la Renaissance dans des bibliothèques..." La suite sur midilibre.fr (article payant)

Le chanteur Bassey Ebong sélectionné pour jouer au Sziget, le plus grand festival d’Europe

"Artiste d’origine nigériane, Bassey Ebong vient d’être sélectionné, après un tremplin organisé au Supersonic à Paris, pour jouer cet été dans le plus grand festival en plein air d’Europe : le Sziget, à Budapest en Hongrie.
Il a été sélectionné parmi pas moins de 400 candidats. Bassey Ebong, chanteur-compositeur d'origine nigériane, vient d’être sélectionné au Tremplin Sziget. Le concours, organisé du 21 mars au 27 mai dernier, prenait place au Supersonic, à deux pas de Bastille.
L’artiste, dont la musique mélange soul, pop et gospel, jouera ainsi au Sziget. Prévue du mercredi 7 au mardi 13 août à Budapest en Hongrie, la 27e édition du plus grand festival européen en plein air devrait réunir sur une semaine 500 concerts et plus de 560 000 spectateurs." La suite sur francetvinfo.fr

Hongrie : la ville de Budapest adopte de strictes mesures antipollution


"BUDAPEST, 29 mai (Xinhua) -- L'Assemblée générale de la capitale hongroise a adopté de nouvelles mesures visant à lutter contre la pollution de l'air, notamment la tarification des voies encombrées et des restrictions sur les véhicules diesel, selon un communiqué officiel publié mercredi à Budapest.
"L'Assemblée générale a décidé que pendant les périodes d'alerte à la pollution de l'air à Budapest, les restrictions seront étendues aux moteurs diesel de norme Euro 5", explique le communiqué publié sur le site officiel du conseil municipal de Budapest. La mesure entrera en vigueur en octobre 2019." La suite sur xinhuanet.com

Hongrie: le taux de chômage chute à 3,5%, nouveau plus bas historique

"Le taux de chômage en Hongrie est tombé à 3,5% entre février et avril, un nouveau plus bas niveau historique, après s'être élevé à 3,6% lors de la période précédente, a annoncé mercredi le Bureau central des statistiques KSH.
Le taux de chômage ressort en baisse de 0,3 point sur un an." La suite sur lefigaro.fr

En Hongrie, la percée de Momentum est une victoire du macronisme sur Orbán

"Ce mouvement politique de millennials a créé la surprise en conquérant deux sièges aux élections européennes.
Dans une salle du centre événementiel Dürer de Budapest collé au Bois de Ville, deux trentenaires apprêtées se congratulent sous une nuée de flashs et de hourras recouvrant leurs sanglots d’émotion.
Katalin Cseh et Anna Donáth, numéro 1 et 2 de la liste du parti centriste-libéral Momentum soufflant à peine sa deuxième bougie, viennent d’apprendre qu’elles entrent ensemble au Parlement européen grâce aux 9,86% réalisés par leur formation proche d’Emmanuel Macron. Le matin même, la base militante et les sympathisant·es se demandaient fébrilement si l’écurie allait décrocher (ou pas) un mandat." La suite sur slate.fr

Hongrois francophones, Français magyarophones: une histoire d´accent (pas grave …)

Par Pierre Waline
"Parachuté un beau jour par mon employeur en Allemagne, je me souviens que, fraîchement débarqué, m´excusant auprès de mes interlocuteurs pour mon accent, je me voyais immanquablement répliquer: „Nein, in gegenteil [Non, au contraire], das ist charmant”. Certains poussant même la politesse jusqu´à me prier de ne pas perdre ce „si délicieux” accent. De quoi me rassurer, complexé que j´étais par ce ridicule accent français, encombrante casserole collée à ma langue. Ridicule à mes oreilles, apparemment pas aux leurs. Comme quoi tout est relatif en matière d´accent.

En va-t´il de même en Hongrie? J´avoue l´ignorer. A priori, comme en Allemagne, un accent qui serait plutôt bien perçu. Et pourtant, ici encore, l´accent entendu chez certains de nos compatriotes peut prêter à sourire. La principale difficulté résidant dans l´accent tonique et dans la prononciation des voyelles." La suite sur francianyelv.hu

Hongrie: 7 morts et 19 disparus dans le naufrage d'un bateau de touristes sud-coréens sur le Danube

"Le bateau transportant des touristes sud-coréens a chaviré
Sept touristes sud-coréens ont été tués et 19 sont portés disparus après que le bateau à bord duquel ils se trouvaient a chaviré dans le Danube, à Budapest, a indiqué jeudi le ministère sud-coréen des Affaires étrangères, qui précise que 33 ressortissants du pays étaient à bord.
« Sept personnes ont été hospitalisées dans un état stable », a précisé Pal Gyorfi, porte-parole des services de secours, lors d’un point presse organisé sur les lieux de l’intervention. L’embarcation transportait aussi deux membres d’équipage hongrois." La suite sur 20minutes.fr

Hongrie: 3 morts et 16 disparus dans un naufrage sur le Danube

"Le bateau de tourisme, qui transportait 34 personnes, a chaviré à proximité du parlement de Budapest.
Un bateau de tourisme transportant 34 personnes a chaviré et coulé dans le Danube mercredi soir à proximité du parlement de Budapest, a indiqué la télévision publique hongroise. Trois personnes sont mortes et 16 disparues. Les 15 autres passagers ont été récupérés sains et saufs après que le bateau soit entré en collision avec une autre embarcation, selon la chaîne de la télévision hongroise M1." La suite sur lefigaro.fr

mercredi 29 mai 2019

Après sa victoire aux européennes, le parti de Viktor Orban va-t-il réintégrer le PPE ?

"Viktor Orban et son parti, le Fidesz, sont-ils toujours infréquentables ? Ils avaient été suspendus du PPE en mars dernier. Le Premier ministre hongrois multipliait alors les attaques contre le président de la commission Jean-Claude Juncker. Mais les élections sont passées par là et la donne a changé.
Où vont siéger les 13 eurodéputés hongrois du Fidesz? Le PPE va-t-il les garder en son sein ? La question dérange un peu le parti conservateur européen. Il faut dire que la réponse n'est pas évidente.
Dans un monde idéal où le calcul politique céderait le pas, le parti d'un Orban qui pourfend Bruxelles ainsi que le président de la commission et celui du PPE serait promptement remercié et renvoyé dans le camp des souverainistes ennemis de l'Europe. Mais même au plus fort de la crise, il n'a pas été exclu.

Psychodrame avant le scrutin
On se souvient du psychodrame avant les européennes autour du cas Orban. Les atteintes à l'état de droit, la main mise sur les médias, la campagne contre George Soros aux relents antisémites, la haine anti migrants suscitaient le malaise, voire les critiques. Mais, lorsque le Premier ministre hongrois a lancé une campagne d'affichage accusant le président de la commission européenne, lui aussi membre du PPE, de préparer l'invasion de la Hongrie par des migrants et le grand remplacement, le parti populaire européen n'a pu détourner le regard." La suite sur franceinter.fr

Misère, corruption et propagande – Une vidéo accablante pour le système Orbán en Hongrie

"Dans les villages les plus pauvres du pays, le Fidesz de Viktor Orbán a fait un tabac lors des élections européennes dimanche dernier, enregistrant des scores supérieurs à 90%. Quand la propagande s’ajoute à la misère et à la corruption…Édito – Quelques jours avant le scrutin européen du dimanche 26 mai, l’opposition se montrait inquiète, incapable qu’elle était d’envoyer des observateurs dans tous les bureaux de vote du pays. Or, ce sont peut-être des multiples fraudes de petite ampleur qui ont permis au Fidesz l’année dernière de décrocher sa précieuse majorité des deux-tiers. Celle qui ne tient qu’à un fil, ou plus précisément à un député sur cent quatre-vingt-dix-neuf, et qui lui permet de gouverner sans s’embarrasser de compromis.
Le média G7 n’a pas eu besoin d’enquêter bien loin, ni même de se déplacer « sur le terrain », pour saisir le phénomène. Le site d’enquêtes s’est contenté de relever les résultats électoraux de dimanche dans les dix communes considérées comme les plus pauvres du pays (en PIB par habitant). Toutes sont situées dans le nord-est du pays et dans le sud, proche de la frontière avec la Croatie." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr

Le Danube, un inquiétant vecteur d’antibiotiques

"Le deuxième plus grand fleuve d'Europe est aussi celui qui est le plus pollué aux antibiotiques, dont la dissémination dans l’environnement pourrait causer une catastrophe sanitaire majeur, comme le craint l’ONU.
L'augmentation de la résistance des bactéries aux antibiotiques est une urgence sanitaire mondiale qui pourrait coûter la vie à 10 millions de personnes d'ici 2050, ont alerté les Nations-Unis au mois d'avril. Or, les cours d'eau sont . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Hongrie : la Banque centrale maintient son taux directeur à 0,9%

"La Banque centrale de Hongrie (MNB) a annoncé mardi le maintien de son principal taux directeur inchangé au niveau historiquement bas de 0,9%, conformément aux attentes des analystes.L'institution avait abaissé son taux à ce niveau en mai 2016. Elle conserve par ailleurs depuis mars 2016 un taux négatif pour les dépôts au jour le jour. Fin mars, lors d'un léger resserrement monétaire, elle avait toutefois porté ce taux au jour le jour à -0,05%, contre -0,15% auparavant.
Le président de la MNB György Matolcsy avait alors indiqué que l'objectif d'une inflation sous-jacente de 3% avait été « atteint », et que la banque veillerait désormais à « conserver » ce niveau." La suite sur cbanque.com

mardi 28 mai 2019

Le Green Sziget : paix, amour et environnement au coeur du plus grand festival open-air d’Europe

