dimanche 31 mai 2020

Depuis dix ans au pouvoir en Hongrie, Viktor Orban l’idole des populistes: interview d’Amélie Poinssot

"Interview d’Amélie Poinssot, journaliste, autrice de l'ouvrage "Dans la tête de Victor Orban" (Actes sud)." A écouter sur rts.ch

Voir aussi Les Mardis hongrois invitent Amélie Poinssot le 30 avril 2019

Le président serbe satisfait des progrès réalisés dans la construction du chemin de fer Belgrade-Budapest

"Le chemin de fer Belgrade-Budapest est d'une importance capitale pour les relations entre la Chine et la Serbie, le niveau de vie des citoyens et la circulation des marchandises, a déclaré samedi le président serbe Aleksandar Vucic, exprimant sa satisfaction quant à l'avancement des travaux de construction jusqu'à présent.
M. Vucic a fait ces remarques lors de sa visite du chantier de construction de China Railway International (CRI) et de China Communications Construction Company (CCCC) dans la ville de Stara Pazova, en compagnie de l'ambassadrice de Chine en Serbie, Chen Bo.
"C'est important pour nos relations, et cela augmentera le niveau de vie des citoyens et la circulation des marchandises, ce qui est extrêmement important pour notre économie. Ce sont les choses que nous allons laisser derrière nous, des choses révolutionnaires auxquelles on ne croit pas tant qu'on ne les a pas vues", a-t-il déclaré." La suite sur china.org.cn

La Hongrie pourrait sortir de l’état d’urgence avant la France

"Pour lutter contre la pandémie, une douzaine d’États européens a décrété l’état d’urgence sanitaire. Parmi eux, la Hongrie de Viktor Orban a pris des mesures particulièrement fortes et suscité des inquiétudes au niveau européen. Le 20 juin devrait marquer la fin de cet état d’exception.
États d’urgence, restrictions des libertés individuelles… les mesures prises pour lutter contre l’épidémie de coronavirus en Europe inquiètent. Au sein de l’Union européenne, un pays en particulier a suscité des inquiétudes : le cas hongrois.
L’État d’urgence y a été voté dès le 11 mars puis prolongé deux semaines plus tard pour une durée illimitée. La Commission européenne s’inquiète notamment des dérogations au droit du travail permises par l’état d’urgence en Hongrie, ainsi que de possibles atteintes à la protection des données. Mais la source d’inquiétude majeure reste la diffusion de « fausses nouvelles » sur le virus ou sur l’action du gouvernement devenue passible de 5 ans de prison. Pour les organisations de défense de la presse, cette mesure ouvrait la voie à la censure." La suite sur publicsenat.fr

samedi 30 mai 2020

Le blues des artistes privés de scène et de revenus en Allemagne et Hongrie

"Près de Francfort en Allemagne, le bassiste Willy Wagner a le blues. Comme des milliers de musiciens en Europe, il subit les répercussions de la pandémie de coronavirus. Lui qui a assuré les premières parties des concerts de The Cure, Ringo Starr ou encore Michael Jackson se retrouve privé de la majeure partie de ses revenus faute de scène.

"Avec le virus, le sol s'est effondré sous nos pieds"
Alors, il maintient ses cours de guitare en utilisant WhatsApp du fait de la situation sanitaire. "Le COVID-19, c'est le pire scénario pour nous, les artistes indépendants," lance-t-il. "Tout d'un coup, notre profession a cessé d'exister : le sol s'est effondré sous nos pieds avec le virus." La suite et vidéo sur euronews.com

En Hongrie, les spectateurs retournent dans les stades en nombre restreint

"OTP BANK LIGA - Outre le championnat biélorusse, qui a continué à se poursuivre avec des spectateurs malgré la pandémie de coronavirus, la Hongrie est le premier championnat d'Europe à accueillir de nouveau du public. Les supporters seront répartis de façon à ne pas occuper plus d'un siège sur quatre, avec au moins un rang horizontal de séparation.
C'est une grande première en Union Européenne depuis mars dernier. Dès vendredi, les spectateurs hongrois vont retrouver, en audience restreinte, les gradins des stades. La jauge des tribunes sera réduite : les spectateurs seront répartis de façon à ne pas occuper plus d'un siège sur quatre, avec au moins un rang horizontal de séparation entre eux. "Les clubs organisateurs des rencontres doivent veiller à ce que la distance sociale soit maintenue dans les tribunes afin de garantir les conditions du contrôle épidémiologique", a prévenu la fédération nationale (MLSZ) dans un communiqué jeudi." La suite sur eurosport.fr

La Hongrie réitère sa position officielle vis-à-vis de la question du Sahara marocain

"La Hongrie a réitéré sa position officielle sur le Sahara marocain, affirmant qu’elle n’entretient aucune relation avec la pseudo +rasd+.
Dans une correspondance adressée à l’ambassade du Maroc à Budapest, le ministère hongrois des Affaires étrangères et du commerce a réitéré la position officielle du pays sur le Sahara marocain, affirmant que “la Hongrie n’entretient aucune relation avec la pseudo +rasd+”, indique vendredi un communiqué de l’ambassade du Royaume." La suite sur maroc-diplomatique.net

Premier anniversaire du naufrage mortel à Budapest

"(Budapest) La Hongrie a commémoré vendredi la mort il y a un an d’au moins 27 personnes, principalement des touristes sud-coréens, dans le naufrage d’un bateau de tourisme sur le Danube, l’un des pires accidents fluviaux de son histoire.
Le 29 mai 2019, le petit bateau d’excursion Sirène transportant 33 Sud-Coréens et deux membres d’équipage hongrois a coulé en quelques secondes après avoir percuté le navire de croisière fluviale Viking Sigyn, immatriculé en Suisse.  
Sept touristes sud-coréens ont survécu au naufrage. Les corps de 27 victimes ont été retrouvés au fil de plusieurs semaines de recherches. Une personne reste portée disparue." La suite sur lapresse.ca

Le forint hongrois pénalisé par la prudence de sa banque centrale

"(AOF) - Le forint hongrois a abandonné 0,4% cette semaine à 0,0029 euro, pénalisé par le message prudent de la Banque centrale de Hongrie (MNB). L'institution a, sans surprise, maintenu son principal taux d'intérêt à 0,90%. Toutefois, confronté à la faiblesse de l'inflation, tombée à 2,38% en avril contre 3,9% en mars et un objectif de 3%, la banque centrale a laissé la porte ouverte à une prochaine baisse des taux. Une décision qui permettrait par ailleurs de soutenir une économie hongroise menacée de récession." Source : boursorama.com

« Tous les Hongrois ne sont pas irrédentistes ». Démythifier Trianon avec l’historien Balázs Ablonczy

"La Hongrie célèbre le 4 juin prochain le centenaire de la signature du traité de Trianon. Cet événement historique majeur trouve aujourd'hui encore, dans la Hongrie de Viktor Orbán, un écho tout à fait singulier. Éclairage avec l'historien Balázs Ablonczy.
Le traité de Trianon signé le 4 juin 1920 au palais du Grand Trianon à Versailles a entériné une Hongrie indépendante, mais amputée de la majorité de ses territoires. Ses répercussions se font encore sentir et, cent ans après, le "Diktat" reste encore l'objet de nombreux mythes.
Le Courrier d'Europe centrale est allé à la rencontre de l'historien Balázs Ablonczy. Ancien directeur de l'Institut hongrois de Paris, il est l'actuel coordinateur du groupe de recherche "Trianon 100". . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Des opposants hongrois arrêtés par la police pour des messages sur Facebook

"VU D’AILLEURS - Depuis la semaine dernière, plusieurs opposants hongrois ayant critiqué le régime de Viktor Orban se sont fait arrêter. La police les accuse de propager de fausses informations, délit désormais passible de cinq ans de prison.
Par Michał Kokot (Gazeta Wyborcza)
Mardi dernier, la police est venue arrêter un habitant de 64 ans de la petite ville de Szerencs, au nord du pays. Motif: une critique du Premier ministre hongrois Viktor Orban publiée sur Facebook: «Tu es un tyran impitoyable, mais souviens-toi d’une chose: les dictatures ont toujours fini par tomber». Même s’il a été libéré dans la journée, la police a mis en ligne, sans raison précise, l’enregistrement de son arrestation.
Le lendemain, à six heures du matin, c’était au tour de János Csóka-Szucs d’être arrêté dans la ville de Gyula, à l’est du pays, également pour un message publié sur Internet. Sur Facebook, dans un groupe privé d’habitants, il avait informé de la libération de lits d’hôpitaux dans tout le pays afin d’accueillir des patients atteints du Covid-19 (ce qui était vrai).
Csóka-Szucs est membre du parti d’opposition Momentum. Les policiers ont saisi son téléphone et son ordinateur et ne l’ont pas ramené chez lui après l’interrogatoire." La suite sur lefigaro.fr (article payant)

vendredi 29 mai 2020

Démonstration de force de « crânes rasés » à Budapest

"Des militants d'extrême-droite et des ultras de clubs de foot se sont rassemblés dans le centre-ville de Budapest jeudi en mémoire de deux jeunes tués dans une rixe. La police n'est pas intervenue contre cette manifestation illégale qui visait aussi directement la minorité rom.
Les images renvoient aux souvenirs de la Magyar Gárda défilant dans la capitale hongroise au tournant des années 2010, à l'époque où le Jobbik était une formation d'extrême-droite prenant pour cible la minorité rom et militait contre la « criminalité tsigane . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

L’état d’urgence levé en Hongrie. Les détracteurs d’Orbán « ont du mal à manger leur chapeau », estime l’ambassadeur hongrois en France

"L’état d’urgence sanitaire entré en vigueur le 11 mars, qui a provoqué une controverse internationale, sera levé le 20 juin. Estimant avoir fait l’objet d’un procès en sorcellerie, les représentants hongrois demandent aujourd’hui des comptes à leurs accusateurs. Ces derniers « ont du mal à manger leur chapeau » aujourd’hui, estime l’ambassadeur hongrois en France. C’est peu dire que l’état d’urgence décrété en Hongrie a suscité la controverse. L’opposition domestique en Hongrie a rejeté en bloc le texte de loi qui conférait des pouvoirs exceptionnels à l’exécutif. Si elle reconnaissait bien volontiers la nécessité d’adopter des mesures exceptionnelles pour répondre à une crise exceptionnelle, celle du coronavirus, comme le faisaient d’autres pays en Europe, son caractère illimité dans la durée l’empêchait toutefois de l’approuver." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr

Dix ans de pouvoir: la métamorphose de Viktor Orban

"PORTRAIT - À la tête de la Hongrie, le premier ministre n’a eu de cesse de renforcer son autorité, au prix de profondes divisions.
Le sens du rapport de force et l’art du contre-pied. Une fois de plus, à sa manière inimitable, Viktor Orban a su tirer profit des circonstances pour donner le tournis à ses adversaires et resserrer son emprise sur les institutions. Fin mars, au nom de l’urgence sanitaire, l’assemblée contrôlée aux deux tiers par sa formation politique l’a autorisé à gouverner par décret - et ce sans limitation de temps. Stupeur.
L’opposition crie au coup de force, le Parlement de Strasbourg dénonce une dérive «incompatible avec les valeurs européennes». Le premier ministre hongrois, qui n’aime rien tant que se trouver ainsi cloué au pilori, laisse dire. Puis il sonne la fin de la partie. Mardi 26 mai, alors que des mesures d’exception demeurent en vigueur dans plusieurs pays d’Europe occidentale, son gouvernement annonce la levée prochaine de «l’état de péril». Le soufflé retombe, la ministre de la Justice réclame des excuses." La suite sur lefigaro.fr (article payant)

