La décision rendue par la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) est un revers pour le gouvernement hongrois, dont les « zones de transit » frontalières sont un dispositif central et controversé de la politique d’asile du Premier ministre Viktor Orban.
vendredi 15 mai 2020
La Hongrie de nouveau épinglée pour le traitement des demandeurs d’asile
"Les demandeurs d’asile contraints de séjourner dans le camp hongrois de
Röszke, sans motif et pour une durée excessive, sont de facto « privés
de liberté », a estimé jeudi la justice européenne.
La décision rendue par la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) est un revers pour le gouvernement hongrois, dont les « zones de transit » frontalières sont un dispositif central et controversé de la politique d’asile du Premier ministre Viktor Orban.
Dans ce dossier, la Cour, dont le siège est à Luxembourg, a été saisie en décembre 2019 du cas de quatre migrants
originaires d’Iran et d’Afghanistan ayant vu leur demande d’asile
rejetée en avril 2019 par les autorités hongroises et sous le coup de
décisions de renvoi vers la Serbie.
Toutefois, ce dernier pays a refusé de les reprendre et ils se sont retrouvés bloqués dans la « zone de transit » de Röszke." La suite sur lavoixdunord.fr
La décision rendue par la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) est un revers pour le gouvernement hongrois, dont les « zones de transit » frontalières sont un dispositif central et controversé de la politique d’asile du Premier ministre Viktor Orban.
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