"Depuis 1993, le Sziget Festival investit les lieux de Budapest pour l'événement désigné en 2018 comme étant le "Festival ayant la meilleure ambiance". Cet été, les Szitoyens ont rendez-vous sur l'île d'Obudai du 7 au 13 août, pour célébrer la paix, l'amour, et la protection de l'environnement.
Depuis sa création en 1993, le Sziget Festival a la volonté de rassembler pendant une semaine une centaine de nationalités autour de multiples activités. Les Français figurent comme la troisième nationalité la plus représentée au festival parmi plus d'une centaine différentes. 
Prônant l'acceptation de la diversité, l'événement encourage les festivaliers à s'unir sous l'appellation de la "Love Revolution". L'idée ? Créer durant quelques jours une nation de rêve où seront défendues des valeurs de paix, d'amour et de respect, sans oublier de mentionner la cause écologique.
En effet, pour sa 26ème édition, le festival qui a rassemblé plus de 560 000 festivaliers en 2018 cherche à nouveau à faire passer un message concernant la protection de l'environnement." La suite sur linfodurable.fr

Hongrie.Orbán accueille son “héros” Salvini et s'éloigne un peu plus du PPE

"Extrêmement complices lors de leur rendez-vous jeudi 2 mai en Hongrie, Matteo Salvini et Viktor Orbán n’ont pas annoncé d’alliance concrète mais entretiennent l’éventualité d’une coalition populiste post-élections européennes à droite du PPE dont le Fidesz du Premier ministre magyar est suspendu depuis le 20 mars dernier. Une rencontre au sommet largement commentée par la presse locale.
Vingt-quatre heures après une interview accordée le 1er mai à la Stampa dans laquelle il affirmait que le vice-président du Conseil italien Matteo Salvini est “la personne la plus importante d’Europe”, le Premier ministre hongrois s’est démené pour l’accueillir le lendemain lors d’une visite hongroise consacrant l’entente extrêmement cordiale entre le populiste transalpin et le tribun magyar “illibéral”.
Les deux dirigeants se sont affichés en vigies de l’Union européenne à la frontière barbelée serbo-magyare, avant de multiplier les signes d’amitié lors d’une conférence de presse commune organisée près du Château de Buda.
“Selfie-populisme”
S’exprimant chacun leur tour à la tribune, Matteo Salvini et Viktor Orbán ont délivré un réquisitoire attendu contre Bruxelles et la démocratie libérale, dénoncé de concert le danger de “l’invasion migratoire” et souhaité ouvrir un “nouveau chapitre” après les élections européennes du 26 mai.
En délicatesse avec le PPE dont son parti Fidesz est suspendu depuis le 20 mars, l’homme fort de Budapest évite pour l’heure toute rupture unilatérale avec sa famille politique européenne, tout en encensant son “héros” Salvini repoussant les migrants vers la mer tout comme la Hongrie s’y est, elle, appliquée sur terre." La suite sur courrierinternational.com (article payant)

Européennes 2019 : Viktor Orbán n’a laissé aucune chance à ses adversaires

"Dans un système politique et médiatique verrouillé, le dirigeant hongrois a écrasé la concurrence lors des élections européennes. Une fois de plus. Dans l’opposition, les cartes sont rebattues pour les prochaines échéances électorales.
L’Alliance des jeunes démocrates (Fidesz) est une machine à gagner qui ne laisse rien au hasard quand il s’agit d’écraser une élection. Dans les trois jours qui ont précédé le scrutin, le parti conservateur, souverainiste et nationaliste de Viktor Orbán, bien que . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Européennes 2019 - Orbán vainqueur sans forcer en Hongrie, l’opposition bouleversée

"Gagnant incontesté des européennes en Hongrie, Viktor Orbán confirme sa suprématie politique en terre magyare. Il fait face à une opposition chamboulée par l’excellent score de la Coalition démocratique de centre gauche et l’arrivée fracassante de Momentum dans l’hémicycle, surprenant les médias locaux.
Les soutiens de la Fidesz espéraient plus de 55 % mais ne se sont pas privés de célébrer les 52,44 % des voix permettant au parti de Viktor Orbán, dont la victoire était prévue de longue date par les observateurs, d’obtenir 13 des 21 sièges alloués à la Hongrie au Parlement européen, soit un de plus qu’en 2014. Dans son discours de remerciement prononcé vers 23 heures près du Danube, le dirigeant “illibéral” a présenté ce succès électoral comme un mandat donné par les Magyars pour “arrêter l’immigration en Europe, défendre l’Europe des nations et protéger la culture chrétienne” sur le Vieux Continent." La suite sur courrierinternational.com (article payant)

Européennes: la Hongrie offre une large victoire au parti de Viktor Orban

"En Hongrie, le Fidesz, parti nationaliste et conservateur, a rassemblé 52,14% des voix, loin devant les 16,26% de la Coalition démocratique, de gauche.

« C’est clair, ce soir les électeurs veulent du changement à Bruxelles. Il faut des dirigeants qui servent vraiment les intérêts des Européens. Des dirigeants qui respectent les nations européennes. Des dirigeants qui sont fiers de notre culture chrétienne deux fois millénaire. Nous allons travailler avec tous ceux qui veulent stopper l’immigration »." La suite sur rfi.fr

Festival européen à Alger: belle prestation de l’Ensemble hongrois "Source pure"

"ALGER - La scène du 20e Festival culturel européen en Algérie a accueilli, dimanche soir à Alger, l’Ensemble "Source pure", qui a ravivé devant un public relativement nombreux, chants et danses du patrimoine ancestral hongrois.
Présent à l’avant dernier soir du festival, l’Ensemble hongrois, "Source pure" a embarqué le public de la salle Ibn Zeydoun de l’Office Riad El Feth (Oref) dans un voyage à travers le temps, au cœur de la "paysannerie archaïque hongroise".
Figures éminentes de la scène folklorique hongroise dans ses dimensions, artistique et de recherche ethnographique, Zoltan Szabo, musicien polyvalent, sa femme, Katalin Juhasz au chant et son fils Pal Havasréti, également multi-instrumentiste, ont séduit l’assistance dès leur entrée avec un répertoire de vieux chants de paysans et une panoplie d’instruments moyenâgeux." La suite sur aps.dz

Le Hongrois Orbán, vainqueur intouchable

"Avec 52% des voix, le parti Fidesz domine la politique hongroise, mais peine à trouver sa place en Europe.
«C’est une victoire record !» s’exclamait dimanche soir Viktor Orbán, le Premier ministre hongrois. Son parti, le Fidesz, a remporté plus de 52 % des voix (résultats non finaux), engrangeant sa cinquième victoire électorale en dix ans. Pourtant, Orbán rêvait d’atteindre 60 % et de réaliser le meilleur score en Europe. Autre déconvenue : le Fidesz a perdu un million d’électeurs depuis les législatives de 2018. Et il n’aura que 13 élus au Parlement européen, soit un de plus que dans l’assemblée sortante. Pas de quoi négocier en position de force avec le Parti populaire européen, qui avait décidé en mars de le suspendre.
Malgré des œillades à Matteo Salvini, Orbán a boudé le raout des droites extrémistes organisé à Milan par le leader populiste italien une semaine avant le scrutin." La suite sur liberation.fr

lundi 27 mai 2019

Handball - Hongrie : Kentin Mahé sacré champion avec Veszprém

"Le demi-centre français Kentin Mahé est devenu champion de Hongrie dimanche avec Veszprém, vainqueur en finale du tenant du titre Szeged.
Le drapeau français flotte aussi sur le handball hongrois. Après Amandine Leynaud, sacrée championne avec Györ, Kentin Mahé a été couronné chez les hommes dimanche avec Veszprém, qui a dominé son éternel rival Szeged en finale (27-27, 35-24 à l'aller). Un titre qu'il partage avec William Accambray, prêté depuis octobre 2018 à Celje mais qui avait disputé les premiers matches de la saison de K & H Liga sous le maillot rouge. " La suite sur lequipe.fr

Européennes: large victoire du parti du hongrois Viktor Orban

"Le parti souverainiste du Premier ministre hongrois Viktor Orban est crédité d'une écrasante victoire au scrutin européen, avec 52,3% des suffrages, devançant de plus de 35 points l'opposition de centre gauche, selon un décompte réalisé sur la quasi-totalité des bulletins et publié dimanche par la presse pro-gouvernementale.
Le parti national-conservateur Fidesz de Viktor Orban améliore le score qu'il avait réalisé aux élections européennes de 2014 (51%) et distance très largement le parti de centre gauche DK, donné à 16,3%." La suite sur lefigaro.fr

dimanche 26 mai 2019

Européennes 2019 : les résultats en direct dans les pays d’Europe centrale

"L’Europe vit des heures cruciales. Les citoyens de 28 pays sont appelés aux urnes du 23 au 26 mai pour renouveler le Parlement européen. Suivez les résultats des élections européennes en Hongrie, Pologne, Slovaquie et Tchéquie.
Dans les pays du Groupe de Visegrád, comme partout ailleurs en Europe, les résultats officiels ne pourront être annoncés par les commissions électorales de chaque pays qu’à partir de 23h, heure de fermeture des derniers bureaux de vote en Europe. Mais des estimations basées sur des sondages de sortie d’urnes seront dévoilés avant.
Une participation record en Hongrie qui profite au Fidesz." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr

Européennes - Orban espère un renforcement du poids des partis anti-immigration

"BUDAPEST, 26 mai (Reuters) - Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a espéré dimanche que les élections européennes renforceraient la représentation des formations politiques hostiles à l'immigration au Parlement de Strasbourg.
"J'espère qu'il y aura un changement dans l'arène publique européenne en faveur de ces partis qui aimeraient stopper les migrations", a-t-il dit après avoir voté à Budapest.
Orban n'a pas voulu dire en revanche si les eurodéputés de son parti Fidesz, qui siègent dans le parlement sortant parmi le groupe conservateur du Parti populaire européen (PPE), joindraient leurs forces à la nouvelle alliance que veut mettre en place le co-vice-président du Conseil italien Matteo Salvini, le dirigeant de la Ligue." La suite sur boursorama.com

Volley-Ball - Ligue européenne : les Bleues battues en Hongrie

"L'équipe de France a entamé la Ligue européenne par une défaite en Hongrie (1-3), samedi.
L'équipe de France féminine a perdu son premier match officiel de la saison, samedi en ouverture de la Ligue européenne contre la Hongrie à Nyiregyhaza (1-3 : 25-23, 16-25, 20-25, 19-25). Elle disputera son prochain match mercredi 29 mai à Tourcoing contre l'Autriche." La suite sur lequipe.fr 

samedi 25 mai 2019

Cannes: Szilvia Forro, gagnante du Pass Jeune: «J’ai grandi dans un cinéma»

"Depuis toujours, Szilvia Forro adore le cinéma. La jeune étudiante de Budapest a été l’un des heureux élus de l’action « Trois jours à Cannes, un pass exclusif pour les 18-28 ans ». Pour la deuxième fois, le Festival de Cannes a permis ainsi à quelques jeunes de découvrir en exclusivité la sélection officielle du plus grand festival de cinéma au monde, normalement réservé aux professionnels et journalistes. Entretien avec cette passionnée du cinéma de 23 ans.
RFI : Comment avez-vous réussi à obtenir le Pass Jeunes du Festival de Cannes ?
Szilvia Forro : J’ai découvert une application sur le site du Festival. J’ai donc envoyé ma lettre de motivation, un CV et quelques autres informations sur moi. Ensuite, ils m’ont choisi. C’était vraiment inattendu, parce qu’il y avait des milliers de gens qui ont envoyé une candidature." La suite sur rfi.fr

A Paris, un médiéviste hongrois témoigne des pressions du gouvernement Orban contre les universitaires

"Dernier épisode en date, la réforme très contestée du financement de l’Académie des sciences, l’équivalent hongrois du CNRS. Autre cible, l’Université d’Europe centrale, une institution privée anglophone financée par le milliardaire américain George Soros, qui va devoir déménager de Budapest à Vienne.
Vie des idées. A l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), ce vendredi 17 mai, il est question des pressions que le pouvoir hongrois, dirigé par Viktor Orban, exerce à l’encontre des sciences humaines et sociales. « Les sciences sont en danger, l’esprit scientifique lui-même est menacé par des pouvoirs conscients que la science est la source de toutes les émancipations », affirme en préambule le président de l’école du boulevard Raspail, Christophe Prochasson. L’EHESS accueille ce jour-là Gabor Klaniczay, un médiéviste de l’Université d’Europe centrale, une institution privée anglophone fondée et financée par le milliardaire américain George Soros, qui est devenue la cible préférée de Viktor Orban. Victime des pressions orchestrées par le premier ministre souverainiste, ce centre, qui regroupe 1 500 étudiants venant de 118 pays, va devoir déménager de Budapest à Vienne.
Une salle très clairsemée est venue écouter le « témoignage » de ce chercheur francophone né en 1950. En entamant son récit, Gabor Klaniczay s’étonne de voir « tant de mécanismes historiques qu’on connaît malheureusement déjà se mettre en marche de nouveau ». Le récit des neuf années de pressions subies par le milieu académique depuis le retour au pouvoir de M. Orban, en 2010, est éloquent. « Chasse aux sorcières contre les philosophes » dans les médias à la solde du pouvoir ; fermeture de certains instituts de recherche indépendants ; création de centres destinés à promouvoir la « magyaritude », la « mémoire de la nation » ou la « langue hongroise » ; mise sous tutelle des recteurs par des « chanceliers » nommés par le gouvernement pour contrôler le budget des universités, l’enchaînement des réformes semble avoir un seul but : en finir avec « la liberté des intellectuels et la recherche indépendante » pour établir « un contrôle absolu de l’Etat »." La suite sur lemonde.fr (article payant)

Européennes 2019: en Hongrie, le cas Orban

"VIDÉO - Montré du doigt par une partie de la classe politique européenne et sanctionné par le PPE, Viktor Orban poursuit une campagne résolument anti-Bruxelles en vue du scrutin continental du 26 mai. Explications en vidéo.
C’est à voir dans la vidéo en tête de cet article: favori des sondages, le parti du premier ministre Viktor Orban, le Fidesz, est sûr de remporter les élections européennes du 26 mai. Le chef du gouvernement mène une campagne clairement orientée contre «l’Europe du multiculturalisme», en opposition à la politique de Bruxelles, dont il attaque régulièrement les décisions en matière, entre autres, d’immigration et d’économie.
Membre du Parti populaire européen (PPE) au Parlement, le Fidesz apparaît comme un allié encombrant. Sanctionné par son groupe, dont font notamment partie la CDU d’Angela Merkel et Les Républicains, Viktor Orban n’a pas changé de discours ni de méthode. Les adversaires du groupe majoritaire au Parlement européen ont d’ailleurs critiqué à plusieurs reprises une sanction qui, selon eux, n’en était pas une." Source et vidéo sur : lefigaro.fr

Populisme.“Les fossoyeurs de l’Europe”

"Avant la large victoire annoncée du Fidesz de Viktor Orbán aux Européennes en Hongrie, le magazine politico-culturel d’opposition Magyar Narancs plaide pour un coup d’arrêt de la dynamique “illibérale” dont Budapest est l’un des piliers.
Adepte des unes plus sobres que spectaculaires, Magyar Narancs profite de la proximité des élections européennes pour dénoncer avec la manière l’essor des populismes de Budapest à Rome en passant par Vienne." La suite sur courrierinternational.com

Hongrie: siphonnée par Orbán, l’extrême droite du Jobbik vit son crépuscule

"Il y a dix ans, l’Europe découvrait les images des miliciens du Jobbik paradant au cœur de Budapest. Puis le parti d’extrême droite s’est fait couper l’herbe sous le pied par la trajectoire autoritaire de Viktor Orbán. Il s’avère aujourd’hui incapable d’enrayer la toute-puissance du premier ministre hongrois.
Il y a quelque chose de pathétique à voir les représentants des différents partis de l’opposition, privés de médias publics, devoir se retrancher chez un youtubeur pour simuler un semblant de débat démocratique. Tout en sachant que le grand absent de la discussion, comme de tous les débats depuis qu’il gouverne, le Fidesz de Viktor Orbán, s’arrogera à lui seul plus de la moitié des 21 sièges hongrois dans le prochain Parlement européen. Il est important de voter pour celui qui est aujourd’hui le principal opposant au premier ministre hongrois, le Jobbik, essaie de convaincre son député Péter Jakab.
Étouffé, dévitalisé et vidé de sa substance par la radicalité croissante de l’homme fort de Budapest, le parti d’extrême droite, qui s’était révélé dans les urnes il y a dix ans lors des élections européennes en obtenant 15 % des voix, est en perdition. Si une partie importante de son million d’électeurs, déboussolée, devait se reporter sur le Fidesz, alors l’horizon 2030 vers lequel se projette Viktor Orbán, seul à la tête du camp nationaliste, sera dégagé. Retour sur une décennie de lutte entre les deux formations de droite." La suite sur mediapart.fr

Le plus haut législateur chinois en visite en Hongrie pour donner une impulsion aux relations bilatérales

"Alors que l'année 2019 marque le 70e anniversaire de l'établissement des relations diplomatiques sino-hongroises, la dernière visite en Hongrie du plus haut législateur chinois, Li Zhanshu, a donné une nouvelle impulsion à l'amitié traditionnelle entre les deux pays.
UNE OPPORTUNITÉ DE DÉVELOPPEMENT DES LIENS BILATÉRAUX
Lors de sa rencontre avec le président de la République de Hongrie, Janos Ader, le 22 mai, Li Zhanshu, président du Comité permanent de l'Assemblée populaire nationale (APN) de Chine, a d'abord transmis les salutations du président chinois Xi Jinping.
Selon M. Li, après que les deux pays ont élevé leurs relations bilatérales au niveau d'un partenariat stratégique global en 2017, leurs liens sont entrés dans une nouvelle étape caractérisée par un développement "accéléré". Chacun espère que les deux parties saisiront l'occasion du 70e anniversaire de l'établissement des relations diplomatiques entre la Chine et la Hongrie pour mettre en œuvre l'important consensus auquel elles sont parvenues, renforcer la confiance politique mutuelle et élargir la coopération pragmatique dans divers domaines." La suite sur china.org.cn

Quatre hongrois condamnés : ils organisaient un réseau de mendicité à Bordeaux

"Le tribunal a condamné quatre hongrois, à des peines allant de deux à cinq ans de prison ferme, jeudi 24 mai. Ils organisaient un réseau de mendicité dans le centre-ville de Bordeaux, exploitant et séquestrant des jeunes majeurs et mineurs depuis plus de cinq ans.
Un réseau de traite d'humains a été démantelé. Quatre hongrois ont été condamnés jeudi 23 mai à Bordeaux, par le tribunal correctionnel spécialisé. Ils faisaient venir leurs victimes de Hongrie et les obligeaient à faire la manche dans le centre-ville de Bordeaux. Les peines vont de deux à cinq ans de prison ferme, pour le principal responsable du réseau. Des condamnations assorties d'une interdiction de remettre les pieds sur le sol français.  
Un couple organisait le réseau" La suite sur francebleu.fr

Viktor Orbán sur une ligne de crête en Europe mais au sommet en Hongrie

"Le parti de Viktor Orbán va écraser la concurrence dimanche lors du scrutin qui doit renouveler le parlement européen. Mais avec qui ses députés pourront-ils s'allier pour peser sur l'Europe ? Son avenir européen paraît bien incertain.
Medián, Nézőpont, Publicus, Századvég, ZRI-Závecz. Tous ces instituts de sondage disent peu ou prou la même chose : dimanche 26 mai, c'est le Fidesz qui sortira grand gagnant de l'élection européenne en Hongrie . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

vendredi 24 mai 2019

Des migrants meurent-ils de faim dans les prisons hongroises comme l’affirme Raphaël Glucksmann ?