Viktor avant Orbán

"L’homme fort « illibéral » de Hongrie fête ce vendredi ses dix ans au pouvoir. En 1992, deux ans avant son virage à droite, il a fait un long voyage à travers les Etats-Unis avec dix autres jeunes Européens, un épisode qu’il a gommé de son CV. Notre journaliste Pascal Riché était du voyage.
Le 25 juillet 1992, cinq Européens roulent sur une magnifique route de l’Oregon : un Allemand, Wolfgang, une Polonaise, Malgorzata (« Gosha »), un Hongrois, Viktor, une Néerlandaise, Pauline, et un Français. Ils ne se connaissent que depuis quatre semaines, mais leurs aventures à travers les Etats-Unis les ont rapprochés. Ils font escale dans la spectaculaire gorge du Columbia pour admirer une magnifique cascade. Puis un policier les arrête pour excès de vitesse. A la surprise des autres passagers, Viktor, qui conduit une des deux voitures, engueule l’agent avec de grands gestes et dans un très mauvais anglais. Le flic est impressionné, mais reste calme, au soulagement des quatre autres. La petite équipe arrive finalement à destination : la réserve indienne d’Umatilla. Un grand panneau « Bingo » indique le point de rendez-vous.
Une Indienne, Margueritte, leur fait visiter la réserve, ils rencontrent des représentants des trois tribus confédérées (Cayuse, Umatilla et Walla Walla), puis se retrouvent à déjeuner au Cay-Uma-Wa Center en compagnie des membres du conseil. Ces derniers exposent leurs difficultés, leurs problèmes d’identité, les injustices économiques qu’ils subissent. Tout à coup, Viktor sort de son silence et les interrompt. Il les interroge sur leurs droits fonciers, leurs compétences en gestion. Puis, après avoir entendu leurs réponses, il leur présente avec assurance ce qu’il considère comme un business plan." La suite sur nouvelobs.com (article payant)

"Unreported Europe" : la mélancolie des artistes face au COVID-19

"Des dates qui s'annulent en cascade... La réalité brutale de la crise sanitaire pour les artistes en Europe.
Adam Mozer est accordéoniste à Budapest. En temps normal, il compte en moyenne une vingtaine d’événements par mois. Aujourd’hui, plus rien. Il continue toutefois de transmettre sa musique depuis son balcon et sur Internet. Il y a trouvé un autre public.
Depuis que je fais des concerts sur mon balcon, beaucoup de gens me suivent sur Facebook. Certains m'ont envoyé des dons, d'autres m'ont dit qu'ils aimeraient m'aider, car tout le monde sait que les artistes indépendants, les acteurs, les musiciens n'ont aucun revenu à l'heure actuelle.
Adam Mozer
Accordéoniste à Budapest"
La suite sur euronews.com

Réouverture de la frontière entre Hongrie et Serbie : entre retrouvailles familiales et clandestins

"Le trafic a repris au poste frontière de Röszke. Depuis lundi, tout le monde peut traverser la frontière entre la Hongrie et la Serbie sans mise en quarantaine. Mais les effets de l'épidémie de coronavirus se font toujours sentir. Ici, après le Ramadan d'habitude, la file d'attente est immense, mais aujourd'hui il n'y a qu'une demi heure d'attente.
Ce Turc a fait 3 000 km en moto pour venir voir sa famille. Comme lui, beaucoup de gens ici viennent rendre visite à des proches.
"Notre maman est très malade, dit cet homme, et ça fait deux mois que nous ne pouvons pas lui rendre visite à cause de la fermeture"." La suite sur euronews.com

En Hongrie, Viktor Orban met fin à ses pleins pouvoirs

"L’opposition et des ONG avaient dénoncé un texte, adopté le 30 mars par le Parlement, qui permettait au premier ministre de légiférer par décret sur de nombreux sujets.
« La Hongrie mérite des excuses ». C’est ainsi que la ministre de la justice hongroise, Judit Varga, a présenté, mardi 26 mai, le projet de loi visant à mettre fin aux très contestés pouvoirs spéciaux attribués à Viktor Orban à la faveur de la lutte contre le coronavirus. Adopté le 30 mars par le Parlement hongrois, l’état d’urgence avait donné au premier ministre nationaliste le pouvoir de légiférer par décret sur de vastes sujets.
L’opposition et des ONG hongroises avaient alors dénoncé un texte qui donnait des « pleins pouvoirs » au maître de Budapest, connu pour avoir multiplié les atteintes à l’Etat de droit depuis son retour au pouvoir, en 2010. Contrairement aux autres pays européens, l’état d’urgence n’avait en Hongrie aucune limite définie de durée. Et le texte prévoyait aussi de punir jusqu’à cinq ans d’emprisonnement « la propagation d’informations alarmantes ». Certains médias et responsables politiques étrangers avaient été jusqu’à craindre l’établissement d’une « dictature », une exagération désormais utilisée par le pouvoir hongrois." La suite sur lemonde.fr (article payant)

Les supporters hongrois de retour au stade

"Les spectateurs hongrois vont retrouver dès vendredi, en audience restreinte, les gradins des stades de football du pays.
Il s'agit d'une première en Europe, où la reprise de plusieurs championnats nationaux s'est faite à huis clos.
La jauge des tribunes sera réduite: les spectateurs seront répartis de façon à ne pas occuper plus d'un siège sur quatre, avec au moins un rang horizontal de séparation entre eux. "Les clubs organisateurs des rencontres doivent veiller à ce que la distance sociale soit maintenue dans les tribunes afin de garantir les conditions du contrôle épidémiologique", a prévenu la fédération nationale (MLSZ) dans un communiqué jeudi." La suite sur laliberte.ch

jeudi 28 mai 2020

« Trianon 100 », une mission scientifique au service d’un centenaire délicat

"Il y un siècle, à l’issue de la Première Guerre mondiale, la Hongrie – tout en retrouvant sa pleine et entière souveraineté – se voyait amputée d’une grand part de son territoire. Comment ce pays, au cœur de l’actualité européenne, envisage-t-il la commémoration de ce moment structurant de son récit national ?La Hongrie célèbre ce 4 juin le 100e anniversaire du traité de Trianon. Avec le traité de Saint-Germain-en-Laye signé le 10 septembre 1919, cet accord était destiné à régler les conditions de la paix, à l’issue de la Grande Guerre, entre les puissances alliées et les États succédant à l’Empire austro-hongrois disparu, soit l’Autriche et la Hongrie. Si Trianon permet à la Hongrie de recouvrer sa pleine et entière souveraineté comme État indépendant, il constitue aussi un profond traumatisme en raison de ses implications territoriales et de l’amputation des deux tiers de son territoire au profit de ses voisins immédiats que sont alors la Roumanie, la Yougoslavie, la Tchécoslovaquie et, dans une moindre mesure, l’Autriche." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr

En Hongrie, les Roms redoutent un retour aux années noires

"Viktor Orbán s’oppose à une décision de justice qui prévoit d'indemniser des élèves victimes de ségrégation à l’école. Les Roms ont peur de devenir un nouveau bouc émissaire pour le gouvernement. Reportage à Gyöngyöspata.
Gyöngyöspata (Hongrie), envoyé spécial.– Le portable de Géza Csemer sonne souvent. Des journalistes veulent parler au représentant local de la minorité rom qu’il est. Ce n’est pas bon signe. La dernière agitation de ce genre remonte au début de l’année 2011, quand le Jobbik d’extrême droite avait lancé ses « associations d’autodéfense » contre la « criminalité tsigane », pour défier le Fidesz de Viktor Orbán, trop laxiste à son goût." La suite sur mediapart.fr (article payant)

La crise vue de Hongrie

"Avec Corentin Léotard, correspondant de Mediapart à Budapest.A 20:53"
A voir et écouter sur mediapart.fr

La Banque centrale de Hongrie laisse son principal taux inchangé

"(AOF) - La Banque centrale de Hongrie (MNB) a maintenu mardi son principal taux d'intérêt à 0,90%. Cette décision était attendue par les économistes. "Conformément aux attentes, l'indice des prix à la consommation est tombé sous la cible de la banque centrale en avril, principalement en raison d'une baisse importante des prix des carburants", explique l'institution. "Par la suite, l'inflation devrait se stabiliser progressivement à l'objectif de 3 %", ajoute la MNB." La suite sur boursorama.com

La Roumanie et la Hongrie entendent améliorer leurs relations bilatérales


"BUCAREST, 26 mai (Xinhua) -- Les ministres roumain et hongrois des Affaires étrangères se sont rencontrés mardi pour discuter des moyens d'améliorer les relations entre leurs deux pays.
"La Roumanie est tout à fait désireuse de sortir d'une logique de défiance et de confrontation et nous proposons de créer les prémices de la construction d'une relation roumano-hongroise qui soit européenne, concrète, civilisée, moderne et constructive", a dit le chef de la diplomatie roumaine Bogdan Aurescu lors d'une conférence de presse conjointe avec son homologue hongrois, Peter Szijjarto.
Souhaitant que cette relation soit marquée par "une approche positive" et un "bon voisinage", il a exhorté à ce qu'elle soit épargnée de toute "dégradation injustifiée", alors que des tensions sont récurrentes entre les deux pays sur la question de la minorité magyare en Transylvanie (ouest de la Roumanie)." La suite sur xinhuanet.com

La Hongrie a passé commande pour un lot de missiles AMRAAM-ER.

"Première étape.
La DSCA, agence américaine chargée de la coopération en matière de défense et sécurité, a annoncé le feu vert du département d'Etat dans le cadre de la vente de 60 missiles sol-air AMRAAM-ER de Raytheon à la Hongrie. Le montant de ce contrat, qui doit désormais être approuvé par le Congrès, est estimé à 230 M$." La suite sur air-cosmos.com

mercredi 27 mai 2020

Hongrie : Dix groupes sociaux sur lesquels le NER s’est passé les nerfs

"Le « Système de Coopération Nationale » décrété par la droite hongroise en 2010 n’a pas fait que des gagnants. Le média de gauche Mérce fait le bilan d’une décennie durant laquelle les femmes, les Roms, les travailleurs, et d’autres groupes encore, ont été rudement malmenés par les nationaux-conservateurs de Viktor Orbán . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

La Hongrie prévoit de lever l'état d'urgence le 20 juin

"L'état d'urgence controversé adopté en Hongrie pour lutter contre le coronavirus devrait être levé le 20 juin, a indiqué mardi le gouvernement. Le premier ministre Viktor Orban est accusé d'avoir profité de la pandémie pour renforcer son pouvoir.
'Un projet de loi appelant le gouvernement à mettre fin à l'état d'urgence sera soumis au Parlement aujourd'hui', a écrit la ministre de la justice Judit Varga sur Facebook. 'Avec l'adoption de cette loi, l'état d'urgence devrait prendre fin le 20 juin en Hongrie', ajoute-t-elle.
La législation d'urgence adoptée le 30 mars a accordé au premier ministre nationaliste le pouvoir de gouverner par décret jusqu'à ce que son cabinet déclare la fin de la pandémie. Certains des plus de 100 décrets publiés depuis ont restreint les pouvoirs des municipalités et leurs moyens financiers pour combattre la pandémie." La suite sur rtn.ch

En Hongrie, ils changent de métier à cause de la crise du coronavirus

"Ils sont des dizaines de milliers en Hongrie à avoir dû s'adapter pour survivre financièrement face à la crise du coronavirus. Parfois même jusqu'à changer de métier. Reportage de notre correspondant en Hongrie.Mihály Nagy est un photographe aguerri. Mais avec l'annulation de tous les mariages et événements, sa source de revenus a disparu. Alors pour subvenir à ses besoins, il est devenu livreur de plats à emporter.
Non inclus dans la commande : un appareil photo, dont il fait usage pour capturer ces rencontres éphémères, qu'il diffuse ensuite sur les réseaux sociaux." La suite sur euronews.com

Les Aventuriers Magyars – #7 József Szabó, l’Ukrainien du Royaume de Hongrie

"Tout au long du mois de mai, Footballski brosse le portrait d’entraîneurs hongrois qui, à différents moments du XXe siècle, sont partis exercer leur métier à l’étranger. Attirés par le goût de l’aventure ou fuyant un antisémitisme galopant, tous ont laissé une trace loin de chez eux. Une trace parfois indélébile et, surtout, souvent méconnue. Septième épisode de notre série avec József Szabó, le plus ukrainien des Hongrois.
Difficile de se repérer lorsque l’on se renseigne sur József Szabó. On trouve d’emblée plusieurs manières d’écrire et de prononcer le nom de cet enfant de la Transcarpatie, une région qui changea de maître plusieurs fois au cours de son histoire. József, Yozhef puis Szabó et Sabo, selon qu’on l’écrive à l’ukrainienne, à la soviétique ou à la hongroise. S’il est le plus hongrois des Ukrainiens, l’inverse est aussi vrai. C’est à travers ses trois nationalités que l’on découvre la carrière de József Szabó, une des figures les plus emblématiques du Dynamo Kiev." La suite sur footballski.fr

Bruno Tertrais : Cent ans après, la Hongrie n'a pas oublié ses territoires perdus

"En Roumanie, la minorité hongroise des Sicules tente de faire entendre sa voix. Dans la Hongrie voisine, on n'a pas oublié ces terres arrachées par le traité de Trianon. Connaissez-vous les Sicules ? Ces quelque 600 000 personnes, les székely, constituent environ la moitié de la minorité hongroise de Roumanie. Ils célèbrent tous les 10 mars le "jour de la liberté du Széklerland", un Etat imaginaire mais aux traditions profondément ancrées dans l'histoire, avec drapeau, blason et hymne national. Cette année, le rassemblement n'a pas eu lieu, Covid-19 oblige. Mais le 23 avril fut un beau jour : leur région de 12 000 kilomètres carrés, au beau milieu de la Roumanie, s'est vue octroyer un statut d'autonomie par l'Assemblée nationale de Bucarest. Pas de chance pour les Sicules, le Sénat roumain a ensuite refusé de valider le texte : celui-ci n'avait en effet été adopté que... tacitement, faute de réunion des parlementaires. Et le président Klaus Iohannis a annoncé qu'en tout état de cause il ne promulguerait pas une telle loi.
Il est vrai que la minorité hongroise du pays a toujours été remuante. Et que les dirigeants du pays se souviennent que la politique d'intégration forcée du pouvoir communiste fut, à la fin des années 1980, à l'origine de la révolte contre le pouvoir des Ceausescu, dont l'exécution fut le point d'orgue de la révolution de décembre 1989. Dans la Hongrie voisine, on ne les a pas oubliés. Pas plus d'ailleurs qu'on a oublié les magyarophones de Slovaquie, de Serbie, d'Ukraine et de Croatie... Des terres arrachées, avec plus de 3 millions d'habitants, à l'empire austro-hongrois par "l'infâme" traité de Trianon, un "diktat" et la "plus grande des tragédies hongroises", signé il y a exactement un siècle, le 4 juin 1920 à Versailles, date aujourd'hui commémorée comme "jour de l'unité nationale"." La suite sur lexpress.fr (article payant)

«Le pouvoir hongrois se fiche de la vie des gens»

"Le recul des droits LGBTQ+ est tangible en Ukraine et en Hongrie, où les voix militantes ne se laissent pas réduire au silence. Le point avec un journaliste queer et un activiste de ces deux pays.
Fin mars, l’Europe découvrait comment les autorités hongroises avaient entrepris de rendre légalement impossible tout changement de sexe à l’état-civil. La semaine dernière, une majorité écrasante du Parlement dominé par le parti Fidesz a adopté une loi qui définit le sexe comme une donnée génétique immuable, avec des conséquences dramatiques pour les personnes trans*. Le texte est désormais entre les mains du président, János Áder." La suite sur 360.ch 

mardi 26 mai 2020

Une démocratie par endroits affaiblie

"Ce mardi, au Parlement de Hongrie, sera déposée une motion pour mettre fin aux pouvoirs spéciaux accordés à Viktor Orban pendant l’état d’urgence. Une décision attendue. Le 15 mai dernier, Viktor Orban avait lui-même annoncé que ces pouvoirs spéciaux allaient être rendus d’ici la fin mai.
Le premier ministre peut en effet, depuis le 30 mars dernier, gouverner par décret. Et ce, jusqu’à la fin de la pandémie. Une décision qui avait provoqué une vague d’émotion dans le pays et en Europe, beaucoup l’accusant de profiter de la crise pour affaiblir la démocratie en Hongrie.
Le souverainiste, au pouvoir depuis presque dix ans, reste aussi dans le viseur des instances européennes. En septembre 2018, les députés européens ont voté pour le déclenchement d’une procédure de sanctions en raison des menaces qui pèsent sur l’indépendance de la justice, la liberté d’expression, la corruption, le droit des minorités et la situation des migrants et des réfugiés." La suite sur lanouvellerepublique.fr

Comme en 1920, Budapest se figera une minute en mémoire du traité de Trianon

"Le maire progressiste de Budapest, Gergely Karácsony, a demandé à tous les Budapestois de se figer et de se recueillir une minute à l'occasion du centenaire du traité de Trianon, le 4 juin prochain.
Jeudi 4 juin à 16h30, la capitale de la Hongrie va observer une minute de recueillement en mémoire de la signature du traité de Trianon, signé à Versailles exactement cent ans plus tôt, qui entérinait . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

lundi 25 mai 2020

Démocratie - En Hongrie, on muselle la liberté d’expression… Comme avant !

"Deux personnes ont été interpellées la semaine dernière en vertu d’une récente loi anti-fake news pour avoir taclé sur Facebook la gestion gouvernementale de la crise du coronavirus. L’hebdomadaire d’opposition Magyar Narancs compare les méthodes de l’exécutif conservateur à celles du défunt régime communiste.
“Tremble, colporteur de nouvelles alarmantes tapi dans l’ombre !” Détournant le slogan d’une célèbre affiche de propagande communiste, la revue Magyar Narancs dénonce, après l’arrestation de deux personnes à l’origine de posts Facebook critiques sur la lutte contre le coronavirus en Hongrie, une réaction digne du régime prosoviétique disparu. Dans le dessin de la une de Magyar Narancs, le Premier ministre, Viktor Orbán, incarne le visage de l’intimidation remplaçant le soldat d’origine." La suite sur courrieinternational.com

Covid 19.Attention à ne pas stigmatiser davantage les personnes âgées  !

"Les gouvernements doivent permettre aux actifs de reprendre le cours de leur existence, bouleversée par la pandémie. Sinon, les jeunes vont finir par accuser les plus âgés d’être responsables de leur sort, affirme cet éditorialiste hongrois.
Cet article est extrait de notre dossier La lutte des âges. Publié le 20 mai 2020, il décrit la façon dont la pandémie touche particulièrement deux générations : les plus âgés, pour lesquels le Covid-19 est beaucoup plus meurtrier, et les jeunes, sur lesquels la récession qui s’annonce va lourdement peser." La suite sur courrierinternational.com (article payant)

La médecine chinoise sera enseignée à l’Université Semmelweis de Budapest

"La prestigieuse université de médecine de Budapest va ouvrir un département dédié à la médecine chinoise . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Le Pays sicule, passeport roumain et cœur hongrois

"Voilà un siècle que la Transylvanie a été rattachée à la Roumanie par le biais du traité de Trianon. Pourtant, au centre du pays, un peuple magyarophone résiste encore et toujours à celui qu’il considère comme un envahisseur. Plus que jamais, encouragé par Viktor Orbán, le Pays sicule clame son indépendance.
La Roumanie célébrera pour la première fois le 4 juin prochain le « Jour du traité de Trianon ». Un véritable affront pour la Hongrie voisine. Car cette décision votée – non sans provocation – par la Chambre des députés intervient dans un contexte de tensions croissantes entre Bucarest et Budapest.
Si elles ne sont pas nouvelles, celles-ci promettent d’atteindre un nouveau pic à l’occasion du 100e anniversaire du texte, adopté à Versailles en 1920, qui a notamment imposé aux Magyars la cession de la Transylvanie à la Roumanie." La suite sur lesoir.be (article payant)

dimanche 24 mai 2020

Foot : en Tchéquie et en Hongrie aussi, le ballon roule de nouveau

"Une semaine après l’Allemagne, le football reprend progressivement ses droits en Europe centrale, à commencer dès ce samedi par la République tchèque et la Hongrie, deux pays relativement épargnés par la pandémie de coronavirus. Alors que certains amateurs de football en France continuent de peiner à faire le deuil d’une fin de saison 2019-2020 arrêtée dès la fin avril, et que l’horizon pour les principaux championnats européens, en Angleterre, en Espagne et en Italie, reste encore flou et incertain, l’Europe centrale et de l’Est s’apprête, elle, à retrouver le chemin de ses stades, même si ceux-ci resteront bien évidemment fermés au public pour quelque temps encore." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr

Ce jour-là : la Hongrie atomise l'Angleterre à Budapest

"Six mois après le " match du siècle " de Wembley, le 23 mai 1954, le Onze d'or hongrois donne à nouveau une leçon à l'Angleterre (7-1).
Fin juin 2016, la Hongrie, pour la première fois en cinquante ans, passe un tour dans une phase finale d'un grand tournoi. À l'EURO 2016, sa victoire face à l'Autriche et ses nuls contre l'Islande et le Portugal lui permettent de remporter son groupe et d'affronter la Belgique en huitième de finale. Chez nous, les Magyars sont alors considérés comme un adversaire "abordable" voire "facile". Et on ne s'y trompe pas puisque l'équipe hongroise, coachée par un certain Bernd Storck, ne fait pas le poids face aux Diables et à un Eden Hazard des grands soirs (0-4). Un peu plus de soixante ans plus tôt, la donne aurait été bien différente : durant la première moitié des années cinquante, la Hongrie est tout simplement considérée comme la meilleure équipe du monde." La suite sur levif.be

samedi 23 mai 2020

L´Orchestre du Festival de Budapest (BFZ) : Iván Fischer nous annonce un retour en force pour la saison 2020-2021