"L'ONU, le Conseil de l'Europe ainsi que plusieurs associations humanitaires ont signalé que depuis août 2018, 23 migrants en situation d'expulsion, ont été privés de nourriture dans des centres de détention en Hongrie, parfois jusqu'à une durée de cinq jours.
Bonjour,
Mercredi soir, alors que l’Émission Politique de France 2 abordait le thème de l’immigration avec les représentants de plusieurs listes pour les élections européennes, Raphaël Glucksmann a déclaré (à partir d’1h16min24sec) : «Il y a des migrants qui sont en train de mourir dans les prisons hongroises parce qu’ils ne sont pas nourris».
Joint par CheckNews, Raphaël Glucksmann reconnaît que «mourir est un mot un peu fort, que j’ai dit dans la chaleur du débat mais qui était de trop». Pour le reste, il dit appuyer sa déclaration «sur le rapport de la défenseuse des droits de l’homme Dunja Mijatovic» et trouve «hallucinant qu’un pays européen, qui bénéficie d’argent européen, soit l’argent de nos impôts, refuse de nourrir des personnes qui se trouvent dans des centres de détention». " La suite sur liberation.fr

En Hongrie, le parti de Viktor Orban domine une campagne électorale dévitalisée

"Le parti national-conservateur Fidesz caracole en tête des intentions de vote. Le principal suspense est de savoir quel sera le premier parti d’opposition : les ultra-nationalistes de Jobbik ou le MSzP rouge-vert ?" La suite sur lesoir.be (article payant)

Hongrie: un ancien moulin à vapeur détruit dans un incendie

"Vieux de plus de 100 ans, l'ancien moulin à vapeur Istvan, situé dans la ville de Bekescsaba en Hongrie, a été ravagé dans un incendie survenu mardi. La cause de l'incendie n’a pas encore été déterminée par l’enquête." Photos sur china.org.cn

Hongrie : un dernier sondage prévoit que cinq partis remporteront des sièges au Parlement européen


"BUDAPEST, 23 mai (Xinhua) -- La Hongrie enverra probablement des représentants de cinq partis au Parlement européen, le parti au pouvoir Fidesz obtenant plus de la moitié des suffrages, a annoncé jeudi à Budapest le Median Institute, l'un des sondeurs les plus respectés du pays.
Citant leurs dernières enquêtes sur les élections au Parlement européen, le Median Institute a déclaré que l'alliance au pouvoir Fidesz-KDNP, le parti nationaliste Jobbik, l'alliance des socialistes de gauche (MSZP) et du parti libéral vert Parbeszed (Dialogue), ainsi que la coalition démocrate de gauche devraient probablement gagner des sièges lors des élections de dimanche, de même que le jeune Mouvement Momentum.
Le Fidesz obtiendrait 52% (13 sièges dans le nouveau Parlement européen), suivi par le Jobbik avec 11,5% (trois sièges), le MSZP avec 10,5% (deux sièges), le DK avec 10% (deux sièges) et le Momentum avec 5,5% (un siège)." La suite sur xinhuanet.com

Paprika, framboises, lait: l'agriculture hongroise manque de bras

"Dans les serres chauffées par des sources chaudes naturelles près de Szeged, au sud de la Hongrie, le légume le plus produit et le plus consommé du pays, le poivron, utilisé pour produire l'épice paprika, manque de bras pour le cultiver et le récolter.
"En 2013, le taux de chômage en Hongrie était de 14%, aujourd'hui il est de 3,5%. Les autres secteurs ont absorbé la main d'oeuvre. Qui veut venir récolter des légumes? C'est très difficile pour nous", dit Ferenc Ledo, président de l'association Fruitveb réunissant tous les producteurs de fruits et légumes du pays lors d'une visite de journalistes français de l'association de la presse agricole AFJA, à laquelle l'AFP participait.
En Hongrie, le poivron fait partie de la vie: Frais ou en saumure, blanc ou vert, il est sur toutes les tables à chaque repas. Sec et écrasé sous forme de poudre, ou en tube de crème de paprika, "l'or rouge" épice presque chaque plat de la cuisine magyar." La suite sur capital.fr

En Hongrie, on peut critiquer l’UE à volonté, mais pas le gouvernement de Viktor Orban

"Depuis la première élection du Parlement européen (PE) au suffrage universel en 1979, les élections européennes sont longtemps restées des « élections de second ordre », centrées davantage sur des enjeux nationaux que sur des questions européennes. Conséquence ? Peu d’attention accordée à l’Union européenne (UE), à son fonctionnement et à ses politiques.
La donne a changé depuis le début de la crise de la zone euro en 2010. Les enjeux européens sont davantage contestés, médiatisés et politisés. L’UE est plus présente que jamais dans le débat politique. C’est le cas de la Hongrie, où le Fidesz de Viktor Orban a construit sa campagne électorale sur la critique de l’UE.
Car à Budapest, on peut critiquer l’Union européenne (UE) mais difficilement le gouvernement dirigé par Viktor Orban (Fidesz)." La suite sur theconversation.com

Guy Verhofstadt s’offre un coup de com’ à Budapest, sur les terres de Viktor Orbán

"Le patron des libéraux au parlement européen a conclu sa campagne pour les élections européennes avec un déplacement en Hongrie, chez son meilleur ennemi, le premier ministre hongrois Viktor Orbán. Cible privilégiée de la propagande gouvernementale, il était présent en affiches dans les rues de Budapest, le voici en chair et en os ce jeudi après-midi.
Reportage.
« Je peux vous dire que ces derniers jours, tout le monde en Europe a les yeux rivés sur la Hongrie, Budapest et Momentum. La question est la suivante : Les nationalistes et les populistes dont Orbán..." La suite sur courrierdeuropecentrale (article payant)

Élections européennes : en Hongrie, Viktor Orban "l'anti-migrants" écrase la concurrence

"Toute la semaine un regard sur la campagne électorale chez nos voisins. Direction la Hongrie où le très controversé Viktor Orban se dirige vers une victoire à plate couture.
Inutile en Hongrie de chercher des affiches électorales de l’opposition pour les élections européennes. Elles sont quasiment introuvables, hormis dans certains quartiers de la capitale, Budapest. Le Fidesz, le parti de Viktor Orban, n’en déplaise aux dirigeants européens, est devenu omnipotent dans ce pays de dix millions d’habitants au cœur de l’Europe. Et il s’oriente vers un succès à plate couture dimanche 26 mai. Les sondages d’intention de vote lui accordent 55% des voix et les deux tiers des députés.
Une nouvelle fois, le Premier ministre hongrois a fait campagne sur le thème de l’immigration, en accusant Bruxelles de vouloir ouvrir l’Europe à des "hordes de musulmans". Le slogan principal sur les affiches du Fidesz, qui sont visibles partout en Hongrie est : "Stop à l’immigration". Précisons quand même que la Hongrie accueille très peu de migrants, mais peu importe, le discours fonctionne à plein. Et il s’est doublé, lors de cette campagne, d’un nouveau thème : le natalisme. Il s'agit d'un appel aux Hongrois à faire des enfants pour contrecarrer le risque d’une prétendue "invasion musulmane".Tout cela porte d’autant plus ses fruits dans l’électorat que le parti d’Orban contrôle désormais la quasi-totalité des médias publics comme privés. C’est un rouleau compresseur médiatique." La suite sur francetvinfo.fr 

« En Europe centrale, la gauche n’aura pas d’avenir si elle ne s’ancre pas dans la société »

"En Europe centrale, la gauche aborde ces élections européennes en position d'extraordinaire faiblesse. Face à la consolidation des régimes autoritaires en Hongrie et en Pologne, les partis sociaux-démocrates peinent à donner consistance à une alternative politique claire et forte. Jean-Michel De Waele nous livre ici les raisons historiques et politiques d'une telle déshérence et décrypte les principaux enjeux et défis auxquels la gauche centre-européenne devra répondre si elle veut survivre. Entretien . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

jeudi 23 mai 2019

Surréalisme La troisième saison - Exposition à la Galerie les Yeux Fertiles du 24 mai au 30 juin 2019

Rozsda, Moi Jésus et les  autres 1958 54x65

Réchauffement climatique - La Hongrie mise sur la Pac pour contrer ses effets

"Reboisement, irrigation : malgré ses divergences politiques profondes avec une partie de l'Europe, la Hongrie défend bec et ongle la politique agricole commune, sur laquelle elle compte pour financer des programmes de lutte contre l'intensification du réchauffement climatique dans le bassin des Carpates.
Dans la « grande plaine » hongroise qui s'étend jusqu'à la Roumanie, des remontées de nappes d'eau noient les cultures au printemps. En été, les récoltes grillent sur pied dans des sols craquelés par la sécheresse. « Nous sommes la seule région d'Europe à avoir à la fois l'un des sols les plus riches, le tchernozium, cette terre noire riche en humus que l'on trouve aussi en Ukraine et en Russie, et l'un des plus pauvres, contenant les plus fortes teneurs en sel du monde » explique Joseph Zsembeli, directeur de l'institut de recherche agronomique de Karcag, dans le centre du pays. « Et les précipitations baissent chaque année, il manque environ 200 millimètres d'eau par an », a-t-il dit devant l'Association des journalistes français de l'agriculture (Afja). Le principal problème est de gérer les à-coups et les extrêmes, entre inondations et sécheresse, dans cette cuvette si parfaitement plate. Avec des agriculteurs de la région, il a mis au point des techniques de travail du sol pour ralentir l'évaporation de l'eau en saison sèche et activer son assimilation lors des pluies. Mihaly Kiss est l'un d'entre eux : « Nous devons travailler la terre moins profondément que dans le temps, de manière à ce qu'elle puisse accueillir l'eau quand il en tombe, et la retenir même s'il ne pleut plus pendant deux mois », dit cet exploitant de 300 hectares." La suite sur terre-net.fr

« Almanach », le réenracinement de Péter Nadas

"Dans ce dense roman autobiographique, le grand écrivain hongrois retiré à la campagne, loin de Budapest, mêle à son quotidien le passé et la mort.
« Almanach » (Evkonyv), de Péter Nadas, traduit du hongrois par Marc Martin, Phébus, 336 p., 22 €.
Comparaison n’est pas toujours raison en littérature, mais à lire Almanach, du Hongrois Péter Nadas, il en est une qui saute aux yeux : Claude Simon et sa Route des Flandres (Minuit, 1960). Le Français, Prix Nobel 1985, y fait avancer son lecteur sur un chemin où la croûte du présent ne cesse de se désagréger sous le poids de la mémoire, brouillant les époques de la Révolution et de la Résistance. Dans ­Almanach, roman autobiographique écrit par Nadas à la fin des années 1980, mais où le prénom de l’auteur n’apparaît qu’à la toute fin du livre, la tradition et le passé affleurent également derrière la surface lisse d’une existence découpée en mois et en années, comme pour en redoubler l’épaisseur. A une modernité oublieuse, la remémoration oppose la grandeur de ce qui n’est plus et la mort omniprésente.
L’œuvre de Péter Nadas, né en 1942, s’est imposée grâce à deux gros volumes qui l’ont rendu mondialement célèbre, Le Livre des mémoires et Histoires parallèles (Plon, 1998 et 2012). A ceux que ­décourageraient ces milliers de pages, Almanach offre une merveilleuse introduction. On y retrouve, condensés, le style et les thèmes qui parcourent tous ses textes : les digressions volontairement déconcertantes ; le glissement imperceptible d’une scène à une autre, comme dans un fondu enchaîné, au seul gré de la réminiscence, qui prend alors un tour quasi onirique ; l’apparente discontinuité de la narration ; les phrases élégantes quoique kilométriques ; l’exaltation érotique, mais retenue, des corps, et la lucidité sur leur décrépitude ; les trios bisexuels souvent inaboutis… Plus qu’il ne déroule une narration chronologique, ce livre cherche la densité d’une atmosphère, fût-ce à l’occasion d’un jogging dans la campagne hongroise, l’un des morceaux de bravoure du récit, parfois trop dense, justement, où la description, cette mal-aimée du roman contemporain, reprend tous ses droits.

Microscopique résistance
Le cadre est fourni par le hameau de Gombosszeg, à l’ouest du lac Balaton, non loin d’une frontière qu’il est tentant de franchir. Le narrateur s’y est retiré, ­délaissant la Budapest de sa jeunesse. Il y retrouve la pollution et la médiocrité ­architecturale du socialisme, mais aussi la beauté du paysage. Ce réenracinement, cette existence rurale désormais vouée à la fabrication d’un crépi artisanal et aux motoculteurs défectueux autant qu’à l’écriture, n’a pas effacé la froide Berlin avec ses forêts où paradent des nazillons, la moiteur de Rome ou, derechef, la Budapest des années 1950, villes imaginaires autant que réelles. Dans un des épisodes les plus réussis d’Almanach, sorte de longue nouvelle amoureuse, l’auteur montre comment le culte un peu ridicule, dans la bourgeoisie destituée, d’une mode et de bonnes manières désuètes, a pu représenter une forme microscopique de résistance face à l’égalitarisme de façade claironné par le régime communiste." La suite sur lemonde.fr (article payant)

Orban-Soros, le duel hongrois des deux Europe

"Le très autoritaire premier ministre hongrois a fait du milliardaire de 89 ans sa cible favorite, symbole d’une Union européenne qui fossoie l’identité des peuples. Au cœur de ce duel mis en scène par Budapest: la Central European University et les futures élites de l’ex-Europe communiste
Sur le panneau d’affichage de la Central European University (CEU) à Budapest, le ton est annoncé d’emblée. Impossible à rater, le séminaire du programme «Migration studies» (études des migrations) nargue, avec sa brochette de professeurs étrangers et sa thématique «valeurs européennes et migrants», la rhétorique identitaire de Viktor Orban. A trois jours des élections de dimanche au Parlement européen, où la Hongrie enverra 21 élus, le duel entre ce bastion académique de l’ouverture et le repli sur soi prôné par le premier ministre bat son plein. «Orban et son système ont besoin de boucs émissaires intellectuels. Les universitaires libéraux de la CEU sont des cibles parfaites», lâche une ex-enseignante, soucieuse de rester anonyme car employée de l’université publique." La suite sur letemps.ch (article payant)

Budapest, ville qui avance vite vers l'électro-mobilité

"Deux BMW i3 en train de recharger, avec un taxi Nissan e-NV200 qui attend en double file. C'est à Budapest que cela se passe. Nous n'avions jamais pensé à la Hongrie comme un pays leader dans le domaine de l'électro-mobilité, mais notre récent séjour nous aura prouvé que les choses changent très vite dans ce pays. Notre précédent séjour à Budapest était il y a 2 ans, nous n'y avions remarqué qu'une unique Toyota Prius III plug-in, alors qu'en ce printemps 2019, les électriques sont en nombre en Hongrie.
La ville a trouvé un bon truc pour les attirer : des bornes rapides sur la voie publique, en plein centre ville. Et surprise, ce sont des bornes françaises, les bornes tri-standard de DBT que tous ceux qui roulent en électrique dans l'hexagone connaissent bien. Cela fait toujours plaisir de voir une entreprise française réussir à l'export, DBT fait d'ailleurs mieux que Renault en Hongrie. Nous aurons traversé le pays de la Slovaquie à la Roumanie avec 3 jours à Budapest sans voir une seule Zoé. On aura cependant remarqué un grand nombre de taxis en break Megane. Et pour revenir aux électriques, de manière totalement non scientifique, celles qui furent les plus visibles à nos yeux étaient des BMW i3 et des Volkswagen e-up." La suite sur moteurnature.com

Hongrie : Gabor Kiraly prend sa retraite à 43 ans

"Plus vieux joueur de l'histoire à avoir participé à un Euro, le Hongrois Gabor Kiraly arrête sa carrière à 43 ans.
Huitième de finaliste de l'Euro 2016 avec la Hongrie, Gabor Kiraly était devenu le plus vieux joueur de l'histoire de la compétition lors de cet été français. Ancien joueur de Fulham, West Ham, Crystal Palace ou de Munich 1860 notamment, il a arrêté sa carrière, à 43 ans. Il jouait pour Haladas, dans son pays natal. Toujours avec son bas de survêtement. Il a porté le maillot hongrois à 108 reprises." Source : lequipe.fr

Plongée dans la Hongrie de Viktor Orban, où "l'Europe fait peur"

"À quelques jours des Européennes, Europe 1 voyage à travers le continent. Pour cette troisième étape, notre grand reporter s'est rendu en Hongrie, où les thèmes identitaires sont omniprésents.
ReportageÀ l'occasion de la dernière semaine qui précède les élections européennes du 26 mai, Europe 1 voyage à travers le continent, à la rencontre des pays qui le peuplent. Notre grand reporter Sébastien Krebs s'est rendu en Hongrie pour cette troisième étape. La campagne des élections européennes y est centrée sur l'immigration, sous l'impulsion du Premier ministre Viktor Orbán, qui mène depuis 2010 une politique autoritaire.
C'est l'homme fort de l'Europe centrale : Viktor Orbán, 55 ans, Premier ministre de la Hongrie depuis 2010 et partisan du repeuplement de la nation hongroise. Dans ce pays d'environ 10 millions d'habitants, celui qui se présente comme l'ennemi juré d'Emmanuel Macron est presque incontesté. Et rien ne dit que les élections européennes vont remettre en cause son autorité : sa formation politique, le Fidesz, est créditée de 55% d'intentions de vote." La suite sur europe1.fr

Ce jeune Hongrois prend en photo des voitures en jouet plus vraies que nature [PHOTOS]