Par Pierre Waline
"Conférence vidéo
Tout d´abord deux invités de marque pour introduire cette „téléconférence” de presse : Gergely Karácsony, maire de Budapest et Péter Fekete, secrétaire d´État en charge de la culture. Tous deux soulignant le rôle capital que joue la formation d´Iván Fischer pour promouvoir l´image de Budapest et de la Hongrie de par le monde.
Formation qui avait connu un moment des soucis d´ordre financier (alors contrainte de renoncer à certaines de ses activités). Conscients du besoin impératif de mettre fin à ces incertitudes et de stabiliser la situation, tous deux nous annoncent l´aboutissement de négociations pour assurer désormais à terme un financement public à même de permettre à l´Orchestre de poursuivre ses activités (à raison de 1,650 milliards de forints, équivalent 4,7 millions d´euros). Certes, un montant qui reste en retrait par rapport aux grandes formations de l´étranger, mais permet néanmoins d´assurer un fonctionnement sans entrave (compte tenu des dons et recettes propres qui s´y ajoutent). Tous deux par ailleurs empressés de louer les efforts déployés par les musiciens d´Iván Fischer pour ce soutien apporté aux auditeurs confinés par la diffusion régulière de récitals de chambre sur internet tout au long de cette période de pandémie („Soirées de quarantaine”). Péter Fekete soulignant au passage le statut particulier de la formation, sous la forme juridique d´une fondation, qui, dans un souci d´unité, se verra désormais administrativement regroupée avec les autres formations de la capitale sous un chapeau commun." La suite sur jfb.hu

vendredi 22 mai 2020

Route - Le Tour de Hongrie espère attirer des équipes du World Tour

"Dans la semaine, l'UCI a annoncé le calendrier complet de la fin de la saison. Comme cela avait été annoncé précédemment, le Tour de France se disputera du 29 août au 20 septembre. Une autre épreuve débutera le 29 août : le Tour de Hongrie (29 août - 2 septembre). Elle était initialement prévue du 13 au 17 mai, soit en même temps que le Tour d'Italie qui devait partir également de Hongrie. Contrairement à ce qu'on aurait pu penser, les organisateurs voient d'un bon oeil ce chevauchement avec le Tour de France. Ils espèrent de cette manière attirer des équipes World Tour qui voudront faire courir le reste de leur effectif." La suite sur cyclismactu.net

(COVID-19) Hongrie : réouverture des écoles le 2 juin avec des restrictions

"ACTUALITES BUDAPEST, 21 mai 2020 (Yeclo avec Xinhua) — Les écoles hongroises pourront rouvrir à partir du 2 juin mais seulement pour des petits groupes ou des entretiens individuels, a annoncé jeudi un responsable du gouvernement.
Dans une interview accordée à la radio publique MR1, le secrétaire d’Etat à l’Education publique Zoltan Maruzsa a déclaré que l’enseignement à distance, introduit à la mi-mars en raison de l’épidémie de nouveau coronavirus, serait maintenu jusqu’aux vacances d’été.
« Cependant, la stricte interdiction qui a été mise en place le 14 mars sera levée le 2 juin afin que là où cela est nécessaire, de petits groupes, des entretiens individuels ou des sessions de rattrapage seront autorisés », a expliqué le secrétaire d’Etat." La suite sur yeclo.com

"Israël peut compter sur nous à l'ONU" (ministre hongrois des Affaires étrangères)

"Israël peut compter sur le point de vue juste et équilibré de la Hongrie"
"La Hongrie continuera de défendre Israël au sein de l'Union européenne, des Nations Unies et de la Cour pénale internationale", a déclaré jeudi le ministre hongrois des Affaires étrangères Péter Szijjártó lors de son premier appel avec le ministre israélien des Affaires étrangères Gabi Ashkenazi.
L'appel est intervenu moins d'une semaine après que la Hongrie et l'Autriche ont été les deux seuls États membres de l'UE à s'opposer à des menaces de sanctions si Israël mettait en oeuvre l'annexion de pans de la Cisjordanie." La suite sur i24news.tv

jeudi 21 mai 2020

La Hongrie met fin à la détention des demandeurs d’asile

"Le gouvernement hongrois a annoncé qu'il se conformerait à l'arrêt de la Cour de justice européenne et fermerait par conséquent les controversées « zones de transit ».
Selon les informations du Comité Helsinki, l'ONG qui a porté l'affaire devant la justice européenne, les deux zones de transit où étaient détenus les demandeurs d'asile à la frontière entre la Hongrie et la Serbie, ont été fermées. Quelques trois cents personnes, essentiellement des familles avec enfants, ont été transférées vers des « logements ouverts ou partiellement ouverts », indique l'ONG, qui se félicite d'une victoire juridique . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Hongrie - Les camps de migrants en zone de transit seront fermés

"Budapest va boucler ses camps de migrants dans les zones de transit après un récent arrêt de la Cour de justice de l’Union européenne.
La Hongrie a annoncé jeudi qu’elle allait fermer les camps de migrants dans ses «zones de transit», après un récent arrêt de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE).
Dans cette décision rendue le 14 mai, la CJUE a exigé la libération des demandeurs d’asile hébergés dans des camps hongrois de la «zone de transit» de Röszke, à la frontière avec la Serbie, estimant qu’ils y étaient «retenus sans motif valable»." La suite sur 20min.ch

Liaison Budapest-Belgrade : le chinois Exim Bank va financer le projet

"Le Parlement hongrois a voté en faveur de la mise au secret pour dix ans des détails du contrat de financement par la Chine de la ligne ferroviaire Budapest-Belgrade. Une infrastructure qui s'inscrit dans le cadre des nouvelles "routes de la soie" de Pékin. 
Les détails du contrat de financement de la ligne ferroviaire reliant Budapest à Belgrade doivent être gardés secrets car leur divulgation pourrait "menacer la capacité de la Hongrie à conduire sa politique étrangère et ses intérêts commerciaux", selon le projet de loi.
La Hongrie compte ainsi se protéger d'une "influence extérieure indue", le projet revêtant "un intérêt national supérieur", assure le texte.
La ligne ferroviaire à grande vitesse permettra de moderniser une liaison existante entre les capitales hongroise et serbe.
En vertu de l'accord signé avec la banque d'État chinoise Exim, la Hongrie financera 85 % des coûts d'investissement (estimés à au moins 2 milliards d'euros) par l'emprunt et les 15 % restants par ses propres fonds." La suite sur lantenne.com 

Annexion de la Cisjordanie : la Hongrie et l'Autriche se sont opposées aux mises en garde de l'UE contre Israël

"Nous pensons qu'Israël est un partenaire stratégique important dans la région méditerranéenne"
La Hongrie et l'Autriche se sont opposées en début de semaine aux mises en garde du haut représentant des Affaires étrangères, Josep Borell, contre l'Etat hébreu en cas d'éventuelle annexion de pans de la Cisjordanie à partir de juillet, a rapporté mercredi le Jerusalem Post.
Mardi, l'UE a demandé au nouveau gouvernement israélien de renoncer à ses projets d'annexion, en lui rappelant la nécessité de respecter le droit international, dans une déclaration approuvée par 25 des 27 Etats membres." La suite sur i24news.tv

Hongrie : un espace pour sans-abris dans les locaux de la mairie de Budapest

"A l'origine, la municipalité de Budapest voulait ouvrir ici un café et un espace d'exposition. Mais l'épidémie de coronavirus a changé les choses. Les autorités ont décidé transformer cet espace en lieu d'accueil pour les sans-abris.
L'espace est situé au rez-de-chaussée de l'Hôtel de Ville. Et il viendra répondre à des besoins, comme le précise Zoltán Guraly, membre de la Fondation Menhely, une ONG qui accompagne les sans-abris.
« Les centres d'accueil n'ont plus accepté de nouveaux résidents après le début de l'épidémie, explique-t-il. Car dans ces structures, à la différence des appartements, il est difficile de rester à l'écart les uns des autres. Il a donc fallu limiter le nombre de personnes dans chaque refuge. Ceux qui étaient à l'intérieur ne pouvaient plus sortir. »
La situation est donc particulièrement difficile pour ceux qui sont restés dans la rue." La suite sur euronews.com

Migrants retenus en zones de transit : la Hongrie campe sur ses positions et défie l'EU

"Un proche du Premier ministre hongrois Viktor Orban a déclaré, mardi, que son pays rejetait un récent jugement de la Cour européenne de justice selon lequel il n'était pas légal de retenir des demandeurs d'asile dans des centres de transit à la frontière avec la Serbie.

"Le gouvernement hongrois n'accepte pas le jugement de la Cour européenne de justice (CJUE) concernant les zones de transit." Dans une déclaration laconique diffusée mardi 19 mai, Gyorgy Bakondi, un proche du Premier ministre hongrois Viktor Orban chargé des questions de sécurité, a balayé d'un revers de manche une décision rendue une semaine plus tôt par la justice européenne.
Celle-ci concerne les cas de deux Afghans et deux Iraniens arrivés en Hongrie depuis la Serbie, respectivement fin 2018 et début 2019. Les quatre hommes ont demandé l'asile depuis le centre de transit de Röszke situé à la frontière serbo-croate, mais leurs dossiers ont été rejetés par la Hongrie qui a ordonné leur expulsion vers la Serbie. Belgrade a alors refusé de reprendre ces ressortissants étrangers qui se sont retrouvés bloqués dans la zone de transit de Röszke." La suite sur infomigrants.net

Amende de 5000 RON pour Iohannis suite à des propos discriminatoires

"Le Conseil national de lutte contre la discrimination (CNCD) a infligé une amende de 5 000 RON au président roumain Klaus Iohannis (plus de 1 000 EUR) pour des déclarations concernant l'autonomie du pays des Sicules et des Hongrois.
Fin avril, la Chambre des députés a adopté tacitement, sans débat, un projet de loi qui offrait une autonomie administrative au pays des Sicules, une région du centre de la Roumanie habitée principalement par des ethnies hongroises. Klaus Iohannis a réagi vivement à la nouvelle, accusant un accord entre le Parti social-démocrate (PSD) et l'Alliance démocratique des Hongrois de Roumanie (UDMR), celui de vouloir donner "la Transylvanie aux Hongrois"." La suite sur lepetitjournal.com

Les Aventuriers Magyars – #5 József Eisenhoffer, à jamais le premier

"Tout au long du mois de mai, Footballski brosse le portrait d’entraîneurs hongrois qui, à différents moments du XXe siècle, sont partis exercer leur métier à l’étranger. Attirés par le goût de l’aventure ou fuyant un antisémitisme galopant, tous ont laissé une trace loin de chez eux. Une trace parfois indélébile et, surtout, souvent méconnue. Cinquième épisode de notre série avec József Eisenhoffer, aventurier ayant accompagné l’Olympique de Marseille, comme joueur puis entraîneur, dans la conquête de ses premiers trophées.