"Ce photographe de 24 ans aime s’amuser avec des jouets, que ce soit aussi bien des LEGO que des voitures miniatures. Lumière sur Benedek Lampert, qui donne vie aux jouets à travers ses photos.
À la vue de ces photos, il est difficile de croire que ces voitures sont des jouets… et pourtant, c’est bien le cas. Benedek Lampert est un photographe qui aime photographier des objets miniatures. Il avait déjà effectué par le passé une série de photos avec des figurines LEGO Star Wars impressionnante.
Cette fois-ci, le photographe de 24 ans a décidé de photographier des voitures en jouets comme si elles étaient de vraies voitures. Le résultat est époustouflant, faisant penser à de véritables scènes d’action. « Mon objectif avec ces photos est de créer des images dynamiques et spectaculaires. Comme ces méthodes sont quelque peu difficiles à créer ou peu présentes dans les scénarios de la vie réelle, je les fais et j’essaie de les projeter sur une simple table », a-t-il déclaré, comme le révèle The Independent." La suite sur parismatch.be

La faiblesse du forint hongrois pourrait se poursuivre, selon Commerzbank

"Le forint s'est nettement affaibli la semaine dernière. Et cette sous-performance de la devise hongroise pourrait se poursuivre, prévient Commerzbank. Au-delà des raisons politiques (relations dégradées avec l’Europe et les Etats-Unis), le cambiste estime que la cause sous-jacente de cette méforme est le taux d'intérêt réel fortement négatif que la Banque centrale de Hongrie (MNB) continue de maintenir." La suite sur boursedirect.fr

Prospérité retrouvée, Etat de droit affaibli : les 9 ans de pouvoir de Viktor Orban en Hongrie

Depuis qu’il est redevenu premier ministre, en 2010, il a sapé tous les contre-pouvoirs. Avant les européennes, il reste pourtant favori.
L’extrême droite à l’épreuve du pouvoir (3/5). Le premier ministre ? C’est tout simplement son « champion ». Laszlo Böröcz a 35 ans. Il est le président des jeunesses « orbaniennes », Fidelitas. Depuis quinze ans, il suit aveuglément le chantre hongrois de l’illibéralisme, devenu la référence de l’extrême droite européenne au fil d’une contre-révolution qui a profondément changé son pays.
La première raison de la longévité au pouvoir de Viktor Orban, dont la formation est donnée une fois encore en tête du scrutin européen du 26 mai, est que les Hongrois sont satisfaits de leur prospérité retrouvée. « Nous étions au même niveau que la Grèce à cause de la politique catastrophique des sociaux-démocrates à qui nous avons succédé en 2010. Grâce à sa politique volontariste, le taux de chômage des jeunes est désormais extrêmement bas », énonce Laszlo Böröcz.
Après un premier passage au pouvoir, Viktor Orban y revient en avril 2010, alors que son pays est placé sous perfusion du Fonds monétaire international et de l’Union européenne. Très vite, il remercie ces créanciers et met en place des mesures économiques spectaculaires : taxation des profits des banques, étrangères à 80 %, avec des exemptions pour les institutions détenues par des proches du parti Fidesz du premier ministre, instauration d’un taux d’imposition unique de 16 %… Mais déjà, les têtes tombent. Des guerres d’usure sont entamées avec les hauts fonctionnaires indociles. L’armée, la police et l’administration publique sont purgées.
En novembre 2010, Viktor Orban s’attaque à la refonte de la justice, dont l’indépendance est désormais très relative. Il réduit les compétences de la Cour constitutionnelle. Déjà, on cherche à faire taire les voix critiques. Les intellectuels jugés hostiles font l’objet de campagnes de dénigrement, les médias sont rachetés les uns après les autres par des proches du premier ministre. A l’heure actuelle, selon une étude de l’ONG Mertek, 77,8 % du chiffre d’affaires total des médias hongrois est généré par des sociétés contrôlées par le Fidesz ou proches de lui." La suite sur lemonde.fr (article payant)

« On ne va faire peur à personne, on est simplement là. Et quand on est là, l’ordre règne »

"Mardi soir, dans une petite bourgade du centre de la Hongrie, de vieux slogans racistes anti-Roms ont retenti devant une assemblée de militants au crâne rasé. Comme au temps du Jobbik et de sa milice bannie, la Magyar Gárda.
Reportage à Törökszentmiklós.
Törökszentmiklós, envoyée spéciale - Törökszentmiklós ressemble à beaucoup de bourgades de la grande plaine hongroise, avec sa rue principale bordée de Kádár-kocka, ces maisons standard aux formes cubiques qui ont poussées à partir des années 1950, son église . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

mercredi 22 mai 2019

« Porgy and Bess » joué par des Blancs à Budapest

"Les ayants droits de George Gershwin dénoncent le non-respect par l’Opéra national de Hongrie du vœu du compositeur, selon lequel cet opéra ne pouvait être interprété que par des chanteurs noirs.
La Hongrie est le laboratoire mondial de la « révolution du bon sens » : nulle part en Occident ne sont portées avec autant de moyens et depuis aussi longtemps des idéaux réactionnaires. Les élites culturelles libérales y ont été remplacées par des personnalités dont le but est d’accompagner le rétablissement par Viktor Orban d’un ordre mythifié. En cela, le premier ministre, au pouvoir depuis 2010, se vit comme un disciple du penseur Antonio Gramsci (1891-1937), qui dénonçait l’hégémonie culturelle des classes dirigeantes. Il agit sur le terrain culturel en s’appropriant le langage des féministes, des minorités sexuelles et de genre, religieuses ou raciales qui, des décennies durant, se sont battues dans le sang pour conquérir la dignité, en vue de le retourner contre elles.
Ainsi, la direction de l’Opéra national de Hongrie n’hésite plus, par exemple, à présenter sa programmation comme une ode aux valeurs chrétiennes, dont le chef du gouvernement estime qu’elles doivent de nouveau dominer l’espace de la liberté d’expression. Elle avait déjà, l’année dernière, déprogrammé Billy Elliot, au prétexte que cette comédie musicale sur un jeune garçon voulant devenir danseur « promouvait l’homosexualité ». Et récemment, elle a accusé de « racisme » les ayants droits de George Gershwin : ces derniers s’étaient émus du non-respect par la Hongrie du vœu du compositeur, selon lequel Porgy and Bess, opéra créé en 1935, au Colonial Theatre de Boston, et traitant de la vie misérable des Afro-Américains dans les années 1920, en Caroline du Sud, ne pouvait être interprété que par une distribution exclusivement noire." La suite sur lemonde.fr

Le Conseil de l’Europe critique la Hongrie pour le sort qu’elle réserve aux migrants

"Dans un rapport publié ce mardi, la Commissaire aux droits de l'homme du Conseil de l'Europe, Dunja Mijatović, étrille les autorités hongroises pour « les violations des droits de l'homme » et plus particulièrement le traitement réservé aux demandeurs d'asile.
« Les violations des droits de l'homme en Hongrie ont un effet négatif sur l’ensemble du système de protection et sur l’État de droit. Elles doivent être traitées d’urgence ». Voici ce qu'affirme la Commissaire . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Européennes - Lili Fekete, dégoûtée par la politique d’Orbán

"Vannetaise d’adoption, Lili Fekete s’y plaît beaucoup malgré une première expérience difficile. Cette Hongroise n’a donc aucune envie de retourner vivre dans son pays d’origine, surtout tant que Viktor Orbán en est le Premier ministre.
« Depuis qu’Orbán a repris le pouvoir en Hongrie, je ne veux plus entendre de nouvelles de là-bas, parce que ça me saoule ! Ça me fait mal au cœur, parce que c’est un beau pays et il y a plein de gens sympas ». Lili ne mâche pas ses mots quand elle parle du chef du gouvernement populiste de sa Hongrie natale. Un pays qu’elle aime, mais qu’elle a quitté depuis quatre ans, pour venir vivre en France." La suite sur le telegramme.fr

La chute de la coalition droite-extrême droite en Autriche embarrasse Budapest

"Pour Viktor Orban, cette coalition des droites était un modèle, un exemple à suivre par les autres pays européens. Il y a quelques jours, le Premier ministre avait reçu à Budapest le chef de l’extrême-droite autrichienne, partisan comme lui d’une ligne dure anti-migrants. Le dirigeant hongrois perd donc un allié. Autre conséquence de la crise autrichienne : la visite prévue à Budapest de Norbert Hofer, nouveau chef du FPÖ, a été annulée.
Le plus surprenant n’est pas l’annulation de la visite en Hongrie du nouveau chef de l’extrême droite autrichienne, mais la raison qu’en a donnée Viktor Orban : « Nos amis autrichiens ne viennent pas nous voir, parce qu’une saison exceptionnelle de chasse a été ouverte là-bas. »
Quant aux médias qui appartiennent au clan de Viktor Orban, ils donnent une explication incongrue de la crise autrichienne. Elle aurait été provoquée par « des forces qui soutiennent l’immigration ». Ces médias évitent de parler du contenu de la vidéo qui a fait tomber Heinz-Christian Strache, et dans laquelle il exprimait son souhait de remodeler la presse de son pays « comme Viktor Orban »." La suite sur rfi.fr

Hongrie: l'extrême droite manifeste contre les Roms

"Plusieurs centaines de militants nationalistes ont manifesté mardi dans une petite localité de l'est de la Hongrie contre la présence de Roms après une bagarre le mois dernier dans un bar entre un membre de la communauté et un ressortissant local.
La manifestation s'est déroulée dans le village de Torokszentmiklos, à l'est de Budapest, et a provoqué une contre-manifestation de la part des plusieurs centaines de Roms, principalement des hommes.
Les Roms entendaient commémorer la mort par balle d'un membre de leur communauté il y a une décennie.
Aucune violence n'a été à déplorer dans la localité." La suite sur lefigaro.fr