A lire aussi :
S’il a goûté à la gloire à Vienne et aux Etats-Unis avec le Hakoah, József Eisenhoffer a finalement réalisé ses plus beaux faits d’armes du côté de Marseille. L’entraîneur-joueur hongrois a ainsi guidé l’OM vers le premier titre de champion de France professionnel de son histoire, en 1937. Avant de s’éteindre, quelques années plus tard. Sous les bombardements et dans l’anonymat.
Naître l’année d’un début de siècle peut souvent paraître comme le présage d’une vie bien remplie. Naître un début de siècle dans un pays et un continent en ébullition rajoute d’autant plus de possibilités et de caprices du destin. A l’instar de son compatriote Imre Hirschl, József Eisenhoffer – « Aczél », de son nom de naissance – a d’ailleurs connu une destinée étonnante." La suite sur footballski.fr

mercredi 20 mai 2020

La Serbie et les Balkans dans la ligne de mire de Viktor Orbán

Traduit et adapté par Chloé Billon (article original)
"Même au plus fort de l’épidémie de coronavirus, Viktor Orbán et Aleksandar Vučić ont multiplié les visites officielles, échangeant amabilités et compliments. Le Président hongrois est un fervent soutien du régime autoritaire en place à Belgrade, qu’il considère comme un allié de poids, si la Serbie venait un jour à intégrer l’Union européenne.
 Même au plus fort de la crise provoquée par l’épidémie de coronavirus, Budapest n’a pas perdu de vue les Balkans occidentaux. Plusieurs réunions bilatérales ont même eu lieu durant cette période entre Viktor Orbán et Aleksandar Vučić, l’occasion de renforcer la coopération économique entre la Serbie et la Hongrie et d’annoncer de nouveaux projets communs. « J’ai informé le Premier ministre Orbán de tout ce qui se passe dans la région », a doctement expliqué le Président serbe après leur dernier rendez-vous, le 15 mai. « J’ai abordé la situation au Kosovo, ce que nous attendons et la position des (...)" La suite sur courrierdesbalkans.fr (article payant)

Frontières: l'Europe centrale tente un « mini-Schengen »

"Cinq pays d'Europe centrale (Allemagne, Autriche, Hongrie, Slovaquie et République tchèque) pourraient ouvrir les frontières les séparant vers la mi-juin, ont annoncé mardi leurs représentants. Une décision en ce sens dépendra de la propagation du coronavirus.
L'Allemagne enregistre un nombre relativement bas de morts liées à la pandémie de Covid-19. Les quatre autres pays de ce groupe sont parmi les meilleurs dans l'UE dans le combat contre sa propagation.
'Nous pensons que nous pouvons créer un 'mini-Schengen' permettant aux gens de voyager sans contrôles aux frontières, tests ou quarantaine, à la mi-juin', a dit le chef de la diplomatie tchèque Tomas Petricek, après des entretiens avec ses homologues autrichien et slovaque. L'Autriche et l'Allemagne avaient déjà annoncé qu'elles ouvriraient les frontières entre elles le 15 juin." La suite sur rtn.ch

En Hongrie, un village sauvé par le fromage

"Une bourgade de 150 âmes à deux doigts de disparaître en 2010 a réussi à lancer une fromagerie qui emploie désormais douze personnes.
«Nous arrivons bientôt à la troisième génération qui n'aura connu que le chômage dans sa vie», annonce Ildikó Dinyés, à la tête de la petite commune de Magyardombegyház, épargnée par le Covid-19. Ici, c'est plutôt la désertification rurale qui fait des ravages. «Le prix de l'immobilier s'est effondré, ceux qui vivent encore sur place n'ont tout simplement pas pu partir», continue l'édile qui se consacre à sa municipalité depuis quatorze ans.
Il est vrai qu'à première vue, Magyardombegyház, enclavée au sud-est de la Hongrie, n'a rien d'une bourgade riante. À plus de trois heures de la capitale, collée à la frontière roumaine, on y parvient au prix d'une série d'acrobaties pour éviter les nids-de-poule. Enfin, à condition d'avoir une voiture... Les gens qui n'en ont pas, comme la majorité des riverain·es, se rendent en temps ordinaire en bus (un le matin, un le soir) pour travailler ou aller à l'école. À l'arrivée, une pompe à essence vintage, hors de service, recommande «l'extinction du moteur pendant le plein» –la typographie des années communistes est à elle seule un voyage dans le temps. La rue principale aligne vieilles fermes en bois et maisons résidentielles des années 1960, dont certaines dans un état de délabrement avancé. Quelques villageois·es passent à vélo, visage masqué et panier au guidon." La suite sur slate.fr

Les murs racontent des histoires Graffitis italiens de la Grande Guerre à Cegléd

"Le vaste ensemble de bâtiments abandonnés de l’ancienne caserne des hussards à Cegléd est un lieu d’exploration rêvé pour tous les amateurs d’exploration urbaine. Mais ces bâtiments tombant lentement en ruines renferment également un trésor pour les amateurs d’histoire militaire : des milliers d’inscriptions gravées par les soldats stationnés ici ainsi que par des prisonniers de guerre.
Pour ce premier article d’une série consacrée à ma passion pour les graffitis historiques, j’ai décidé de vous montrer quelques exemples particulièrement beaux qui ont été gravés par des Italiens enfermés dans cette caserne durant la Première Guerre Mondiale. La plupart de ces graffitis datent de 1915 et portent l’inscription « Fiume » – le nom italien et hongrois de la ville de Rijeka qui faisait partie du Royaume de Hongrie." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr

La Hongrie met fin à la reconnaissance juridique des personnes transgenres

"La coalition nationale-conservatrice Fidesz-KDNP a fait approuver ce mardi au Parlement hongrois le projet de loi qui met fin à la reconnaissance juridique des personnes transgenres en Hongrie.
Malgré les critiques et les protestations, l'article 33 a été approuvé par le parlement mardi 19 mai. Ce nouveau texte législatif, proposé à la fin du mois de mars par le député du parti démocrate-chrétien KDNP Zsolt Semjén, introduit la notion de « sexe à la naissance » défini . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Hongrie : l’accord sur l’investissement ferroviaire chinois classifié pour dix ans

"Le Parlement hongrois a adopté mardi une loi qui jette le voile pour une durée de dix ans sur les détails du projet chinois de modernisation de la ligne de chemin de fer Budapest-Belgrade, « le plus grand projet d’infrastructure jamais réalisé en Hongrie », selon Index.hu . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

mardi 19 mai 2020

« C’est notre pays ». Viktor Orbán stigmatise la minorité rom

"Le chef du gouvernement hongrois Viktor Orbán s'est exprimé sur la récente décision de la Cour suprême en faveurs des Roms de Gyöngyöspata.
Vendredi sur les ondes de la radio publique Kossuth, Viktor Orbán n'est pas passé par quatre chemins en commentant la décision de la Kúria, la plus haute juridiction, imposant au gouvernement de dédommager soixante élèves roms de la petite ville de Gyöngyöspata . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Éva Magyarósi : Piscine Exposition virtuelle 15-21 mai 2020

Piscine d’Éva Magyarósi fait partie de la série Eden réalisée en 2017. Ces contes pour adultes abordent des situations dans la vie de chacun, autant ordinaires que décisives, avec une approche personnelle des sentiments éprouvés, dans laquelle beaucoup d’entre nous peuvent se reconnaître.

Consultations Poétiques en langue hongroise ! Théâtre de la Ville Jusqu'au 30 mai 2020

Imaginées par Emmanuel Demarcy-Mota, Fabrice Melquiot et le  collectif artistique, les consultations poétiques se réinventent  aujourd'hui pour s'adapter à la situation que nous vivons tous. A ce  jour, plus de 50 comédiens français et de plusieurs pays sont réunis  pour proposer un échange inattendu, par téléphone, sous la direction  d'Emmanuel Demarcy-Mota.
Tous les jours, du lundi au samedi de 10h30 à 19h, le matin et en fin  d'après-midi, des Consultations Poétiques sont proposées à tous ceux  qui le souhaitent ! Pour cette 6e semaine, les comédiens disent plus de  100 poèmes par jour et font des consultations en plusieurs langues.  Chacun passe 20 mn à échanger avec une personne inconnue.

Et également en langue hongroise, il suffit de s'inscrire sur le site ! theatredelaville-paris.com

Poetic dialogue in hungarian (8 to 117 years)
Imagined by Emmanuel Demarcy-Mota, Fabrice Melquiot and the artistic ensemble, poetic consultations are being reinvented today. More than 50 actors are gathered under the direction of Emmanuel Demarcy-Mota, to offer an unexpected exchange, by phone.
The conversation will last between 10 and 20 minutes.
The booking time is indicative.  Please make yourself available to receive the phone call for the whole hour of your appointment.

Macron met en garde : «Aucune mollesse» envers les pays réduisant «l'Etat de droit» au sein de l'UE

"Le président français a mis en garde ses partenaires européens qui rogneraient sur l'Etat de droit à la faveur de la pandémie. S'il n'a cité aucun pays, la Hongrie fait l'objet de critiques au sein de l'UE en raison de sa loi d'état d'urgence.
Infatigable défenseur de l'idéal européen, le président de la République française se montre pourtant sévère à l'égard de certains de ses partenaires au sein de l'UE. Au cours d'une conférence de presse avec la chancelière allemande Angela Merkel, ce 18 mai, Emmanuel Macron a ainsi prévenu : «Malheureusement, les mesures restrictives que nous avons parfois dû prendre dans nos pays pour lutter contre le virus ont pu être utilisées pour continuer à réduire l'Etat de droit par certains Etats membres [de l'Union européenne]. Là dessus, nous n'aurons aucune complaisance et aucune mollesse.» Et d'ajouter : «Et nous soutiendrons pleinement le travail de la Commission pour que nos droits fondamentaux et les piliers de notre Europe soient défendus et dûment respectés.»" La suite sur rt.com

Hongrie : le gouvernement va financer la création d'un département de médecine traditionnelle chinoise dans une grande université

"Le gouvernement hongrois a décidé d'accorder des financements à la création d'un département de médecine traditionnelle chinoise dans une grande université de Budapest, ont rapporté les médias locaux.
"Le gouvernement accorde 5,9 milliards de forints hongrois (18,16 millions de dollars) pour agrandir la Faculté de sciences médicales de l'Université Semmelweis afin d'inclure un département de médecine traditionnelle chinoise", selon le portail d'informations Index." La suite sur china.org.cn

Handball : déconfiné, Kornel Nagy reste un enfant de la balle

"Privés de jeu, les handballeurs cherchent à sortir de leur pré carré. L’emblématique arrière dunkerquois, à l’USDK depuis neuf ans, décrit le manque du vestiaire, du ballon. Et la quête d’une nouvelle source d’adrénaline et de fatigue : pour lui, ce sera le tennis.
« À la fin de la journée, je suis plus fatigué que dans la vie normale avec les entraînements ! Les enfants ont beaucoup d’énergie, l’aîné surtout ne sait pas jouer tout seul… » A Malo, avec sa femme Ivett, une ancienne handballeuse, Artur 6 ans et Isabel 3 ans, Kornel Nagy (33 ans) apprend tant bien que mal à se passer du handball qui rythme son quotidien depuis tellement d’années. « Au début, pendant une, deux semaines, tu es content d’être à la maison, tranquille avec la famille. Mais avec le temps, ça devient plus difficile. »" La suite sur lavoixdunord.fr

En Autriche, avec l'épidémie de coronavirus on redécouvre le médecin pionnier du lavage des mains

"Il a exercé il y a plus d’un siècle à Vienne, le médecin hongrois Ignace Semmelweis est considéré comme le pionnier du lavage des mains. Un génie incompris qu’on redécouvre aujourd’hui avec l'épidémie de Covid-19.
Le médecin hongrois Ignace Semmelweis a découvert les bienfaits de la désinfection des mains au XIXe siècle. On le redécouvre aujourd’hui avec la crise sanitaire du coronavirus. Pour comprendre, il faut remonter à 1847, Ignace Semmelweis travaille alors au service obstétrique de l’hôpital général de Vienne, où il s’étonne de la forte mortalité des jeunes femmes qui accouchent dans le pavillon où sont formés les étudiants." La suite sur francetvinfo.fr

Poussée de fièvre entre la Hongrie et la Roumanie

"C’est ce qui s’appelle déterrer la hache de guerre. Mercredi dernier, la chambre des députés roumains a voté à Bucarest une loi faisant du 4 juin le "Jour du traité de Trianon". Un coup de griffes donné à la Hongrie, pour laquelle le "diktat" signé à Versailles en 1920 signifie la perte de la Transylvanie, rattachée à la Roumanie. La Roumanie célèbre déjà en grande pompe le rattachement de cette région et a même fait de cette "Grande Union" du 1er décembre 1918 sa fête nationale." La suite sur lalibre.be (article payant)

En Hongrie, s’exprimer sur la pandémie peut valoir une arrestation

"Des arrestations ont lieu en Hongrie parmi ceux qui expriment leur opinion sur la crise du coronavirus. C’est ce que dénoncent certains eurodéputés hongrois et des organisations de défense des droits de l’homme. Un article d’Euractiv Italie.
Mardi 12 mai, deux personnes qui avaient exprimé leur désaccord avec certaines décisions du gouvernement hongrois concernant la crise du coronavirus, ont été arrêtées. Ceux qui aujourd’hui sont en train de devenir de véritables dissidents dans le pays, dénoncent le fait que ces arrestations sont effectuées dans le seul but de faire de l’intimidation, car les gens sont arrêtés puis libérés." La suite sur euractiv.fr

lundi 18 mai 2020

L’UE veut prévenir la politique d’annexion d’Israël pour éviter de devoir sévir

"Il n’existe pas de volonté chez les Etats membres de sanctionner Israël en cas d’annexion", a déclaré la représentante spéciale de l'UE au Moyen Orient.
Prévenir pour ne pas devoir sévir : l’Union européenne veut convaincre Israël de renoncer à ses projets d’annexer une partie de la Cisjordanie pour éviter de devoir sanctionner l’Etat hébreu et a préparé une mise en garde en ce sens.
« Un très grand nombre de pays ont soutenu vendredi un projet de texte que nous avons élaboré avec mon homologue irlandais Simon Coveney dans lequel nous mettons en garde contre une annexion qui serait une violation du droit international », a expliqué à l’AFP le chef de la diplomatie du Luxembourg Jean Asselborn.
« Deux pays, la Hongrie et l’Autriche, refusent de signer cette déclaration qui ne pourra pas être une position commune », a-t-il déploré." La suite sur timesofisrael.com

Ferenc Fricsay

Ferenc Fricsay en 1950 Photo by Fritz Eschen, © Getty
"Il n’est pas sûr que l’on mesure aujourd’hui la perte que représenta la mort, à 48 ans, du merveilleux chef hongrois Ferenc Fricsay, en 1963. Sans doute un certain Herbert von Karajan n’aurait-il pas eu la position de monopole qui fut la sienne…" La suite à voir et écouter sur francemusique.fr

À terre, Les hôtesses de l'air dansent : chorégraphie à l'aéroport de Budapest

"Seuls quelques happy few ont pu admirer de visu les hôtesses de l'air de Wizz Air et leurs collègues masculins meubler leur temps libre sur Madona dans l'aéroport de Budapest déserté.
Très peu de vols de leur compagnie sont maintenus, et les rares passagers observent à la lettre les mesures de précautions pour empêcher les contaminations au Covid-19.
Fanny Terebessy, hôtesse de l'air : "Tout le monde coopère, tout le monde sait que les restrictions ont un objectif commun, plus on fait des efforts, plus vite cela va passer." La suite sur euronews.com

Opportunisme - Comment la pandémie de Covid-19 “nourrit” Orbán et ses oligarques

"Le magazine HVG, spécialiste des unes chocs en Hongrie, utilise l’image de la vache à lait afin de dénoncer la manière dont le dirigeant magyar et ses cercles privilégiés profitent de la crise sanitaire pour asseoir leurs intérêts économiques.
Présentant Viktor Orbán comme un éleveur trayant des pis en forme de coronavirus, l’hebdomadaire HVG tacle, à la une de son édition du 14 mai, la façon dont le Premier ministre magyar et les hommes d’affaires propouvoir s’approprient l’économie nationale bouleversée par l’épidémie de Covid-19." La suite sur courrierinternational.com

En Hongrie, on achève bien la démocratie par temps de coronavirus

"L’Union européenne regarde, impuissante, Budapest se servir du prétexte de la pandémie pour s’attaquer à ce qu’il reste encore de libertés civiles et de contrôle parlementaire…
« Vous êtes un tyran cruel, mais souvenez-vous, tous les dictateurs ont échoué jusqu’à présent. » Ainsi se clôt le texte d’Andras. Andras est un Hongrois de 64 ans très en colère contre la politique menée par le Premier ministre Viktor Orban dans la lutte contre le coronavirus. Alors il a déversé sa rage dans un message publié sur Facebook comme on est censé pouvoir le faire en démocratie. Mal lui en a pris. A 6 heures du matin, le 12 mai, les policiers sont venus le cueillir chez lui. Selon le site hongrois 444, il a finalement été relâché dans l’après-midi, échappant à la peine de cinq ans de prison qui menace désormais tout propagateur de « fake news » sur l’épidémie ou sur les mesures prises par le gouvernement.
Le maire d’opposition de la ville de Mohacs a, lui, eu moins de chance. Il est poursuivi pour « menaces à l’ordre public », pour avoir annoncé, au début de la crise, la contamination probable d’une centaine de personnes dans sa commune du sud du pays à l’occasion d’un mariage. A qui profite le crime ? Parmi les pays autoritaires, ou en passe de l’être, qui se servent du prétexte du coronavirus pour resserrer leur étreinte sur la population en s’attaquant à ce qu’il reste encore de libertés civiles et de contrôle parlementaire et judiciaire, la Hongrie n’est pas en reste.
L’Etat de droit en quarantaine illimitéeEn faisant voter le 30 mars sa loi sur l’état d’urgence, Viktor Orban a provoqué une levée de boucliers en Europe." La suite sur nouvelobs.com

dimanche 17 mai 2020

Home, par Andi Galdi Vinko

"La photographe hongroise Andi Galdi Vinko étudie comme une sociologue le bizarre, la stupidité, l'érotisme et la féminité. Elle cherche dans les images le grotesque, le poétique et la structure comme dans une peinture. Cette série montre son confinement à Budapest." La suite sur liberation.fr

La Hongrie salue l'arrivée du 100e avion de Wizz Air transportant du matériel médical en provenance de Chine


"BUDAPEST, 16 mai (Xinhua) -- La Hongrie a salué l'arrivée du centième avion de la compagnie aérienne Wizz Air transportant du matériel médical de Chine pour combattre le nouveau coronavirus, a déclaré samedi le ministre hongrois des Affaires étrangères et du Commerce, Peter Szijjarto.
"Hier, le 100e avion de Wizz Air est arrivé à Budapest, livrant du matériel médical entre la Chine et la Hongrie", a écrit M. Szijjarto sur sa page Facebook." La suite sur xinhuanet.com

samedi 16 mai 2020

Dérive autocratique en Hongrie Viktor Orbán met ses pleins pouvoirs au service… du sien

"Le dirigeant nationaliste hongrois se sert de l’état d’urgence pour faire taire les voix critiques. Il envisage de rendre ses pouvoirs spéciaux à la fin de la pandémie.
C’est devenu le rendez-vous hebdomadaire d’Ákos Hadházy et Bernadett Szél. Chaque lundi à 17h, les deux députés indépendants mobilisent quelques poignées d’opposants pour faire cracher les enceintes et retentir les klaxons de leurs voitures sous la colline du château de Buda, applaudis par les passants à pied et à vélo. Ils n’ont pas trouvé d’autre moyen de protester puisque tout rassemblement est proscrit en ces temps d’épidémie. La police veille au grain et distribue des amendes." La suite sur 24heures.ch (article payant)

La Hongrie, intransigeante sur la politique d’une seule Chine

"Viktor Orban, Président de la Hongrie, a fait savoir ce 15 mai 2020 à son homologue chinois, qu’il adhérait à la politique d’une seule Chine.
La Hongrie adhère toujours fermement à la politique d’une seule Chine, a déclaré le Premier ministre hongrois Viktor Orban ce vendredi 15 mai 2020, lors d’une conversation téléphonique avec le Président chinois, Xi Jinping." La suite sur yeclo.com

La France inquiète pour les droits des transgenres en Hongrie

"PARIS | La France a mis en garde la Hongrie contre un projet de loi qu’elle juge attentatoire aux droits des transsexuels et transgenres, selon une information du magazine Têtu confirmée par le ministère français des Affaires étrangères. Ce texte «aboutirait à interdire formellement tout type de reconnaissance légale et de droits aux personnes transgenres», écrivent l’ambassadeur de France chargé des droits de l’Homme, François Croquette, et le délégué interministériel à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH), Frédéric Potier, dans une lettre à l’ambassadeur de Hongrie à Paris.
Une des dispositions du texte vise à définir le genre par le «sexe biologique basé sur la naissance et le génome»." La suite sur journaldemontreal.com

Hongrie: Viktor Orban prévoit d'abandonner ses pouvoirs spéciaux à la fin du mois

"L'état d'urgence controversé adopté en Hongrie pour lutter contre le nouveau coronavirus devrait être levé à la fin du mois de mai, a indiqué vendredi le premier ministre Viktor Orban, accusé de profiter de la pandémie pour renforcer son pouvoir.
«Nous nous attendons à ce que le gouvernement soit en mesure de rendre au Parlement les pouvoirs spéciaux qu'il a reçus en raison de la pandémie à la fin du mois de mai», a déclaré Viktor Orban lors d'un déplacement officiel en Serbie, un pays frontalier. La législation d'urgence adoptée le 30 mars dernier a accordé au premier ministre nationaliste le pouvoir de gouverner par décret jusqu'à ce que son cabinet déclare la fin de la pandémie." La suite sur lefigaro.fr