Les relations économiques entre la Chine et la Hongrie sont prospères

"En tant que premier pays européen à avoir signé un document de coopération avec la Chine dans le cadre de l'initiative "la Ceinture et la Route" (BRI), la Hongrie a vu ses liens économiques avec la Chine prospérer au cours des dernières années.
Grâce à une croissance régulière de leurs échanges commerciaux depuis quelques années, la Hongrie est désormais devenue le troisième partenaire commercial de la Chine en Europe centrale et orientale, tandis que la Chine est son principal partenaire commercial en dehors de l'UE.
Selon des statistiques chinoises, le volume des échanges commerciaux bilatéraux entre la Chine et la Hongrie a atteint un niveau record de 10,88 milliards de dollars américains en 2018, soit une augmentation de 7,5 % par rapport à l'année précédente. Les importations chinoises depuis la Hongrie ont représenté 4,34 milliards de dollars américains, soit une hausse de 6,5 % en glissement annuel ; les exportations depuis la Chine vers la Hongrie ont quant à elles atteint 6,54 milliards de dollars, soit une augmentation annuelle de 8,1 %." La suite sur china.org.cn

mardi 21 mai 2019

Le Conseil de l’Europe pointe le traitement inhumain des migrants en Hongrie

"Le régime d’Orban est accusé de violations des droits de l’homme, non-respect de l’Etat de droit, restriction des libertés et xénophobie.
Il y a urgence, en Hongrie, à s’occuper de la violation des droits humains et du non-respect de l’Etat de droit, qui concerne tant la restriction des libertés pour la société civile, que l’indépendance de la justice, l’égalité hommes femme que le sort des réfugiés : c’est un rapport de 37 pages, sans concession, assorti de 167 recommandations, que Dunja Mijatovic, commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe, a rendu public mardi 21 mai.
La responsable bosnienne s’est rendue à Budapest en février, alertée notamment par le discours récurrent des autorités sur les réfugiés et les migrants. Mme Mijatovic, en poste depuis avril 2018, les invite d’abord à abandonner leur rhétorique et « leurs campagnes qui attisent les comportements xénophobes ». D’autant, indique-t-elle, que l’on ne peut plus parler d’une situation de crise, compte tenu du nombre actuel de demandeurs d’asile en Europe, et singulièrement en Hongrie, où les premières dispositions très restrictives ont été adoptées en 2015." La suite sur lemonde.fr

En Hongrie, 80% des médias aux mains de proches du pouvoir

"Dans la vidéo filmée à son insu et qui a provoqué sa chute, le vice-chancelier autrichien d'extrême droite Heinz-Christian Strache confie qu'il rêve de s'acheter le journal le plus puissant d'Autriche, comme Viktor Orban l'a fait en Hongrie.
Samedi 18 mai, des journaux allemands ont révélé une vidéo, tournée en caméra cachée dans une villa à Ibiza en 2017. On y voit Heinz-Christian Strache, l'homme fort du parti d'extrême droite autrichien, expliquer à une femme (qui se présente comme étant la nièce d'un oligarque russe) comment financer de manière obscure son parti, le FPÖ, et comment racheter le média le plus puissant d'Autriche, le Kronen Zeitung.
"Dis-lui que si elle rachète le Kronen Zeitung trois semaines avant les élections et nous propulse à la première place, nous sommes ouverts à toutes les discussions (...) Elle aura tous les contrats publics remportés aujourd'hui par Strabag.
Heinz-Christian Strache
extrait de la vidéo tournée en caméra cachée"
Contrôler les médias. Ce rêve, le Premier ministre hongrois Viktor Orban l’a réalisé. Dès son retour au pouvoir en 2010, l’homme fort de Budapest a transformé la télévision publique en une machine de propagande. Le jour où le scandale a éclaté en Autriche, la 1ère chaîne publique hongroise a débuté son journal télévisé par des interventions du ministre hongrois des Affaires étrangères, et de Viktor Orban, qui ont tous les deux longuement parlé de la menace migratoire. Le journal a ensuite annoncé la chute de la coalition autrichienne, causée selon lui, par des forces souhaitant affaiblir les partis anti-immigration. Mais pas un mot sur le contenu de la fameuse vidéo." La suite sur francetvinfo.fr

Tremplin Sziget 2019 : 5 jeunes talents en lice pour jouer lors du festival

"Du 7 au 13 août 2019 se tiendra à Budapest l'un des plus gros festivals européens : le Sziget. Aura la chance de participer à cette 27e édition un artiste ou groupe français grâce au tremplin des jeunes talents dont la finale est organisée le 27 mai prochain à Paris.
Foo Fighters, Ed Sheeran, Post Malone, Twenty One Pilots, The 1975 mais aussi Florence and the Machine, Jain ou encore Fakear seront au rendez-vous courant août prochain lors du Sziget Festival organisé sur l'île d'Óbuda à Budapest.
Une programmation de rêve pour les amateurs de musique, à laquelle se joindra un jeune talent français. Une occasion en or de jouer devant plusieurs milliers de festivaliers (565 000 présents en 2018).
Qui sera la nouvelle révélation française ?" La suite sur orange.fr

Lyon : l'Allemande Dzsenifer Marozsan (OL féminin) désignée meilleure joueuse de D1 féminine

"Après avoir inscrit le 1er but de la finale de Champions League face au Barça à Budapest, ville dont elle est native, la lyonnaise a été sacrée meilleure joueuse de D1 féminine. Un week-end riche en émotion pour la joueuse sélectionnée avec l'équipe d'Allemagne pour la Coupe du monde 2019.
La milieu de terrain de l'Olympique lyonnais Dzsenifer Marozsan a été désignée par ses pairs meilleure joueuse de D1 féminine pour la troisième année consécutive, dimanche, lors de la soirée des trophées UNFP, l'équivalent des Césars du foot.
L'Allemande de 27 ans, déjà consacrée en 2017 et 2018, a remporté la Ligue des Champions, la Coupe de France et le championnat de France cette saison.
Elle concoure avec l'équipe d'Allemagne pour la Coupe du monde féminine qui débute le 7 juin 2019, dans le groupe B qui affrontera au 1er tour la Chine, l'Espagne et l'Afrique du Sud.
Budapest : une victoire en famille
Elle est la fille d'un ancien footballeur hongrois, Janos Marozsan, lui aussi milieu de terrain, qui a terminé sa carrière à Sarrbrücken, en Allemagne." La suite sur francetvinfo.fr

La Hongrie érige un Etat forteresse

"Europe : la démocratie en crise 2|6. Premier ministre hongrois depuis 2010, Viktor Orban a muselé les contre-pouvoirs et érigé un modèle politique alternatif, qui reste difficilement exportable ailleurs dans l’Union.
Du haut de sa colline boisée, la charmante forteresse de Visegrad domine un petit village tranquille, lové le long de la courbe du Danube. Les passagers des bateaux de croisière, qui descendent le fleuve depuis Passau, en Bavière, découvrent un village hongrois idyllique. La mairie, pimpante, a été refaite grâce aux fonds européens. Tout n’est que calme, ordre et propreté…
Recommençons depuis le début. Du haut de sa colline escarpée, la sinistre forteresse de Visegrad domine le Danube comme une vigie. Bâtie après l’invasion tatare, elle veille sur la petite et pieuse Hongrie, prête à repousser les envahisseurs : bureaucrates de Bruxelles remplis de morgue, hordes de migrants musulmans, intellectuels et médias bien-pensants d’Europe de l’Ouest…
Au pays des réalités alternatives qu’est devenue la Hongrie du premier ministre Viktor Orban, la vérité n’existe plus, tout est à double tranchant. Paradis pour ses partisans, enfer pour ses opposants, la Hongrie est devenue une cause qui la dépasse. Et Visegrad, un nom lourd à porter. A 30 km au nord de Budapest, la ville est la « capitale » du V4, l’organisation qui regroupe quatre pays d’Europe centrale (Hongrie, Pologne, République tchèque et Slovaquie), tous membres de l’Union européenne (UE). Mais à la faveur de l’arrivée au pouvoir de gouvernements conservateurs et autoritaires en Hongrie depuis 2010 et en Pologne depuis 2015, le V4 est perçu comme une entité politique.

Une démocratie « différente »

Visegrad est devenue synonyme d’une démocratie « différente » : moins libérale, plus autoritaire, moins ouverte à l’immigration et au multiculturalisme, plus conservatrice et chrétienne." La suite sur lemonde.fr (article payant)

Le match que vous n’avez pas regardé : MTK Budapest-Budapest Honvéd

"Un match avec des enjeux diamétralement opposés, des visiteurs à domicile, une pluie de cartons jaunes, un casse-croûte pas banal, un penalty raté, un canard géant, une relégation, une deuxième chance et un doublé de David N’Gog. Tout ça, c’est le petit derby de Budapest entre le MTK et Honvéd et c’est le match que vous n’avez pas regardé.