Vidéo : un travailleur routier échappe au pire en Hongrie

"Il y a quelques jours en Hongrie, un homme en train d’intervenir sur une zone de travaux a eu beaucoup de chance. Cet employé de la société Magyar Közút a failli être percuté par une voiture, cette dernière ayant été victime d’une collision par l’arrière. L’accident a été filmé par un automobiliste qui circulait sur la voie opposée.
La vidéo qui suit fait froid dans le dos mais, fort heureusement, le travailleur routier s’en sort quasi-indemne selon le communiqué publié par son employeur. En Hongrie, alors qu’un homme était en train de stopper la circulation devant une Peugeot 206 break qui tractait une remorque, le conducteur d’un fourgon, sûrement étourdi ou peut-être distrait par son téléphone, a freiné que trop tardivement. S’en est suivi un choc inévitable entre la 206 break et l’utilitaire, la remorque jouant le rôle de pare-chocs." La suite sur lesvoitures.fr

vendredi 15 mai 2020

Le ministre chinois des Affaires étrangères discute par téléphone du COVID-19 avec ses homologues de Hongrie, de Bosnie-Herzégovine et d'Estonie

"Le conseiller d'Etat et ministre des Affaires étrangères chinois Wang Yi s'est entretenu par téléphone jeudi avec les ministres des Affaires étrangères de Hongrie, de Bosnie-Herzégovine et d'Estonie, avec qui il a discuté de la pandémie de nouveau coronavirus.
M. Wang a indiqué que la Chine, sous la direction du président chinois Xi Jinping, avait réussi à maîtriser l'épidémie au terme d'efforts acharnés, et avait progressivement pu reprendre une vie économique et sociale normale, tout en maintenant des mesures de prévention et de contrôle.
La Chine remercie sincèrement tous les pays concernés pour leur solidarité et leur soutien à ses efforts de lutte contre l'épidémie, a indiqué M. Wang. La Chine a à la fois surmonté ses propres difficultés, offert un soutien et une assistance aux pays qui en ont eu besoin, partagé sans réserve son expériences en matière de prévention, de contrôle et de traitement du coronavirus, et facilité à divers pays l'achat de fournitures anti-épidémiques de fabrication chinoise, a-t-il ajouté.
Il a également déclaré que la coopération en matière de lutte contre l'épidémie allait offrir de nouvelles opportunités et injecter un nouvel élan au développement des relations bilatérales entre la Chine et les pays concernés." La suite sur china.org.cn

Le Parlement européen demande des sanctions contre le gouvernement hongrois

"La Hongrie est une nouvelle fois pointée du doigt. Le Parlement européen demande aux institutions de l’UE d’agir afin de protéger l’Etat de droit dans le pays. Les eurodéputés estiment que les mesures d’urgence illimitées dans le temps sont contraires aux valeurs de l’Union.
"La démocratie est morte en Hongrie sous l’action de Viktor Orban et de ses acolytes", s’emporte la députée libérale Sophie in’t Veld. La Néerlandaise demande la suspension des paiements à Budapest. "Le meurtre de la démocratie ne devrait pas être financé par l’argent des contribuables européens", insiste-t-elle." La suite sur euronews.com

Deux Hongrois arrêtés pour avoir critiqué Viktor Orban sur Facebook

"Les deux hommes ont été interpellés dans le cadre de la loi d’état d’urgence qui attribue des pouvoirs illimités au gouvernement.
A deux jours d’intervalle, il est arrivé la même mésaventure à Andras Kusinszki, 64 ans, et à Janos Csoka-Szucs, 54 ans, deux anonymes opposants hongrois, qui ont osé critiquer la politique de Viktor Orban sur Facebook. Sur les coups de 6 heures du matin, la police a débarqué à leur domicile pour les arrêter, saisir leur matériel informatique et ouvrir une procédure pour « propagation d’information alarmante » destinée à nuire à l’action du gouvernement dans la lutte contre l’épidémie. Ce délit est passible de cinq ans de prison depuis la loi sur l’état d’urgence, adoptée le 30 mars, qui attribue des pouvoirs illimités au premier ministre nationaliste.
« Ils sont arrivés chez moi mardi [12 mai] avec un ordre de perquisition en me demandant si je reconnaissais avoir écrit un post sur Facebook le 28 avril, a expliqué au site Index Andras Kusinszki, qui habite dans la région de Szerencs, dans le nord de la Hongrie. J’ai reconnu que oui et ils m’ont amené au commissariat. » Dans son post, ce retraité débonnaire avait critiqué la politique de déconfinement en Hongrie. « Notre cher leader, qui n’a jamais tort, ne ment jamais, a prévu que le pic de l’épidémie serait atteint le 3 mai. Et que, dès le 4 mai, vous pourrez relâcher les restrictions de mouvement. Cher dictateur (…), n’envoyez pas des milliers de personnes à la mort », implore-t-il dans ce post « liké » onze fois seulement avant son arrestation.

« Visiblement gênés »
Conformément à ses pratiques habituelles, la police hongroise a filmé toute l’arrestation et la perquisition et a publié la vidéo sur YouTube. Dans un communiqué, elle a reproché au retraité d’avoir prétendu que « les dirigeants du pays avaient délibérément programmé la levée des restrictions de déplacement au moment où le coronavirus atteignait son apogée ». « La police surveille constamment Internet et, dans les cas les plus graves, engage une procédure pénale », prévient le communiqué. Après quelques heures en garde à vue, M. Kusinszki a toutefois été libéré et le parquet a annoncé renoncer à le poursuivre, car, « pour que le crime ait lieu, l’auteur doit divulguer au public une fausse information. Or la publication Facebook n’en contient pas ».
Cela n’a pas empêché la police hongroise de faire vivre la même expérience le lendemain, mercredi 13 mai, à Janos Csoka-Szucs. Cet autre partisan de l’opposition habite à Gyula, à l’autre bout du pays. Il avait, lui, partagé un post Facebook d’un député d’opposition, qui dénonçait la décision de M. Orban de faire libérer en urgence 30 000 lits d’hôpitaux pour accueillir les malades du Covid-19. Une décision injustifiée au vu du faible nombre de contaminations dans le pays et qui a poussé des milliers de malades, parfois dans un état grave, à être expulsés des hôpitaux. « A Gyula, 1 170 lits ont été vidés », a juste affirmé M. Csoka-Szucs sur Facebook." La suite sur lemonde.fr (article payant)

Hongrie: un dessinateur menacé

©Gábor Pápai
"Le 28 avril dernier, la caricature de Gábor Pápai dans le quotidien hongrois d'opposition Népszava montre Cecília Müller, membre du groupe de travail Coronavirus du gouvernement de Viktor Orbán, tenir une conférence de presse face à Jésus sur sa croix et prononcer : "Sa condition sous-jacente a provoqué une dépendance." La suite sur levif.be (article payant)

Hongrie : menaces pour les droits des personnes transgenres et intersexes

"En Hongrie, le Parlement s’apprête à examiner, au lendemain de la journée mondiale contre l’homophobie et la transphobie (17 mai), un projet de loi hautement discriminatoire à l’encontre des personnes transgenres et intersexes. Un nouveau recul de l’état de droit.
Le 18 mai 2020 le Parlement hongrois va examiner un projet de loi qui, s’il était adopté, porterait gravement atteinte aux droits humains des personnes transgenres et intersexes.
Ce projet de loi comporte toute une série d’articles et de dispositions qui sont totalement contraires au droit international et au strict respect des droits humains." La suite sur amnesty.fr

Trianon : la Roumanie déterre la hache de guerre avec la Hongrie

"La Chambre des députés à Bucarest a voté mercredi pour faire du 4 juin le jour du traité de Trianon. Une provocation qui va jeter de l'huile sur le feu avec la Hongrie à l’approche du centenaire . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

La Hongrie de nouveau épinglée pour le traitement des demandeurs d’asile

"Les demandeurs d’asile contraints de séjourner dans le camp hongrois de Röszke, sans motif et pour une durée excessive, sont de facto « privés de liberté », a estimé jeudi la justice européenne.
La décision rendue par la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) est un revers pour le gouvernement hongrois, dont les « zones de transit » frontalières sont un dispositif central et controversé de la politique d’asile du Premier ministre Viktor Orban.
Dans ce dossier, la Cour, dont le siège est à Luxembourg, a été saisie en décembre 2019 du cas de quatre migrants originaires d’Iran et d’Afghanistan ayant vu leur demande d’asile rejetée en avril 2019 par les autorités hongroises et sous le coup de décisions de renvoi vers la Serbie.
Toutefois, ce dernier pays a refusé de les reprendre et ils se sont retrouvés bloqués dans la « zone de transit » de Röszke." La suite sur lavoixdunord.fr

Pour la Commission, la Hongrie n'est pas "incontestablement démocratique"

"La Commission européenne appelle la Hongrie à revenir "dans le club des pays incontestablement démocratiques", alors que les mesures d'urgence prises à Budapest sont jugées "totalement incompatibles avec les valeurs européennes" par le Parlement.
Tous les États membres de l’Union européenne sont-ils encore des démocraties? Début mai, l'ONG américaine Freedom House estimait que la Hongrie n’en était plus une, et ce jeudi, c’est une vice-présidente de la Commission européenne qui a estimé qu’il fallait "mettre la pression sur la Hongrie pour qu'elle revienne dans le club des pays incontestablement démocratiques"." La suite sur lecho.be

jeudi 14 mai 2020

Du Danube au Nil

"Interview avec István Kemény autour de son dernier recueil Nil dont nous vous proposons en exclusivité des poèmes traduits par Guillaume Métayer.

Le recueil Nílus (Nil, Budapest, Magvető, 2018) ne manque pas d’allusions apocalyptiques comme ce monostique le suggère : Poubelles aux portes de l’enfer.  Pourtant, il semble qu’une pâle lueur d’espoir subsiste toujours. (Si même là-bas, on collecte les déchets, c’est qu’il doit y régner un certain ordre.) Comment vivez-vous ces jours étranges où une grande partie du monde essaie de survivre à la pandémie de COVID-19 confinée chez elle ?
Pour moi, le plus étrange dans tout cela, c’est d’être confronté à un problème sur lequel nous nous cassons tous la tête en même temps. Je n’ai jamais connu pareille situation, mais vraisemblablement rien de tel ne s’est jamais produit. Bien sûr, je ne fais pas exception, moi aussi j’y pense continuellement, même quand je suis occupée à autre chose. Mon mode de vie n’a pourtant guère changé. Je suis à la maison, assis à mon ordinateur (on appelle cela maintenant « confinement ») et je fais plus au moins la même chose qu’auparavant : je reçois par courrier électronique les tâches que je dois exécuter et je suis parfois horrifié de constater que le temps me manque pour faire autre chose. Je me débats donc dans le piège de la communication en ligne comme auparavant. J’ai pourtant la chance de pouvoir me débattre tranquillement : j’ai de l’électricité, internet et il y a des gens qui attende ma réponse." La suite sur litteraturehongroise.fr

Les hommes gays et bisexuels obtiennent enfin le droit de donner leur sang en Hongrie

"En France en revanche, ils sont contraints à une période d'abstinence de 4 mois pour pouvoir faire don de leur sang.
C’est une grande avancée. En effet, la Hongrie vient de lever l’interdiction de don du sang pour les hommes gays et bisexuels. Ils ont désormais le droit de donner leur sang, néanmoins, à condition que leurs activités sexuelles ne soient pas “considérées comme risquées”.

Un véritable combat pour mettre fin aux stigmatisations
Les hommes gays et bisexuels peuvent désormais donner leur sang en Hongrie, pays pourtant considéré comme l’un des plus LGBTphobes d’Europe. Une nouvelle régulation a été publiée vers le milieu du mois d’avril par le Service national de transfusion du sang de Hongrie. “Toute discrimination fondée sur le genre des participants à l’évaluation des relations sexuelles à risque de transmission est éliminée”, a notamment expliqué le service dans un communiqué." La suite sur dailygeekshow.com

« Un Divan sur le Danube 2020 »

Programme online
Utilisation de l’outil ZOOM pour la conférence.

Lien pour accéder à l’inscription et aux instructions d’accès au Colloque

https://piotr-tchaadaev.org

Mardi 19 mai 2020

Matin : Echange en ligne avec l’Hôpital de jour de l’Hôpital Szent-Janos à Budapest avec le Dr Gabor Kapocs (sous réserve)

Après-midi : 14.30 – 17.30
as if « Institut français de Budapest »
Afternoon “at” the French Institute in Budapest

https://www.franciaintezet.hu/

Accueil et présentation en ligne.
Introduction de M. Julien EYMARD, Directeur du CH de Pierrefeu-du-Var
Atelier de l’Equipe d’addictologie des HUG (Genève, Suisse) : Gérard Calzada, Daniele Zullino

Mercredi 20 mai 2020

as if Programme de Kalvaria ter (Bp VIII°) Centre de Psychiatrie communautaire de l’Université Semmelweis
http://ebredesek.hu/rolunk/
ebredesekalapitvany@gmail.com

11.30 - 12.30 Atelier de littérature on line, conduit par Mme Kovács, professeur d'Université, avec les usagers de l'association et nos aimables amis du Divan.

12.30 - 14.00 Projection du film réalisé, entre autres, par nos usagers, sous-titré en anglais, et débat sur le film sur les entendeurs de voix avec le régisseur et les acteurs et les actrices. En ligne.

14.00 : Le fameux buffet de Kálvária tér avec ses spécialités locales et beaucoup de rencontres (NB : ne pourra pas être transformé en buffet virtuel).

Un grand merci à Robert Kristof pour ce programme prometteur, dont nous espérons tous qu’il pourra peut-être se dérouler à nouveau dans un second temps lors d’une période moins dramatique pour la santé dans le monde.

Mercredi 20 mai 2020 16.00

Rencontre au Café Aurora (Bp VIII°, proche de Kalvaria ter) : nous les inviterons à nous rejoindre en ligne
info@auroraonline.hu
1084 Budapest, Auróra utca 11.
AURÓRA – Alkotótér | Bázis | Klub
https://auroraonline.hu/

Giovedi 21 maggio 2020 Thursday May 21st 2020

Giornata on line as if “all”’Istituto italiano di cultura (IIC) di Budapest - Day on line “at” the Italian Institute for Culture in Budapest
https://iicbudapest.esteri.it/iic_budapest/it/istituto/chi_siamo/

Gli orari sono sotto riserva di modifica.

Mattina 9.45 – 12.30 & Pomeriggio 14.00 – 16.30

BUDAPEST
ore 9,45 Dott. Gian Luca BORGHESE, Direttore IIC di Budapest

Benvenuto e intervento di apertura della giornata ospitata solitamente dall'IIC

SESSIONE MATTUTINA
COPENHAGEN

ore 10,00 Gabriela TANASAN

Social inclusion and Access to rights - Youth Engagement, Empowerment and Participation / YEEP

TRIESTE

ore 10,10 Lorenzo TORESINI

Deistituzionalizzazione: “Torniamo a morire a casa”.

Ore 10,20 Cecilia RANDICH

"La forza delle parole di fronte all'angoscia".

Ore 10,30 DOMANDE E DISCUSSIONE

ROMA

ore 10,45 esperto ungherese invitato a Roma da Alessandra CARLOTTO

“Economia e salute mentale”

ore 10,55 esperto ungherese invitato a Roma da Alessandra CARLOTTO

“I diritti umani”

ore 11,05 Alessandra CARLOTTO

“L'esigenza del trattamento delle psicosi con la psicoterapia nel servizio pubblico in una prassi terapeutica”

Ore 11,15 DOMANDE E DISCUSSIONE

ASTI

Ore 11,30 Caterina CORBASCIO – Filippo GASTALDI

“La risposta all'emergenza del dopo coronavirus”

TORINO

Ore 11,40 Ugo ZAMBURRU

“Salute mentale e coronavirus: la psichiatria come aspetto riparativo e preventivo”

Ore 11,50 Mara GIACOMELLI – Ezio CRISTINA

“Distanziamento sociale, isolamento e contatti vir...”

Ore 12,00 DOMANDE E DISCUSSIONE

12,15 APERIZOOM SUL DIVANO 2020

12,30 PRANZO itinerante e visita online alla città della Mole Antonelliana e di “InGenio” (Torino)

SESSIONE POMERIDIANA

Ore 14,00 Tea TARAMINO – Torino –

“Talenti nascosti”

Domodossola

Ore 14,10 Ronnie BONOMELLI

“Un treno che si chiama Desiderio” (A train named Desire.)

CALTAGIRONE

Ore 14,20 Domenico AMOROSO

“Strappi creativi”

Ore 14,30 DOMANDE E DISCUSSIONE

Ore 14,45 Raffaele BARONE

“L'inclusione sociale e lavorativa per il benessere mentale di Comunità”

GRAMMICHELE

Ore 14,55 Pippo UMANA

“Giochiamo a capirci”

Ore 15,05 Saverio M. SILECI

“Ambiente e contesto di cura fra concentrazione, dispersione e Recovery”

Ore 15,15 DOMANDE E DISCUSSIONE

VERONA

Ore 15,30 Lorenzo BURTI

“Pour une écologie en santé mentale”

COLLEGNO

Ore 15,40 Gianfranco ALUFFI

“Il network europeo dello IESA e la rivista Dymphna's Family. Potenzialità e complessità dell'accoglienza eterofamiliare supportata”.

“The scientific magazine "Dymphna's Family" and the European Supported Shared Lives network. Potential and complexity of supported hospitality in voluntary families”.

IVREA

Ore 15,50 Paola PARINI

“Windhorse: uno 'stare accanto' che cura". (Windhorse: staying beside for healing)

SETTIMO

Ore 16,00 D. MENCHI, L. CERVINI, F. SANTARELLA, F. PARLACINO, A. CARINI, E. CRISTINA

in attesa del TITOLO ITALIANO

HOMELY FAMILIES: Settimo Torinese experience in Adults Foster Family Care

Relevance of Social Networks in building an integrated community care system for mental health.

Ore 16,10 DOMANDE E DISCUSSIONE

Ore 16,25 CoffeeZOOM

ore 16,30 CONCLUSIONE Giornata Italiana Divano 2020 e

Arrivederci a Novembre 2020

IIC - Budapest 26 novembre 2020 Giornata di Divano sulla Revovery -

IN CONNESSIONE ZOOM CON TORINO

Giornata internazionale sullo IESA 26 novembre 2020

e 27 novembre 2020 - Convegno nazionale équipes IESA italiane


Partecipanti alla giornata di Divano del 21 maggio 2020


Gianfranco ALUFFI - Dirigente e reponsabile Servizio IESA ASL TO3 - Centro Esperto Regione Piemonte. Direttore Scientifico della rivista scientifica europea sullo IESA "Dymphna's Family"

Domenico AMOROSO

Raffaele BARONE - Direttore DSM Caltagirone

Ronnie BONOMELLI

Gian Luca BORGHESE - Direttore IIC

Lorenzo BURTI

A. ...CARINI

Alessandra CARLOTTO - Psichiatra DSM Roma

Laura CERVINI

Caterina CORBASCIO - Direttore DSM Asti

Ezio CRISTINA

Filippo GASTALDI - Psichiatra DSM Asti

Mara GIACOMELLI

Diego MENCHI

Paola PARINI - Psicoterapeuta - Referente Windhorse per l'Italia – Ivrea

F. ….PARLACINO

Cecilia RANDICH

F. …...SANTARELLA

Saverio M. SILECI - Direttore Coop Alice nello Specchio di Torino

Gabriela TANASAN - Copenhagen

Tea TARAMINO – curatrice, Associazione Forme in bilico di Torino

Lorenzo TORESINI - Psichiatra già direttore DSM Merano

Pippo UMANA

Ugo ZAMBURRU

Vendredi 22 mai 2020 - Friday May 22nd 2020

as if Institut français de Budapest

https://www.franciaintezet.hu/

Exposés de 10 à 15 minutes par orateurs + temps de discussion en ligne avec les participants inscrits préalablement.

10.00 – 12.00 Matin :

Atelier de Camille Veit (Rennes) & coll.

Soigner (à) l'hôpital ? Camille Veit (Rennes)

L’expérience du temps de patients hospitalisés : sidération face à la disparition de l’être Yves Frote (Lausanne)

Soigner l’hôpital ou de l’art de repeindre des murs troués

Vassili Goux (Abbeville)

Penser un cadre réflexif pour les soignants Brigitte Karcher (Nice)

Se soigner sans l’hôpital: le groupe d’entraide mutuelle Passerelle, à l’île de la Réunion Juli Faloux (Paris)

14.00 – 16.00 Après-midi :

Atelier de Robert MAEBE (Binkom)


Geneviève STAHL-ROUSSEAU (Pierrefeu-du-Var)

Zoom sur une photo de Jean-François Lagrot : la sublimation « élève un objet à la dignité de la Chose » (Lacan)


Pascale HASSOUN (Paris)

La psychanalyse en Chine : Une ruée vers l’or ?

Atelier de Jean-Yves FEBEREY (Nice, Pierrefeu-du-Var)

Judit HARANGOZO, Community Psychiatry Centre of the Semmelweis University (Budapest)

Transgenerational trauma in general and its treatment,

Georges-Yoram FEDERMANN (Strasbourg)

Les différents visages et virages de l’horreur de la médecine nazie

Jean-Yves FEBEREY (Nice-Pierrefeu-du-Var)

Notre jugement mis à l’épreuve

*****
Deux vernissages virtuels on line d’œuvres réalisées dans les Ateliers d’Art-thérapie hongrois et français :

Two Art-therapy exhibitions (virtual)

Due mostre virtuali d’opere d’arte-terapia

BUDAPEST ART BRUT GALERIA Wednesday May 20th 18.00

https://artbrut.hu/budapest-art-brut-galeria/ https://www.facebook.com/babgaleria/

ÁTKELO GALERIA Thursday May 21st 18.30

https://atkelogaleria.com/

https://www.facebook.com/atkelogaleria/

Nous remercions très vivement Gérard CALZADA (Genève, Suisse) pour sa très précieuse aide à la mise en place de ce congrès en ligne.

Mise à jour/update 13.05.2020