MTK Budapest 1-4 Budapest Honvéd
Buts : Lencse (22e) pour le MTK // Holender (20e), Kamber (53e), N’Gog (75e, 90e+2) pour Hondvéd
Alors que Budapest se remet tout juste de la finale de la Ligue des champions féminine à laquelle plus de 20 000 personnes ont assisté, le football hongrois reprend ses droits dès le lendemain pour la dernière journée de championnat. Aux deux extrémités du classement, plus rien n’est à jouer. En haut, Ferencváros a déjà validé le trentième titre de son histoire, tandis qu’en bas, le Szombathelyi Haladás est déjà condamné au purgatoire la saison prochaine. Mais juste au-dessus, le MTK Budapest a la pression. Le club juif de la capitale, qui n’a plus gagné depuis le 30 mars dernier et reste sur une série de six défaites consécutives, doit impérativement l’emporter pour espérer se maintenir dans l’élite et éviter de redescendre, un an seulement après avoir été promu. L’ennui, c’est que les hommes de Tamás Lucsánszky n’ont pas vraiment leur destin en main, puisqu'ils doivent également compter sur une défaite du Diósgyőri VTK face à Újpest dans le même temps." La suite sur sofoot.com

Teqball, du concept au sport olympique

"Ingénieuse invention hongroise, cette table de ping-pong convexe est déjà un succès commercial. Ses concepteurs souhaitent développer un sport à part entière et l'inscrire au programme olympique. Une autre affaire
C’est la pause de midi et le majestueux hall de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) bruisse d’une animation inhabituelle. A côté du classique chassé-croisé des fonctionnaires internationaux en costumes ou tailleurs, les évolutions de deux jeunes sportifs en short donnent un air de préau scolaire à ce haut lieu de la Genève internationale. Leurs semelles crissent sur le carrelage. Du pied ou de la tête, ils se renvoient un ballon de football au-dessus d’une drôle de table de ping-pong incurvée. Ils jouent au teqball.

Une étonnante table arrondie
Que cette démonstration se déroule à l’OMPI le 26 avril pour la Journée mondiale de la propriété intellectuelle n’est pas un hasard. Il y en a d’ailleurs assez peu dans l’histoire de cette table convexe au filet fixe, inventée en 2014 par deux Hongrois passionnés de football: Gabor Borsanyi, un ancien joueur professionnel, et Viktor Huszar, ingénieur en informatique. Leur idée était de jouer au football mais sans les contraintes des conditions climatiques et du nombre de joueurs. Elle s’est concrétisée dans cette table dont le doux arrondi donne à la balle l’effet qu’aurait un lift de Rafael Nadal sur terre battue et la renvoie naturellement vers l’autre joueur.
La bonne idée est peaufinée pour aboutir à la meilleure inclinaison, la meilleure hauteur et le meilleur revêtement possible. La table gagne plusieurs prix internationaux de design et d’innovation. Les deux inventeurs déposent des brevets dans 60 pays et s’associent à un homme d’affaires, Gyuri Gattyan, pour lancer le produit sur le marché de l’équipement de loisirs. Leur stratégie: ne pas vendre une table mais un sport. Le teqball se munit rapidement de règles (match en trois sets de 20 points, trois touches consécutives autorisées mais jamais deux fois de suite avec la même partie du corps)." La suite sur letemps.ch

Mille manifestants contre l’homophobie du président du parlement hongrois

"Samedi soir, un millier de personnes se sont rassemblées à Budapest devant le parlement, après les propos insultants de László Kövér, le président du parlement qui a assimilé homosexualité et pédophilie.
« Il n'y a pas de place pour l'homophobie dans la vie publique ». Tel est le principal message que souhaitait véhiculer Budapest Pride, l'association qui lutte contre les préjugés à l'encontre des personnes LGBTQ et organise chaque année la Gay Pride . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

La Hongrie, eldorado du tourisme dentaire

"La santé à saute-frontières (1/5). Ce pays d’Europe centrale est le leader européen de ce tourisme en plein essor, qui attire de plus en plus les Français.
Maria Figliuzzi n’y va pas par quatre chemins : la Hongrie « lui a sauvé la vie ». Pour se « faire refaire les dents », comme elle dit, cette habitante d’Aix-les-Bains (Savoie), qui « va sur ses 70 ans » s’est rendue jusqu’à Budapest. « En France, ça coûte les yeux de la tête et puis je ne me voyais pas finir avec un dentier », explique la femme de cheminot, restée toute sa vie au foyer. « J’ai déboursé 12 000 euros pour faire tous les implants, alors qu’à côté de chez moi, j’en avais pour minimum 27 000 euros. Alors vous voyez, ça vaut le coup de prendre l’avion ! Je leur fais une pub pas possible aux Hongrois : ma cousine y va la semaine prochaine ! »
Dans les appareils low cost en direction de la capitale aux légendaires bains thermaux, il y a de grandes chances pour que 20 % des passagers se déplacent en raison de leur dentition. C’est l’eldorado : comme Maria Figliuzzi, ils sont de plus en plus nombreux à s’envoler vers d’autres cieux, pour confier leurs précieuses molaires, gencives et mâchoires à des professionnels domiciliés à des milliers de kilomètres. La Hongrie, un pays d’Europe centrale qui compte 9,7 millions d’habitants seulement, est le leader européen de ce business un peu spécial. Elle ne le crie pas sur les toits : l’organisme officiel chargé de promouvoir le tourisme dentaire a refusé de répondre à nos questions. C’est pourtant l’Etat dans lequel les Français dépensent le plus d’argent, selon les statistiques de la caisse primaire d’assurance maladie. Et les chiffres ne font que grimper : 3,93 millions d’euros l’année dernière, contre 2,74 millions en 2011.
« Ils sont d’abord motivés par les prix bas », énonce le docteur Jozsef Fürstner, qui a soigné Maria Figliuzzi, parle un français impeccable et dirige un établissement équipé de la dernière technologie. « Dans ma clinique, un implant est facturé 550 euros, contre plus de 1 000 euros en France. » Les patients ne s’adonnent pas à ce nomadisme médical pour de simples soins. Ce sont les travaux prothétiques qu’ils rechignent à payer." La suite sur lemonde.fr (article payant)

lundi 20 mai 2019

Européennes 2019. Steve Bannon : “Orbán, Salvini et Le Pen vont changer vos vies”

"Désormais installé en Italie, l’ex-conseiller de Trump conseille tous les partis populistes en vue du scrutin de mai. Il croit en leur victoire. Il a répondu aux questions du quotidien espagnol El País.
“Êtes-vous le diable ?” s’est entendu demander Steve Bannon il y a quelques semaines, à Rome. “C’est aux gens de le dire”, a répliqué l’ancien conseiller stratégique du président américain Donald Trump et père fondateur (avec d’autres) du populisme politique du XXIe siècle : pour cela comme pour le reste, c’est son credo, il laisse le pouvoir au peuple.
Pour Bannon, qui conseille aussi le président brésilien Jair Bolsonaro et le vice-président du Conseil italien Matteo Salvini, l’Italie doit aujourd’hui être le tremplin de son projet politique pour les prochaines élections européennes – projet dans lequel le parti espagnol d’extrême droite Vox a un rôle essentiel à jouer [parti de rien en 2014, il est crédité de 5 à 7 eurodéputés]." La suite sur courrierinternational.com

Chez les Roms de Törökszentmiklós, dans l’angoisse du retour des milices d’extrême droite

"Article publié le 19 mai 2019 dans Abcúg sous le titre « Rettegve várják a törökszentmiklósi romák a szélsőjobbosokat ». Traduit du hongrois par Ludovic Lepeltier-Kutasi.
 
Les milices d’extrême droite sont de retour en Hongrie et tiennent à le faire savoir. Dans la bourgade de Törökszentmiklós, à une bonne centaine de kilomètres à l’est de Budapest, les Roms attendent avec angoisse un rassemblement mardi de la toute nouvelle « Légion nationale ». Comme la Magyar Gárda il y a une décennie, elle veut ratisser les campagnes pour lutter contre une prétendue « criminalité tsigane« . Reportage.
« Si les crottins de cheval ne vous dérangent pas, entrez donc ! » Rien ne sépare l’entrée de la propriété de Róbert Vékás du chemin de terre, seuls des plots colorés en bois ont été plantés autour de la maison. Des fleurs ont été disposées entre les racines des arbres, tandis que les fraisiers occupent le reste du terrain. Il y a une époque où la clôture allait jusqu’au bout, mais elle a été volée. Róbert ne semble pas plus perturbé que ça ; il est d’un tempérament pacifique, nous explique-t-il. Quand il fait beau et qu’il est à la maison, il sort volontiers fumer dans son vieux fauteuil en cuir, à quelques mètres des chevaux de son beau-frère." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr

Présentation de livre - Vasarely, une saga dans le siècle 26 juin 2019 à 19h30 - Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr

Plasticien singulier dans l’histoire de l’art du XXe siècle, Victor Vasarely a laissé une œuvre riche de plus de dix mille tableaux. C'était aussi l’artiste phare d'une époque, celle des années 60 et 70. Cet ancien étudiant du Műhely de Budapest, fasciné par le Bauhaus, devenu artiste-graphiste dans des agences publicitaires comme Havas, a su créer son propre style, l’op art ou art optique qui promeut la volonté d’un art social, accessible à tous. Il devient de son vivant une véritable star, peu à peu tombé dans l’oubli alors que ses œuvres sont incontournables : on retrouve sa patte dans l’architecture, la mode, la musique – David Bowie utilise un de ses tableaux pour la pochette de son album Space Oddity –, la littérature – Jacques Prévert lui dédie le poème . « Imaginoires » – et même l’automobile, avec le logo Renault. Au sommet de sa gloire, il ouvre deux musées en Hongrie et une fondation en France. Il y fait don de ses œuvres, sans imaginer qu’il ouvre ainsi la porte à une guerre de succession qui se déclenche après sa mort en 1997. Pierre, son unique petit-fils, nous raconte son grand-père pour la première fois : son incroyable parcours, son art, ses amours, et la saga familiale et judiciaire entourant son héritage.
Intervenants : Pierre Vasarely, président de la Fondation Vasarely, Philippe Dana, journaliste
Entrée libre